Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
776 459
Membres
1 250 340

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Toutes les séries de Charles Dickens

30 livres
632 lecteurs

La loi de la jungle est sans appel, et chaque habitant se doit de la suivre. Mowgli, le petit d’homme adopté par les loups, va en faire la douloureuse expérience en étant banni de son clan, tout en menant de front une guerre personnelle contre Shere Khan le tigre boiteux qui a juré sa perte. Kotick, le phoque blanc, va partir en quête d’un endroit sûr pour son peuple après avoir été témoin du massacre de ses semblables. Quant à Rikki- Tikki-Tavi, la mangouste, elle va chasser les serpents du jardin afin de protéger sa nouvelle famille...

44 livres
147 lecteurs

"Les Mille et une nuits" est, sans conteste, l'une des œuvres les plus célèbres de la littérature universelle. Un passionnant labyrinthe de récits qui, par leur magie, captivent le lecteur au point qu'il en vient à redouter le lever du jour.

Cette anthologie de contes populaires du Moyen-Orient, écrite en langue arabe, fut compilée entre les VIIIe et XIVe siècles. On en doit la première version européenne à l'orientaliste français Antoine Galland qui la traduisit entre 1704 et 1717. En repartant du texte de Galland, Andrew Lang proposa une nouvelle anthologie rassemblant les histoires les plus passionnantes que nous vous présentons dans ce volume. Grâce à ce travail, l'Occident, émerveillé, découvrit un univers exotique et exubérant peuplé de sultans, de génies et de princesses et marqué par les palpitantes aventures de personnages mythiques tels que Shéhérazade, Sindbad ou encore Aladdin.

[Source : À propos de l'œuvre, p. 9]

--------

Édition illustrée par Viriginia Frances Sterrett.

--------

SOMMAIRE

• Les Mille et une nuits

• Le Marchand et le Génie

• Histoire du premier vieillard et de la biche

• Histoire du second vieillard et des deux chiens noirs

• Histoire de Noureddin et de la Belle Persienne

• Histoire d'Aladdin, ou La Lampe merveilleuse

• Histoire des deux sœurs jalouses de leur cadette

• Les Sept voyages de Sindbad le marin

• Histoire du petit bossu

• Histoire du cinquième frère du barbier

48 livres
265 lecteurs

LE TOUR DU MONDE EN 80 JOURS

Jules Verne

1828 - 1905

Faire le tour du globe en 1 920 heures, ou 15 200 minutes, c'est le pari fou que le gentleman anglais Phileas Fogg relève en 1872 contre les membres du Reform Club de Londres. Il entraîne Passepartout, son valet, dans une course effrénée. Il est poursuivi, de steamboat en railroad, par les polices anglaises qui voient en lui le cambrioleur qui vient de dévaliser la banque d'Angleterre ! Une grande aventure où l'on croise une belle Indienne à sauver du bûcher, où les ponts s'effondrent, les navires flambent...et où un gentleman dépense et se dépense pour atteindre son but à l'heure exacte !

108 livres
111 lecteurs

Magazine mensuel édité par Bayard Presse combinant romanillustré et bédés.

5 livres
67 lecteurs

Oliver Twist naît quelques minutes avant la mort de sa mère. Après un événement si malheureux, la vie ne se présente pas sous les meilleurs auspices... Dans un monde qui ne lui fera pas de cadeau, en proie au dénuement le plus total, le jeune garçon va devoir grandir, et survivre. Mais comment échapper à la faim et à la maltraitance sans devenir un criminel ? À travers un récit très réaliste, Charles Dickens dépeint la difficile vie des enfants des classes ouvrières dans l'Angleterre victorienne. Il démontre aux bienheureux lecteurs bourgeois que ces petits miséreux qu'ils craignent et méprisent ne sont que le résultat des lois qu'ils ont édictées. Entre l'exploitation au travail et le banditisme, ces enfants n'ont guère d'autre choix...

2 livres
24 lecteurs

«Serai-je le héros de ma propre histoire, ou ce rôle sera-t-il tenu par un autre ? Ces pages l'apprendront au lecteur. Pour commencer par le commencement, je note que je naquis un vendredi à minuit - du moins me l'a-t-on dit, et je n'ai aucune raison d'en douter...» Voilà un début engageant. La suite l'est moins : né six mois après la mort de son père, David Copperfield se retrouve vite nanti d'un terrifiant beau-père, dont la soeur, la glaciale et «métallique» Miss Murdstone, suffirait à elle seule à caractériser l'Angleterre rigide et puritaine du début du XIXe siècle...

Car, si David Copperfield est bien l'histoire d'une enfance malheureuse, c'est avant tout une irrésistible galerie de portraits qui laisse le lecteur partagé entre l'effroi et le fou rire...

Ce roman, sans doute le plus autobiographique de Dickens, est aussi, de son propre aveu, son préféré : «Comme beaucoup de pères aimants, j'ai, au fond de mon coeur, un enfant favori. Et il s'appelle David Copperfield.»

2 livres
10 lecteurs

Au cœur de Londres, l'interminable affaire Jarndyce a déjà épuisé des générations de magistrats et n'est plus qu'un sujet de plaisenteries. Face aux lenteurs de la procédure, Tom Jarndyce, le plaignant, a d'ailleurs fini par se suicider ...

Son fils John, un vieux garçon, n'attend rien d'un procès. Dans sa vaste propriété de Bleak House, il préfère pratiquer la philanthropie. C'est ainsi qu'il accueille les deux pupilles que les juges lui ont confiés, Ada et so cousin Richard, mais aussi leur amie Esther, une jeune orpheline dont il s'occupe comme de sa propre fille.

En quoi cette ténébreuse affaire de succession concerne-t-elle la belle Honoria Dedlock, qui s'ennuie dans son lointain manoir du Lincolnshire ? Et pourquoi s'évanouit-elle lorsque son avocat lui révèle une des pièces du procès, où apparaît le nom de "Nemo" ? Retrouvé mort dans un taudis, ce personnage serait-il la clé des mystères que sont la naissance d'Esther et la mélancolie de Lady Dedlock ?

15 livres
4 lecteurs

Passeport, liasse de billets, valise. Phileas Fogg est prêt pour son tour du monde en 80 jours ! Ce gentleman anglais a décidé de se lancer un défi risqué... Autour de lui, on ne croit pas à un tel exploit. Qu'à cela ne tienne ! Le 2 octobre 1872, à 20h45, Phileas commence son incroyable voyage...

2 livres
4 lecteurs

Amy Dorrit voit le jour dans une très grande pauvreté : son père William, criblé de dettes, est contraint de vivre avec le reste de sa famille en prison. Celle qu'on surnomme « la petite Dorrit », du fait de son jeune âge et de sa petite taille, grandit dans la misère, et, hors de prison, se livre à de modestes besognes pour subvenir à ses besoins et secourir sa famille incarcérée.À vingt-deux ans, Amy trouve une place de domestique chez les Clennam, une famille dont le destin s'entrelace étrangement avec celui des Dorrit.

Le fils de la famille, Arthur, s'émeut de la triste condition de cette nouvelle employée de maison. et finit par tomber sous son charme. Cherchant à la tirer de son sort, il apprendra peu à peu à la connaître et mettra en lumière certains secrets concernant leurs familles.Les épais murs de la prison ne sont pas toujours là où l'on croit, et son ombre menaçante semble s'étendre bien au-delà de ses enceintes.

