Aurélie Filippetti
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Note moyenne : 6.2/10Nombre d'évaluations : 5
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Un livre regroupant cinq pièces de théâtre différentes, de cinq auteurs différents. Bien écrites, originales et vites lues, elles ne nous font pas perdre notre temps. Toutes, à leur manière, nous font réfléchir sur la vie, l'avenir, surtout si nous avons 20 ans (ce qui est mon cas).
Je ne peux que le recommander !
Afficher en entierPetites nouvelles plus ou moins inintéressantes selon les autreurs. Cela se lit facilement car très court à chaque fois.
Afficher en entiercette histoire d’amour est aussi celle des déconvenues et des désillusions, qui ne sont pas propres à l’Etat français. Le style d’écriture n’est pas un style que je retrouve dans la plupart de mes lectures. Les phrases sont très longues (souvent plus de 5 lignes) et abordent plusieurs idées en même temps. Par contre, j’ai trouvé cette écriture réellement sincère et sans concession.
Chronique complète : http://musemaniasbooks.blogspot.com/2018/09/les-ideaux-daurelie-filippetti-roman.html
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Editeurs
LGF - Le Livre de Poche : 2 livres
Points : 1 livre
Lansman : 1 livre
Theâtre Ouvert : 1 livre
Fayard : 1 livre
Le Cherche Midi : 1 livre
Biographie
Aurélie Filippetti, née le 17 juin 1973 à Villerupt (Meurthe-et-Moselle), est une femme politique et romancière française.
Membre du Parti socialiste et députée de la 8e circonscription de Moselle depuis juin 2007, elle est porte-parole du groupe socialiste à l'Assemblée nationale. Le 16 mai 2012, elle est nommée ministre de la Culture et de la Communication.
Fille d'Angelo Filippetti (1938-1992), ancien mineur de fond, maire communiste d'Audun-le-Tiche de 1983 à 1992 et conseiller général, et petite-fille d'immigrés italiens venus travailler dans les mines de fer de Lorraine2, Aurélie Filippetti raconte dans un premier roman, paru en 2003, Les Derniers Jours de la classe ouvrière, comment son grand-père, résistant, a été arrêté par la Gestapo au fond de la mine, puis déporté en camp de concentration avec ses deux frères3. Elle y évoque aussi la mémoire ouvrière et le sentiment de déclassement du monde ouvrier après la fermeture des mines et des usines sidérurgiques en Lorraine.
Ancienne élève de l'École normale supérieure de Fontenay-Saint-Cloud, elle est agrégée de lettres classiques4 et, avant ses débuts en politique, enseigne comme professeur de lettres.
Elle adhère aux Verts, puis devient membre du cabinet d'Yves Cochet, ministre de l'Environnement. Aux élections municipales de 2001, elle est élue conseillère du 5e arrondissement de Paris5. Tête de la liste des Verts au premier tour, elle obtient 13,75 % des voix6. Elle recueille 6,55 % des voix dans la deuxième circonscription de Paris aux élections législatives de 20027. Elle devient membre du secrétariat exécutif des Verts-Paris en mars 2003 et porte-parole8.
Après un refus d'investiture dans la circonscription de Longwy par le CNIR des Verts qui préfère une responsable lorraine9, elle quitte les Verts fin octobre 2006.
En novembre 2006, elle rejoint le PS et l'équipe de campagne de Ségolène Royal10, candidate à l'élection présidentielle de 2007, comme conseillère spéciale (environnement, culture, éducation, sujets de société).
En mai 2007, d'abord pressentie pour la 7e circonscription de Meurthe-et-Moselle (Longwy), elle est investie par les militants socialistes de la 8e circonscription de Moselle (Rombas-Bouzonville) dont le député PS sortant Jean-Marie Aubron ne se représente pas11. Elle est élue le 17 juin 2007 avec 50,96 % des voix.
Aurélie Filippetti a été porte-parole puis vice-présidente de la Convention pour la sixième République12,13, puis du courant pro-Royal « L'Espoir à gauche »14.
Le 1er mars 2009, elle annonce sur son blog sa candidature aux élections européennes de juin 200915. Troisième de la liste conduite par Catherine Trautmann, députée européenne sortante dans la circonscription Nord-Est, elle n'est pas élue le 7 juin, la liste socialiste ayant obtenu 17,8 % des voix (28,6 % en 2004) et deux élus pour quatre à la liste de l'UMP (29,2 %).
En mars 2011, suite aux accidents nucléaires de Fukushima, Aurélie Filippetti se distingue de la position du PS qu'elle qualifie de « vision dépassée »16.
Elle soutient François Hollande pour la primaire présidentielle socialiste de 2011 et est intégrée dans son équipe de campagne, en charge de la Culture, suite à la victoire de celui-ci.
Le 16 mai 2012, elle est nommée Ministre de la culture et de la communication du gouvernement Ayrault.
Wikipédia.fr
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