Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
708 880
Membres
985 830

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Tous les livres de Bernard Morlino

Depuis l'Antiquité, les JO forment le plus grand spectacle du monde. Leur impact est si important que tous les pouvoirs politiques se servent des Jeux olympiques comme d'une campagne publicitaire. Lorsque Coubertin les relança en 1896, personne - à part lui - ne se doutait qu'un siècle plus tard ils seraient toujours au c¿ur de l'actualité, malgré deux guerres mondiales, la peste nazie, la rivalité entre communistes et capitalistes, les multiples boycotts en tous genres, l'aspect kermesse économique et les ravages du dopage. Tout au long de cet album, les instantanés défilent, l'amitié Mimoun-Zatopek, la gracieuse gymnaste surdouée Nadia Comaneci, les gazelles Wilma Rudolph et Marie-José Pérec, le mythique bond de Bob Beamon en 1968, le nageur Marc Spitz auréolé de sept médailles en 1972, l'hégémonie de Cari Lewis et la révélation de Laure Manaudou en 2004. Le poing en l'air du sprinteur Tommie Smith, partisan du Black Power, est aussi éternel que les pieds nus du marathonien Abebe Bikila. La magie visuelle nous rappelle que Tarzan (Johnny Weissmuller) et Cassius Clay, alias Muhammad Ali, furent également champions olympiques. Le ruban de rêves du kaléidoscope des JO ressuscite nos propres souvenirs attachés aux exploits des champions qui appartiennent à notre biographie intime. Du sang. Des larmes. De la sueur.

Tout l'univers du football : les hommes, les hymnes, les maillots, les stades, les équipes... pour revivre en images vos plus beaux souvenirs. Depuis ses débuts à la fin du XIXe siècle, le football a engendré des mythes : des joueurs fabuleux - Kopa, Pelé, Di Stefano, Cruyff, Best, Maradona, Platini, Zidane -, des grands matchs - Angleterre/Hongrie 1953, Allemagne/Italie 1970, France/RFA 1982 et France/Brésil 1986 -, des équipes inoubliables - Manchester United, Real Madrid, Barcelone, Milan AC, Bayern de Munich -, des slogans entêtants - " Qui c'est les plus forts, évidemment c'est les Verts ! " -, des moments de liesse nationale - France/Brésil 1998. Les quatre cents coups de George Best, la rébellion héroïque de Cantona, les coups francs de Platini, les dribbles de Garrincha et les larmes de Pelé sont aussi célèbres que le panache blanc d'Henri IV, les yeux d'Elizabeth Taylor ou les dialogues de Michel Audiard. Le football a inspiré, bouleversé, enthousiasmé des millions de personnes à travers le monde, dont un bon nombre d'artistes. Albert Camus était un authentique amateur de foot : le jour de ses funérailles, il fut porté en terre par un groupe de jeunes footballeurs. En 1952, le peintre Nicolas de Staël est au Parc des Princes afin d'assister à la rencontre France/Suède. Alors qu'il ne peignait que des natures mortes, il eut la révélation du mouvement. Jamais auparavant il n'avait ressenti l'urgence de peindre des gens en train de bouger. Pourquoi ce sport qui consiste à courir derrière un ballon fascine la terre entière, de Santiago du Chili à Moscou et de Londres à Kingston ? Pourquoi parle-t-on désormais de la période du Wunderteam autrichien comme de la période bleue de Picasso ? Une plongée dans les souvenirs et les archives s'impose afin de mettre en lumière tout ce qui fait la magie du football.

Il faut se forger soi-même son propre goût qui impose le dégoût des politiciens -des carriéristes sans dimension spirituelle-, des abonnés aux émissions télévisées, de tout ce qui nous éloigne de l'essentiel.

Rester neuf pour accepter la surprise. (extraits de la note de l'éditeur)

LE FOOTBALL ASES GRANDS THÈMES ET SES FIGURES, COMME L'HISTOIRE, LE CINÉMA ET LA LITTÉRATURE. Les joueurs sont des héros à l'air libre, d'où leur force. Ils font la jonction entre le rêve et le réel absolu. À l'évidence, le pied n'est qu'un instrument. L'artiste, c'est le cerveau. Voici un panthéon de la mémoire collective du sport roi. Nous retrouvons les pionniers Ben Barek et Di Stefano ; les rois Kopa et Garrincha ; les remparts Yachine et Maldini ; les pit-bulls Rijkaard et Matthäus ; les tireurs d'élite Fontaine et Cristiano Ronaldo ; les réfractaires Best et Cantona ; les architectes Platini et Zidane ; et, bien sûr, les virtuoses Pelé, Cruyff, Maradona, Messi. Prix Lacoste 2008 de l'Association des écrivains sportifs, cet album remonte le temps de leurs exploits sans écarter les destins brisés. Voici le trombinoscope des artistes de l'opéra de l'oeil.

