Céline De Roany

Coup de maître et coupe de cœur pour ce premier roman sorti précédemment en autoédition sous le titre "spécial K" . j'ai lu beaucoup de retours élogieux sur ce roman, je ne peux que confirmer . La plume est incisive , l'intrigue est passionnante , le suspens est présent, et l'atout majeur est le personnage principal , Céleste Ibar, capitaine de police, une warrior attachante , avec une vie de couple stable , qui se remet d'une agression très violente qui a laissé des marques physiquement et moralement , et qui pour son premier jour à la PJ va faire une arrivée tonitruante...en effet elle n'a pas froid aux yeux .

Un corps est découvert , celui d'une riche industrielle, qui apparemment serait suicidé, mais il y a des choses qui ne collent pas . Il y a une alternance entre différents points de vue : celui de céleste bien sûr, celui de la meilleure amie de la victime , celui de Jeanne , ancienne connaissance de Céleste et substitut du procureur, accessoirement marié à un notaire , avec une relation de couple compliquée et malsaine

J'ai beaucoup aimé ces personnages féminins , et les thématiques évoquées (centrées sur la femme) sont intéressantes et d'actualité .

Le style d'écriture est percutant, les personnages sont finement travaillés psychologiquement .

L'autrice nous plonge ds un monde ou les apparences sont très importantes , des bourgeois qui pratiquent le libertinage mais pas que ..Derrière les allures de gens parfaits , ces apparences seraient elles trompeuses ?

Petit bémol ( tout petit) pour moi avec la fin , j'ai eu l'impression de déjà vu ( déjà lu) mais c'est un dénouement qui tient néanmoins la route .

. Un thriller convaincant , très bien écrit , addictif , avec un nouveau personnage que j'aurais vraiment plaisir à retrouver dans ses prochaines enquêtes

Très bon polar. J’aime bien là capitaine Céleste Ibar et son adjoint .

Attention, certaines scènes peuvent choquer.

Ça commence très fort, avec un prologue percutant. Et là, je sais que je vais aimer la suite. Il nous raconte ce qui est arrivé à Céleste et cela explique ses failles, ses faiblesses, sa ténacité, son caractère parfois assez froid et distant. C’est très accrocheur.

Céleste Ibar, de son « vrai » nom Ibarbengoetxca. Capitaine de police, elle vit en couple avec Marie, elles ont deux filles. C'est un personnage tourmenté. Elle a gardé de son calvaire des séquelles physiques (cicatrices) et psychologiques.

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L’affaire en elle-même est complexe à souhait. L’auteure nous balade, nous offre rebondissements et fausses (ou vraies ?) pistes, suspense et action. Des petits détails distillés dans le texte nous intriguent et nous titillent. C’est très bien fait. Vraiment tout ce qu’il faut pour plaire à un amateur du genre.

Le côté psychologique est fouillé, les personnages sont travaillés et très réalistes, même les plus secondaires. Les descriptions sont vivantes et « complètes » (panorama visuel mais également olfactif).

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J’ai plongé à pieds joints dans cette histoire. C’est vraiment un excellent moment de lecture. Un roman quasi addictif, avec une intrigue menée tambour battant qui ne nous laisse aucun répit jusqu’à la fin qu’on ne voit pas venir.

Deux lectures se suivent et deux flics fracassées physiquement et psychologiquement (Surface) sont présentes pour résoudre des enquêtes aux scènes visuellement insoutenables. C'est ici avec Céleste Ibarbengoetxea, capitaine à la PJ de Nantes que nous partons dans le parc régional de Brière.

Elle sera accompagnée tout au long de cette intrigue de Ithri Maksen, son lieutenant fidèle. Des scènes de crimes qui font mal au ventre, deux petites communautés où tous se connaissent! J'ai compris dans ma lecture qu'il y avait un précédent roman qui décrivait une première enquête avec la capitaine, d'où ses blessures "monstrueuses", "Les filles qui mentent" qui a été réédité, ainsi que ce titre "De si bonnes mères" édité une première fois sous "Vena Amoris". Cela ne m'a pas gênée pour cette lecture.