2 livres
19 lecteurs

Un beau matin de 1827, le distingué Pickwick Club de Londres décide de créer une société itinérante, afin de parcourir l’Angleterre et d’alerter ses membres sur les dangers des voyages. Persuadé qu’une telle entreprise profitera à l’humanité tout entière, le débonnaire Pickwick, homme d’affaires à la retraite et philosophe du dimanche, s’entoure pour l’épopée de trois compères aussi qualifiés que lui : Tupman, séducteur sans conquêtes, Snodgrass, poète à court de vers, et Winkle, sportsman contrarié. Leurs aventures s’annoncent aussi rebondies que le ventre de Pickwick, dont les rares colères menacent de faire éclater le gilet…

Un esprit d’enfance semble régner parmi les intrépides « Pickwickiens ». Jusqu’au jour où l’innocence de ces bons vivants se voit menacée par ces trois périls que sont le mariage, la trahison et la bêtise des hommes de loi…

3 livres
8 lecteurs

« Appel à nos quinze agents très spéciaux : ce message est classé « Confidentiel Défense ». Nos services sont actuellement sur missions très délicates : infiltrer un réseau d'espions, protéger un secret atomique, assurer la sécurité de chefs d'État, surveiller des organisations criminelles; on parle même d'une possible invasion-terrestres... Bref, votre mission, si vous l'acceptez, sera de déjouer tous ces complots. A votre disposition tous les gadgets et toutes les armes technologiques : pistolets Cobra peints en jaune, émetteurs radio miniaturisés, etc. Mais, n'oubliez pas que le silence est de rigueur. Ceux qui violeront le secret seront en grand danger... »

2 livres
3 lecteurs

Londres au XVIIIème siècle. Les protestants transcendés par Lord George Gordon se rebellent contre le parlement et les catholiques. De sanglantes émeutes éclatent un peu partout dans la région londonienne, qui vont conduire la foule galvanisée au meurtre et au saccage. Une histoire dramatique immortalisée par un grand auteur.

2 livres
11 lecteurs

Le corps d'un homme est retrouvé dans la Tamise. Après identification, il s'agit de John Harmon, de retour à Londres pour recevoir son héritage. Le père de John avait ajouté une clause particulière à son testament : Il ne pourrait recevoir l'héritage qu'à la condition d'épouser la jolie Bella Wilfer, dont il ignorait tout. Dans la cas contraire, la fortune du vieil Harmon irait à son ancien bras droit, Nicodème Boffin.

Ce roman, dans lequel on sent l'influence de Wilkie Collins, est le dernier terminé par Charles Dickens.

1 livres

Anthologie thématique complète du Fantastique, elle rassemble en huit volumes les chefs-d'œuvre et les maîtres du genre, de Poe à Lovecraft, de Gogol à Borges, d'Hoffmann à Kipling.

Chaque recueil comporte :

• une introduction générale sur la littérature fantastique ;

• une préface particulière traitant de l'histoire et de la signification du thème abordé dans le volume ;

• une présentation de tous les récits retenus ;

• une biographie et une bibliographie des auteurs représentés.

2 livres
2 lecteurs

Dans un petit village anglais du Kent, le jeune orphelin Pip mène une existence humble auprès de sa sœur acariâtre et de son mari, le bienveillant forgeron Joe Gargery. Un soir au cimetière où l’enfant est venu s’incliner devant la tombe de ses parents, se produit un événement qui changera plus tard le cours de son existence : il est surpris par un vieux forçat fraîchement échappé de prison qui le contraint violemment à aller chercher des outils dans la forge pour scier ses entraves et l’aider dans sa fuite.

2 livres
2 lecteurs
4 livres

Winter is a withdrawal: quiet and dark and cold. But in the dim light frost shimmers, stars twinkle and hearths blaze as we come together to keep out the chill. In spite of the season, life persists: visiting birds fill our skies, familiar creatures find clever ways to survive, and the world reveals winter riches to those willing to venture outdoors.

In prose and poetry spanning seven hundred years, Winter delights in the brisk pleasures and enduring beauty of the year's turning. Featuring new writing from Patrick Barkham, Satish Kumar and Anita Sethi, extracts from the work of Robert Macfarlane, James Joyce and Kathleen Jamie, and a range of exciting new voices from across the UK, this invigorating collection evokes the joys and the consolations of this magical time of year.

Tous les livres de Charles Dickens

Cette oeuvre de jeunesse inachevée et écrite dans un style quasi-journalistique permet néanmoins de découvrir le goût de Dickens pour la 'parabole malicieuse'. On y trouve déjà ce qui sera l'un des thèmes majeurs de son oeuvre : la dégradation progressive de l'homme sous l'influence de l'argent.

Préface de Pierre Gripari :

C'est à une véritable pantomime de la vie quotidienne de la petite ville de Mudfog que nous convie Dickens, dans un ouvrage où le grotesque des situations le dispute au comique le plus ébouriffant : des avatars de la destinée de M. Tulrumble qui, d'humble charpentier devenu maire, se prend pour le nombril de l'univers, à l'afféterie de M. Bolton, sténographe " dont les deux orteils posaient vers les extrémités de ses bottes un regard condescendant sur le monde extérieur " ; des préparatifs de la réunion de Mudfog pour l'avancement du Monde à son ordre du jour : faut-il créer des maternelles pour les puces laborieuses ? Ne devrait-on pas remplacer les membres de la force publique et les magistrats par des automates ?...

Constitué d'une galerie de tableaux pittoresques et caustiques à la Daumier, qui ne sont pas sans nous rappeler Bouvard et Pécuchet, ou les Caractères de La Bruyère, ce livre inédit en France et d'une surprenante modernité sera un authentique régal pour les lecteurs de notre temps.

Le jeune Dickens est célèbre, fêté, heureux. Après Pickwick et Olivier Twist, son troisième roman Nicolas Nickleby sera un triomphe. Il semble que Dickens ait voulu y mettre tout ce qui, jusqu'à présent, lui avait si bien réussi. Les vicissitudes d'une famille de provinciaux ruinée, débarquant à Londres sans la moindre expérience de la lutte pour la vie fait pleurer les âmes sensibles et rire les honnêtes gens. Pour nous, ce roman d'apprentissage sera une découverte. Dickens avait engagé le combat pour plus de justice sociale. Dans Nickleby, il révèle le scandale de l'enfance abandonnée et martyrisée. C'est la partie de l'oeuvre qui frappa d'abord les contemporains. Le lecteur verra ce qu'était, dans son horreur grotesque, l'école du fameux M. Squeers. Mais les aventures de Nicolas lui font découvrir bien d'autres milieux. Sa vie est une randonnée chaotique à travers une population pittoresque : petits métiers et grandes chimères, moeurs en voie de disparition et trafics éternels. C'est aussi une vision des passions humaines - désir effréné de paraître, goût de l'intrigue - servies et comme magnifiées par l'amour du langage.

La petite Dorrit a vu le jour dans une prison où son père est enfermé, avec toute sa famille, après avoir fait faillite. La petite Dorrit se dévoue pour les siens, notamment en travaillant pour Mme Clennam. C'est chez cette femme étrange qu'elle rencontrera Arthur... Mais des biens ignorés vont rendre les Dorrit subitement très riches. La petite Dorrit saura-t-elle garder sa modestie et son humilité ? La vie sera-t-elle devenue si belle ?

