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Livres - Bibliographie

Carl Norac


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Toutes les séries de Carl Norac

13 livres
61 lecteurs

Présentation de l'éditeur

Lola se réveille avec des mots doux dans la bouche. Il faut qu'elle les dise à quelqu'un, mais Papa s'en va déjà et Maman est trop pressée... Retrouvez Lola dans : L'Ile aux câlins, Bonjour, mon petit coeur, Je suis un amour, Je veux un bisou ! et Un bisou, c'est trop court, Tu m'aimes ou tu m'aimes pas. --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.

Quatrième de couverture

Ce matin, Lola se réveille avec des mots doux dans la bouche. "Ils sont là, je les sens gonfler sous mes joues." Lola voudrait dire ses mots doux !

Tous les livres de Carl Norac

Sujet : Yannick, fils de marin vit sur l'île d'Oya au rythme des marées et des retours de son père, pêcheur de thon. Ce soir, la tempête s'est levée et Yannick surprend une conversation inquiétante entre femmes de marins, il ne tient plus en place, s'échappe de la maison et fait le guet les pieds dans l'eau. La mer se déchaîne, c'est un véritable combat partagé entre le fils sur les rives et le père plus au loin. Après de nombreuses turpitudes, accalmie et retrouvailles sonnent un heureux dénouement.

Erik Satie était un solitaire qui aimait les autres, un fantaisiste parfois plus proche du clown blanc que de l'auguste. Voici huit récits pour présenter ce rêveur fou qui cachait ses sentiments derrière chacune de ses notes. Un texte drôle, grave et tendre de Carl Norac lu par François Morel sur les plus célèbres pièces pour piano d'Erik Satie interprétées avec fougue et émotion par Frédéric Vaysse-Knitter. Avec l'amicale participation d'Alexandre Tharaud.

Dans un petit moulin, un moulin à café, le temps passait, le temps passait. Et du soir au matin, on voyait par dessus le temps moulu, le temps moulu... " . " Un battement d'ailes de papillon peut changer l'avenir. Alors, que dire du battement de tes cils ?... 4o petits poèmes à lire, à dire avec envie puisque l'on rêve ici.

Dès que le petit garçon eut l'âge de marcher, il voulut aller trop vite. Il courait et tombait. Les femmes du clan répétaient : " Le fil de Kuyu-ma et de Papunya tombe toujours sans prévenir. Il est comme la pluie. " Les gens-qui-chassent-dans-le-pays finirent par l'appeler l'enfant Petite Pluie. Si bien qu'un soir, même ses parents lui dirent : " Dors bien, Petite Pluie. Ne tombe pas du nuage de tes rêves. " Quand il commença à comprendre les mots, Petite Pluie fut très content de porter ce nom-là. La pluie, dans ce pays, est la bienvenue. Sans elle, rien ne pousse, rien ne vit. Or, cette année-là, la pluie ne venait pas.

Marine traîne les pieds, elle doit passer l'après-midi chez Tante Louisa. Une maison isolée sur les hauteurs au bord de la mer. Mais peu à peu à la faveur d'un orage, Marine va découvrir sa tante Louisa sous un autre jour.

Dolcetti est un ange pauvre. Si pauvre qu'un jour, n'en pouvant plus, il se décide à vendre ses ailes. C'est tout ce qu'il possède.

Un nouvel univers illustré par Pascaline Mitaranga l'illustratrice des choses casseés d'Octavio, imaginé par Carl Norac.

En panne d'idées pour l'histoire du soir ?

Ce florilège original et varié surprendra petits et grands !

Votre enfant rate chaque fois la fin de l'histoire, car il s'endort trop vite ?

Vous avez hâte de vous écrouler devant votre série préférée, ou de relire en paix toute la correspondance de Flaubert ? Voici un réservoir d'idées pour un vrai moment de tendresse et de complicité avec votre petit : 56 micro-histoires drôles et poétiques, jouant le jeu du plus court possible (la dernière pousse l'exercice à l'extrême : " C'est l'histoire d'un petit toutou. C'est tout. ") tout en ouvrant chaque fois des perspectives inattendues. L'auteur s'amuse de la contrainte... et invite l'enfant et son parent à se prendre au jeu.