Une enquête aux rebondissements inattendus et incroyables. Une écriture qui file sous nos yeux tellement accaparée à trouver qui est l'auteur de ces crimes odieux commis sur des jeunes femmes. Ceci jusqu'au final explosif. C'est cliché, je le sais, mais c'est mon ressenti. C'est dérangeant, choquant à souhait pour un très bon roman policier menée tambour battant. Âmes sensibles s'abstenir!

Je remercie #NetGalleyFrance et les éditions #PressesdelaCité, je ne connaissais pas l'auteure et c'est avec plaisir que je choisirais son premier roman pour comprendre l'histoire de Céleste.

#Desibonnesmères

Réédité sous le titre "De beaux mensonges", "Spécial K." est la 1ère enquête du capitaine Céleste Ibar. Les éditeurs ont d'ailleurs gardé la même couverture, ce que je trouve super parce qu'on y voit la porsche de l'héroïne et les traits de lumière que l'on voit sur son visage ne sont pas anondins. Personnage inoubliable tant par son caractère que par son physique, Ibar est un personnage qui semble inébranlable. Pourtant elle a demandé sa mutation de Paris à Nantes. Une sale l'affaire l'a conduite jusque là. Jamais on ne l'entendra en parler, nous ne l'apprendrons que par d'autres personnes ou des journaux. J'avoue que c'est très troublant car j'aurais aimé avoir sa version de l'histoire et je me suis demandée jusqu'à quel point elle était encore marquée par ce drame. Son silence veut-il dire qu'elle est en train de dépasser cette histoire ou plutôt qu'elle est encore sous le choc ? En même temps on n'aborde pas des sujets comme ceux-là avec une nouvelle équipe mais même avec ses proches, c'est juste effleuré. J'ai aimé que l'auteure fasse d'Ibar un personnage très fort et en même temps très auréolé de mystères.

La voilà pourtant propulsée sur une sale affaire : une femme très riche a été découverte morte, probablement un suicide. Mais probable est un mot que Céleste Ibar ne veut pas entendre et bientôt on va découvrir que la "suicidée" a en fait été assassinée.

Le roman multiplie les voix et les points de vue des personnages mais pas de façon classique : on assiste à un prologue très troublant et plusieurs fois nous entendons même la voix de la victime. Mais au lieu de donner un ordre à chaque personnage qui va prendre la parole, l'auteure mélange les points de vue de façon déconcertante parce que parfois l'on parle du meurtre, à d'autres moments de Céleste et enfin de personnages qui semblent n'avoir qu'un lien ténu entre eux. Si je devais en ressortir un shéma je dirais qu'il y a d'un côté les voix de ceux qui ont connu la victime et de l'autre celles des enquêteurs. Mais la façon dont l'auteure orchestre cela est déconcertante et oblige à se concentrer. Perso, j'aime lorsque l'auteur nous demande un peu de réflexion, on s'imprègne davantage de l'histoire et l'on se sent plus proche des personnages. En parlant de ceux-ci, outre la fascinante capitaine Ibar, dont le nom entier est quasi imprononçable et dont on ignore l'origine (un mystère de plus à découvrir à propos de l'héroïne), un autre personnage est particulièrement intriguant : Anne, la victime. Femme très riche et très belle, elle est célibataire et passe une grande partie de son temps dans le foyer pour sans-abris qu'elle a fondé. Elle le fait vivre par son argent mais n'hésite pas non plus à servir elle-même les sans-abris. Une sainte ! C'est ainsi que la décrivent tous ceux qui l'ont connue. Mais tout cela semble trop beau. Qui était réellement Anne ? Sa meilleure amie va d'ailleurs aller de surprise en surprise en enquêtant de son côté sur cette dernière. Sans compter que ses amis de jeunesse semblent cacher des choses... Et puis, cet homme, qui paraît être le suspect idéal, est-il vraiment coupable ?