Ecrit en 1857 par Charles Dickens

David Copperfield mène une vie heureuse auprès de sa jeune mère, qui est veuve, et de l'étrange Mme Peggotty.

Mais cette existence est interrompue par le mariage de sa mère avec M.Murdstone, homme cruel qui va causer la mort de son épouse.

David est alors envoyé à l'école, où il subit les mauvais traitements du maître Creakle, puis au magasin de Murdstone et Grinby, où on lui fait accomplir les besognes les plus serviles.

Il s'enfuit de Londres, gagne Douvres à pied et se réfugie chez sa tante Betsy Trotwood. C'est une nouvelle vie qui commence, empreinte d'événements dramatiques et spectaculaire, qui mènera David vers le bonheur et la gloire littéraire.

David Copperfield est le roman que préférait Charles Dickens. Sans doute de par son caracttère auto-biographique.

C'est aussi son chef-d'oeuvre.

Quand un créateur d'ambiances et de personnages génial - Dickens - croise son talent avec celui d'un formidable inventeur d'intrigues - Wilkie Collins (La Dame en blanc, La Pierre de lune) -, cela donne Voie sans issue.

Cette histoire très romanesque d'enfant abandonné retrouvé puis perdu à nouveau s'avère vite un roman d'énigmes " cavalcadant " comme on n'en fait - hélas - plus, et qu'un Dumas, pris aux sortilèges du polar, n'aurait pas désavoué. Emotions, frissons et passions sont au rendez-vous !

Ecrites peu après la création de la Detective Police", ces histoires sont parmi les toutes premières d'un genre littéraire promis à un avenir brilliant : le "polar". Récits d'enquêtes et de patrouilles menées par les fins limiers de Scotland Yard accompagnés par Dickens, alors au sommet de sa gloire, les textes réunis ici brossent un tableau saisissant des quartiers populaires de Londres vers 1850. Avec l'Inspecteur Field et ses hommes nous pénétrons dans les taudis du " Rats' Castle " [Château des rats] où aigrefins et vide-goussets, pickpockets, prostitués et maquereaux se côtoient dans une misère abjecte. Nous assistons à l'arrestation d'un escroc dans un pub enfumé. En silence dans une barque de la police fluviale, nous flottons le long de la Tamise guettant les ombres et les chuchotements de ceux qui s'affairent la nuit dans les Docks.Partagé entre son admiration pour les inspecteurs de la police et la fascination du monde interlope des bas quartiers londoniens, Dickens déploie ici son talent incomparable de chroniqueur et d'observateur de la face cachée de la société victorienne.Le plus grand romancier anglais du XIXe siècle, Charles Dickens (1812-1870) est l'auteur des Aventures de Monsieur Pickwick, de David Copperfield, de Grandes Espérances et de bien d'autres chefs d'oeuvres de la littérature universelle. Rédacteur en chef du magazine Household Worlds de 1850-1859, il y fit paraître ces récits policiers, réunis ici pour la première fois en français."

• Les fantômes des victoriens

Les fantômes traditionnellement sont anglais : la période victorienne (1837-1901) constitue l'âge d'or de ce personnage vénérable de la littérature anglaise.

Virginia Woolf définit parfaitement le cadre de leur résurrection : "ils n'ont rien de commun avec les violents spectres d'antan (vieux loups de mer barbouillés de sang, dames décapitées (…) ils ont leur origine en nous (…) ils sont présent chaque fois que l'étrange fait vibrer l'ordinaire".

Malaises, névrose, adultères condamnés, misère sociale, alcoolisme, maladies mentales, crimes crapuleux, usure, spéculation effrénée constituent bien le revers des choses dans cette époque prude et moralisatrice. D'une façon générale, le fantastique a valeur de symptôme et permet de mettre à mal la morale dominante et les valeurs sociales.

Onze récits marquants – pour la quasi totalité, inédits en français – ont été retenus (voir la liste ci-dessous) ; ils offrent un contraste saisissant avec les romans bourgeois ou aristocratiques de l'époque, pleine de fausse sentimentalité. Les fantômes de ces dix écrivains sont comme les figurants décentrés, dédoublés, d'une société inquiète, oppressive, il s'agit rarement d'un simple divertissement littéraire.

Ce volume contient :

Wilkie Collins, Neuf heures !

Charles Dickens, Le Fantôme dans la chambre de la mariée

Joseph Sheridan Le Fanu, Le Fantôme et le rebouteux

Patrick Kennedy, Les Fantômes et la partie de foot-ball

Anonyme, Le Spectre de la visiteuse

Sir Arthur Conan Doyle, Comment c'est arrivé

Vincent O'Sullivan, Quand j'étais mort

Bernard Capes, La Maison qui s'est évanouie

Arthur Quiller-Couch, La Chance du Laird

George Moore, Un théâtre dans la lande

E.M. Forster, L'Omnibus céleste

On le sait, en France, depuis qu'Edmond Jaloux a fait paraître ses Histoires de fantômes anglais. Et les collectes récentes des érudits britanniques publiés chez Ash Tree Press l'ont confirmé en démontrant que le filon était même d'une richesse insoupçonnée. Trois anthologies françaises le prouvent également à leur tour. La première, Les Fantômes des victoriens, s'en tient strictement à son intitulé et mêle les auteurs connus - Wilkie Collins, Charles Dickens, Joseph Sheridan Le Fanu, Conan Doyle, E. M. Forster - à d'autres qui le sont peu ou pas. Aux premiers, on doit les meilleurs textes du lot (ce qui tendrait à justifier le bien-fondé des hiérarchies littéraires !), à l'exception toutefois de celui qui en est incontestablement la perle : « La chance du laird », d'Arthur Quiller-Couch, intrigante histoire d'honneur militaire et de malédiction écossaise qui se déroule à l'époque napoléonienne.

La deuxième, Les Fantômes des victoriennes, déborde un peu du cadre fixé puisqu'elle comporte une formidable histoire de lycanthropie (« Fourrure blanche », de Clemence Houseman), une fausse histoire de vampire et une histoire de malédiction (« Les hommes de marbre », d'Edith Nesbit). Mais l'ambition de l'anthologiste semble plus d'avoir voulu rendre compte de l'importance des auteurs féminins dans la vague victorienne de littérature fantastique que de se limiter à son thème de prédilection. Ce qui ne l'a nullement empêché de nous offrir un florilège passionnant de ghost stories, parmi lesquelles on distinguera « Salomé », d'Amelia Edwards, et surtout « La fenêtre de la bibliothèque », de Margaret Oliphant, qui est indéniablement l'un des chefs-d'oeuvre du genre.

Jacques Baudou, Fantômes à gogo, Le Monde, 1er juin 2000.

Le jeune Martin Chuzzlewit est amoureux de Mary, orpheline recueillie par son grand-père, le riche Martin Chuzzlewit senior. Mais avant que Martin junior puisse épouser Mary, son grand-père souhaite que qu'il découvre la valeur de l'argent gagné par le travail. Pour cela, il le déshérite et le confie à un membre de la famille éloigné, l'hypocrite Mr. Pecksnif. Celui-ci a des vues sur l'héritage Chuzzlewit, il rêve même de marier une de ses filles à Martin Junior. Mais rapidement le jeune Martin découvre la véritable nature de ce personnage et décide de partir en Amérique avec son ami et serviteur, Mark Tapley...

