Charles Dickens
Auteur


Activité et points forts
Thèmes principaux
Classement dans les bibliothèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 7.54/10Nombre d'évaluations : 1 147
5 Citations 595 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres

J'ai eu du mal avec le style d'écriture ancien qui m'a empêché d'avoir une lecture fluide mais j'ai apprécié la morale, je trouve que le fond est très joli, maintenant, il me tarde de voir le film !
Afficher en entier
Livre jeunesse que je destine à ma collégienne de fille pour étoffer ses lectures classiques, je n'ai pas résisté au plaisir de relire cette histoire que tout le monde connaît. Mais l'âge adulte étant passé par là, je reste sur ma faim et sur ce qui me semble incohérent : Londres étant une des plus grandes capitales de l'époque, je m'étonne que Oliver soit recueilli une 1ère fois par l'ami de son père inconnu qui le reconnaît trop facilement à mon goût et une 2ème fois par sa tante inespérée. Mais telle est la magie de ce conte qui avait pour but lorsqu'il a été écrit de dénoncer les conditions de vie des orphelins de cette époque.
Afficher en entier
sympathique, pour une oeuvre littéraire.
Afficher en entier
Toujours un plaisir de lire les aventures de Scrooge.
Charles Dickens était vraiment un génie de l'écriture.
Afficher en entier
Un roman de littérature anglaise que je souhaitais lire au moins une fois dans ma vie.
J ai eu beaucoup de mal a comprendre les enchevêtrements entre les personnages, et les incohérences dans les caractères des personnages.
A part Oliver, qui suit son fils directeur tout le long du roman, peu de personnages suivent cette même logique.
Cela reste un roman à lire une fois au moins, mais que je conseille plus a un public adulte au vu des tournures de phrases qui ont vieilli avec les siècles.
Afficher en entier
Je ne connaissais pas l'histoire mais j'avais déjà entendu parler du fameux Mr Scrooge.
J'ai eu un peu de mal à me plonger dans l'histoire mais une fois les esprit arrivés, je me suis laissée porter par le magie de noël.
Afficher en entier
Oliver Twist, personnage célèbre s'il en est, à la destinée sombre, difficile mais qui, grâce à son innocence, son honnêteté et sa ténacité va finir par trouver enfin sa part de bonheur.
Dickens avait écrit là une belle histoire mais c'est l'ensemble que j'ai beaucoup apprécié, les personnages bons comme mauvais, les lieux, l'époque où rien n'est caché de la violence et des difficultés. Ici, pas de faux semblants, une réalité plausible d'une époque qui n'épargne personne, surtout pas les enfants...
Une œuvre littéraire de qualité, un très bon auteur et un enfant aux aventures inoubliables. A lire et à faire lire.
Afficher en entier
Le conte de Noël par excellence ! J'ai vu le film à plusieurs reprises et j'ai déjà lu ce conte. A chaque fois, je suis émue.
Je le recommande chaudement.
Afficher en entier
Un vieux de la PAL que je veux lire depuis très très longtemps... enfin !!! J'ai sauté le pas.
C'est vraiment du vieux français. Je connaissais quand même l'histoire, de petites références par si par là.
C'est intéressant de voir la vie à l'époque...
De voir le chemin que fait Scrooge au fil de la nuit.
J'ai bien aimé cette lecture :)
Afficher en entier
Un classique à lire...absolument.
Afficher en entierOn parle de Charles Dickens ici :
2018-07-16T04:12:45+02:00
2018-01-01T12:42:09+01:00
2017-07-26T14:22:17+02:00
2017-05-03T13:28:18+02:00
2016-09-12T18:03:50+02:00
2011-06-10T22:42:13+02:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Charles Dickens
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Gallimard : 18 livres
LGF - Le Livre de Poche : 14 livres
Penguin Books Ltd : 11 livres
Hachette : 7 livres
L'Archipel : 7 livres
Archipoche : 7 livres
Delcourt : 6 livres
Simon & Schuster : 5 livres
Biographie
Charles Dickens naquit le 7 février 1812, à Portsmouth en Angleterre. Jusqu'à 12 ans, il eut une enfance heureuse. Quand il eut 12 ans, il subit un traumatisme qui devait le hanter pour le reste de sa vie. Son père fut jeté en prison pour dettes, Charles connut l'horreur de la pauvreté, découvrit le sort terrible des enfants qui travaillaient dans les fabriques en devenant lui même ouvrier dans une usine de cirage. Cette expérience personnelle lui permit d'écrire sur les pauvres et les malheureux avec tant de vérité que ses récits dramatiques touchèrent le coeur de millions de lecteurs. Grâce à cela, Dickens, le romancier le plus populaire de son temps, eu une influence déterminante sur les réformes sociales qui furent accomplies dans l'Angleterre victorienne. Après la libération de son père, ses souffrances ne s'arrêtèrent pas immédiatement. Il dut travailler encore plus de dix mois à la fabrique avant de pouvoir retourner à l'école. son père prit toute les dispositions nécessaires pour délivrer Charles de ses obligations mais, au grand effarement du jeune garçon, sa mère n'admit qu'à contrecoeur qu'il quitte son emploi rémunéré.