Attention aussi aux sujets abordés dans ce roman : le viol, les agressions sexuelles, la violance et certaines pratiques décrites peuvent choquer. Nous sommes ici dans du très noir et l'auteure n'hésite pas à décrire certaines scènes très dures, non pas par racolage mais pour nous montrer la laideur de ce monde et surtout les violences faites aux femmes, qu'elles soient physiques ou psychologiques, et les traumas qui peuvent en découler. Pourtant je ne peux que les admirer ces femmes qui ont tant subi mais qui continuent à garder la tête haute.

L'auteure nous entraîne dans un roman sans concession, notamment sur les violences faites aux femmes. Céleste Ibar et Anne sont toutes deux des personnages fascinants de par leur courage mais aussi de par leur comportement qui peut parfois déstabilisé leur entourage mais aussi le lecteur. Et jusqu'au bout Céline de Roany nous tient en haleine. J'avoue qu'il y a quelque chose qui me manquait à la fin, quelque qui me faisait douter et il faudra attendre jusqu'à la toute dernière page pour découvrir le chaînon manquant. Maintenant, j'avoue que j'aimerais en savoir plus sur Céleste Ibar et comme un second tome vient de sortir peut-être que ma curiosité sur cette femme fascinante sera t'elle un peu comblée !

Voila une enquête policière comme je les aime.

Plus de la moitié avant que je commence à échafauder quelques hypothèses, erronées pour certaines.

Les tiroirs sont à double fond et "les voies sans issue" ne manquent pas.

J'ai aimé ce livre; j'ai aimé me perdre dans les méandres de cette intrigue, j'ai aimé la colère, la frustration, l'injustice, bref tout ce qui fait que l'on ressent les choses sans pour autant les expliquer et que la fin arrive presque par surprise.

Bravo!

Voilà un thriller que je n’ai pas lu aussi vite que je l’aurai voulu, pourtant il est extrêmement prenant et brillamment construit par l’auteure Céline De Roany.

Alors qu’est-ce qui a cloché me direz-vous ? C’est Céleste Ibar, le personnage principal avec laquelle je n’ai pas réussi à accrocher ! Alors je sais qu’elle en a bavé des ronds de chapeaux mais je l’ai trouvée vraiment désagréable et froide, je n’ai ressenti aucune compassion envers elle (et perso j’aime me sentir proche du personnage) c’est d’autant plus frustrant que l’histoire est absolument géniale, mais heureusement les autres protagonistes sont plutôt sympathiques, notamment Gwil et Ithiri

Revenons donc à l’histoire, les corps atrocement mutilés d'un homme et d'une femme enceinte sont retrouvés, Céleste Ibar va devoir faire équipe avec la gendarmerie pour enquêter sur des crimes qui sont peut-être reliés à l’affaire Mademoiselle X qu’elle n’a toujours pas réussi à élucider.

Si elle tire la tronche à l’idée de faire équipe, cette collaboration va finalement s'avérer fructueuse, les indices s'accumulent mais réussiront-ils à trouver le mobile et débusquer le tueur ?...

Quel suspense haletant. Les scènes de crimes font froid dans le dos, elles sont décrites avec tant de réalisme que j’ai eu l’impression de suivre un film, d’ailleurs âmes sensibles attention, certains détails sont parfois un peu dégueu. 😱

On est vraiment sous tension durant toute l’histoire, on cherche à comprendre pourquoi de telles atrocités sont perpétrées ; le fait que Céleste ait également quelques démêlés personnels rajoute au suspense ; c’est captivant d’un bout à l’autre pour nous amener à un final des plus inattendu !

↪️ En bref, un excellent thriller très rythmé qui vous tiendra en haleine jusqu’à la fin !

« Les beaux mensonges » à croire qu’il y en des beaux et des pas beaux.