La vieillesse des génies est le plus souvent l'âge des suprêmes audaces.

Ce recueil rassemble le meilleur de l'œuvre de Charles Dickens (1812-1870) dabs les dernières années de sa carrière. On y trouvera d'abord le roman qui est sans doute le chef-d'œuvre de Dickens, Les Grandes Espérances (1860) : c'est à nouveau un " roman d'apprentissage " comme David Copperfield, mais qu'un esprit visionnaire transfigure en Illusions perdues de l'enfance et de l'adolescence, aux limites du fantastique, tempéré seulement par le " comique dickensien ".

A la maturité spirituelle du poète, correspond la maturité technique du romancier qui se joue avec une admirable virtuosité de la formule de la " confession ". Peu d'œuvres, mais toutes remarquables, jalonnent les dix années que Dickens a encore jà vivre après la publication des Grandes Espérances. A l'exception d'un long roman, Notre ami commun, elles sont toutes rassemblées ici. Et d'abord son dernier roman : Le Mystère d'Edwin Drood, roman psychologique et policier tout à la fois, coloré aux fumées de l'opium et de la sensualité, rendu doublement mystérieux par son inachèvement même dû à la mort subite de l'auteur. Enfin trois " récits pour Noël (de 1865, 1866 et 1867) et une dernière nouvelle datant de 1868. Quatre récits dans lesquels le nouveau Dickens, de plus en plus attiré par les zones d'ombres du monde et des âmes, ajoute une tonalité insolite au conteur plein de verve et d'humour.

Celui-ci l'emporte encore dans la voie sans issue et dans Les Ordonnances du Docteur Marigold. Autrement plus inattendus sont l'Embranchement de Mugby, et Georges Silverman s'explique, étrange plongée dans une âme fangeuse, sans équivalent dans le reste de l'œuvre dickensienne.

La vieillesse des génies est le plus souvent l'âge des suprêmes audaces. Ce recueil rassemble le meilleur de l'oeuvre de Charles Dickens (1812-1870) dans les dernières années de sa carrière. On y trouvera d'abord le roman qui est sans doute le chef-d'oeuvre de Dickens, Les Grandes Espérances (1860) : c'est à nouveau un " roman d'apprentissage ", comme David Copperfield, mais qu'un esprit visionnaire transfigure en Illusions perdues de l'enfance et de l'adolescence, aux limites du fantastique, tempéré seulement par le " comique dickensien ". A la maturité spirituelle du poète correspond la maturité technique du romancier qui se joue avec une admirable virtuosité de la formule de la " confession ". Peu d'oeuvres, mais toutes remarquables, jalonnent les dix années que Dickens a encore à vivre après la publication des Grandes Espérances. A l'exception d'un long roman, Notre ami commun, elles sont toutes rassemblées ici. Et d'abord son dernier roman: Le Mystère d'Edwin Drood, roman psychologique et policier tout à la fois, coloré aux fumées de l'opium et de la sensualité, rendu doublement mystérieux par son inachèvement même dû à la mort subite de l'auteur. Enfin viennent trois " récits pour Noël " (de 1865, 1866 et 1867) et une dernière nouvelle datant de 1868. Quatre récits dans lesquels le nouveau Dickens, de plus en plus attiré par les zones d'ombre du monde et des âmes, ajoute une tonalité insolite au conteur plein de verve et d'humour. Celui-ci l'emporte encore dans Voie sans issue et dans Les Ordonnances du Docteur Marigold. Autrement plus inattendus sont L'Embranchement de Mugby et Georges Silverman s'explique, étrange plongée dans une âme fangeuse, sans équivalent dans le reste de l'oeuvre dickensienne.

Le narrateur, durant une promenade, rencontre, près d'un tunnel, un signaleur du chemin de fer, homme instruit et consciencieux qui lui dit recevoir, avant des accidents sur la voie ferrée, la visite d'un spectre qui lui fait d'étranges avertissements dont le dernier semble s'adresser à lui....

Courte histoire fantastique, où s'exprime une inextricable ambiguïté entre naturel et surnaturel, et notre inquiétude se nourrit de cette incertitude...

Oliver Twist est un orphelin qui grandit dans la misère d’un hospice de l’Angleterre victorienne. Il se lie d’amitié avec un jeune voleur qui l’introduit dans le monde des pickpockets. Arrêté, puis innocenté par le tribunal, Oliver se retrouve à dix ans livré à lui-même dans les bas-fonds de Londres où règne la loi du plus fort et du plus méchant. Oliver est recueilli par Mr Brownlow qui le traite comme un humain. Mais la bande de jeunes voleurs le retrouve...

Ce chef-d’œuvre de Charles Dickens est à l’origine d’une prise de conscience de la condition des enfants lors de la grande révolution industrielle du XIXe siècle, une prise de conscience qui reste, hélas, toujours d’actualité dans le monde.

Charles Dickens, l’un des plus célèbres romanciers anglais, maître de l’émotion et du pittoresque, écrivit de nombreux contes et nouvelles, qu’il aimait ensuite déclamer devant un public populaire. L’on croisera ici, entre humour et pathétique, l’énigmatique et un tantinet snob Horace Sparkins, une femme folle de chagrin, un ivrogne brisé par la fatalité et quelques policemen aussi bavards que débonnaires.

L’histoire de ce manuscrit est assez surprenante, et c’est par un curieux détour que Dickens en devint l’auteur officiel :

Le clown Grimaldi employa l’année qui précéda sa mort à rédiger l’histoire complète de sa vie, puis confia le volumineux manuscrit à un ami, qui s’appliqua à le condenser avant de le présenter à un premier éditeur. Celui-ci, profitant de la liberté que lui rendait la mort de l’auteur, les porta immédiatement à Charles Dickens. Charles Dickens, en 1838, n’avait que vingt-cinq ans, mais sous le pseudonyme de « Boz » était déjà un auteur chéri du public. Les Sketches, publiés dans les journaux et magazines dont ils avaient fait le succès, les Pickwick Papers, si promptement populaires, avaient assis en trois ou quatre ans sa réputation. Le propriétaire des Mémoires de Grimaldi eut donc toutes les raisons de penser qu’il en tirerait un excellent parti si Dickens les remaniait entièrement en y déployant sa simplicité un peu narquoise, sa bonhomie rusée, sa profonde connaissance des mœurs vulgaires, de l’argot populaire et des excentricités mal famées. Dickens, de son côté, sentit que c’était là pour sa plume un heureux sujet, et qu’elle ne dérogerait pas en s’associant aux souvenirs d’un clown, il est vrai, mais d’un clown comme on n’en avait guère vu jusqu’alors.

La vie du grand Joe, son aventureuse carrière, nous livre en effet quelques-uns des plus curieux aspects des mœurs britanniques, de la vie de ses théâtres et de ses bas-fonds. Le hasard, en semant bien des incidents étranges, des rencontres dramatiques, des péripéties bizarres dans l’existence de ce comédien, semble s’être complu à lui faire un sort extraordinaire, et à le désigner ainsi doublement à l’attention des biographes. Et par bien des aspects, Dickens vit sans doute en cet enfant prodige et en cet artiste au coeur pur une sorte de double de lui-même.