Dickens ne pardonna jamais à sa mère d'avoir essayé de le faire rester à la fabrique, et plus tard, la prit comme modèle pour la mère stupide et vaniteuse de son roman, Nicolas Nickleby. Charles fut ensuite envoyé trois ans dans une école publique avant de trouver un autre emploi, cette fois comme employé dans une étude d'avocats. Ce travail était ennuyeux, aussi Dickens se fit rapporteur à la Chambre des communes comme sténographe. A l'âge de 23 ans, il était devenu un journaliste connu et fut engagé par un quotidien, le Morning Herald. C'est un peu avant d'obtenir ce nouveau poste que Dickens commença à écrire de la fiction. En 1833, il envoya un article romancé sur la vie de Londres au Monthly Magazine qui le publia et en demanda d'autres. Dickens s'empressa de les satisfaire et ces nouvelles, ainsi que celles qui parurent dans deux quotidiens, furent publiées sous le pseudonyme de " Boz ". Le jour de son vingt-quatrième anniversaire (1836), tous ses récits furent réunis dans un volume intitulé Esquisses de Boz.
Le livre fut un succès immédiat et amena un éditeur à lui proposer un contrat pour la rédaction d'un livre comique. C'est ainsi qu'apparu sous forme de feuilletons sur 20 mois, les Aventures de M. Pickwick. Ce livre est un récit satirique des aventures de M. Pickwick, un personnage naïf, mythomane et mégalomane, de son domestique Sam Weller et du club d'excentriques qui les entourent. Le succès ne quitta plus Dickens, qui publia régulièrement de nouveaux romans en Angleterre. Le public américain aimait notamment ses romans, pour exemple, une foule se massait au port pour attendre le bateau qui amenait la dernière parution.
Après les humoristiques Aventures de M. Pickwick, Dickens persista dans la voie romanesque avec Oliver Twist en 1838 et Nicolas Nickleby en 1839. Ces sortes de contes, bâtis autour d'un personnage central souvent autobiographique, mettent déjà au jour certains aspects de l'exploitation des plus faibles, et tout particulièrement des enfants. Avec le Magasin d'antiquités en 1840, c'est encore le destin tragique d'une fillette qui permet à l'auteur de dénoncer avec compassion le caractère définitivement inhumain du monde industriel.
Dickens parvient aussi à approfondir son analyse sociale et psychologique. Parmi ces oeuvres, Dombey et fils publié en 1848 est un portrait acide de cette bourgeoisie dont la fortune s'est bâtie sur l'industrie. Mais il faut surtout retenir son oeuvre majeure, David Copperfield publié en 1849. Ce récit autobiographique qui montre le Londres laborieux et misérable vu par les yeux d'un enfant, reste le plus célèbre et le plus lu des romans de Dickens.
Son humour et sa gentillesse lui valaient une grande popularité. Homme sincère, d'une grande humanité, il profita de son immense célébrité, sans jamais devenir prétentieux.
Dickens était également directeur d'une compagnie théâtrale qui joua devant la reine Victoria en 1851. Cependant, tous ses succès ne purent jamais compenser le traumatisme initial de son enfance, ni ses problèmes privés. Sa passion pour une jeune actrice, Ellen Ternan, le conduisit à quitter son épouse et leurs dix enfants en 1858.
Il faisait régulièrement des conférences où il lisait avec passion et énergie ses oeuvres, ce qui affaiblira son état de santé. Epuisé, il se retire à la campagne en 1870 pour ce qui devait être son dernier roman le Mystère d'Edwin Drood. Mais surmené, il mourut le 9 juin d'une apoplexie laissant le mystère irrésolu. La mort de Dickens attrista le monde entier qui aimait et admirait son génie de romancier. Le poète américain Henry Longfellow écrivit : « Je n'ai jamais vu mort d'écrivain causer une telle affliction... Le pays tout entier est en deuil. »
Aujourd'hui, les livres de Dickens font partis de ceux les plus traduits au monde (en 68 langues) et passionnent encore des millions de lecteurs.
Afficher en entier