Il y a ceux tus, ceux dits, ceux pardonnés, ceux oubliés….

Dans ce roman policier, la capitaine Céleste Iba, fraîchement arrivée de la BRI à la Police Judiciaire de Nantes doit constater un suicide. Il s’agit de celui d’Anne Arnotte, riche entrepreneuse. Un suicide ? N’est-ce pas déjà un « beau mensonge » ?

Anne Arnotte est un personnage lisse,sans histoires,moralement et éthiquement bien.Ça c’est déjà « un beau mensonge. ». D’ailleurs c’est son viol qui est décrit au début avec elle comme narratrice et c’est une lettre qui le termine ; lettre de celui qui s’est donné la mort pour l’avoir violée vingt ans plus tôt.

Au milieu, une enquête qui dure une semaine où chaque jour constitue un chapitre, partagé en sous chapitres au nom des différents personnages dont l’histoire, les réactions, les liens avec Anne nous en apprennent beaucoup sur eux et sur elle. De temps en temps, l’autrice incruste une part d’Anne en la laissant parler. Tous ont un passé compliqué et un présent qui l’est davantage. Il y a Jeanne, la sustitute de procureur, nièce de Quemener, patron de Céleste mais aussi amie de Céleste et désormais femme de Xavier. Il y a Xavier, notaire renommé, notaire d’ Anne ; Lucas, le prêtre ; Paul-Antoine, mari d’ Ines, la meilleure amie d’Anne. Il y a Anne et sa famille ; Anne et son passé ; Anne et ceux qui l’ont côtoyée et sont aussi discrets sur la vie de Anne qu’ils lui ont été dévoués.Il y a aussi Céleste, la capitaine, au visage balafré.Et comme si la recherche de l’assassin d’Anne ne suffisait pas, l’autrice nous dévoile la quête de la vie d’Anne, l'histoire des autres dont celle de Céleste.Tout ça dans des rapports sociaux compliqués où les gens de bonne famille doivent tenir leur rang et les autres trouver le leur, aidés en cela par Anne et son sens de l’engagement militant pour ceux qui souffrent, qui n’ont pas eu « la chance d’être née dans une bonne famille. » D’ailleurs est-ce une chance ?

A chaque fois, chaque personnage est décrit comme le personnage du chapitre le voit, le perçoit et dit une partie d’une vérité qui s’avère incomplète et énigmatique. De fait, chaque personnage dont l’autrice nous décrit les profondeurs psychologiques, devient mystérieux, compliqué, et affublé de « ces beaux mensonges » dont le lecteur ne s’aperçoit pas qu’ils en sont.

L’autrice nous emmène où elle veut et jusqu’ à la fin dans des impasses que seule son écriture et la maîtrise de son scénario nous sortent estomaqués, à l’image de Céleste et de son adjoint Ithri.

Un roman policier haletant, dont les lieux me sont familiers, à moi, le nantais et qui fouille dans la psyché de chacun des personnages en se mettant à leur place ce qui nous les rend encore plus proches. On est tour à tour chacun d’eux, qu’ils soient SDF et filles de (fils de) et tous leurs beaux mensonges surtout filles de (fils de) , ne serait-ce pour qu’ils collent au monde dont ils héritent ou à celui où ils sont parvenus. Une vraie plongée dans la « belle société » et « ses beaux mensonges » pour tenir son rang.

Un roman sur les femmes et le regard de la société sur elle : leur viol, leur place comme soumise, leur place comme frappée, le droit à leur homosexualité, leur épanouissement même aux bras d'autres hommes et par contrario sur les hommes : puissants, machos, dominateurs, possessifs. Seul, Ithri,expert en recherches numériques, paraît enjoué et simple.

Un roman qui peut se relire quand on connaît la fin. En effet, chaque parole, chaque décision, chaque action de chacun(e) s’éclairent désormais car le procédé de l’autrice fait du lecteur son propre enquêteur.