Walter Wilding, riche négociant en vin, mène une vie heureuse auprès de sa mère, à qui il doit sa fortune et sa réussite sociale.

A la mort de celle-ci, la découverte d'un terrible secret va bouleverser son existence : il n'est pas son vrai fils !

Rongé par la culpabilité d'avoir usurpé l'identité - et l'héritage - d'un autre, Walter décide de se lancer à la recherche de ce mystérieux double.

Mais qui est donc le véritable Walter Wilding ?

Ce local était une petite cabane graisseuse, évoquant pour l' odorat une cabine à bord d'un baleinier . mais un feu vif y brûlait dans la grille rouillée de l' âtre et sur le parquet se dressait une étagère en bois chargée de lampes nettoyées et allumés de frais, prêtes à servir dans les wagons.

Les Temps difficiles, ce sont les débuts de la révolution industrielle qui transforme l'aimable campagne anglaise en un pandémonium d'usines, de canaux, d'installations minières, de fabriques, d'entrepôts, de banlieues misérables où vit à la limite de la survie le prolétariat le plus exploité qui sans doute fût jamais. Sous un ciel de suie, Coketown, la ville du charbon (Manchester en réalité), est d'autant plus l'image de l'enfer que la classe ouvrière n'y est pas encore organisée et qu'elle apparaît ainsi comme la victime toute désignée de politiciens sans scrupules et d'une bourgeoisie, parfois compatissante et troublée dans son confort moral, mais toujours persuadée de la divinité de ses droits.

Le roman de Dickens correspond point pour point à l'analyse qu'en ces mêmes années et dans cette même Angleterre, Fr. Engels entreprenait de la naissance du capitalisme moderne.

un recueil de nouvelles des fertiles écrivains de cette époque, wilkie collins et charles dickens sur le thème des voyageurs en période de noël pour certaines des nouvelles, dépeignant comme il se doit un panel de personnages typiques du XIX ème.

Préface, traduction nouvelle et notes de Jean-Pierre Naugrette

De cet âge d'or de la littérature fantastique que fut le xixe siècle, bien des trésors sont à découvrir. Les six nouvelles anglaises et américaines rassemblées ici en font partie, soit que leur auteur demeure méconnu comme James Hogg, soit que sa célébrité s'attache à d'autres genres d'écrits, ce qui est le cas de Charles Dickens ou d'Arthur Conan Doyle.

Le choix proposé nous invite d'autre part à explorer les sources multiples du fantastique. Dans une expédition en enfer, le monde du rêve nocturne et celui de la veille se mêlent inextricablement. Le Coeur révélateur, d'Edgar Poe, nous plonge au coeur de la folie. Chez Dickens, mais aussi chez Ambrose Bierce, l'isolement d'un homme semble expliquer ses terreurs, jusqu'au moment où un fait surgit qui les justifie. Stevenson prépare le fantastique par le macabre ; Conan Doyle nous y amène au fil d'une enquête des plus rigoureuses.

Voici les aventures et mésaventures de l'inénarrable Pickwick et son valet Sam Weller, feuilleton picaresque ayant pour héros un Don Quichotte bedonnant et un Sancho Panza s'exprimant avec l'accent cockney. Un journaliste écrivait, à propos de ce roman : «Une thérapie de choc par le fou rire, un ballon de gaz hilarant»...

Écrites entre 1840 et 1866, souvent pour Noël, ces dix histoires allient le bizarre, le grotesque et la fantaisie. Dix contes dans lesquels le narrateur se fait le relais d’une anecdote, tragique ou comique, qui lui a été confiée, ou retranscrit des confessions inquiétantes, d'hommes hantés par des visions, des esprits, par leur passé ou leurs fautes. L’inspiration gothique et fantastique – celle des maisons hantées des romans à sensation – rejoint la veine ludique et la verve du pasticheur. Dickens traite ses fantômes avec un entrain et une délectation qui nous les rendent réjouissants, et démontre une fois encore ses talents d’illusionniste.

Que les lecteurs de langue française aient été si longtemps privés de lire ce texte, dont tous les amoureux de Dickens ont salué l'importance, ne laisse pas de surprendre l'auteur lui-même n'ayant pas caché que ce voyage avait marqué, dans sa vie comme dans son oeuvre, un tournant décisif.

Lorsqu'il s'embarque en 1842 avec sa femme pour le Nouveau Monde, l'auteur d'Oliver Twist n'a pas trente ans mais se trouve être déjà un écrivain fêté des deux côtés de l'Atlantique.

Son périple le conduira dans tous les lieux-phares de la jeune Amérique - Boston, New York, Philadelphie (l'évocation dantesque du pénitencier de l'endroit est une grande page), Washington, les États du Sud, la remontée du Mississippi, le Niagara...

Mais rien de ce qu'il voit ne répond à ce qu'il attendait. Il espérait visiter le pays de la justice, de l'égalité, de la démocratie. Il découvre une société esclavagiste, brutale, cupide - et, par-dessus tout, d'un conformisme qui l'atterre.

L'ironie naturelle de l'écrivain, au fur et à mesure que nous progressons en sa compagnie, vire rapidement au noir.

Le récit, féroce, de cette déception, en vient ainsi, comme en filigrane, à se doubler d'un véritable réquisitoire contre les mirages du progrès : thème nouveau chez lui et qu'il reprendra bientôt, avec la même âpreté, dans un grand livre à venir, Martin Chuzzlewitt (1843-1844).

Dickens fut tout au long de sa carrière littéraire un inlassable marcheur et explorateur de Londres, de ses prisons, ses théâtres, ses monuments, ses rues commerçantes, ses gares, ses docks ses asiles pour les pauvres, ses taudis, et son œuvre romanesque est indissociable de ses enquêtes de journaliste. Cette fascination pour l'espace urbain apparaît dans les articles présentés ici, publiés dans les deux revues qu'il dirigea, Household Words et All The Year Round. Dickens aimait tout particulièrement déambuler dans Londres la nuit et ses récits, tout en prenant leur source dans des notations sur le vif, dérivent souvent vers l'imaginaire et le rêve, mêlant l'observation sociale et la veine visionnaire , avec parfois une intensité quasi hallucinatoire. On le voit ainsi accompagner des inspecteurs de police dans leurs tournées à travers les bas-fonds et les taudis de la capitale ou dans leurs patrouilles nocturnes sur la Tamise. Cette modernité de Dickens, qui le situe entre Dostoïevski et Chaplin, fait de lui un immense comédien de l'inhumain.

Charles Dickens

Les Grandes Espérances

Roman de l’enfance et de l’adolescence, histoire d’une éducation, aventure psychologique et morale de portée universelle, Les Grandes Espérances, avant-dernière œuvre achevée de Dickens, surprend par sa fraîcheur, le renouvellement constant de l’invention, le comique. Le héros-narrateur, Pip, passe de l’enfance dans un village, où il est apprenti forgeron, à une adolescence fastueuse et dissipée à Londres. Les moments pathétiques alternent avec les instants cocasses. L’histoire du forçat enrichi et condamné à mort est digne de Victor Hugo. La présence des rêves, ou de certaines scènes fantastiques, comme la vue soudaine des gibets à l’entrée de la ville, donne au roman sa dimension poétique.

