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Commentaires sur ses livres

Bernard Minier

Par Eoria le 18 Octobre 2012 Editer
Eoria
Je crois que ça pourrait se passer de mots en fait. J'ai vraiment adoré ce deuxième roman, qui suit la même logique du premier : atmosphère lourde, intrigante et inquiétante ; méli-mélo de personnages plus intéressants et complexes les uns que les autres ; crimes sanglants à faire froid dans le dos ; enquête personnelle qui prend au tripes. Non, vraiment, rien à dire si ce n'est chapeau bas ! Le seul bémol serait que Mr Minier s'arrête là et ne nous offre pas un troisième livre (ce qui, j'espère, n'arrivera pas!)
On retrouve donc Servaz dans une nouvelle enquête avec la même petite équipe que j'adore et un Pujol qui paraît peut être un peu moins con, quoique. Et quand, dans le résumé, on vous dit que ça va être l'enquête la plus personnelle de sa vie, c'est pas du baratin. Cette histoire prend vraiment aux tripes. Mais je suis resté sur ma faim, mon estomac est encore noué, comme s'il manquait quelque chose (et ce quelque chose, ce n'est pas un défaut du livre, c'est plutôt un manque que seul un troisième livre pourra combler, je pense que vous comprendrez).
Bref, c'est avec un vrai délice que j'ai retrouvé les personnages de Glacé (bon peut-être un peu déçue de l'absence de l'un d'eux malgré tout), le style d'écriture de Minier et son rythme effréné avec ses intrigues de malade.
Par Cecicye le 18 Avril 2017 Editer
Cecicye
Oula. Mais où va Minier? J'ai été déçue par ce tome. Je trouve que l'histoire part vraiment dans tous les sens. Beaucoup de choses sont totalement surréalistes. Je n'ai pas apprécié ce Servaz ci. Le personnage est totalement chamboulé.
Les personnages secondaires que l'on aimait retrouver ont quasiment disparu au profit d'une enquêtrice Norvégienne sans aucun charisme et énervante au possible.
L'histoire en elle même est brouillon. Il y a énormément de longueurs. J'avais même l'impression que c'était quelqu'un d'autre que Minier qui avait écrit ce tome.
Je lirai le suivant pour savoir ce qu'il en est mais j'espère que mon entrain pour cette histoire repartira.
Par Annaabelle le 2 Avril 2017 Editer
Annaabelle
Wouah, wouah wouah wouah !
Une putain d'histoire porte bien son nom, je n'ai arrêté de dire putain, après l'avoir terminé.
Personellement, je trouve que c'est le genre de livre qui te laisse littéralement sur le cul.
A propos du livre :
Une putain d'histoire
Une putain d'histoire
Par Stephanelefort le 17 Mai 2015 Editer
Stephanelefort
Je ne connaissais pas cet auteur. Les premières pages, la mise en place de l'intrigue m'ont paru laborieuses. Mais ensuite, filchtre ! Quel suspens, quelle tension, fait de faux semblants, de multiples rebondissements, parfois très noir. Scènes parfois très difficileS. Je classerais Bernard Minier dans la même catégorie que Maxime CHATTAM, Franck THILLIEZ ou Jean Christophe GRANGE. Un superbe moment de lecture. J'ai vraiment apprécié. Impatient de voir le reste de son oeuvre...
Par ceaime2B le 8 Avril 2022 Editer
ceaime2B
Ce n'est pas le meilleur!
Un nouveau genre auquel j'ai du mal à adhérer. Le récit traine un peu en longueur et je relève beaucoup d'invraisemblances.......trop à mon goût.
Je préfère rester sous le charme du commandant Servaz
A propos du livre :
Lucia Guerrero, Tome 1 : Lucia
Lucia Guerrero, Tome 1 : Lucia
Par CelinedeRoany le 3 Juillet 2020 Editer
CelinedeRoany
A 75% du livre (sur liseuse, on parle en pourcent et pas en pages), j’ai soudain été happée par l’histoire, au point que – enfin, je n’ai plus eu le loisir de prêter attention à autre chose qu’à l’action. Est-ce que Servaz allait s’en sortir ? Est-ce qu’on allait connaître le fin mot de l’histoire ? Est-ce qu’on allait savoir qui avait tué ? Non, ça, ça fait un moment que j’avais ma petite idée sur le qui et le pourquoi. Le suspense a bien duré jusqu’à… 95%. Ensuite, retour à la réalité, j’étais de nouveau assise dans mon salon, dans l’hémisphère sud, en plein hiver.

