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Toutes les séries de Bernard Simiot

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Voici le troisième volume de ce "roman vrai de la III° République", commencé avec "la jeunesse de Marianne" et poursuivi avec "Prélude à la belle époque", où nous avons tenté de faire revivre les mœurs et la sensibilité de la génération qui a vu naître et grandir - au milieu de quels périls ! - la III° République.

Avec "la belle époque" et son tome suivant "avant 14", nous allons suivre l'aventure de ces français jusqu'à la guerre de 1914 où vont s'engloutir leurs illusions, leurs économies, et le meilleur de leur race.

Tous les livres de Bernard Simiot

Après les fièvres du règne de Louis XIV, où se sont enrichis et illustrés Ces Messieurs de Saint-Malo, le régent s'est installé et John Law a crée la grande Compagnie de Indes. Le temps de Carbec est venu. Mère, fils et fille vont se lancer à l'assaut des grandes affaires, de l'administration, de l'armée et des beaux mariages. On les verra à Paris et à Venise, en Guinée et à Saint-Domingue, à Pondichéry avec Dupleix, à Versailles avec le cardinal Fleury, à Nantes devenu le premier port du royaume grâce à la traite négrière et à ses manufactures. Ils n'en resteront pas moins d'éternels Malouins, face à la mer qui demeure la condition et la fierté de leur vie. Beaucoup plus qu'une saga familiale, Le Temps des Carbec, c'est le roman puissant et profond d'une époque traversée d'idées nouvelles, d'une société effervescente où la bourgeoisie, avide d'honneurs et d'argent, affronte la noblesse, s'installe au parlement et dans les bureaux du roi. Le Temps des Carbec, c'est aussi un passionnant roman d'aventures, animé par des comploteurs et des négriers, des séducteurs et des banquiers, des capitaines et des diplomates - et toute une galerie de femmes dont le charme, la force et l'audace, ont une résonance curieusement moderne. On retrouvera ici le style coloré, l'invention et le rebondissement imprévu des situations, plus encore, la permanence et l'ampleur de l'Histoire qui avaient signé, dans une mise en scène spectaculaire, la réussite de Ces Messieurs de Saint-Malo.

Beaucoup de temps est passé depuis le Temps des Carbec. Nous nous retrouvons à l’aube du XX° siècle, quand l’Europe se prépare à s’entre-déchirer. La grand-mère Carbec a décidé de réunir toute la famille à la Malouinière, la propriété familiale des Carbec dans la campagne de Saint-Malo. Les cousins américains et allemands sont de la partie, jusqu’à ce que les télégrammes sonnent le rappel et déclenche la grande boucherie de 14-18.

Le roman va raconter les périgrinations des Carbec jusqu’à la sortie de la deuxième guerre mondiale : Grande Guerre, Années Folles, Grande Dépression, Montée des totalitarismes, Deuxième guerre mondiale et fin du colonialisme.

Déchiré par les contraintes extérieures la famille Carbec va s’investir dans ces périodes troubles avec tout le courage et tout l’orgueil d’une famille de corsaires malouins.

Hélas la fin du roman verra Saint-Malo mit en pièces par les bombardements de la fin de la guerre : il faudra numéroter les pierres de taille pour pouvoir reconstruire...

Simiot trace donc une histoire familiale assez classique où les échos du Monde se répercute dans le microcosme de la malouinière.

Cependant, contrairement au "Messieurs de Saint-Malo", Rendez-vous à la malouinière est vraiment bourré de clichés : les officiers qu’ils soient français ou allemands claquent des bottes, le musicien à la gueule d’ange est un homosexuel plus ou moins refoulé etc. Entre les agents de change, les officiers, les business-men et les hommes de spectacles c’est une société très conservatrice que l’on voit à l’oeuvre. Classiquement c’est le médecin célèbre qui prend le rôle de l’humaniste au grand coeur.

Finalement les bons sentiments dont est pétri ce roman sont essentiellement les bons sentiments d’une famille conservatrice, arqueboutée sur ses privilèges et sa religion... un peu dommage pour représenter le XX° siècle. En tant que breton j’attendais mieux des héritiers des corsaires malouins.

Avec Ces Messieurs de Saint-Malo, s'ouvrait la grande saga des Carbec, qui a connu un succès retentissant.

Le général François Carbec, surnommé par ses camarades " Carbec mon Empereur ", est l'arrière-petit-fils de Jean-Marie, le fondateur de la célèbre dynastie malouine. Après la défaite de Waterloo, chassé de l'armée par les ultras, il ne peut prendre son parti de devenir un simple civil. Relégué à Saint-Malo pour sédition bonapartiste, il puise dans la vieille cité l'énergie de surmonter les drames qui ont bouleversé sa vie : il part pour l'Amérique, et participe au projet fou de délivrer Napoléon de Sainte-Hélène pour le faire Empereur du Mexique.

Entre Texas et Louisiane, il fera le difficile apprentissage de l'exilé, du pionnier et du bâtisseur de rêves. Un grand roman de Bernard et Philippe Simiot où souffle l'esprit d'aventure, l'émouvante épopée des soldats de l'Empereur, de leurs entreprises chimériques et de leur singulier destin, dans ce nouveau monde qu'est alors l'Amérique.

Comme Marguerite Yourcenar pour ses Mémoires d'Hadrien, Bernard Simiot a imaginé que la reine Zénobie de Palmyre a écrit ses Mémoires.