L’écrivain n’est pas que ce solitaire qui passe ses jours et ses nuits à noircir des pages et des pages d’une œuvre en devenir.

Il est des amitiés riches, fécondes entre auteurs. Dans ce livre, Bernard Morlino raconte quarante d’entre elles, plus ou moins fameuses, mais toujours fortes de cette passion que seuls les artistes peuvent vivre.

Montaigne et La Boétie, Valéry et Mallarmé, Cocteau et Max Jacob, Genet et Simone de Beauvoir, Queneau et Pérec, Françoise Sagan et Bernard Frank, bien sûr… Mais aussi Proust et Lucien Daudet, Apollinaire et Rouveyre, Saint Ex et Léon Werth, Char et Camus, Morand et Chardonne, Drieu et Rigaut, Guitry et Willemetz, Cabu et Wolinski…

Le répertoire est vaste, et fait l’éloge de ce sentiment si fort.

J'avais interdit à Louis Nucera de mourir.

Ce n'était ni Flaubert ni Proust ni Céline, c'était plus que ça. C'était mon ami ", écrit Bernard Morlino. L'humaniste a été pulvérisé sur son vélo par un " innommable " de la route, le 9 août 2000. La violence de sa mort contraste avec la tendresse de l'écrivain qui inspira à Jean Cocteau l'Eloge de la gentillesse. Voici le livre de la colère d'un fils spirituel révolté.

Louis Nucera, né en 1928 a Nice, aimait la littérature, sa femme, l'amitié, le cyclisme, sa ville natale et Montmartre.

Il détestait les imposteurs. Le " pessimiste hilare " honorait les gens simples " qui ne sont pas n'importe qui ", anonymes ou amis célèbres comme Kessel, Brassens, Cioran, Boudard et Devos. Une voix s'élève pour faire prendre conscience qu'un innocent a été tué. Le fils de tricoteuse et de plombier, couronné du Grand Prix de Littérature de l'Académie française, vénérait ses parents, le travail et l'instruction.

Louis Nucera avait pressenti d'être victime de la sauvagerie contemporaine.

Passion, enfance, mémoire, fidélité... Le football a ses grands thèmes et ses figures, exactement comme l'Histoire, le cinéma et la littérature. Les joueurs sont des héros à l'air libre, d'où leur force. Ils font la jonction entre le rêve et le réel absolu. Les meilleurs footballeurs sont des créateurs, au même titre que les musiciens, les écrivains, les peintres ou les acteurs.

Qui se souvient d'un film tourné en 1982 ? Personne. En revanche, on n'a pas oublié le France-RFA de Séville. Le football ne peut pas se résumer à "vingt-deux idiots qui tapent dans un ballon" ou à une sorte de Cac 40 manigancé par des dirigeants plus enclins à lire les cours de la bourse qu'à parler de l'art de la contre-attaque.

Depuis la nuit des temps, les hommes ont tapé dans une balle aussi ronde que la Terre. D'évidence, le pied n'est qu'un instrument. L'artiste, c'est le cerveau. Voici un panthéon affectif de la mémoire collective du sport roi. Ce panorama fait l'inventaire des artistes qui ont tous contribué à nourrir de leur classe le football du XXe siècle.

Nous retrouvons les pionniers Vignal et Facchetti ; les rois Kopa et Garrincha ; les remparts Trésor et Barthez ; les pit-bulls Rijkaard et Matthaus ; les tireurs d'élite Fontaine et Van Basten ; les réfractaires Best et Tigana ; les architectes Ben Barek et Gullit, avec, bien sûr, les virtuoses Puskas, Di Stefano, Pelé, Cruyff, Platini, Maradona. Cantona et Zidane.

Cet album remonte le temps de leurs exploits sans écarter les destins brisés. D'évidence, les footballeurs sont devenus des personnages majeurs de la société parce qu'ils sont des marchands de bonheur. Tout n'est pas pourri au royaume du foot où il y a des hommes avant la créatine, les banderoles, les bastons et les nationalismes. Le jeu est sur la pelouse. Pas dans les tribunes.

