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Nous serons des héros
L auteur cherche les circonstances qui aurait pu éviter ce drame...
Et si...
Mais rien ne peut conjurer le sort.
Un livre triste et grave. Vivre vite...et mourir jeune...! Mais surtout vivre chaque instant !!
Vivre vite
On bascule dans une vie bercée dans la culture; la musique, un travail, une vie ordinaire.
L'écriture, retenue, est agréable à lire. Les longues phrases ne posent pas de problème.
200 pages à lire au moins en plusieurs jours. Et si, finalement, l'écriture participait, à une dose variable, au cheminement du deuil, à une éventuelle projection dans un futur.
Mettre les mots. Et si........
Vivre vite
Le livre commence et se termine par le même événement : la vente de la maison accélérée par le harcèlement des promoteurs.
Entre les deux, l'histoire de cette acquisition et de l'avant ou comment deux jeunes de quartier font d'abord pour le quitter puis devenir propriétaires. Entre l'acquisition et la vente : 21 ans.
Claude,le mari de l'autrice, n'y aura jamais aménagé car il vient d'avoir un accident de moto, fatal.
Brigitte Giraud écrit pour se rappeler,pour ne pas oublier,pour rendre Claude vivant et nous raconte lui et elle.Et puis il y a tous ces "si" énumérés dès le second chapitre et développés dans chacun des suivants. Brigitte Giraud interroge les circonstances de l'accident,essaie de le comprendre. Elle questionne le hasard qui se mue en destin.Des "si" qui peu à peu deviennent complètement loufoques à mesure que l'autrice vit en écrivant ou revit sa terrible descente aux enfers.
Le style est précis,les phrases sont sans effet de style et tout se mélange : le présent,le passé pour raconter un fait bien réel mais placé au conditionnel; avec des "si"...
L'avant dernier chapitre est consacré à l'éclipse total du soleil du 11 août 1999, image forte de l'avant et de l'après en passant par la nuit arrivée subitement :le noir,le silence,le froid
Je regrette quelques erreurs dans l'écriture non corrigées excepté par un lecteur zélé.
Mais j'ai vraiment adoré ce roman...de là à ce qu'il ait le prix Goncourt 2022 ?
Par contre, j'ai envie de lire les premiers livres de cette autrice et surtout les suivants pour me confronter à cette écriture qui a dû être salvatrice pour elle.
Vivre vite
Un loup pour l'homme
Vivre vite
C’est bien écrit, mais ça fait beaucoup de si au bout du compte… J’ai ressenti de la peine pour elle, parce que la perte d’un proche laisse toujours des traces, mais malheureusement, moi qui d’ordinaire suis assez émotive et éprouve beaucoup d’empathie, j’ai eu beaucoup de mal. Au final, les « si » n’apportent pas de réponse et j’ai eu l’impression d’être une intruse dans une vie qui n’est pas la mienne, auprès d’une femme que je ne connais pas.
Bref, si j’ai compati à sa douleur, je me suis sentie peu concernée, on a tous perdu un proche, mais ce n’est certainement pas une raison pour en faire un livre…
À lire avec un blouson (avec un aigle sur le dos?), en grignotant des Spéculos avec un thé (Darjeeling) et en écoutant l’Homme à la moto d’Édith Piaf…
Vivre vite
Ce récit montre la façon dont l'Histoire aide à comprendre le présent et se comprendre sois-même.
Jour de courage
Vivre vite
Vivre vite
Vivre vite, Brigitte Giraud y a renoncé en écrivant ce roman. En 200 pages, elle fait le récit de quelques jours, de quelques événements seulement. La vente de son appartement, la visite d’une nouvelle maison, le service rendu à son frère, entre autres. Et une question, de retour d’une page à l’autre : et si les choses s’étaient déroulées autrement. La narratrice refuse d’accepter tel quel le déroulement de ces quelques jours. Elle prend le temps de s’y arrêter, de questionner leur nécessité, d’espérer qu’ils puissent être autrement. Le récit est lent, posé, mesuré. Il prend le temps de ralentir pour détailler, dans l’espoir de comprendre, d’extirper la complexité, de faire dire à ce qui ne peut pas parler. Car depuis plus de vingt ans, Brigitte Giraud ne peut se défaire de ses souvenirs, de cet « accident dont on n’a jamais expliqué la cause, ce qui fait que mon cerveau n’en a jamais fini de galoper ».
Vivre vite est le récit d’un impossible retour en arrière. Récit prenant, déstabilisant presque, qui n’oublie pas de se montrer agréable à la lecture. Le style de Brigitte Giraud est juste, à la fois si simple qu’il se déroule sans résistance, et si détaillé qu’il en paraitrait onirique, comme si les images quittaient les mots pour rejoindre directement ce qu’elles illustrent. Le lecteur est invité par la romancière, il accepte son hospitalité et l’écoute narrer une histoire riche, poignante, chargée d’émotions et de légèreté à la fois. Une histoire qui est la sienne, et uniquement la sienne : le texte ne s’embarrasse pas de quitter le seul point de vue de la narratrice, qui refuse de laisser le reste du monde envahir son récit. Un choix qui, s’il peut laisser craindre une forme de redondance, se révèle en fait particulièrement judicieux, tant la vision unique permet au récit de gagner en sincérité.
Ce récit, paradoxalement, parait parfois long. Ralentir au lieu de vivre vite, mais parfois faut-il accepter de passer à autre chose. Brigitte Giraud a quelquefois bien du mal à se plier à cette exigence. Certains passages de son récit ne semblent pas décidés à laisser place à la suite. La narratrice refuse d’avancer, elle redoute le dénouement de son histoire, elle « repousse le moment » et tourne et se retourne sur elle-même. Le lecteur le comprend si bien qu’il aimerait parfois lui forcer la main, pour rendre un peu de mouvance à l’ensemble.
Vivre vite demeure pourtant un récit poignant. Ces quelques longueurs, si elles peuvent décourager les plus impatients, demeurent signifiantes dans le sentiment que Brigitte Giraud s’emploie à transmettre, dans ce qui fait le propos même de son récit : ralentir, prendre le temps, décélérer.
Ralentir pour comprendre comment nous vivons vite, voici ce à quoi nous invite ce récit troublant. Étudier les enchainements si à la fois circonstanciels et improbables que l’on pourrait penser qu’ils sont insignifiants, et comprendre que l’on n’y peut rien de toute façon. Vivre vite est une invitation à l’acceptation, en même temps qu’il est le récit d’un basculement. Un récit dont le lecteur se souviendra, duquel il sortira sinon changé, au moins bouleversé.
Vivre vite
Mais je trouve pas que la méthode utilisée pour le mettre en valeur (à savoir un exposé) est le meilleur qui soit.
D'autant que le côté mystère-thriller sur la disparition du personnage central est assez décevant.
Les points de vue des différents personnages de l'histoire nous sont présentés, et c'est appréciable, et même plutôt bien fait, mais malgré tout, que ce soit le déroulement de l'enquête (si on peut l'appeler ainsi) ou même la résolution, ça a rien de vraiment transcendant. J'en ressors donc de cette lecture un peu déçue, avec l'impression d'être passée à côté de quelque chose.
Porté disparu
Vivre vite
Vivre vite
Vivre vite