Une lecture faite dans le cadre du prix Nouvelles voix du polar, agréable mais ce n’est pas un coup de cœur.

C’est la 1ère enquête de Céleste Ibar. Elle n’est pas novice pour autant puisqu’elle a derrière elle 10 ans à la BRI de Paris. Mais elle a été sauvagement agressée et en garde des séquelles tant morales que physiques. Elle intègre donc la PJ de Nantes en tant que capitaine.

Avant même de prendre son poste, elle est témoin d’une scène de violence conjugale dans une voiture. Et celui qu’elle arrête n’est autre qu’un futur collègue… Inutile de dire que ça ne plait guère…Elle va être cantonnée aux affaires « banales » et courantes, comme le suicide d’Anne Arnotte, héritière des biscuiteries du même nom. Sauf que…

Cette accroche a tout pour me plaire. Pourtant j’ai eu un peu de mal à rentrer dans l’histoire.

Le livre s’ouvre sur une agression violente, on ne sait pas où, on ne sait pas qui. Puis les chapitres suivants vont alterner et s’enchaîner entre plusieurs personnages. Trop nombreux pour moi au début, j’ai eu l’impression d’être un peu ballotée de l’un à l’autre et ça m’a empêché d’avoir un réel attachement pour eux.

Après quelques chapitres, ça va mieux, mais c’est un peu tard pour que je m’attache aux protagonistes. Cependant, l’intrigue prend le dessus. Une intrigue que j’ai beaucoup aimée et plus les pages se tournaient, plus j’avais envie de savoir, de comprendre.

Pourtant j’ai trouvé quelques longueurs, des descriptions un peu trop précises par moments, et surtout des personnages parfois un peu trop « surjoués ». Je pense que ce ressenti vient du fait que je n’avais pas d’atomes crochus avec eux.

Et il faut dire que je connaissais déjà Céleste. J’ai lu sa 2ème enquête, De si bonnes mères, avant celui-ci et j’ai vraiment beaucoup aimé. Là aussi je pense que ça a joué sur mon ressenti. Alors ne faites pas comme moi et commencez par Les beaux mensonges.

La lecture a été agréable dans l’ensemble. J’ai beaucoup apprécié d’assister à « l’arrivée » de Céleste à Nantes, à son « intégration ». Des indices sont distillés, l’enquête plus complexe qu’il n’y parait, tous les détails s’imbriquent, il y a du rythme et des rebondissements.

Donc oui, le fond me plait beaucoup. Même si Céleste m’apparait plutôt froide et lointaine, bien plus que dans l’autre livre. Mais la forme n’est pas vraiment pour moi. C’est un avis très personnel qui n’enlève aucune des qualités du roman, roman que j’ai d’ailleurs mis peu de temps à lire parce que portée par l’histoire.

Ce livre a été une claque. Il m’a bousculée, malmenée, j’ai dû faire des pauses dans ma lecture mais j’ai terriblement adoré.

L'écriture de Céline de Romany est sans concession. Elle nous manipule et a une écriture complètement machiavélique.

J’ai été un peu perturbée (comme beaucoup semble-t-il) par les nombreux personnages mais en prenant quelques notes pour situer chacun ma lecture a été fluide et sans accroc. Ils sont d’ailleurs torturés à souhait, cabossés par la vie mais attachants.

Même si j’ai anticipé le/la coupable, j’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce polar et je voulais savoir quelle serait la raison de cette mort qui semblait au premier abord complètement inattendue.

L’alternance entre chapitres longs et chapitres courts est intéressante. La construction de l’histoire avec les différents protagonistes ont fait carburer mon cerveau pour essayer de comprendre ce qui les liait les uns aux autres.

Ce polar est un vrai page-tuner, j’ai lu les plus de 500 pages en deux jours en ayant très peu de temps. Mais dès que j’avais un instant je me plongeais avec délectation (et horreur) dans cette lecture. Comment un livre peut-il être aussi ambivalent? Je ne peux que vous inviter à le découvrir.