Ce qui est problématique, dans un sens, parce que Le Cercle se déroule dans le Sud Ouest de la France, en plein été.
Suivant la suggestion de mes amis Céline et Guillaume, j’ai entamé la lecture de la série dans l’ordre. J’avais passé un plutôt bon moment avec M, Le bord de l’abîme (un one-shot qui n’a rien à voir avec Servaz) et un moins bon avec Glacé. Comme j’avais le livre sous la main, je me suis entêtée avec Le cercle. Pour te la faire courte : je vais arrêter la série pendant quelques temps, histoire de lire des polars ou des thrillers qui me conviennent. Manifestement, Servaz et moi, nous ne sommes pas partis pour devenir grands copains.

Commençons par le positif :

Encore une fois, l’histoire est plutôt bonne et bien orchestrée – même si le prologue, très excitant, n’a à mon avis pas grand chose à voir avec l’intrigue principale et sert à exciter l’appétit des lecteurs.

Il y a une ambiance, c’est clairement le point fort de cet auteur. Que ce soit le village universitaire fictif ou l’ambiance de coupe du monde, on s’y voit.

Pour autant, Le cercle m’est complètement passé à côté, je n’ai pas réussi à y rentrer sauf entre 75 et 90% – ce qui, tu me l’accorderas, est un peu juste.

Pourquoi ?

J’ai été gênée par l’enchaînement des événements qui m’ont semblé manquer de logique. Des étapes cruciales sont expédiées alors qu’on nous noie sous les descriptions.

J’ai trouvé les trois premiers quarts extrêmement pédants. L’idée d’une cité universitaire fictive à l’image d’Oxford est intéressante – même je la trouve trop éloignée de la culture française pour y croire -. Par contre, elle n’est pas cohérente : on a d’une part l’action concentrée sur deux classes de khâgne et hypokhâgne qui se situent dans un lycée. Mais il n’y a pas de lycéens. C’est une cité universitaire mais il n’y a pas vraiment d’étudiant. En fait, j’ai eu l’impression que cette Oxford française tournait autour de deux classes de prépa, classes qui ont certainement leur prestige mais qui ne sont pas non plus des classes d’élites sur le plan universitaire dès lors qu’on a dépassé la licence.

“La culture, c’est comme la confiture, moins on en a, plus on l’étale”, disait-on quand j’étais au collège. Cette petite phrase m’a poursuivie pendant la quasi totalité de la lecture du livre. J’ai ressenti un grand mépris (déjà affirmé dans Glacé) pour tout ce qui est entreprise, encadrement, politiques. Bon point pour l’auteur, j’ai parfaitement retrouvé l’idée “nous sommes de purs esprits, l’élite de la nation” qui infuse les premières années d’études universitaires et qui corrompt inévitablement une partie des niveaux ultérieurs. Mais il arrive un moment dans les études et le développement de la connaissance où on arrête de se croire plus intelligent que tout le monde. On dirait qu’aucun des protagonistes du Cercle n’a dépassé le master, ce qui est un peu limité pour une élite. Quelle est cette idée de citer en permanence en latin ? Est-ce que ça existe réellement ? Je croyais qu’on arrêtait ça en seconde ou en première…

Je n’ai pas réussi à adhérer à l’idée de ce village uniquement peuplé d’étudiant et de villas secondaires de grands bourgeois. L’un ou l’autre, ok, mais les deux ensemble, non.