Et pour l'occasion, Thomas Baas a mis pour la première fois son beau talent d'affichiste à la portée des petits.

Salam, petit garçon d'Arabie, voudrait faire le tour du monde... Mais les adultes prétendent qu'il ne sera jamais grand et qu'il est si léger que le vent l'emportera. Salam décide coûte que coûte de s'en aller avec son petit sac...

Akli doit traverser le désert pour aller chez son oncle et affronter les méchants génies. Il demande à Azumar le chameau de l'accompagner et, pour le convaincre, il lui propose une selle d'argent...

Ogromino est un ogre vraiment spécial: il mange des maisons !

Dès qu'il est en appétit, il se rend au village... Carmelina la très petite sorcière a décidé qu'il ne croquerait pas la sienne.

Rescapé d'un attentat à la bombe, Rousseau se réveille amnésique dans un lit d'hôpital. Sa tête bandée ne laisse apparaître que la pointe de ses oreilles, ses yeux et ses lèvres. A sa sortie de l'établissement, on lui rend ses papiers. Il découvre qu'il est un chien dans un monde où les chats, qui vivent sous l'oppression des premiers, se sont organisés afin de résister à leurs persécuteurs. Rousseau se balade dans une ville qu'il ne reconnaît pas, qu'il ne comprend pas. Son esprit est dégagé de tout préjugé. Il va donc observer ce monde d'un œil neuf et essayer de comprendre son fonctionnement.

Avec son univers anthropomorphique, Au pays de la mémoire blanche fait indubitablement penser à Blacksad, voir à Cité 14. On entre très vite dans la peau du personnage principal, un amnésique dont on ne sait pas grand chose et qui va finalement rester relativement transparent tout au long de l'album. Une caractéristique qui le rend d'autant plus fascinant. L'explication est ailleurs, dans les figurants, sur les murs, dans les rues animées. Page après page, la vérité se dévoile, sans suspense abusif, jusqu'au dénouement final. Une très belle histoire servie par des peintures à l'huile époustouflantes et particulièrement expressives.

Personne ne le sait mais Monsieur Logre est atteint d'une étrange maladie.Chaque fois qu'il avale tout en menu ou un petit pois tout menu, peu importe: son ventre s'arrondit comme une montgolfière.

Les grimaces, on peut en faire, on peut aussi en écrire, surtout, quand pour mieux vous plaire, elles se changent en sourires. Carl Norac

Bisou sandwich, bisou du dodo, bisou surprise ou minibisou... Quel est le bisou le plus extraordinaire ?

Titre complet : Romulus & Rémi. Une fable à l'opéra

Kiawak est fier: jamais il n'a pêché un poisson aussi gros. Mais quelque chose le tracasse: le poisson qu'il vient de tirer au bout de sa ligne lui sourit. "Comment ce poisson peut-il me sourire alors que que je l'emmène pour être tué, coupé en morceaux et mangé?" se demande le jeune Inuit.

Oscar est fasciné par le cinéma. Il vit dans un rêve en compagnie de ses héros préférés et communique peu avec ses parents. Un jour, en traversant le parc, il voit un homme étrange qui se livre à une bien curieuse chorégraphie. Oscar le croit acteur, mais Monsieur Wang le détrompe...

Cléo, le petit éléphant, panique dès qu'il ne voit plus sa maman. Mais il ne veut pas le reconnaître... «Même si tu étais loin, on se retrouverait toujours, grâce à moi!» affirme-t-il fièrement.

Papa est très embêté : il a oublié d'acheter le cadeau d'anniversaire de Louis. Louis voulait un ours, un ours plus grand que celui de Benjamin. Malheureusement, ceux du grand magasin sont petits et ne ressemblent pas à de vrais ours. Armé d'un pot de miel, Papa part en quête d'un très très gros ours...

Après avoir bu toute l’eau d’une mare, l’éléphant Oba découvre un poisson en détresse. Oba tente d’aider Shinki en partant à la recherche d’un autre point d’eau, mais Bingu le crocodile en profite pour avaler le poisson. Prévenu par l’oiseau Sako, Oba court sauver Shinki. Mais c’est au tour de l’oiseau de s’emparer du poisson pour l’offrir à ses oisillons!

Encore une fois, Oba sauve Shinki d’une mort certaine. Quand l’éléphant parvient finalement à trouver une nouvelle mare au poisson, il ne peut s’empêcher d’en boire toute l’eau. C’est maintenant cent poissons qui n’ont plus d’endroit pour vivre.

Amusant et plein de rebondissements, le texte, rythmé, met en relation de nombreux personnages partageant des visées contradictoires.

Des illustrations aux couleurs pastel et contrastées mettent en scène des animaux sympathiques et coquins. Le dénouement prend la forme d’un point de chute ouvert et surprenant. L’album permet une réflexion sur l'entraide et le sens des responsabilités.

Aujourd’hui, Roi Lion a décidé d’offrir à ses sujets un cadeau princier : une divine trempette dans sa piscine. Mais attention, pas n’importe quelle piscine, sa piscine magique ! Ses invités, triés sur le volet, sont éblouis : il suffit de prononcer un voeu en plongeant, et l’eau se transforme immédiatement. Chacun en profite délicieusement, jusqu’à l’arrivée de l’insupportable Reine Lionne… qui glisse sur le plongeoir, à son plus grand désespoir. Oh crotte !

La blague bien connue des cours de récré, revisitée avec humour par Carl Norac. Avec en plus, une fin jubilatoire ! Une nouvelle illustratrice : Clothilde Delacroix ! Ses illustrations à l’aquarelle, proches de l’esprit « BD », sont fortes d’expressivité et complètent à merveille le récit.

Sur une feuille de papier, Thomas a dessiné un coeur magnifique. Il le découpe et se met à courir pour montrer son chef-d'oeuvre à tout le monde. Mais un coup de vent le surprend. Le dessin s'envole. «Attrapez mon coeur!» crie Thomas en se lançant à la poursuite de son coeur de papier.

Alex, le cochon gourmand, se penche pour cueillir des framboises lorsqu'il voit soudain une grande ombre derrière lui... Un monstre énorme l'attrape et s'apprête à le dévorer. « Monstre, ne me mange pas ! » crie Alex en tremblant. Le monstre ne l'écoute pas. Il regarde les fruits. « Des framboises ! dit-il. Je vais les déguster. Toi, le cochon, je te mangerai tout à l'heure. » Et le monstre met Alex dans sa poche.

Huma, la grande ourse, vit avec son ourson, Mano. Ils sont libres dans un coin de forêt québécoise, à proximité d'un phare. Mais la curiosité de Mano le pousse à fuguer. Sa mère rêve chaque soir qu'elle retrouve son petit. Ce rêve la pousse à rallumer la lumière du phare délaissé par les hommes. Et c'est grâce à ce repère que l'ourson retrouve sa maman... Magnifiquement illustré avec un mélange de pastel, de crayon et d'aquarelle, le livre aborde les thèmes de la séparation et du désir d'autonomie, auxquels sont sensibles les plus petits (dès 3 ans).

Une nuit, la Grande Ourse se détache, quitte le pays du Ciel et descend sur la Terre. Il en résulte une fameuse pagaille sur la planète des humains. Comment convaincre la Grande Ourse de reprendre sa place parmi les astres ?

“En oiseau curieux ou garçon trop grand, je suis entré dans ces paysages secrets aux couleurs voyageuses, en pensant que les roches et les brumes nous parlent et qu’il faut seulement savoir les écouter.” Ainsi commencent les Poèmes de roches et de brumes où matières brutes et volutes se frottent, se frôlent et se mêlent dans les poèmes de Carl Norac et les illustrations d’Arno Célérier, entre masses de papiers découpés et brumes de dentelles ajourées.

