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Les Vilains petits canards
Si les premiers chapitres sur Jean Genet sont intéressants et semblent dessiner une vraie structure de l'œuvre et de la pensée, l'essai se perd assez rapidement dans des digressions qui ne semblent pas avoir leur place. Rapidement, les notes de bas de pages renvoyant à d'innombrables références envahissent le texte et laissent présupposer que l'auteur n'a pas sa propre pensée et qu'il ne fait qu'imbriquer habilement les références d'auteurs entre elles pour en former une synthèse… maladroite. Et même quand Boris Cyrulnik se montre plus convainquant, il tourne en rond avec des concepts que l'on ne fait pas que retrouver tout le long de cet essai mais qui ont aussi fait sa renommée dans les années 90. Ainsi le concept de résilience, longuement décrit et intéressant certes, plane au-dessus de nombreux chapitres et finit par s'essouffler. Il en va de même avec la niche sensorielle, évoquée à répétition pour justifier et expliquer les actions des uns et des autres. Les chapitres autour des sciences ne m'ont pas intéressés, ceux essayant de faire un lien entre sciences et écriture non plus : c'est du remplissage malvenu.
L'essai est sauvé par son découpage en chapitres courts, une écriture plutôt fluide et une capacité à vulgariser des concepts scientifiques parfois complexes. Pour ceux qui, comme moi, s'attendaient à retrouver des exemples concrets et édifiants d'écrivains qui ont transcendé leur souffrance par les mots et par l'acte de création, passez votre chemin car ce qui est promis ne représente au final qu'un maigre tiers qui aurait pu tenir dans un livre de poche d'une centaine de pages.
La nuit, j'écrirai des soleils
Les Vilains petits canards
L'espoir le défini bien, je dirai.
Parler d'amour au bord du gouffre
Un peu perplexe dirai-je.
Mais pas toujours facile à suivre .
Autobiographie d'un épouvantail
Il faut bien persévérer pour tout suivre .
De Chair et d'Âme
Quand un enfant se donne la mort - Attachement et sociétés
Parler d'amour au bord du gouffre
Un merveilleux malheur
Les nourritures affectives
Certains arrivent à équilibrer leur vie, d'autres pas : Cyrulnik propose des pistes pour explorer ses liens affectifs, en tant qu'adulte, mais en faisant un retour sur l'enfance
Le murmure des fantômes
De Chair et d'Âme
Les nourritures affectives
Autobiographie d'un épouvantail
Boris est catalogué comme psychiatre mais on apprend de tout en le lisant. Par exemple Page 234, une approche intéressante sur le tabou de l’inceste, page 204 il arrive à expliquer le besoin de religion et de transcendance de certaines personnes.
Impressionnant également ses nombreuses références qui nous permettent d’approfondir l’un ou l’autre sujet. Par exemple la maturation cérébrale plus précoce chez les filles que chez les garçons. En outre l’existence de cellules miroirs chez les oiseaux permettrait-elle d’expliquer les phénomènes de murmuration chez les étourneaux ou de la nage en banc chez des poissons ? Je vais investiguer.
L’inconvénient que dans les notes de pieds c’est qu’il regroupe référence proprement dites et des explications sémantiques. Un lexique séparé eût été plus adéquat. J’aurais su avec plus de précision ce qu’est la noétique, une élation, une ontogénèse, l’anomie.
Je crois commencer à comprendre pourquoi il m’arrive d’être asocial, que certaines personnes me sont spontanément antipathiques, pourquoi les russes en pleine guerre contre l’Ukraine préfèrent se calfeutrer dans la pensée commune, la doxa dictée par le Kremlin. C’est tellement plus pratique.
Quarante voleurs en carence affective : Bagarres animales et guerres humaines