Aucun de ces détails n’est vraiment important pris individuellement. Aucun livre n’est parfaitement cohérent, aucun personnage n’adhère à 100% à sa propre psychologie, il y a toujours des trucs bizarres ou qui ne collent pas trop ou qui font froncer les yeux. La magie de l’écrivain, c’est d’entraîner le lecteur dans un tel tourbillon qu’il ne fait pas trop attention à tout ça, qu’il ne se pose pas toutes ces questions.

Avec Le Cercle, l’auteur n’a pas réussi à créer pour moi ce tourbillon ; je m’entendais lire dans ma tête (j’ai d’ailleurs trouvé le style assez laborieux), je relevais en permanence les yeux pour me demander si j’avais bien lu, j’étais agacée par la puérilité de Servaz dans son histoire sentimentale, agacée par sa pédanterie avec ces phrases en latin complètement indigestes qu’aucun latiniste ne se permettrait d’employer à un autre moment que devant un auditoire qui les comprenne, par cette hiérarchie établie entre les esprits supérieurs qui étudieraient en khâgne et les ratés qui finiraient flics, les pourris qui deviendraient politiques, les arnaqueurs qui deviendraient chefs d’entreprise ou encore par des coïncidences juste invraisemblables … La gaule de Servaz le matin, je n’en peux plus ; les goûts musicaux de son adjoint, c’est pareil ; les événements climatiques providentiels, ça commence à être lassant (mais si j’en juge avec M, le bord de l’abîme, ce n’est pas prêt d’être terminé).

