Brian Azzarello

J adore ce comics j’adore l’idée de découvrire l’histoire au travers des yeux d un mec qui veut trouvez sa place dans le monde maffieux en sachant que c est le joker qui est le sujet de l histoire est puis le dessin est juste incroyable j ai pris un pied incroyable à lire cette histoire

Un bon 1er tome dans l'ensemble , les dessins sont irrégulier pas toujours top voir la suite .

Un bon second tome dans la ligné du 1er.

Ce comics était sous mes yeux depuis plus d'un an et je ne l'avais jamais lu. Il attendait d'être choisi dans ma pile à lire dont il était le fondement depuis mon achat. Ainsi, au lieu de lire mes derniers livres, j'ai décidé d'ouvrir les pages et de me lancer dans sa lecture.

Le joker sort de l'Asile d'Arkham, mais il n'est pas content. En son absence, ses maquereaux ont partagé sa part du gâteau et l'ont vendue, pensant qu'il ne reviendrait plus. Pensant qu'il ne sortirait plus jamais de l'asile d'Arkham, mais non, le joker est de retour et il est bien décidé à mettre Gotham à feu et à sang, même s'il doit pour ce faire affronter de nouveau son ennemi de toujours, le fameux Batman.

On suit la lecture de ce comics avec la narration de Johnny Frost, qui partage son point de vue et l'histoire qu'il vit avec le Némésis du chevalier noir. J'avoue que c'est plaisant, car lire un comics avec la narration du joker qui est censé être fou aurait été vachement mal perçu. Mais bon, je ne fais jamais de soucis quand c'est Azzarello qui est au scénario.

Quant aux illustrations, c'est le maître Bermejo qui s'en est occupé et même si ça ne peut pas plaire, j'avoue que m'endormir avec l'incroyable travail de ce grand dessinateur est fortement appréciable.

Je recommande ce comics sans problème, c'est une histoire indépendante ainsi vous n'avez pas besoin de lire d'autres comics pour en comprendre la lecture. Foncez, le duo Azzarello et Bermejo ne déçoit jamais généralement !

Un bon tome avec de beau dessins hâte de lire la fin.

Les dessins sont parfois passable, et tout sa pour sa sans pas vraiment de fin.

Un méchant inédit mais je trouve le scénario moyen tout comme les dessins pas toujours au niveau.

Les dessins sont gros, burinés, avec des plans sur les visages précis, les rides et la laideur… Les gros plans sur les dents… Les cicatrices…

Joker sort de l’asile, réussissant à convaincre le personnel d’Arkham qu’il n’est plus fou. Jonny, un homme de main, se porte volontaire pour accueillir le Joker à la sortie de l’asile. Bien vite, les deux hommes vont devenir proches, voir amis, mais Joker ne supportera pas que Jonny s’excuse – encore un caprice. Jonny prend le Joker pour modèle, il lui semble le comprendre. Il sera un de ses plus précieux et fidèles alliés.

Enfin un livre où le Joker fait des (pas trop mauvaises) blagues. Il est censé être un clown. Mais quat il s’agit de lui inventer des blagues… Les scénaristes sont souvent absents.

Croc sera également l’un des plus proche de Joker; lui servant de « gros bras ». Harley nous honore de sa beauté et de son goût pour le tir… Absurde comme le Joker, il n’y a rien à comprendre… Mais fidèle dans ce tourbillon…

Jonny a une meuf qui veut lui faire signer les papiers du divorce, et Joker trouve en Le Pingouin Cobelpot un moyen de faire fructifier son argent, afin de reconquérir ce qu’il appelle « sa » ville (Gotham). Mais bien sûr, Batman ne sera pas d’accord.

Batman qui s’auto-accuse d’avoir contribué à l’émergence du Joker. Avec un certain chapeau rouge…Qui était plus idéaliste fut un temps…

Je trouve que l’intitulé « mauvaises fréquentations » est tout à fait approprié. Mieux encore que de percevoir l’histoire du Joker a travers le clown, je la perçois à travers l’œil innocent et neuf de Jonny. Jonny est un voyou pas trop pourri à la base mais qui au contact du Joker va se salir les mains davantage et encore davantage… Pour quoi, la richesse ? La gloire? Non même pas. Juste pour être le « bon petit chien » du Joker, cette némésis de Batman, charismatique, désenchantée, réelle, brutale.

Scénario : L’archétype du héro (ou anti-héros) qui sort d’un passé galère avec les mains dans les poches, et qui doit reconquérir ce qui lui appartient, bit by bit… Le charisme de l’alcool et des vies violentes… 9/10.

Talent : Un très bon talent, que ce soit dans les graphismes ou au niveau du scénar’ on y trouve son comte : 9,5/10.

Originalité : Comme je l’ai dis les dessins et la représentation du Joker ne sont pas loin d’être inédites. 8,5/10.

Note Globale : 9,5/10.

En bref____

Un univers opaque parfois d'une grande noirceur, parfois "drôle" (Enfin le côté blagueur est un peu affiché). Le Joker un personnage qui suscite de plus en plus d'émules j'usqu'à faire de l'ombre à Batman. Joker est relâché et est bien décidé à reprendre le contrôle du Gotham mafieux.

Positif____

Les graphismes.

La fluidité du récit.

Négatif____

Pour un certain public.

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Phoenix

++

Brrr... Je me suis accoutumée peu à peu à lire des histoires d'horreur mais celle-ci me donne toujours des frissons. Je recommande pour les fans d'American Vampire.

Les dessins sont magnifique mais l'histoire un peu brouillions.