Comme ses parent ont disparu, le narrateur lutte avec le langage pour le redonner vie. Ils l'ont fait de chair et de sang, il les restitue d'encre et de papier. Mais le fantôme du père domine les souvenirs.

Jusqu'à sa mort, l'homme anima une épicerie et au point de devenir le champion de était adulé tant par Joséphine Baker, Jean Cocteau, Gary Cooper ou Giovanni Agnelli par une foule d'anonymes.

Pour lui, fils d'immigrés italiens, la vie ressemblait à un terrain de football, avec des limites à respecter. Héros humbles, il gagna sa liberté au prix d'un labeur incessant.

" Ce qui a conduit toute ma vie, c'est la volonté d'aider les femmes pour leur permettre d'avoir une vie plus épanouie tout en responsabilisant les hommes, les pères.

"Fille d'un pasteur protestant devenu psychiatre, Évelyne Sullerot se définit comme une éveilleuse. Dans les années d'après-guerre, jeune mère et professeur, elle s'interroge sur les freins empêchant les femmes d'accéder à plus d'autonomie et de pouvoir au sein du couple et dans la société.

Ses travaux connaissent alors un grand retentissement. Elle cofonde en 1956 l'association La Maternité heureuse (devenue en 1960 le Planning familial) qui milite pour la régulation des naissances, mais se heurte à l'opposition des catholiques et à l'hostilité des communistes. Les lois Neuwirth et Veil doivent beaucoup à son travail de sensibilisation.

Au fil de ces entretiens, Évelyne Sullerot revient sur son parcours, livrant ses convictions sur la famille, les enfants, la contraception, mais aussi sur les droits des pères, l'homoparentalité, la GPA, la PMA ou le mariage pour tous.

L'album de famille du cyclisme mondial

Voici l'album de famille du cyclisme mondial avec des visages connus et d'autres oubliés. Il y a Merckx et Indurain mais aussi une kyrielle de "forçats de la route" enfouies dans l'Histoire : de Jean Stablinski à André Darrigade en passant par Federico Bahamontes et Felice Gimondi. La machine à remonter le temps c'est l'enfance retrouvée à chaque page.

- Qui a réalisé le plus grand exploit en cyclisme ?

- Pourquoi le maillot jaune est-il jaune ?

- Qui a dit : "J'ai graissé ma chaîne avec ma sueur" ?

- Quels sont les cinq plus grands grimpeurs de l'Histoire?

- Que veut dire "becqueter de l'aile" ?

- Qui a fait le premier doublé Tour de France-Giro ?

- Quel était le cycliste préféré du général de Gaulle ?

- Qui a porté le maillot jaune toute la course en 1961 ?

- Qui était surnommé "L'Ange de la montagne " ?

- Quel champion a raflé le premier cinq Tours de France ?

- Qui a gagné le plus de courses ?

- Qui a écrit " Mes Rayons de soleil " hymne au cyclisme ?

Et la galerie des fous de vélo, d'Emile Zola à Michel Audiard.

Depuis 1903, la Grande Boucle fascine tout le monde, des enfants aux grands-parents.

Chacun a son préféré :

- Bobet ou Robic ?

- Kübler ou Koblet ?

- Anquetil ou Poulidor ?

- Hinault ou Fignon ?

Les coureurs sont des exemples de courage qui bravent le danger à chaque compétition.

En 1974, Bernard Morlino tombe sur un livre d'Emmanuel Berl (1892-1976) qui va lui donner accès à la culture.

Face à la bêtise contemporaine, l'amitié entre le lecteur et l'écrivain devient le recours idéal. Durant un apprentissage hors du commun, où s'entremêle 1914-1918, l'esbroufe littéraire, l'amour, la Shoah, la religion, la non-violence, l'Europe, Colette, Cocteau, Malraux, Drieu et Camus, le mémorialiste se souvient qu'il fut l'un des principaux animateurs de l'intelligentsia des années 30 avant de ciseler son autobiographie dans Sylvia.

Pour sceller leur rencontre, Berl offre à Morlino sa correspondance avec Paul Morand qui tranche avec le journal inutile. Colère contre la mort. Morand ne sort pas grandi d'un inattendu trio où excelle Berl, le Voltaire du XXe siècle.

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode