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Le Libraire de Cologne
Des personnages attachants. L’histoire est très réaliste et documentée. C’est un livre que je relirai sans hésitation. C’est une fiction, mais c’est aussi un devoir de mémoire.
Au cœur de l’orage
Grâce à la générosité et l’aide de nombreuses personnes en désaccord avec cette politique, la famille Mendel va pouvoir survivre tant bien que mal malgré des internements et des déplacements incessants.
Un roman captivant, qui nous replonge dans nos cours d’histoire d’école, avec cette part de fiction qui nous aide à imprégner les événements et leur chronologie.
Au cœur de l’orage
Dans ce livre on voit l’importance de transmettre, l’importance du devoir de mémoire, de partager l’Histoire, son histoire, mais surtout l’histoire que peuvent porter les livres.
Ce roman fait échos aux problèmes actuels dans le monde et nous renvoie à la figure ce que l’on a fait et ce qui continue d’arriver.
Le Libraire de Cologne
La superbe couverture de ce roman mais aussi le fait que cela parle d'une librairie à une époque historique qui m'intéresse, m'avait interpellée. Et ça a été une très jolie lecture.
Ce roman a tout pour en faire un livre qui pourrait être étudié en classe : c'est inspiré d'une histoire vraie, c'est écrit simplement mais les principaux événements y sont évoqués et des notes de fin permettent de compléter la lecture.
Cette histoire est conseillée à partir de 14 ans, je pense qu'elle peut totalement se lire avant (mais aussi bien après chez des adultes), les faits n'étant pas décrits de façon trop dure.
Ayant étudié l'allemand pendant 12 ans, je n'ai rien appris concernant l'Histoire, mais j'ai beaucoup aimé le combat de Hans pour préserver la librairie par amour pour la littérature et pour le libraire qui lui a fait confiance et a longtemps fait office de figure paternelle. C'était très touchant.
Mon seul regret : la fin que je trouve un peu rapide. Presque abrupte. Oui il y a un épilogue (très émouvant !) qui dévoile le destin de la plupart des personnages, mais on ne sait pas ce que deviennent certains et juste avant l'épilogue, je ne m'attendais pas à ce que l'histoire coupe ainsi.
En bref, Le libraire de Cologne est un bon roman pour découvrir cette période très noire de l'histoire.
Le Libraire de Cologne
Merci aux éditions Scrinéo et NetGalley pour me permettre de découvrir la suite du « Libraire de Cologne ». Une duologie excellente autant pour les adolescents que pour les adultes. Un beau coup de cœur et une belle entrée dans ma « Sélection 2022 ».
L’auteur plonge dans l’histoire de ses ancêtres, celle d’une famille juive vouée à l’extermination qui prie la décision de fuir avant qu’il ne soit trop tard.
Mention spéciale pour la chronologie historique et les précisions apportés par l’autrice qui enrichissent ce récit et témoignage d’une famille juive allemande en fuite vers la liberté.
Décembre 1937 – Septembre 1939.
Réfugiés en France, la famille Mendel a été déchue de sa nationalité allemande par le Reich et l’un de ses nombreux décrets. Petit à petit, ils ont refait leurs vies et trois ans plus tard, ils ont fait une demande de naturalisation.
Responsable commercial pour la maison d’édition Bruder, Alexander mène une vie loin de celle qu’il avait en Allemagne tandis que sa fille Lise poursuit ses études aux Beaux-Arts.
C’est avec nostalgie qu’Alexander pense à sa librairie confiée à Hans son meilleur employé et ami proche de sa fille avant que l’antisémitisme ne vienne tout bouleverser.
Cet exil forcé a tout changé et même en France dans le pays des Droits de l’Homme, le vent commence a tourner avec la montée de l’Extrême Droite et de son fanatisme.
Février 1939.
Tout comme son père, Lisa Mendel repense à sa vie en Allemagne et à Hans ainsi qu’à tous ceux qui sont restés. Quand les amis de Lise lui présentent François Villeneuve, étudiant à Sciences Pô, elle est loin de se douter de sa véritable nature.
Tandis qu’Hitler continue d’annexer des territoires avec l’Anschluss, Lise fait face à l’antisémitisme même de la part de ceux qu’elle considérait comme des amis. Son avenir prend forme alors que leurs demandes de naturalisation est compromise par la guerre en approche.
Oma, la grand-mère de Lise arrive d’Allemagne avec des nouvelle effrayantes. De son côté, Alexander en a de son frère Simon partit en Palestine et de leur sœur Martha restée en Allemagne avec son fils engagé dans la résistance.
En septembre, la guerre tant redoutée éclate et les Mendel sont inquiets face à leur statut d’apatrides, une situation qui sèmera la peur et amènera à la mobilisation. Les contrôles des étrangers allemands commencent et le début de l’enfer pour les Mendel qui sont séparés ne fait que commencer.
Septembre 1939 – Juillet 1940.
Internés chacun dans un camp d’indésirables, Alexander et sa fille Lise font partis des expatriés internés dans des conditions inhumaines. Au camp de la Viscose, Alexander est réserviste tandis que sa femme Clara vit au rythme des maigres nouvelles dans une France où le rationnement est de plus en plus difficile. Après son arrivée le 21 mai 1940 au camp de Gurs, Lise voit arriver chaque jour de nouveaux convois de juifs de Pologne et d’Allemagne. Plus de 9000 femmes et enfants vont tenter de survivre à la faim, aux maladies, aux rats, aux poux et à la mort. Les réfugiés dont de nombreux Belges fuient face à l’armée allemande.
Juin 1940.
La France est coupée en deux par la ligne de démarcation, Oma et Clara partent de Paris pour le Sud-Ouest. Un long périple attend les Mendel avant de pouvoir se retrouver.
La suite du « Libraire de Cologne » basé sur des faits réels liés à la famille de l’autrice est mon tome préféré mettant en avant et de manière très détaillée le vécu des milliers d’étrangers en exil et réfugiés en France durant la Seconde Guerre mondiale. Ce tome tout particulièrement donne beaucoup d’informations sur la guerre et comment les civils l’ont vécu… L’exode, les apatrides, les dénonciations, les camps d’indésirables, les camps de concentrations, les prisonniers de guerre, les exécutions, les rafles, l’entraide, les gestes d’humanité, les prises de risques, la presse interdite, la collaboration, l’épuration… Mais aussi montre les traumatismes et les dégâts qu’ont occasionné les guerres sur l’être humain.
Au cœur de l’orage
Au cœur de l’orage
Tout au long de la seconde guerre mondiale, Hans va lutter à sa manière contre la dictature nazie, en maintenant coûte que coûte le commerce à flots.
Une belle histoire de résistance pacifiste, et une façon d'aborder l'histoire avec les adolescents.
Le Libraire de Cologne
Une histoire bien menée, avec comme grand point fort, l'importance de la librairie, une institution symbole de liberté et de résistance.
Et je ne sais pas si c'est parce que j'ai du mal avec cette thématique (très peu de livres sur la guerre ou l'occupation nazie ont réussi à totalement me convaincre jusqu'à présent), mais j'ai eu l'impression qu'il manquait quelque chose : peu d'émotions, des personnages que j'ai trouvé assez creux, et un style d'écriture assez impersonnel qui convient bien à un manuel d'histoire ou un compte rendu, mais moins à un roman addictif et percutant.
Le Libraire de Cologne
Le marque page/bracelet est très chouette aussi.
Balade d'été
Le Libraire de Cologne
Mais de l’autre côté, j’ai trouvé que ce roman n’était pas très agréable à lire. Il se lit très vite et il est vraiment très court mais pourtant il n’est pas spécialement addictif. Je m’explique : j’ai trouvé l’écriture de l’auteure parfois hachée car à plusieurs moments dans le récit, l’auteure use de phrases très courtes et consécutives. J’ai vraiment du mal avec les phrases trop brèves. Je trouve qu’elles cassent le dynamisme de la narration lorsqu’elles sont dans un contexte qui ne tend pas à appliquer une certaine tension !
En outre, lorsque je lis, comme la plupart d’entre vous je pense, j’imagine l’histoire dans ma tête. Or, je n’ai pas réussi à imaginer de manière satisfaisante la plupart du roman car il y a très peu de descriptions, les actions s’enchaînent trop vite, les dialogues paraissent peu naturels, l’auteure propose beaucoup de passages qui ne décrivent rien et qui sont plutôt explicatifs.
Pour moi, l’histoire est vraiment prometteuse mais le format de ce roman ne me convient pas du tout. J’ai vraiment besoin de plus de développement que ce soit au niveau de l’histoire, des personnages, des dialogues ou de l’action. Un roman qui évoque plusieurs années et qui tient sur seulement 250 pages (en outre, c’est écrit très gros) est un peu court pour moi.
En bref, ce roman fut malheureusement une déception mais je ne l’ai pas trouvé mauvais pour autant ! Il s’agit d’une très belle œuvre mais elle ne correspond juste pas spécialement à mes goûts et attentes de lectrice. Mais il saura peut-être bien séduire certains d’entre vous !
Le Libraire de Cologne
Je viens de terminer ce livre et je suis submergée par un torrent d’émotion. Qu’est-ce que j’ai pleuré pendant cette lecture, j’ai même encore quelques larmes au coin de mes yeux à l’heure où je vous écris cette chronique !
Alexander Mendel est un libraire. Il tient à sa librairie, il aime ses livres, mais le souci, c’est que nous sommes en 1934 et qu’il est juif. La haine contre lui et sa famille sont de plus en plus forte, il doit partir avant qu’il ne soit trop tard.
C’est ainsi qu’Alexander décide de partir avec sa famille pour Paris. Il prend la décision de confier la librairie à Hans Schreiber. C’est son apprenti et il sait qu’il en prendra soin comme il faut. Il lui confie, le temps qu’il faut, dans l’espoir de revenir un jour, la retrouver.
Cette histoire, c’est celle de Hans qui lutte contre le nazisme, en essayant de garder une librairie d’origine juive. Il tient énormément à Alexander et sa famille. Il aime par-dessus tous les livres. Il ne veut pas laisser tomber, céder au régime d’oppression comme tous ses concitoyens. Il lutte, par amour pour les livres !
Ce roman m’a d’autant plus ému, que comme beaucoup de lecteur, j’aime mes livres. J’aime les bichonner, je leur voue un amour fou. Donc découvrir le personnage de Hans qui avait ce même amour pour la littérature comme beaucoup d’entre nous était touchant. C’était touchant de le voir se battre, pour essayer de garder des œuvres qui étaient précieuses pour lui.
Des romans sur des personnages qui luttent ou vivent pendant la période nazie, il y en a beaucoup. Par compte, un qui relate un homme se battant pour une librairie pendant ce régime d’oppression, je n’en avais jamais vu. Ce qui rend ce livre d’autant plus intéressant.
En plus, à la fin du roman, il y a une note de l’autrice. Elle se serait inspirée d’une vraie histoire. Je pense que c’est là que les larmes ont été d’autant plus fortes. Savoir qu’il y a eu quelqu’un qui vouait un amour si fort pour les livres, au point de risquer sa vie pour ses derniers, je trouve ça beau, mais surtout, je le comprends. Les livres sont un tel trésor…
En bref, j’ai vraiment été touchée de A à Z par cette histoire. Les émotions ont été diverses et variées. J’ai le cœur tout chamboulé après cette lecture. C’est vraiment un roman à lire. Si vous aimez les romans de type historique et que vous êtes des grands amoureux des livres comme moi, ce livre vous touchera autant que moi !
Le Libraire de Cologne
Quel roman ! Merci aux éditions Scrinéo qui en plus d’avoir publié un roman aussi magnifique a fait un travail remarquable sur la couverture qui sublime cette histoire.
On sait le sort des commerces juifs ainsi que les livres mais c’est le premier roman que je lis sur l’histoire d’une librairie juive en pleine Allemagne.
Premier roman de Catherine Ganz-Muller et une lecture réussie pleine de recherches, d’informations et anecdotes d’une vie sous l’occupation allemande.
Quel courage ont eu les personnes qui ont contribué à maintenir coûte que coûte le commerce de leur ami juif malgré les persécutions, les destructions…
Catherine Ganz-Muller retranscrit à la perfection au travers d’un roman, l’histoire vraie de ce jeune libraire qui s’est vu confier la librairie Lengfeld de Cologne.
Décembre 1933, Cologne (Allemagne).
Alexander Mendel a réuni toute sa famille pour prendre des décisions, celle de rester en Allemagne ou celle de fuir. Juifs, les Mendel savent que leur avenir est compromis même s’ils sont allemands. Aux yeux d’Hitler, ils n’existent qu’en temps que Juifs.
Alexander Mendel doit laisser la gestion de sa librairie à Hans Shreiber, son fidèle employé. Passionné par les livres, il sait que sa librairie est entre de bonnes mains.
Partis en France, la famille Mendel continue de correspondre avec Hans, surtout Liese dont il est secrètement amoureux.
Bien plus qu’un sauvetage, Hans va être le témoin de la barbarie nazie.
De la Nuit de Cristal aux arrestations, des autodafés aux déportations, Hans restera un héros, celui qui sauvera les livres de l’horreur pour sa promesse et pour la liberté.
Malgré le danger, Hans restera fidèle et tiendra coûte que coûte sa promesse.
L’amour des livres triomphera de la haine.
Une librairie au cœur du nazisme tel est le thème de ce roman basé sur l’histoire vraie de la librairie Lengfeld située à Cologne. Ce livre retranscrit fidèlement le courage de tous les passionnés des livres qui ont risqué leurs vies pour sauver un patrimoine d’une immense richesse culturelle.
Hommage poignant pour le sauvetage d’une diversité culturelle, quand un livre interdit par la propagande pouvait vous envoyer vers les camps de concentrations.
Deux histoires en parallèle, celle de Hans et de son combat entremêlé avec celle d’Alexander Mendel et de sa famille en exil en zone libre.
Hans arrivera-t-il à tenir sa promesse sous les bombardements qui atteignent Cologne ?
Liese et ses parents arriveront-ils à conserver leur semblant de liberté ?
Très documenté sur le quotidien en Cologne et la montée du nazisme aussi bien que sur l’exode d’une famille juive allemande dans le pays que l’on disait des droits de l’homme.
L’histoire des livres durant la Seconde Guerre mondiale ou celui d’un héritage culturel en péril.
Que l’on soit collégien ou adulte, « Le libraire de Cologne » est un véritable puits de connaissances, de réflexion sur l’importance des livres dans notre société, ces livres qui défient le temps, qui traversent des guerres, qui bravent les interdits pour qu’ils soient accessibles à tout le monde, pour que tout le monde les lisent. Comme d’autres romans se déroulant en pleine guerre, celui-ci a largement sa place dans les écoles, les CDI, les bibliothèques et pourrait-être la base pour des exposés, de recherches, des projets…
Il fallait une passionnée des livres et de leur accessibilité via les bibliothèques et les librairies pour écrire cette histoire, pour trouver les mots porteurs de sens, pour décrire les événements historiques, je connaissais les principaux événements mais les voir retranscrire dans leur contexte apporte une lecture ainsi qu’une approche différente.
Hommage vibrant aux passeurs de livres et d’histoires.
Le Libraire de Cologne
Le Libraire de Cologne