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La raison principale étant, bien sûr, que la notion du consentement y est totalement bafouée. Aucune idée de comment les défenseurs du livre parviennent à utiliser l'argument du "mais elle est d'accord avec tout ce qui lui arrive". NON. C'est clairement dit lors de nombreux passages : Laura a peur, n'ose pas agir, Massimo la force plusieurs fois alors qu'elle se débat, voire même une fois alors qu'elle exprime qu'elle n'a pas envie, le tout sous la contrainte et la menace de faire du mal à sa famille si elle tente de s'enfuir. Où est le consentement là-dedans et surtout comment peut-on voir du consentement là-dedans ? J'ai ma petite idée.
L'auteure s'amuse à alterner, en l'espace de quelques lignes seulement, des moments d'abus et de viol, à des moments où Laura est en pamoison devant le beau Massimo. Tant pis s'il la viole, il est de toute façon si honnête, si protecteur et tellement sexy. À vomir.
En plus de souffrir d'un style d'écriture proche du néant, le roman n'est vraiment pas à glisser entre toutes les mains. Il ne s'agit pas de New Romance, comme tente de le faire croire Hugo en l'éditant dans sa collection du même nom et sans mettre d'avertissement en début du roman. Il s'agit d'un texte dérangeant, mettant en scène les abus et viol d'un homme sur une femme non-consentante une grande partie du livre. Des scènes qui véhiculent des messages dérangeants sur le consentement et la sexualité. Évidemment que ça reste une fiction et peut-être que des gens aiment lire ce type de contenu, mais un avertissement aurait été la moindre des choses en tête du livre.
À réserver à un public averti avec du recul : sans parler de la crudité des scènes de sexe (dont la lecture appartient à la sensibilité du lecteur), rien dans le sort réservé aux femmes (et à Laura) dans le roman n'est normal.
365 jours, Tome 1
Il y a une prise de risque de la part de l'auteur de brûler celui qu'elle a adoré pendant les deux premiers tomes. En lisant les commentaires personnels de ladite auteur, on a franchement le sentiment que son livre a servi de thérapie à ses propres déceptions amoureuses. Soit. Elle ne sera pas la première ni la dernière.
La morale de l'histoire, comme l'auteur le dit elle-même, est que "le bonheur n'est pas l'apparence de bonheur'. Acheter du Prada et du Chanel à longueur de journée, vivre dans un palais entourée de malabars bodybuildés, passer des nuits enfiévrées avec un amant qui disparaît le jour commettre d'innombrables crimes et vous impose une grossesse, n'est peut-être pas l'alpha et l'omega. Oui, dit comme ça, qui pourrait avouer le contraire. Sauf que la solution de rechange, le fameux Nacho coche quand même pas mal de cases dans la check-list du mec idéal pour fille superficielle façon Laura Biel. Il est beau, c'est une bête de sexe, il est riche. D'accord, il se la joue modeste avec ses tongs et ses vieilles voitures mais il lui offre quand même une vie de rêve au bord de la mer. J'aurais sans doute été plus indulgente si Laura avait craqué pour son infirmier de réa qui touche le smic ou sur son voisin comptable au RSA. Qu'a donc de "plus" le fameux Nacho ? Pas grand chose à mon avis. Sur le plan moral, c'est un tueur à gages et une espèce de truand local. On n'a pas vraiment progressé. Sur le plan relationnel, il est gnan-gnan. Quasiment pas un mot au-dessus de l'autre. Contrairement à Massimo, il ne se laisse pas enivrer facilement, ne se drogue pas, est davantage dans le contrôle. Là oui, c'est sûr, on a beaucoup progressé. Clairement, Massimo a franchi la ligne dans ce tome, trop loin pour qu'un retour en arrière soit possible avec Laura. Mais quand on regarde l'enchaînement, on a le sentiment que Massimo perd pied et ne sait pas du tout gérer l'éloignement de Laura. Qui dit que Nacho ne commettrait pas les mêmes excès dans une situation comparable ? Certes, dans une scène, l'auteur répond à ma question. Laura 'teste' Nacho. Je ne suis toutefois convaincue, ni par le test employé ni par la lecture de son résultat. Massimo aussi dans le tome I se la jouait "je serai un chic type au moins sur le consentement sexuel". Par ailleurs, même éconduit, ledit Nacho est capable de stalker Laura et de faire irruption dans sa chambre. Nacho a enfin le gros avantage de ne pas avoir de problèmes spécifiques de 'travail' comme c'était le cas de Massimo. On peut toujours dire que les problèmes de Massimo sont le résultat du caractère de Massimo mais est-ce-à-dire que Nacho n'aura jamais de problème ?
Dans l'affaire, Laura a pris celui qui trimbalait le moins de valises et qui répondait favorablement à son égocentrisme. Laura est une femme qui s'ennuie quand elle est seule. On a eu trois tomes pour s'en rendre compte. Elle a besoin d'un homme ou de sa copine improbable Olga. Sinon, elle déraille. Coup de chance, Nacho a du temps à revendre mais ça tient quand même du miracle littéraire.
En conclusion, la morale bourgeoise tartinée de confiture mafieuse de l'auteur n'est pas vraiment convaincante.
365 Jours, Tome 3 : Les 365 prochains jours
Je pense ne jamais avoir eu autant d'antipathie pour une héroïne que dans cette histoire! Mais je ne vais revenir sur le comportement dégradant de Laura!
