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Tous les livres de Bernard Coat

N'existe plus aux ex éditions ex Æquo mais chez Numériklivres en e-book ou Rendez-vous Éditions.

Lili est une jeune femme solitaire qui vit dans une pension de famille sur le port de commerce d"une ville de l'ouest de la France.

Excepté un oncle, elle ne connaît pas grand-chose de sa filiation et c'est bien là tout son soucis.

Elle se démène pour amasser le plus de renseignements possible sur sa vie.

Ses propres investigations ne mènent à rien sinon à d'amères désillusions. C'est à son insu que le cours des événements va se modifier. Des personnages agissent dans l'ombre, ceux-ci sont amis ou ennemis, ou pire encore...

Elle va retrouver les membres de sa famille avec joie et émotion pour son père et sa soeur jumelle dont elle ignorait l'existence, elle fréquentait sa mère sans le savoir, une mère dépourvue de sentiments qui sera à l'origine des heures sombres des principaux personnages de ce récit.

B. Coat

Découvrez la misère dans un petit port de la province française.

L'histoire se déroule dans le Farwest en France. Bernard Balzac est venu se reposer et peindre dans sa ville natale. Cependant, il est obligé d'aider la police dans une enquête dont les indices le ramène sans cesse à son petit monde.

Pas toujours drôle de vie de l'artiste ...

Il fera face à la pire, la pauvreté, la drogue, et il va découvrir certains secrets qu'il aurait préféré ignorer. Grâce à son art, il résout une énigme sordide.

description :

Version illustrée par ludovic Jaffré du roman de Bernard Coat Comme dans un bon vieux Maigret... Prenez le temps que les choses se mettent en place, et ensuite... ça barde ! L'action se déroule dans un port de l'Ouest de la France. Le Héros, Bernard Balzac, est venu se reposer et peindre dans sa ville natale. Malgré lui, il est happé dans les méandres d'une enquête policière dont les indices ramènent sans cesse vers son petit monde... Il va devoir côtoyer le pire, la misère, la drogue ; il va plonger au fond de secrets qu'il aurait souhaité toujours ignorer. Il sera obligé de participer aux investigations, et grâce à ses connaissances artistiques dénouera une intrigue sordide. Les personnages sont sombres et l'humour du héros renverse parfois cette tendance, mais il reste seul. Du sang sur les docks est un roman noir social, car on y explore les bas-fonds, la société est dépeinte avec lucidité même si la fiction y conserve toute sa place.

e mois de juillet de l'année 1966, était l'un des plus tristes faits de l'histoire culturelle de l'Argentine, "La nuit des longs bâtons". La dictature organisa une répression terrifiante sur les enseignants et les étudiants des facultés de Buenos Aires. Cette répression encouragea la délation. les enfermements et tortures comme moyens pour une solution finale menant vers le chaos. Hormis les atrocités quotidiennes, le résultat fut la révocation et la démission de plus de 700 enseignants qui quittèrent le pays pour poursuivre leurs carrières à l'étranger. Ces jours-là, un homme tourmenté, le professeur d'université Galvano, découvrit à ses dépens la perversité des hommes, d'un système. Une terrible réalité dépassant encore une fois la fiction.

B.C.

Préface « Les caprices d'Anaïs » par Fabio M.Mitchelli

Après être resté en apnée pendant mon adolescence, dans les Univers d’Edgar Alan Poe ou de Stephen King et, bien plus tard, dans les textes de Thomas Harris, j’ai découvert un beau jour la littérature noire de Maurice G.Dantec. J’ai pensé à cet instant-là, que plus rien n’y aucun autre auteur ne pourrait me procurer un tel vertige de lecture. Et puis, il y a les auteurs comme Bernard Coat que l’on rencontre un jour, que l’on découvre, que l’on lit.

La plume de Bernard Coat est de celles qui me parlent, que je ressens, que j’affectionne car elles impriment en moi, au fil de leurs lectures, des images, des travellings, des plans-séquences. Cela, peut-être, est-il dû au fait que l’auteur soit avant tout un scénariste de talent, avec pour références de nombreuses collaborations pour de prestigieuses institutions, le cinéma ou bien encore des émissions de variétés télévisées. Son écriture reste aérienne, transparente, parfois très sombre. On retrouve aussi dans les dialogues de ses récits de vraies perles métaphoriques, on y sent aussi bien la patte d’Audiard que celle de Balzac.