Bref. Je n’ai pas été dedans sauf quelques brèves pages et j’ai été soulagée d’arriver au bout. L’ensemble m’a donné l’impression d’un assemblage de bric et de broc, comme une latiniste trop sérieuse qu’on essaierait de rendre sexy à grands renforts de rouge à lèvres (la fille séquestrée) et de jupe découpée (le retour d’un certain tueur en série).
Par Christele-1 le 20 Mai 2020 Editer
Christele-1
Le nouveau cru de Bernard Minier vient de paraître et il est fameux. Martin Servaz est de retour sans l’être tout à fait puisqu’il a été suspendu par sa hiérarchie et pourtant cela ne l’empêche pas de voler au secours de Marianne son ex compagne et la maman de Gustav, leur fils. Après un éboulement la vallée est coupée du monde et ses habitants avec elle, alors qu’un tueur en série laisse derrière lui des victimes tuées avec une cruauté inimaginable. Martin va prêter main forte à sa collègue et amie Irène Ziegler, tout en continuant à rechercher Marianne. C’est intelligemment construit, on passe de rebondissements en meurtres sordides et de poursuites en recherches infructueuses. La colère gronde parmi les habitants, il faudra gérer cela en plus. Il y a un côté mystique avec la présence des moines de l’Abbaye, j’ai beaucoup aimé les passages s’y déroulant. Mais ce qui m’a le plus surprise au final c’est bien le thème choisi, je ne dévoilerai rien mais c’est un thème porteur et actuel qui n’a pas fini de faire parler de lui. J’ai aussi trouvé les personnages féminins tous très forts et denses surtout celui de la psychiatre qui a de quoi surprendre. On parle aussi de l’épée de Damoclès sous laquelle se trouve Servaz avec son passage devant le conseil de discipline, on se rend un peu mieux compte de la pression et de la difficulté du métier. Une enquête bien structurée qui foisonne d’informations et de détails de quoi nous mettre l’eau à la bouche. Un pavé dans la marre, qui remue et fait bouger les lignes, une fiction qui s’inspire de faits réels et nous laisse aussi déboussolé. Même si vous n’avez lu aucun des romans de la série Martin Servaz, vous allez pouvoir suivre celui-ci sans soucis, si ce n’est de divulgacher les précédents tomes. Si vous aviez l’intention de les lire, faîtes le de préférence dans le bon ordre.
http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2020/05/20/38295639.html
Par Rykashan le 31 Août 2016 Editer
Rykashan
J'aime généralement (quand je m'en donne la peine) faire une critique plutôt longue quand il s'agit de livre. Je n'en aurais pas besoin pour celui-ci. J'ai une qu'une seule chose à dire.
IL FAUT LIRE CE LIVRE!
Il est tout simplement formidable. Je ne peut pas faire une critique précise en citant certain passage sans gâcher le plaisir pour ceux qui ne le connaisse pas mais la fin m'a maqué tant je ne m'y attendais et tant elle est cruelle et ironique.
Lisez le, vous ne serez pas déçu ^^
A propos du livre :
Une putain d'histoire
Une putain d'histoire
Par Lucolix le 29 Juin 2022 Editer
Lucolix
Décevant et peu crédible. Beaucoup de remplissage, peu d'actions (ou alors invraisemblables). Les personnages finissent par agacer. Les réactions sont peu rationnelles, le réseau et l'influence d'hirtman incomprehensibles' le final... alors oui, on a envie de connaître la fin, et on continue sa lecture, mais bon, au final, plus d'agacement que de plaisir.
Par Eurylia le 9 Juillet 2020 Editer
Eurylia
Un recueil acheté pour la bonne cause qui commence bien mais qui lasse au bout d'un moment. J'ai trouvé les premières nouvelles très poétiques et le format très court plutôt pratique à picorer quand on a peu de temps devant soi mais à la longue j'ai fini par m'ennuyer et avoir hâte que ça se termine pour passer à autre chose. À relire peut-être dans quelques années pour se souvenir du confinement et des espoirs qu'on avait pu placer dans le "monde d'après".
A propos du livre :
Des mots par la fenêtre
Des mots par la fenêtre
Par Syracuse le 26 Avril 2020 Editer
Syracuse
Des mots jetés par la fenêtre. Outre la bonne action, ces auteurs nous offrent leurs visions du mot "liberté". Une petite joie, un petit plaisir, un bon moment d'évasion offert par l'ensemble de ces auteurs.
J'ai beaucoup apprécié le journal d'Andy Warhol. J'ai été surprise des pages de Christiane Taubira (agréablement !). J'ai aimé lire les mots usés jetés par la fenêtre qui sont récupérés et réutilisés. L'évasion par la lecture, par l'imagination.
Merci pour ces mots jetés par la fenêtre. Je les récupère volontiers.
A propos du livre :
Des mots par la fenêtre
Des mots par la fenêtre
Par Kura-kura le 18 Janvier 2018 Editer
Kura-kura
Je retrouve avec un énorme plaisir Martin. J'ai longtemps attendu avant de lire ce dernier opus de Bernard Minier, après "Une putain d'histoire" qui malheureusement ne m'a pas accrochée. Bien sûr, "Nuit" m'a replongée dans les thrillers comme je les aime. A aucun moments je ne me suis ennuyée, je tournais les pages avec cette envie d'en savoir plus. Une nuit moi aussi à passer accrochée à mon livre pour suivre pas à pas tous les protagonistes. J'ai eu plaisir à suivre Hirtmann, Kirsten, Martin et les autres, tous ont joué leur rôle. Je me suis laissée entraîner dans cette spirale où tout arrivait vite, sans temps mort, sans explications inutiles. Et la fin, et oui bien sûr, on attend de retrouver notre cher capitaine pour la suite de ses aventures, une nouvelle quête, un "Grâal" a chercher sur les traces laissées par le terrible Julian. Bravo M Minier, l'attente sera longue.
Par RMarMat le 18 Juin 2017 Editer
RMarMat
Le thème de l’anniversaire moment symbolique de la vie qui passe, m’a offert de jolis moments de lecture allant du drame à l’humour et du triller à l’intrigue sentimentale. Comme les précédentes éditions, mes goûts mes styles sont gâtés ! J’ai pris beaucoup de plaisir à lire ses 13 histoires dont certaines sont de très bonne qualité.
J’apprécie le format « nouvelle » qui donne des histoires courtes qui doivent se mettre rapidement en place, jusqu’à surprendre le lecteur dans un dernier point final. C’est récréatif ! D’autant que je lis 13 à table après une lecture particulièrement difficile. Alors ça m’a fait du bien.
Un mot rapide sur chaque nouvelle, sans en faire un vrai résumé, et mon avis.

