Bonnie Hearn Hill
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Note moyenne : 5.64/10Nombre d'évaluations : 14
0 Citations 8 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
ok ça change de toutes ses oeuvres. son contexte actuel!
marquise66
Afficher en entierpas mal du tout sa change de ses autres livres
Afficher en entierJe l'ai lu en pensant que c'était du H. Coben.
Mais , en fait, c'est un recueil d'autres auteurs.
On y retrouve de vraies histoires, mais en aucun cas, le style de H. Coben.
Décevant pour un fan de H. Coben !
Afficher en entierLa couverture est trompeuse, on pourrait croire que c'est du Harlan Coben mais non, c'est un recueil de plusieurs histoires de plusieurs auteurs différents. Je n'ai pas aimé car pour moi c'est de la pub mensongère et honnêtement le style d'écriture de certains auteurs laisse à désirer.
Afficher en entierJ'ai hésité ente ma rubrique " j'ai lu aussi" ou "je n'ai pas apprécié"... Comme je suis en vacances, disons que j'ai été indulgente... Mais que de lenteurs...Le style est décousu (faute de l'auteur ou du traducteur???), l'histoire est poussive, seules les cent dernières pages rythment un peu plus le suspense et encore... J'ai fait l'effort de le lire jusqu'au bout en me disant que le dénouement pourrait être surprenant: finalement bof.. Une seule chose m'a surprise, je vous laisse la découvrir si, par hasard, ce roman est sur votre étagère et que vous vous décidiiez à l'ouvrir...
Afficher en entierSi vous croyez que ce livre est d'Harlan Coben vous vous trompez ! En effet, il ne fait que "présenter" les histoires/auteurs qui d'ailleurs ne sont pas comparables d'une seule seconde aux siennes.
Afficher en entierQue dire ? Je n’ai jamais rien lu d’aussi fade. Les nouvelles sont sans intérêt et quand il y a le début de quelque chose, il s’avère qu’un collégien aurait pu écrire la même chose lors d’un devoir. Publié sous le nom de Harlan Coben pour s’assurer un minimum de lecteurs, je trouve ça vraiment mesquin. Depuis quelques temps déjà je me suis détachée de cet auteur que je juge trop commercial. Un genre Guillaume Musso à l’américaine. Dans le genre thriller on fait largement mieux. Seule la série Myron Bolitar garde à mes yeux un quelconque intérêt.
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Biographie
Auteur, éditrice, enseignante et oratrice publique, Bonnie Hearn Hill a toujours été courageuse à propos des expériences personnelles qui ont influées sur son travail. Son nouveau roman, "la disparue de Sacramento, est né d'une relation passée qui a considérablement affecté sa vie et sa carrière.
Bonnie a grandi à Hanford, Californie, une petite ville entre Fresno et Bakersfield. Elle a appris à lire à un âge très jeune et s'est plongée dans les contes de fées, pour se faire peur tellement elle aurait à coup d'oeil à des mots. Elle a commencé à fabriquer ses propres histoires, remportant son concours d'écriture première de la quatrième année.
C'est dans sa dernière année de l'école secondaire qu'elle a rencontré l'homme qui allait profondément changer sa vie . M. Del Hearn a été le meilleur professeur, qu'elle ait jamais rencontré. M. Hearn a reconnu son talent de conteur et son défi à aiguiser ses compétences et pousser l'enveloppe. Il l'adorait, mais il était marié, beaucoup plus âgé et son professeur, et il a résisté à toute relation au-delà de la salle de classe.
Un an plus tard, Bonnie a découvert que M. Hearn avait déposé une demande de divorce, et elle a orchestré une "chance" réunion. Le lien entre eux était plus puissant que jamais, et trois mois à compter de la date de leur première fois, ils ont débuté une relation. Ils se sont mariés quatre ans plus tard. Mais comme Bonnie avait grandi, avait commencé l'écriture freelance, et avait trouvé une carrière qu'elle aimait, devenait une éditrice à la Fresno Bee, le couple a divorcé après 16 ans de mariage. Bonnie a rappelé: «Il m'a dit une fois que ce que je pris pour la sagesse en lui, c'était seulement l'âge, et il avait raison. J'avais été ivre de son statut de mon professeur et mon supérieur. Il a rempli une terrible envie dans ma vie."
La relation Pygmalion-like lui a permis de s'épanouir et de finalement quitter l'homme qui l'avait aidée à grandir. "Mais j'ai appris beaucoup de lui,» dit-elle. "Il a enseigné en posant des questions et laissait ensuite ses élèves trouver des réponses. Maintenant, j'ai intégré cette approche dans ma propre écriture et mon enseignement."
Bonnie dit que sa vie a commencé après son divorce. Editrice à la Fresno Bee depuis 1982, elle a trouvé que le travail dans un journal de 900 employés est équivalent à l'obtention d'un doctorat en sociologie. Elle a toujours été intéressé par la vie des gens, et sur le papier, il ya toujours quelqu'un qui veut partager ses histoires avec elle.
Remarié, avec son mari, Larry Hill, auteur de Johnnie Ray et Miss Kilgallen, un roman. Elle a écrit des profils de George Plimpton, Helen Gurley Brown et Olivia Goldsmith, entre autres. Ses articles et chroniques ont paru dans des publications telles que Digest Writer, Family Circle, American Review écrivains, rédacteur en chef-Writer, ByLine et d'écriture pour de l'argent. Un conférencier national et juge du concours, elle dirige un atelier d'écriture très réussis privés à Fresno et donne des cours de fiction en ligne pour l'école Writer 's Digest.
Bonnie dit que la fiction est le mensonge crée un écrivain pour raconter une vérité. Dans son livre, stagiaire, alors que les circonstances peuvent se rappeler les événements de presse particulier, pour Bonnie Hearn Hill, le roman est un écho de sa propre expérience profondément personnelle.
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