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Tous les livres de Cédric Ferrand

Wastburg, une cité acculée entre deux royaumes, comme un bout de bidoche solidement coincé entre deux chicots douteux. Une gloire fanée qui attend un retour de printemps qui ne viendra jamais. Dans ses rues crapoteuses, les membres de la Garde battent le pavé. Simple gardoche en train de coincer la bulle, prévôt faisant la tournée des grands ducs à l’œil ou bien échevin embourbé dans les politicailleries, la loi leur colle aux doigts comme une confiture tenace. La Garde finit toujours par mettre le groin dans tous les coups foireux de la cité. Et justement, quelqu'un à Wastburg est en train de tricoter un joli tracassin taillé sur mesure. Et toute la cité attend en se demandant au nez de qui ça va péter.

Roman à facettes, Wastburg propose une vue en coupe d'une cité médiévale macérant dans une fantasy crépusculaire où la morale et la magie ont foutu le camp. C'est comme si San-Antonio visitait Lankhmar. Après La Voie du cygne de Laurent Kloetzer et Gagner la guerre de Jean-Philippe Jaworski, se dessine une véritable école de la « crapule fantasy ».

Cédric Ferrand fait vivre des univers de jeu de rôles (Sovok, Brumaire, Vermine, Nightprowler...), écrit des nouvelles et lit tout ce qui lui passe sous la main. Il vit désormais à Montréal, dans la plus complète schizophrénie linguistique et culturelle.

Moscou, dans un futur en retard sur le nôtre. Manya et Vinkenti sont deux urgentistes de nuit qui circulent à bord de leur ambulance volante de classe Jigouli. La Russie a subi un brusque infarctus politique, entraînant le pays tout entier dans une lente agonie économique et une mort clinique quasi certaine. Le duo d’ambulanciers est donc le témoin privilégié de la dégradation des conditions de vie des Russes. Surtout que leurs propres emplois sont menacés par une compagnie européenne qui s’implante à Moscou sans vergogne.

Et puis un soir, on leur attribue un stagiaire, Méhoudar, qui n’est même pas vraiment russe, selon leurs standards. Ils vont quand même devoir lui apprendre les ficelles du métier.

Après la cité médiévale déliquescente de Wastburg, Cédric Ferrand revient avec une surprenante fiction qui allie la force de l’uchronie et le choc du rétro-futurisme avec le suspense du roman noir, dans un roman au rythme crescendo.

La cité s'appelle Vau-l'eau. Elle flotte comme un déchet qui surnage entre deux vagues d'une mer qui gigote.

C'est l'ultime repaire des survivants d'une époque qui prend fin sous un déluge lavant le monde à grandes eaux.

1930. Le monde se remet à peine de la pire crise financière de tous les temps. Les capitales paniquent encore à la moindre rumeur, les colonies sont paralysées par la peur… Même les riches ne dorment pas sereinement, c’est dire.

Heureusement pour lui, le très aventureux Sachem Blight travaille dans un domaine épargné par toute cette incertitude boursière : il parcourt le vaste monde pour secourir les filles et fils de bonne famille, cette brochette d’inconscients qui se jettent volontairement dans la gueule du loup sous le prétexte de vouloir goûter aux joies de vacances exotiques. Le commerce de Blight l’emmène sur tous les continents pour affronter la multitude de dangers auxquels ses clients se frottent lors de leurs tribulations. Et cette fois-ci, Sachem est appelé à la rescousse à Montréal, au Québec. Et manque de chance pour lui, son niveau de Français n’est pas à la hauteur de l’enquête qu’il doit mener. Pour la première fois de sa carrière, il va devoir composer avec une partenaire, en la personne d’Oxiline, sa demi-sœur qu’il connaît à peine.

Bourdeau, maquereau poissard de Paname, a tiré le gros lot : il est envoyé à Cayenne pour avoir buté le micheton d'une de ses poules. Dans le rafiot qui le mène au bagne, il fait la connaissance d'autres zigues qui, comme lui, dégringolent dans la bassesse humaine.

C’est rien qu’une anomalie locale, Jess. Ils ont pas ça à New York ni à Paris. Y’a qu’ici que ça se passe de même. Il y a comme un défaut dans le palpable, et nous autres, on peut exploiter cette défaillance du vrai. Ça paraît ben extraordinaire, mais c’est très terre-à-terre, quand on y pense comme il faut. Moi j’appelle ça du montréalisme magique.

Ainsi parlait Almérique, mon grand-père, le père de mon père. C’est par lui que tout a commencé à déraper, mon histoire comme, peut-être, la vôtre aussi si vous habitez Montréal, voire le Québec tout entier. Parce qu’il en menait large, Almérique, même s’il a toujours gardé profil bas, ce qui faisait l’affaire de ceux qui le connaissaient comme le meilleur homme pour faire arriver les choses, comme on disait autrefois.

Si je vous dis ça, c’est parce que je connais bien le pouvoir d’Almérique puisque j’en ai hérité. Mais contrairement à mon grand-père, qui a été jusqu’à inventer ma grand-mère Rita, je ne tiens pas tant que ça à traficoter le réel – enfin, juste ce qu’il faut pour vivre ma petite vie tranquille et bien ordinaire.

Or, ce n’est pas facile de passer inaperçu quand on est de la lignée d’Almérique, et c’est de ça dont je veux vous parler…

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