Titre :

Courtes nouvelles pour lire dans le metro,

Recueil de nouvelles d' Une dizaines d' auteurs de tous bords.

Petite divinité domestique, tour à tour silencieuse et volubile, le grillon est l'âme de la maison. Symbole du bonheur et de la sérénité, il apaise les cœurs rongés par le doute, la colère et l'aigreur. Extraordinaire conteur, Dickens dénonce la misère de la société industrielle tout en évoquant la vie quotidienne avec humour et s'impose comme l'un des plus grands écrivains anglais du XXe siècle.

Le 9 juin 1870, Charles Dickens soulevait une incroyable controverse en emportant dans la tombe le mot de la fin de son dernier roman : Le Mystère d’Edwin Drood. Depuis, pas moins de deux solutions ont été proposées pour éclairer cette ténébreuse affaire. Mais personne n’avait encore songé à invoquer l’aide des plus grands détectives de tous les temps.

De Holmes à Maigret, de Poirot à Morlowe, Dupin, Wolfe et compagnie, les voici tous réunis à Rome, sous le patronage de sponsors japonais, pour tenter à leur tour de résoudre l’énigme.

Dans cet extraordinaire roman à six mains, l’Enquête de Fruttero & Lucentini croise sans cesse le Mystère de Dickens, l’éclaire, le complète et le dépasse, provoquant un double suspense irrésistible.

Some of the stories in this collection - such as Wells's The Country of the Blind and Joyce's The Dead - are classics; others - like Dickens's The Signalman and Lawrence's Fanny and Annie - are less well know. But all of them - whether funny, tragic, wry or fantastic - show their authors at their concise best. Which makes this representative collection, at the very least, ferociously entertaining.

Londres est dévastée par un fléau qui s'est rapidement répandu. Les déshérités des bas-fonds se sont transformés en morts-vivants et, en proie à une faim insatiable, ils affluent maintenant vers les beaux quartiers ! Seul le vieil avare Ebenezer Scrooge peut encore sauver Noël... Marvel présente Un chant de Noël zombie, une adaptation en bande dessinée du classique de Charles Dickens, agrémenté de quelques touches d'horreur ! Découvrez dans ce volume les épisodes Zombies Christmas Carol 1 à 5, écrits par Jim McCann et dessinés par David Baldeon.

Ce conte détaille les angoisses et les espoirs d'un vieux porteur dont le temps se passe à attendre les commissions dans la pluie et le vent, sous le beffroi lugubre d'une église de Londres. C'est l'un des textes les plus directement engagés de l'auteur, qui y réaffirme le droit des pauvres à la vie et à la dignité.

A rich & varied collection of the best short fantasy fiction of the last two centuries. Escape into the fantastic worlds of Charles Dickens, J.M. Barrie, Graham Greene, Harlan Ellison, and others found in these 38 magical tales.

La série BILINGUE de 12-21 propose :

• une traduction fidèle et intégrale, accompagnée de nombreuses notes

• une méthode originale de perfectionnement par un contact direct avec les œuvres d'auteurs étrangers

• une adaptation en version numérique étudiée, qui offre au lecteur trois manières de découvrir le texte : en version bilingue, en version originale et en version française.

Cinq auteurs incontournables :

Charles DICKENS (1812-1870) - The signalman / Le signaleur

Un cas de prémonition dans lequel Dickens s'essaie avec succès à la nouvelle fantastique.

Rudyard KIPLING (1865-1936) - The miracle of Purun Bhagat / Le miracle de Purun Bhagat

Comment un homme, après avoir conquis le pouvoir et la fortune, décide de terminer sa vie dans la pauvreté et la sagesse.

Joseph CONRAD (1854-1924) - The Lagoon / La lagune

Une histoire d'amour, de mort et de culpabilité dans la Malaisie mystérieuse chère à Conrad.

SAKI (1870-1916) - Tobermory / Tobermory

Un chat doué de la parole bouleverse les conventions sociales de la bourgeoisie anglaise.

D. H. LAWRENCE (1885-1930) - Second Best / Le deuxième choix

Une romance campagnarde qui, sous les dialogues rustiques, cache une grande subtilité psychologique.

Tandis qu'il compose le génial De grandes espérances, l'inlassable Charles Dickens fonde un nouveau périodique, "Ali the year round", dont il assure à lui seul une grande partie de la rédaction. L'un de ses porte-parole, une « identité » de rechange, sera le Voyageur sans Commerce: sous ce nom, il parcourt Londres, l'Angleterre, la France, en flâneur à l'oeil vif. On retrouve dans ces chroniques, rédigées jusqu'à sa mort en 1870, son goût pour l'errance - diurne et nocturne -, le détail pittoresque, le tableau touchant, macabre ou grotesque. Passant du trivial au fantastique, laissant libre cours à ses hantises et notamment sa fascination pour la mort, Dickens offre à ses lecteurs ébahis une vision de cet univers qui en fait l'un des plus grands écrivains de tous les temps. Inexplicablement inédits, ces textes méritent de rejoindre enfin ses chefs-d'oeuvre qu'ils éclairent d'un jour nouveau.

A compendium of thirty-six tales from the best in children's fiction contains The Tale of Peter Rabbit, as well as selections from The Railway Children and The Lion, The Witch, and the Wardrobe. "

Une tournée avec l’inspecteur Field s’effectue dans les bas-fonds de Londres, ces taudis où pullulent les escrocs, les mendiants, les prostituées, plus ou moins dangereux, tous connus de l’inspecteur qu’ils craignent et respectent…

Un soir, un vieux Londonien s'entend prier par une jolie petite fille de lui indiquer le chemin d'une rue située loin, très loin... II y conduit l'enfant et fait ainsi la connaissance du grand-père de Nelly, propriétaire d'un magasin d'antiquités. Ce vieillard, qui a aussi un garnement de petit-fils, entretient d'étranges relations avec un nain odieux; celui-ci, perfidement, le dépossède de son magasin... Alors, une nuit, Nelly et son grand-père, la main dans la main, doucement, sans bruit, s'enfuient de la maison…

Hans Christian Andersen's "The Snow Queen" has delighted readers for more than a century and inspired numerous adaptations. This anthology gathers 100 tales that share the winter theme of Andersen's classic. In addition to stories by Andersen and the Brothers Grimm, it includes works by Dickens, Louisa May Alcott, Wilde, selections from Andrew Lang's fairy books, and Alexandre Dumas's The History of a Nutcracker.

Les Papiers Posthumes du Pickwick-Club – Les Aventures d'Olivier Twist

Trad. de l'anglais par Francis Ledoux et Sylvère Monod. Édition de Pierre Leyris

Parution le 13 Octobre 1958

Bibliothèque de la Pléiade, n° 133

Achevé d'imprimer le 29 Juillet 1958

1488 pages, rel. Peau, 105 x 170 mm

60.50 € Acheter le livre

ISBN : 9782070101696

Code distributeur : A10169

GENCOD : 9782070101696

John Harmon returns to England after years in exile to claim his inheritance: a great fortune and a beautiful young woman to whom he is betrothed, but has never met. When Harmon's body is pulled out of the Thames, all of London is fascinated by the mystery of the murdered man and his unclaimed riches. Scavengers, social-climbers, lawyers and teachers, a money-lender and a dolls-dressmaker, men and women both honest and villainous, will all become embroiled in this tale of love and obsession, death and rebirth.