Angakkeq marche droit devant lui. Où va-t-il, l'oiseau-homme ? Il est parti de sa maison de glace. Il s'y sentait seul comme la lune dans un ciel sans étoiles. Personne à qui parler ! « Iyâ-âyâ-ayêk ! » siffle-t-il dans son bec.

Des jours sans manger. Rien à cueillir. Les hommes sont à la chasse. Les petits se tiennent le ventre. Leur ventre est en colère. Ils me regardent tous. Moi, Ama. Vite, je me jette contre le mur. Je fais un cheval, le corps d’un cheval. Au-dessus du taureau, une antilope. Près de l’antilope, mon cheval. En regardant ma peinture, les enfants se voient hors de la grotte. Que la lune passe. Que la lumière passe tant qu’ils rêvent. Mais Attuk, mon fils, a disparu.

L'histoire est celle de la rencontre entre le vieux compositeur et Carlo, un jeune garçon malicieux. Dans une Venise fantasmée, peuplée d'ombres et de costumes de carnaval, le compositeur va confier et expliquer quelques secrets de « fabrique » à son jeune disciple impertinent. Celui-ci découvrira peu à peu la musique du maître, de l'originalité de ses chants jusqu'à l'invention de l'Opéra.

Depuis toujours, les animaux parlent à Asha.

La première fois, une perruche à collier s'est perchée sur son breceau et lui a dit : « Hé ! Suis-je le premier oiseau que tu vois ? »

Puis, Asha a grandi. Elle parle hindi avec ses parents.

En même temps, elle parle tortue avec les tortues, âne avec les ânes.

Seul son chat ne lui répond pas. Sale caractère ! pense Asha.

Mais qui est ce grand garçon qui se promène partout les bras en l’air ? Il dit qu’il est fort comme le soleil et l’homme le plus intelligent du Bengale. Au bord de l’étang, il rencontre Asun, celui qu’on surnomme Petit Yogi. Asun croit à la beauté du monde, il est rêveur de jour, il écoute le chant des oiseaux, et il observe tout.

(Source : L'école des loisirs)

Texte : Carl Norac

Comédienne : Marina Hands

Illustrations : Eric Puybaret

Musique : William Christie - Les Arts Florissants, Xavier de Maistre (harpe)

La jeune reine Marie-Antoinette se confie à son instrument comme à un journal intime. L'occasion pour elle de parcourir sa vie : son enfance à Schönbrunn, son arrivé en France et son mariage avec le dauphin, le futur Louis XVI, la vie à la cour et le poids de l'étiquette, le château de Versailles et Trianon.

Son instrument fétiche, la harpe, dont elle joue chaque jour et qui a inspiré de nombreuses compositions à l'époque, joue également le rôle de confident.

Marina Hands interprète cette reine fantasque et incomprise en proie à ses espoirs, ses rêves et ses doutes.

L'histoire est accompagnée par la harpe de Xavier de Maistre et de l'ensemble des Arts Florissants de William Christie pour une plongée dans la vie musicale de Versailles au temps de la dernière reine de France.

Petit Biscuit est né dans la célèbre pâtisserie Munch. Il fait partie de l’assortiment royal et a même la chance de posséder deux jambes. Ce qui va lui permettre de s’enfuir, lorsqu’il comprend que le funeste destin des biscuits est… de se faire croquer.

Ce sera le début d’une série d’aventures rocambolesques tragicomiques, menées tambour battant par un texte et des dessins délicieusement savoureux : notre petit héros craquant se fera des amis pour la vie (courte quand on est un petit gâteau), vivra une grande et désolante histoire d’amour, avant de rencontrer son créateur, dans un final à serrer le cœur !