1. Françoise Bourdin – Un joyeux non-anniversaire
Françoise Bourdin nous raconte le dîner d’anniversaire du fils cadet de Marianne. Mais comme tous les ans, il est absent ! Le fils prodigue, reviendra-t-il enfin ? Un joli texte tendre sur une maman dévouée à ses trois enfants et sur tout l’amour qu’elle leurs porte.

2. Maxime Chattam – Le chemin du diable
L'atmosphère fantastique, voir diabolique de cette nouvelle m’a fait presque froid dans le dos. Le shérif Woodley tente de comprendre ce qui s'est passé, comment une famille entière a pu disparaître sur le pont du diable. Suicide ? Meurtres ? La réalité s'avérera bien plus effrayante encore, même diabolique !

3. Françoise d’Epenoux – Cent ans et toutes ses dents
Voici l’une des nouvelles mettant en scène une centenaire. Camille se prépare pour aller célébrer le siècle de sa tante acariâtre. Les nombreuses anecdotes relatées en font un personnage ignoble, aigri, égoïste et méchant. La fin vengeresse peut paraître quelque peu de mauvais goût mais m’a fait rire. François d'Epenoux signe là un beau texte à l'humour très noir.

4. Caryl Férey – Le voilà, ton cadeau
Le choix du thème de cette nouvelle est assez surprenant ! Je dois dire que je ne m’attendais pas à ça… Il s'agit d'une histoire complètement délirante dans une réalité virtuelle ou une époque alternative. Le cadeau d'anniversaire s'avère être un bébé de seize mois nommé 403 que Mario déroba à la Baby bank pour le compte de Véra qui fête sa trentième année. Une histoire loufoque et barrée !

5. Karine Giébel – J’ai appris le silence
Spoiler(cliquez pour révéler)
J'ai appris le silence.
Parce que j'ai appris le silence.
Parce que j'ai appris la peur.
Parce que j'ai appris l'endurance.
Parce que j'ai appris la prudence.
Mais j'ai appris à supporter bien pire.

Justice et la vengeance. Cette lecture est très prenante et m’a particulièrement plu. Patricia Vernet, directrice d'un service de cardiologie, se fait kidnapper par un homme qui ne lui est pas inconnu : le ravisseur a été condamné vingt-cinq ans plus tôt à tort pour l'assassinat d'une jeune fille. Ivre de vengeance, il va séquestrer tous les acteurs de sa condamnation.

6. Alexandre Lapierre – Tu mens, ma fille !
La baronne Irina Dalimescu va fêter son 86ème anniversaire avec sa famille. Mais en réalité, elle a 100 ans. Après avoir passer une partie de sa vie à se rajeunir, elle voudrait fêter dignement cet anniversaire ! Mais comment voulez-vous croire quelqu’un qui a toujours nié avoir abîmer les escarpins de sa mère il y a 93 ans ? J’ai trouvé cette nouvelle habillement bien construite et la fin tragique.

7. Agnès Ledig – Le soleil devrait être au rendez-vous dimanche
Touchant ! Un père et de son fils voyage vers un chalet en montagne pour les dix ans de ce dernier. Hélas, les conditions climatiques ne seront pas celles espérées. Heureusement, les voyages sont fait de surprises et de rencontres qui valent autant qu’un jour de beau temps.