Ainsi, dans ce roman qui reçut la bourse Goncourt du Récit historique en 1978, retrace-t-il l'extraordinaire destinée de la reine qui vécut au IIIe siècle après J.C. et prit une part très active dans les transformations du monde romain d'Orient. Après la mort d'Odénath, son mari, qui avait reçu le titre d'auguste et représentait l'empereur et la puissance romaine, Zénobie prend le pouvoir. Refusant la tutelle de Rome, elle exerce la régence au nom de son fils Waballaht.

Intelligente, autoritaire, elle mène Palmyre à son apogée. Mais, en 272, les armées d'Aurélien conquièrent le royaume qu'elle s'est taillé dans les marches d'Orient. Prisonnière, elle est alors envoyée près de Rome où elle vivra un exil doré dans une villa de Tibur. Mêlant les meilleures sources historiques et l'invention romanesque, Bernard Simiot, Prix d'Académie française 1984 pour Ces Messieurs de Saint-Malo, réussit à merveille cette évocation d'une époque riche et peu connue, durant laquelle le monde romain d'Orient s'est arabisé.

On voit s'élaborer dans cette oasis par où transitent les caravanes une civilisation commerçante et culturelle d'un extrême raffinement, profondément marquée par la personnalité de cette reine, étonnante femme d'action dont le nom reste à jamais lié à Palmyre, cette Venise du désert.

Dans la nuit embaumée et chaude de Rabat, Jacques Lareuille confie l'histoire de l'amour fou qui l'a lié à Jeanne, une passion charnelle et intense dont la complexité et l'absolu peu à peu échappent au narrateur, amant désemparé et jaloux qui en subira le mystère et la douleur sans en comprendre l'issue. Bernard Simiot, dans une langue où la justesse de ton, la concision et la sobriété savent rendre l'étrange beauté de ce récit, le feu et la quête qui l'animent, nous invitent à pénétrer au cœur du mystère de l'amour et à en méditer l'ineffable pouvoir. Paradis perdus renoue avec une veine plus intimiste, celle de "Moi, Zénobie, reine de Palmyre", mais on y retrouve cette vivacité du récit, cette magie de l'espace qui réconcilient le réalisme et les mirages et ont fait l'extraordinaire succès de "Ces messieurs de Saint-Malo".

« Moi, Lucius Cornelius Sylla, détenant la magistrature suprême, j'ai renoncé à des honneurs et à des pouvoirs qu'aucun Romain n'avait connus avant moi. J'avais reçu ceux-là sans vanité, j'ai exercé ceux-ci sans faiblesse. Premier magistrat de la République, j'avais vécu dans la pourpre, maintenant j'allais connaître le bonheur auprès de la jeune femme que j'aime : plus de messages à dicter, d'ambassadeurs à recevoir, de décrets à signer, de poignards à craindre...

Né patricien, ni le pouvoir ni l'or ne m'ont jamais ébloui. Je les ai utilisés pour mieux courber, enchaîner ou compromettre ceux dont le service ou la complicité m étaient nécessaires. J'ai dit à Pompée qu'il était grand, il l'a cru. J'ai mis des vierges dans le lit des pères de famille et des garçons dans celui des matrones, ils ne les ont pas repoussés. J'ai assuré Metellus qu'il était le meilleur général romain, il le savait déjà. J'ai murmuré à Caecilia qu'elle était la plus belle de toutes, elle m'a épousé. J'ai couvert d'or Archélaos, il a trahi Mithridate... »

Si les Carbec, ces "Messieurs de Saint-Malo", ont toujours eu le goût de l'aventure, François, qui allie aux souvenirs glorieux de ses campagnes napoléoniennes les rêves moins chimériques mais plus fructueux du Nouveau Monde, en est le descendant le plus accompli. A La Nouvelle-Orléans, il est désormais à la tête d'une florissante compagnie de steamers qui parcourent le Mississippi. Carbec ressent pourtant la nostalgie du pays natal. Rentré en France, il est un observateur attentif des changements sociaux, politiques et scientifiques qu'incarne à présent son fils Mathieu, polytechnicien et saint-simonien.

Qu'il évoque les derniers feux de la présence française en Louisiane, les drames de l'esclavage, la démocratie balbutiante de la jeune Amérique ou le Saint-Malo des années 1840, ses notables et ses malouinières, Philippe Simiot, après Carbec, mon empereur, restitue magistralement les passions et les espoirs qui ont enflammés le XIXème siècle.

Seul de tous les petits commerçants de Saint-Malo, Mathieu Carbec, dont les grands-parents vendaient naguère de la chandelle, a eu l'audace d'acheter trois actions de la Compagnie des Indes orientales que vient de fonder Colbert. Ce sera le point de départ d'une grande saga familiale au moment où la bourgeoisie maritime se rue à la conquête des piastres, des charges et des titres nobiliaires. Négociants, armateurs, corsaires ou négriers, les Carbec, parmi tant d'autres, se lanceront sur toutes les mers du globe, sans se soucier de savoir si leurs écus ou leurs fleurons sentent trop les épices ou la traite, la ruse ou la fraude... Le rebondissement de multiples situations, le foisonnement de personnages où se détachent d'admirables portraits de femmes, la présence permanente de l'histoire, font de Ces messieurs de Saint-Malo un grand roman d'aventures et d'amours qui est aussi un grand roman de société.

source: amazon.fr

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