Joey l’écureuil vit avec sa famille dans un grand parc à New York. Rapide et agile, il aime son travail malgré les risques. Joey est laveur de vitres ! Du haut des immeubles, Joey rêve de voyages et de mariage avec Léna, son amoureuse. Tous les deux travaillent dur pour que leur rêve devienne réalité. Se laisseront-ils rattraper par les aléas de la vie ou la chance de Lucky Joey finira-t-elle par tourner ?

Monsieur Stein, qui construit des marionnettes, a fabriqué un pantin pour en faire son double.

Celui-ci prend vie avant d’être fini et se fait rejeter par son créateur.

Il se choisit pour nom celui du cirque Sentimento. En manque d’affection, il va vers les hommes qui prennent peur et le chassent.

Pourtant, Sentimento croise la petite Selma, un peu sorcière, qui joue avec les aurores boréales…

« Jason, dit Petite Perle, je vais te dire mon secret. Une semaine, je suis fille, je voyage, parfois en ville, souvent ici. Une semaine, je suis oiseau, libre et le ciel me connaît. Une semaine, je suis fleur, toujours au bord du même arbre. Personne ne peut me piétiner à cet endroit et l’arbre me protège. Voilà, tu sais tout, mon ami. » Jason, qui avait pourtant lu tant de livres sur la magie, les esprits, les sorcières, n’avait jamais entendu une histoire aussi étrange.

Au Bazar Circus, c’est la panique ! Le roi a décidé d’assister à la représentation du soir. et chacun en fait un peu trop ! Angelo, l’homme canon, est même envoyé si loin qu’il ne retombe pas. Le roi, furieux, décide alors de bannir le cirque de son royaume...

Une belle histoire d’amour et d’amitié, une troupe de cirque bouillonnante de fantaisie, des numéros comme on n’en a jamais vus… La plume de Carl Norac fait mouche (comme souvent !) et nous fait virevolter de plaisir ! C’est du grand spectacle et Isabelle Chatellard, au dessin, ne boude pas son plaisir, ses illustrations sont spectaculaires.

Pour la musique, David Pastor a réuni les morceaux les plus célèbres de grands compositeurs russes : Chostakovitch, Khatchatourian, Rimsky-Korsakov. La musique slave est à l’honneur, celle qui fait vagabonder l’âme, à la fois nostalgique et fougueuse.

Le courage... Les Editions Bruno Doucey ne pouvaient rêver d'une thématique plus appropriée pour leur dixième anniversaire ! Non qu'il y ait une forme de bravoure à éditer des poètes, mais parce que toutes les valeurs portées par la maison depuis une décennie se trouve condensées en un seul terme drapé de lumière et de nuit : mettre du coeur à vivre et à chanter la vie, trouver la force de dire non, vivre en insoumis, se battre contre la maladie, surmonter le deuil, apprendre à fuir quand il le faut, oser être soi, se risquer vers l'autre, admettre sa fragilité, dépasser ses peurs, danser au bord du vide les bras tendus vers étoiles, et puis aimer encore, aimer à perdre la raison. En " dix variations sur le courage et un chant de résistance ", cette anthologie scelle un pacte avec la vie.

Aujourd’hui, c’est la demi-finale de la Grande Coupe de football de 1950. Jimmy, l’homme-fusée, envoie le ballon avec tant de force qu’il passe pardessus les buts, par-dessus la ville et même l’océan… Il arrive dans les bras de Pirmi, le petit Inuit qui n’avait encore jamais vu cet objet tout rond.

Oyez, oyez, gentils lecteurs ! Vous vous apprêtez à écouter de vos deux oreilles attentives l'incroyable légende du chevalier Lancelove, qui pour impressionner la belle Laudine partit en quête du Chat-Ours. Mi-chat miours, cette créature est recherchée depuis des siècles. Accompagné de son infidèle destrier, Galopin de Pas-Marrant, Lancelove devra combattre mille monstres du Pays imaginaire et faire face à de terribles dangers... Vraiment ?

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