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Un cuisinier clandestin s'est fait refroidir pendant qu'il préparait une blanquette de veau où les groupes financiers ont des appétits gigantesques.
Trois personnages dominent. Deux contrôleurs alimentaires. Anna Janvier, gloutonne et une sorte d'arrière-petite fille d'Antoine Bérurier, et de son subordonné, Ferdinand Pierraud, débarquant de Paris, ne supportant d'être sur le terrain et allergique aux fruits - (Un comble, le Pôvre). Et puis, il y a Lou, aux commandes du Mas des Collines, un restau " 4 tables " dont elle n'est plus la propriétaire, cette ex militaire, cette ex taularde.
L'enquête passe au second plan. Il reste que cette dystopie effrayante et cocasse où les groupes financiers ont toujours les mêmes appétits voraces.
Original.
Nos derniers festins
Imagine un monde où le réchauffement climatique est tel que tout est sous contrôle, ce que tu manges, ton empreinte carbone, ton temps d’écran, et dès que tu déconnes, paf ! Tu te prends une prune, ou pire, tu vas carrément en maison de redressement alimentaire…
Ça fout les chocottes non ?
Ben pour Chantal Pelletier, ce sera en 2046... demain quoi…
Sens interdits, fait partie de ces livres qui sont anxiogènes, parce que le réchauffement, tout ça, on t’en cause pas mal aux infos, pis l’autre il dit que l’opulence c’était fini… Alors si ce roman c’était de l’anticipation ? Si demain ?
Non, enfin je ne crois pas, du moins, je n’espère pas.
Une dystopie amère où deux flic alimentaires doivent mener une enquête. Une femme est décédée, gavée comme une oie en pleine période de « prohibition culinaire ».
Une enquête qui leur réserve pas mal de surprise, et pas des bonnes, tu te doutes bien…
Stanislas Petrosky
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2022/12/11/39741658.html
Sens Interdits
Moins de plaisirs de la table, moins d'animaux domestiques surtout des chats, moins de vieux dès qu'ils ont atteint 90 ans. Et, encore d'autres moins, d'autres contraintes.
Une dystopie noire. Plus sombre que le premier tome.
Un très bon polar futuriste.
Sens Interdits
Très court mais amplement suffisant.
A coeur et à Kriss
À déguster.
Tirez sur le caviste
Nos derniers festins
Nos derniers festins
Tirez sur le caviste
Un vigneron quinquagénaire bourguignon tue sa femme parce que la salade de céleri rémoulade faite maison ne convient pas au palais délicat de ce despote domestique. Dès qu'il s'est débarrassé du corps de sa chère et tendre, il fera croire à son entourage qu'elle est partie en Afrique pour s'accomplir dans quelque oeuvre humanitaire. (Le mensonge opère si bien qu'il commence à y croire lui-même d'ailleurs). Privé de repas-à-mettre-pieds-sous-table, il va prendre ses habitudes de gourmet dans les restos des alentours, mais bien vite il s'en lasse...ses papilles gustatives se souvenant de la cuisine familiale...
Il réfléchit à une solution qui pourra satisfaire son égoïsme de fine gueule, quand il rencontre Aline...une sauvageonne de 24 ans...
Ah, la merveilleuse Aline...tout, sauf gourgandine !
Un tout petit polar, aux goûts de terroir, à l'humour noir et au langage parfois bien cru, qu'on avale en se léchant les doigts (pour tourner les pages plus vite ; vile habitude !) parce qu'on se doute bien que l'auteur va contenter notre (!) gourmandise (livresque), à savoir, le sort qu'elle réserve à ce bonhomme odieux.
Tirez sur le caviste
Le point positif c'est que ça se déroule dans ma ville et donc je connais les coins, ça facilite la lecture vu que les lieux sont très rarement décrit. Et puis tout le monde sait que Lyon est la meilleure ville du monde ! Les illustrations sont également très jolies, en fait j'ai pris ce livre pour cette raison.
I love Lyon
Cinq femmes chinoises
Cinq femmes chinoises
Une lecture "gastronomique" au milieu d'artichauts à la barigoule, pointes d'asperges, carré d'agneau, boeuf braisé aux carottes, coquilles Saint-Jacques, moelleux au chocolat, vins millésimés... si bien que lorsque Viviane, pas assez coquette et encore moins cordon-bleu, rate son céleri rémoulade, son mari, connaisseur et passionné de mets savoureux, n'hésite pas une seconde à sortir le calibre...
Il s'agit de deux récits en fait, et il faudra attendre presque la moitié du second pour reconnaître un personnage commun aux deux histoires et comprendre que les deux nouvelles sont liées. On a presque envie de dire "On prend les mêmes et on recommence" tant les situations se répètent, même si les chutes sont inversées, mais on peut voir là une certaine originalité aussi.
C'est bien écrit, l'humour est là, le cynisme aussi, mais il m'a manqué quelque chose. Si certaines scènes sont un peu vulgaires et n'apportent pas grand-chose au texte, c'est une lecture qui m'a rappelé (par certains côtés) un passage connu de l'Histoire : Vatel qui devait organiser un menu d'exception pour le roi et la cour et qui se suicida faute de n'avoir pu satisfaire le roi à cause de livraison tardive de poissons.
Tirez sur le caviste
A coeur et à Kriss
Très étrange cette entrée dans la folie.
La visite