8. Marc Levy – Accords nus
Charmante, poétique, mystérieuse, j’ai vraiment aimé cette histoire tragique et romantique. Le jour de son anniversaire, le narrateur de cette histoire croise la fuyante Émilie, une jeune femme mystérieuse dont il tombe amoureux. Ils se retrouvent alors régulièrement… Sans un mot Emilie joue sur le piano du jeune homme les seins nus jusqu’au jour où elle disparaît…

9. Agnès Martin-Lugand – Merci la maîtresse
Ce texte écrit tout en pudeur m’a aussi plu. C’est une histoire de tout les jours, simple, pleine de bon sens, positive. Deux parents d'élèves doivent unir leurs efforts pour préparer le goûter d'anniversaire pour les huit ans respectifs de leurs enfants. De cette obligation découle une belle rencontre ; celle qui ébranle, interroge et finalement fait vivre…

10. Bernard Minier – L’échange
L’échange est sans doute une des moins bonne nouvelle du recueil de cette année. Le fait de sa longueur excessive en est sûrement l’une des causes ! A moins que ce ne soit le malaise que procure les souvenirs un brin fantastique de cet homme fêtant ses 113 ans ! Jeune pilote dans l’armée française durant la guerre 1914/18 il défit un aviateur allemand insaisissable… Mais Falkenberg s’avère être une femme. De cette défaite naît entre eux une relation destructrice, torride, sexuel et morbide qui durera au delà de la guerre.

11. Romain Puértolas – Les 40 ans d’un fakir
Mes retrouvailles avec le célèbre fakir qui "voyageait dans une armoire Ikea" m’a particulièrement déçu. Ajatashatru Lavash Patel se voir offrir par ses amis français un aller-retour en Inde pour fêter son quarantième anniversaire… Et c’est tout ! Je n’ai pas retrouvé l’humour, le décalage et ce petit plus qui fait que je m’attache à un personnage et son histoire. Bref, une histoire clairement bâclé.

12. Yann Queffélec – Fuchsia
Encore un anniversaire d’enfant ! Mais surtout l’histoire d’une mère faisant face à la dure réalité du divorce et des conflits qui en résulte. C’est une histoire émouvante. Liza se bat pour pouvoir emmener sa fille fêter ses 7 ans sur une île. Elle a promis ! Alors peut importe les moyens…

13. Franck Thilliez – Lasthénie
Ah là ! Respect pour ce mini-triller à la foi habile, pervers, écœurant et surprenant. D’un côté un donneur de sang dont le groupe est extrêmement rare. De l’autre une patiente souffrant d’anémie sévère chronique. Qui pourrait imaginer que Mathias Legrand, docteur en hématologie deviennent à son insu le dénominateur commun de ses deux histoires et le bras coupable exécutant cette machiavélique vengeance.
A propos du livre :
13 à table ! 2017
13 à table ! 2017
Par MillieDi le 2 Mai 2022 Editer
MillieDi
Qui a jugé bon de refiler un badge et une arme à cette femme ?!? S'agissant de mon premier Minier, impossible de comparer cette nouvelle héroïne à son personnage phare des enquêtes précédentes. Mais pour ma part j'ai détesté Lucia. Il s'agit certainement du personnage le plus instable que j'ai rencontré dans un roman policier.
Heureusement la plume fluide et un suspens bien verrouillé sauvent quelque peu la situation. La nerd qui est en moi a particulièrement apprécié les références littéraires et artistiques du tueur en série.
Malheureusement les derniers chapitres, invraisemblables et grandiloquents, ont achevé de me détourner de cette nouvelle saga policière.
A propos du livre :
Lucia Guerrero, Tome 1 : Lucia
Lucia Guerrero, Tome 1 : Lucia
Par fanlivre77 le 14 Août 2021 Editer
fanlivre77
Un peu moins bien que les autres tomes de la saga Martin Servaz de mon point de vue. J'ai l'impression que l'intrigue était moins recherchée que d'habitude, même si ça reste une lecture sympathique.

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