La narration de Bernard Coat est atypique, parfois hypnotique. Tantôt simple, tantôt utile, parfois « rentre-dedans ». La richesse du vocabulaire de Bernard Coat vaut son pesant d’or et donne ses lettres de noblesse à son roman intitulé « Du sang sur les docks » ; un illustre roman noir, social, intriguant. Cet ouvrage semble être un étrange hybride cinémato-littéraire, issu de l’accouplement de « Fight club » de David Fincher, et de « Usual suspect » de Bryan Singer.

La faune éditoriale à encore beaucoup de chemin à parcourir, beaucoup de chasseurs de têtes à recruter. Existe-t-il encore beaucoup d’individus tels que Bernard Coat ? Y-a-t-il encore beaucoup d’auteurs de cette trempe, noyés dans la masse, laissés dans l’ombre, des auteurs qui possèdent de vraies pépites dans leurs tiroirs, de vrais langages et de vraies dentelles littéraires dans leurs crânes ? La réponse est oui, et Bernard COAT en est la parfaite émergence. Il représente, à mon sens, un vrai talent ; la prouesse d’une plume excellente comme il me plaît d’en lire, d’en découvrir et d’en parler.

Vous découvrirez au fil de ce roman comment, de manière surprenante, le style narratif de l’auteur vous emmaillotera comme l’arachnide le fait avec ses proies. Vous découvrirez pourquoi au terme de cet ouvrage, vous relirez un jour, peut-être demain ou la semaine suivante, « du » Bernard Coat.

Cet ouvrage, passé entre mes mains avant même son édition, m’a fait prendre conscience que le talent ne se cache pas forcément dans les supermarchés, sur des rayons près des paquets de lessives ou des flacons d’eau de toilettes (Dixit l’auteur tel un message subliminal). Non, le talent ne se trouve pas forcément sous les feux de la rampe, à la radio ou sur un plateau télé. A la lecture du Roman noir d’Anaïs, j’ai plongé dans la grâce, la subtilité. La beauté et la justesse de ces phrases-là m’ont parfois bouleversé. J’ai eu l’occasion de passer par différentes phases émotionnelles, par différents paliers sur l’échelle des sensations.

« Les caprices d'Anaïs » est une ode à l’humanité. Des personnages bouleversants, charismatiques même, vont et viennent dans une atmosphère assez lourde, presque irréelle et pourtant, si proche de notre réalité. Les tourments de l’homme, ses extravagances, ses viles facettes et sa miséricorde, la vie, la mort, sont dépeints ici dans le raffinement et la virtuosité d’un lyrisme éloquent.

Un pur moment de bonheur, une valse littéraire…

Fabio M.Mitchelli

Curieuse idée que de vouloir s'échapper d'un hôpital psychiatrique lorsqu'on est malade. J'en sors, je sais de quoi je parle...

Lassé du monde, Bernard Balzac, héros atypique, plonge malgré lui dans les eaux troubles d’une intrigue morbide, dans les eaux souillées du port de Brest, sa ville natale où il est venu se reposer et peindre, quelque part dans les brumes et les embruns. Comme un fil-de-fériste, oscillant entre rêves et réalités, il se démène dans un quotidien où les hommes ne sont ni bons, ni libres, ni heureux. Il est alors happé dans les méandres d’une enquête policière dont les indices semblent tisser autour de lui une toile sombre et dangereuse. Il va devoir côtoyer le pire, et révéler des secrets qu’il aurait été préférable d’ignorer. C’est l’occasion pour l’auteur de laisser libre cours à sa veine lyrique, à son humour parfois caustique, à son optimisme défiant un quotidien glauque qui revient comme une violente lame de fond. C’est beau à lire comme une tempête

Cette histoire est tirée d’un fait réel. Amy, jeune adolescente noire de Montgomery, ville de l’état d’Alabama, est kidnappée par un gang de criminels alors qu’elle rentre du collège. Elle sera séquestrée avec d’autres filles ramassées comme elle et entassées dans un chalet minable à l’écart de la ville, dans des conditions d’horreur absolue. Il est prévu qu’elles soient vendues en Asie pour alimenter des réseaux de prostitution, ou d’esclavage sexuel. L’oncle d’Amy, aidé de son associé blanc, va, en marge de l’enquête policière, tout tenter pour retrouver la jeune fille. Mais le temps est compté…

Dans cet état sans foi ni loi, englué de racisme et de corruption, s’agitent des personnages dénués de scrupules, de véritables fous furieux, comme « le rat », le tortionnaire des jeunes captives. D’autres s’accrochent à des bribes d’humanité.