Aux abois, Naissance, Le Spectre de l'art, L'Etoile, Le Parent pauvre, Une histoire d'écolier, La Police de sûreté, Trois anecdote de police, Une tournée avec l'inspecteur, L'horloge de maître humphray

(Traduction de Robert de Cerisy) http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k68813p/f2

Nous sommes à Londres, au siècle dernier. Membres du même Club, M.Pickwick et ses amis - Tupman, Snodgrass, Winkle - se sont donné comme mission de voyager et de noter leurs impressions et les détails de leurs aventures. Or, celles-ci sont d'un extrême comique, car nos voyageurs sont naïfs, maladroits, sujets à des faiblesses et à de petites manies. De plus, ils se heurtent à un monde où grouillent les hypocrites et les filous. N'y était Sam Weller, le cocher au franc et savoureux parler, qui, avec son bon sens populaire, prévient les catastrophes, le voyage de la petite compagnie tournerait bientôt court.

Dans les aventures de M.Pickwick, Charles Dickens dénonce avec bonne humeur et un charme percutant les travers humains et une société si avide de gloriole et d'argent qu'elle en devient cocasse.

L'obscurité ne coûte pas cher, c'est pourquoi Scrooge l'aimait. Retrouvez dans ce conte doux-amer la plume acérée et savoureuse de Charles Dickens ; passez une soirée avec les fantômes avares certes mais festifs pour retrouver l'esprit de Noël, humanité et bonheur.

C’est la veille de Noël et tous s’affairent aux préparatifs. Mais, préférant la solitude à ces fêtes joyeuses, Ebenezer Scrooge refuse les invitations. Pour ce vieux grincheux que tous prennent soin d’éviter, Noël se résume à un simple mot : « Sottise ! ». Mais ce soir-là, les esprits de Noël en décident autrement. Plongé malgré lui entre passé, présent et futur, le vieux grippe-sou reçoit une leçon de vie.

«J’ai toujours été frappé de constater à quel point le courage fait défaut, y compris aux gens les plus intelligents ou les plus cultivés, lorsqu’il s’agit de se confier sur des expériences psychiques liées au surnaturel. Presque tous craignent de s’exposer aux soupçons ou aux rires si jamais ils se hasardaient à raconter une expérience de ce type, qui n’éveille ni parallèle ni écho dans la vie psychique de leur interlocuteur. Un voyageur honnête qui aurait vu quelque créature fantastique du genre des serpents de mer n’aurait aucune réticence à l'évoquer ; mais ce même voyageur, eût-il ressenti un pressentiment, un instinct, un rêve, une divagation étranges, ou ce que l’on nomme vision, ou encore toute autre impression psychique paranormale, hésiterait longtemps avant de l’avouer.»

Une jeune mariée disparaît mystérieusement, un esprit frappeur s’amuse dans le ventre de sa victime, un homme assassiné assiste au procès de son meurtrier… Quatre nouvelles grinçantes où Dickens mêle habilement angoisse et insolite, non sans une touche de malice.

http://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/Folio/Folio-2/A-lire-au-crepuscule-et-autres-histoires-de-fantomes

Un beau matin, en se rendant à son bureau, le roi Watkins Ier s'arrête chez le poissonnier pour acheter un morceau de saumon. C'est alors que la fée Grandmarina le charge d'un cadeau pour sa fille, la belle princesse Alicia: un magnifique saumon dont une arête, magique, lui apportera la chose qu'elle souhaite.

Mais cette arête ne peut servir qu'une seule fois... A Alicia de choisir le meilleur moment...

Sur fond d’un interminable procès, impliquant une cinquantaine de personnages, « Bleak House » est le grand roman juridique de Dickens, qui dénonce une institution devenue folle. Raconté par deux personnages différents, de manière très moderne, le récit met en jeu tout un réseau de coïncidences, plusieurs fausses pistes et nombre d’espoirs déçus ou trahis. Roman foisonnant où la justice tourne à l’absurde, où l’on enquête et juge à l’infini, « Bleak House » est aussi un roman policier dont le véritable héros est Londres, la ville à l’atmosphère empoisonnée par la révolution industrielle. Dans une veine à la fois satirique, sombre et constamment drôle, Dickens décrit un monde où la nature est peu à peu corrompue par l’homme, et signe là son passage définitif vers le roman total.

«Dickens (1812-1870) sut se forger, en utilisant ses souffrances d'enfant pauvre et négligé, une volonté de fer ; mise au service de son génie, elle lui permit de s'élever promptement à la gloire et à la fortune. Ses quinze romans n'absorbèrent qu'une part de son énergie prodigieuse, mais un siècle et demi de lecture et de critique n'en ont pas épuisé les richesses artistiques. C'est dans David Copperfiled, centre d'une œuvre en constante recherche et où se côtoient avec bonheur l'humour et le pathétique, que Dickens s'est peint le plus directement.»

Sylvère Monod.

Great Expectations has it all: romance, mystery, comedy and unforgettable characters woven through a gripping rags-to-riches tale. Naïve Pip, creepy Miss Haversham, beautifully cold Estella, terrifying Abel Magwitch and the rest of Dicken's fantastic cast are perfectly envisioned in this new adaptation in this 300 plus page volume featuring artwork by artist Nokman Poon.

Charles Dickens fit de la fête de Noël celle de la famille, de la réconciliation et des bons sentiments.

Avec la publication en 1843 de son célébrissime Chant de Noël, il invente un genre qu'il enrichira notamment avec Les Carillons (1844), Le Grillon du foyer (1845), La Bataille de la vie (1846) et L'homme hanté (1848).

Le maître de la littérature britannique conte Noël C'est l'un des mérites de Dickens d'avoir remis Noël a l'honneur. Hissant le 25 décembre au rang de " meilleur jour de l'année ", il fait de cette fête celle de la famille et de la générosité .

Le célèbre Cantique de Noël (1843) conte la rédemption de Scrooge, vieil avare égoïste, ennemi des réjouissances, dont trois fantômes vont attendrir le cœur.

Les Carillons (1844) et Le Grillon du foyer (1845), paraboles sur les bienfaits du bonheur domestique, mettent a l'honneur la dinde, les cadeaux et le sapin, devenus les symboles de ce jour de joie.

« Fantômes ! Esprits vengeurs des pensées impies, ayez pitié de moi !… Laissez sortir mon esprit de ses ténèbres !… Poursuivez-moi nuit et jour, ou défaites ce que vous avez fait ! Je resterai maudit, mais rendez du moins la paix à ceux que j’ai voués à la malédiction. »

Telles sont les supplications du Dr Redlaw, savant qu’un pacte maléfique a doté du pouvoir d’oublier le passé… mais aussi de communiquer ce sort à tous ses semblables. Tous, à l’exception d’un enfant difforme et sauvage, sans nom et sans famille, plus proche de l’animal que de l’humain…

Conte de Noël aux dimensions d’un court roman, Le Possédé (1848) se complète ici du Signaleur (1866) et de La Maison hantée (1859), satire drolatique des histoires de spectres en vogue dans l’Angleterre victorienne.