On assiste, ici, a un revirement à 365 degrés !!!! Où tout à coup Massimo est devenue une grosse merde psychotique que l'héroïne déteste. C'est un monstre qui a tous les mauvais côtés: tout ce qui plaisait à Laura à propos de Massimo au début est diabolisé par l'auteure (aucune subtilité) et est repugné par l'héroïne !!!
Donc la meuf, en détente, elle refait sa vie avec un autre...Tranquille!
Note pour toute la saga: pour quelqu'un qui est censée avoir été kidnappée, je trouve qu'elle a beaucoup de liberté 😂 (elle est toujours en train de s'échapper !)
365 Jours, Tome 3 : Les 365 prochains jours
365 Jours, Tome 2 : Ce jour
365 jours, Tome 1
365 jours, Tome 1
On parle beaucoup du comportement du Sicilien mais celui de sa femme?
Une personne limite alcoolique, accro au shopping qui tombe amoureuse et écarte les cuisses comme elle respire. Son comportement est plus que limite: la fidélité est un concept qu'elle ne connaît pas. Par contre elle maîtrise l'art de la girouette. Elle passe du "je t'aime" à "je te déteste" en un claquement de doigt. Laura est détestable dans ce tome.
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J ai beaucoup de mal à concevoir le fait de partir avec l'homme responsable de la perte de son enfant et de retomber enceinte six mois plus tard... Malgré son horrible comportement dans ce livre, je reste fan de Massimo et j aurai aimé un happy end pour lui.
365 Jours, Tome 3 : Les 365 prochains jours
L écriture est à pleurer de banalité, les dialogues sont inutiles et idiots et alors palme a Laura, je ne pensais pas qu elle pouvait être plus idiote que dans le film je me trompais.
A fuir.
365 jours, Tome 1
365 Jours, Tome 2 : Ce jour
365 jours, Tome 1
Premièrement d'un point de vue syntaxe, le livre n'est pas très bien écrit, il y a des mots manquant, la traduction n'est pas de très bonne qualité.
Ensuite pour en venir à l'histoire même et à ses personnages, ils sont sans aucun intérêt. Laura est une femme des plus banales, superficielles et sans intérêt, on passe son temps à lire comment elle s'habille. Elle passe son temps à picoler, et son jeu du chat et de la souris avec Massimo est ridicule, voire surjoué ! Tout est too much.
Quant à Massimo, je comprends pourquoi le livre est classé dans la dark romance. Il y a plusieurs passages que je considère comme du viol déguisé. Mais comme les personnages sont beaux on a l'impression que l'auteure rend l'acte moins répréhensible, plus acceptable.
J'ai l'impression que les personnages ont vraiment des fantasmes dignes d'adolescents victimes de leurs hormones.
Bref là on est sur une mini cata ...
365 jours, Tome 1
Sérieusement ? Diamant ?
C'est une honte ce bouquin. Je m'attendais au même style que 50 nuances de Grey (qui n'est déjà pas ouf) mais alors là. on touche le sommet, du fond ?
C'est une honte que Hugo Romance est publié ce bouquin. Ça aurait été dans la catégorie Azur d'harlequin que ça m'aurait moins étonné.
Parlons du 1er point qui fâche : l'écriture. Horrible. La traduction a été relue avant publication avant ou pas ? La syntaxe est mauvaise. Certaines phrases, en plus des fautes d'orthographes que j'ai découvert dans mon ebook, je devais les relire pour les comprendre ... Un comble pour une maison d'édition de ce type.
Va falloir revoir la traduction et la tournure des phrases. Pour une lectrice "senior" je dirais, c'est un supplice pour les yeux. Ok faut traduire le polonais, mais c'est bien de rendre les phrases françaises !!!
Point 2 : l'histoire, le scénario. On dirait un porno des années 70 mis à la sauce de notre décennie. Avec une petite touche de romance. En soi c'est pas si mauvais, mais tout est survolé. Y a aucune profondeur, même les scènes de sexe. Le scénario est aussi superficiel que Laura. Et encore parfois, le cerveau de Laura refait surface pour enfin avoir une once de jugeote. Mais non, plouf on retombe dans le néant. Sûrement tout le champagne qu'elle picole. C'est dommage parce que vu comment Laura se vante d'être intelligente etc, elle le montre très mal tout du long du 1er tome ! Ça aurait pu être réellement intéressant qu'elle mette son cerveau a contribution. Bref.
Point 3 : les personnages. Comme dit plus haut très superficiel. Laura se laisse aveugler par le bling bling de Massimo, lui trouve des excuses de Mafieu etc... Olga rehausse un peu la barre, mais léger. Les parents de la protagoniste, sont là juste pour dire qu'elle a des parents. Sa mère voit bien que quelque chose ne va pas mais ne creuse pas plus loin. Aussi superficiel que la fille.
Point 4 (le pire a mes yeux) : le consentement. ZÉRO. NADA. Si vous voulez de la dark romance, Lisez du Angel arekin, du Pénélope Douglas, Pénélope Sky, C.S Quill. La on sait que c'est réellement de la dark romance.
Mais pas ça ! Ce bouquin est dangereux entre les mains de petites adolescentes de 15 ans, qui ont forcément entendues, voir vu le film sur Netflix une fois les parents au lit. Il enrobe le viol dans une sois disant histoire d'amour.
Ce bouquin est vraiment a fuir. Cette série plutôt. Déçue de la part d'Hugo Romance d'avoir publié ce torchon.
Bien heureuse de ne pas avoir payé...
365 jours, Tome 1
Fuyez.
Ce livre n'en vaut absolument pas la peine.
365 jours, Tome 1
365 jours, Tome 1
365 Jours, Tome 2 : Ce jour