Brillante avocate parisienne, battante et sensible, Mia a apparemment tout pour réussir. Mais les apparences sont parfois trompeuses. Tourmentée par un divorce encore douloureux, une mère disparue quelques années plus tôt, et un maniaque de la pire espèce qui ne lui laisse aucun répit, Mia va se retrouver entraînée dans une spirale infernale. Les pervers sont partout, et il est souvent difficile de les identifier. Alors méfiance !

Balzac ne sut que dire. Marie était sans doute en plein délire. Mais comment Balzac pouvait-il la convaincre de quelque chose dont lui-même n’était pas certain ?

— Il m’appelle tout le temps, dit encore Marie. Il appelle, je l’entends respirer et il raccroche. Je sais que c’est lui. Il est vivant. Il n’en a pas fini avec moi.

— Ce ne sont sans doute que des appels téléphoniques obscènes ou des farces, dit-il en feignant le calme. Mais je peux demander au Bureau de vérifier. Je peux leur dire d’envoyer une voiture de surveillance, si tu as peur. Ils traceront les appels.

— Non ! dit vivement Marie. Non !

Balzac lui adressa un regard stupéfait.

— Pourquoi pas ? demanda-t-il.

— Je ne veux pas le mettre en appétit, dit Marie dans un murmure maladif.

Son état n’avait fait qu’empirer. Il comprit qu’il ne pouvait pas rester une minute de plus dans cette maison étouffante.

— Je dois y aller, dit-il. Je suis désolé. Charlotte m'attend.

Marie saisit brusquement le poignet de Balzac avec une force surprenante, en enfonçant ses ongles dans sa peau. Elle le fixa avec des yeux d’un bleu glacé, si intenses qu’ils terrifièrent Balzac.

— Prends l’affaire, dit Marie d’un ton pressant. Trouve ce dingue ! Tue-le pour moi !

Après quelques aventures qui valent le détour, je suis revenu dans mon bled du ponant situé à deux enjambées d’une plage citadine, plus précisément à la latitude 48.3897, longitude -4.48333 / 48° 23′ 23″ Nord, 4° 28′ 60″ Ouest. Je continue à peindre et suis revenu à mes sanguines, elles sont toujours faites avec du sang, comme aux premiers jours de mes exercices picturaux. J’ai un peu largué le business des faiseurs de rêves qui revendaient à bon prix mes toiles. J’ai largué aussi mon poste d’intervenant chez les flics, ils sont bien gentils tous ces gens-là mais me bouffaient mon sommeil comme des rapaces. Je voulais la paix, j’ai pu la retrouver quitte à compter mes sequins à la fin du mois. Le confort et l’aisance anesthésient l’âme. Je dois encore m’arracher, me sortir les tripes pour vivre plus comme je le veux. J’ai fait le plein autour de moi, d’autres disent « faire le vide autour de soi ». Malgré tout, suite à une conversation avec un voyageur impénitent de mes rares fréquentations, je vais me retrouver professeur de lycée sur l’île de Mayotte. Je ne suis pas un grand voyageur, mais là, l’occasion est trop bonne que de pouvoir vivre le quotidien avec une population inconnue, des paysages, des coutumes inconnues. Je n’ai pas consulté les livres et blogs de mes prédécesseurs qui disent tout et son contraire. Si j’ai une opinion à construire sur cette île de Mayotte je me la bâtirai tout seul car comme le disait si bien Paul Valery : « Le mensonge et la crédulité s'accouplent et engendrent l'opinion. »

Ma direction se fera donc dans les parages de l’île de Madagascar, plus précisément vers la latitude : -12.824511 / longitude : 45.165455. Une petite île de l’océan Indien, appartenant géographiquement à l’archipel des Comores et ce malgré les dissensions et querelles politiques. Aujourd’hui, c’est un petit morceau de la France d’outre-mer.

L' action se déroule dans un port de l' ouest de la France. Le héros, Bernard Balzac, est venu se reposer et peindre dans sa ville natale. Malgré lui, il est happé dans les méandres d' une enquête policière dont les indices ramènent sans cesse vers son petit monde…

Il va devoir côtoyer le pire, la misère, la drogue ; il va plonger au fond de secrets qu' il aurait toujours souhaité ignorer. Il sera obligé de participer aux investigations et grâce à ses connaissances artistiques dénouera une intrigue sordide.

Les personnages sont sombres et l' humour du héros renverse parfois cette tendance, mais il reste seul. "Blood on the docks" ("Du sang sur les docks") est un roman noir social, car on y explore les bas-fonds, la société est dépeinte avec lucidité même si la fiction y conserve toute sa place.

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