1775. Après une longue détention à la Bastille, le Dr Manette part retrouver sa fille, Lucie, à Londres. C'est également dans cette ville que vivent Charles Danay, un aristocrate français en exil, et Sydney Carton, un brillant avocat, tous deux fous d'amour pour cette dernière. Sur fond de Révolution française, ces personnages sont bientôt plongés dans les tumultes de l'histoire.

Voici rassemblés dans ce volume dix contes de Noël, sous la plume d'auteurs connus et moins connus, que chacun aura plaisir à découvrir dans une forme illustrée. Un livre des familles à s'offrir pour retrouver, en cette période de l'année, le caractère intemporel de ces textes, soutenus par une iconographie du XIXe, réhaussée d'une mise en page originale.

Ce recueil rassemble les contes suivants :

- L'arbre de Noël de Charles Dickens

- Conte de Noël de Guy de Maupassant

- La petite fille aux allumettes de Hans Christian Andersen

- Le louis d'or de François Coppée

- Le Noël du petit joueur de violon de Camille Lemonnier

- Les trois messes basses d'Alphonse Daudet

- Un conte de Noël de Maxime du Camp

- Nuit de Noël de Guy de Maupassant

- Le sapin de Hans Christian Andersen

- Un chant de Noël de Charles Dickens

Un soir de Noël, un savant solitaire hanté par un douloureux passé reçoit la visite d'un fantôme (son double) qui lui propose d'effacer de sa mémoire tous ses mauvais souvenirs et de lui accorder le pouvoir de faire oublier leurs souffrances à tous ceux qu'il approchera.

L'Homme hanté est moins une histoire de fantôme à proprement parler qu'une illustration du rôle essentiel que jouent l'inconscient et les souvenirs refoulés dans le psychisme humain. Dickens pressent ici les futures découvertes de la psychanalyse (le texte date de 1848), tout en réfléchissant sur les relations entre la mémoire, la vie morale et les responsabilités sociales, un thème qu'il développera par la suite tout au long de son oeuvre.

This holiday season, relive the beloved musical film The Muppet Christmas Carol —now an illustrated storybook!

The classic holiday film The Muppet Christmas Carol comes to life in this illustrated storybook for kids. Narrated by The Great Gonzo as Charles Dickens, with help from his pal Rizzo the Rat, this fully illustrated children’s book retells the classic story of the beloved original film starring Michael Caine as Scrooge, Kermit the Frog as Bob Cratchit, and Miss Piggy as Mrs. Cratchit.

In the Muppets’ version of Dickens’s timeless tale, Ebenezer Scrooge, a bitter and mean old man, sees the error of his ways after meeting three strange ghosts—and a whole lot of Muppets—one snowy Christmas Eve. Featuring the entire Muppet cast, this is a hilarious and heartwarming story about the importance of spreading love and kindness throughout the whole year. A colorful storybook celebrating a funny and festive family favorite, it’s the perfect way to get into the holiday spirit year after year!

Un nouveau classique adapté dans la collection Pépites !

Ebenezer Scrooge est un homme avare, égoïste, aigri par la vie. Il déteste la fête de Noël et tout ce qu'elle représente.

Un soir de réveillon, alors qu'il a été affreusement désagréable comme à son habitude, le fantôme de son ancien associé, Marley, le met en garde : S'il ne change pas rapidement de comportement, il errera lui aussi avec le poids de ses fautes pour l'éternité...

Trois esprits, trois Noëls, trois chances de devenir meilleur.

Londres, 1843.

Tous les habitants, les mieux lotis comme les plus démunis, s'apprêtent à fêter Noël.

Tous, à l'exception de Scrooge. Aux yeux de cette riche commerçante, insensible au malheur des autres comme à l'atmosphère de liesse qui baigne la cité, seuls le travail et l'argent ont de l'importance.

On la dit radine, égoïste et mesquine. Elle préfère considérer qu'elle a l'esprit pratique. Et tandis que les festivités illuminent la ville et le coeur de ses habitants, Scrooge rumine sa misanthropie...

Une nuit, des esprits viennent lui rendre visite. Ils l'emmènent avec eux, à la rencontre de la jeune fille qu'elle était, quelques années plus tôt, lorsque la cupidité n'avait pas encore rongé son coeur. Mais aussi à la découverte de celle qu'elle aurait pu devenir si elle avait choisi la voie de la bonté...

Après le Bartleby d'Herman Melville, José Luis Munuera adapte librement un autre classique de la littérature anglo-saxonne : Un chant de Noël, de Charles Dickens.

Munuera s'empare ainsi d'un des chefs-d'oeuvre de l'écrivain anglais, paru en 1843, et féminise le personnage de Scrooge. Une relecture délicieuse, à savourer pour les fêtes !

(Résumé éditeur - Dargaud)

Résumé

En 1836, Charles Dickens publie son premier livre, les deux volumes des Esquisses de Boz, recueil de nouvelles et d’esquisses de personnages et de lieux, dont la plupart avaient déjà paru dans divers journaux et magazines, sous le pseudonyme de Boz. L’ouvrage, dans sa version définitive publiée en 1839, contient cinquante-six morceaux, regroupés en quatre sections et subdivisés en chapitres : “Notre paroisse” (7 chapitres) – “Scènes” (25 chapitres) – “Personnages” (12 chapitres) – “Récits” (12 chapitres). On trouvera ici réunis pour la première fois dans une édition séparée les douze nouvelles composant la quatrième partie de l’oeuvre. Les nouvelles qui terminent l’ouvrage s’échelonnent de 1833 à 1836. Elles appartiennent donc à un Dickens encore très jeune. On y reconnaît les premières vigoureuses manifestations de son génie, la drôlerie, la perception des caractères, l’observation des détails, la vérité du tableau, du sentiment, du pathétique, et l’aisance dans la conduite de la description ou du récit.

Charles Dickens (1812-1870) est la figure majeure du roman victorien. Il n’est pas seulement le génial inventeur de personnages inoubliables, le révolutionnaire du marché de la littérature ou le peintre implacable des scandales de la société industrielle du XIXe siècle. Dickens est tout simplement l’un des plus grands romanciers de l’histoire de la littérature, dont les thèmes (il introduit l’enfant comme personnage central dans le roman) et les formes (fusion du réel et de l’imaginaire, déformation “grotesque” du sujet humain, roman à deux voix, intrigues concurrentes, etc.), modifient durablement la conception de l’écriture romanesque.

This collection features fifty-five frightful works of disturbing drama, gruesome gore, and psychological horror by authors such as Edgar Allen Poe, H. P. Lovecraft, Henry James, Washington Irving, and many others. In this Canterbury Classics Leather-bound book will find chilling stories about everything from a cursed monkey paw, to vampires, ghosts, and even a beating heart without a body.

This Leather-bound Classics series edition book, only recently put together by Canterbury Classics, has a beautiful leather-bound cover featuring a spooky graveyard complete with a spooky tree, bats, and holographic foil stamping. Inside the book there are fully colored end-papers, acid-free ivory paper with gold gilded edges, and a sewn-in satin ribbon bookmark.

---

55 Short Stories Included

The Tell-Tale Heart, Edgar Allan Poe (1843)

Dracula’s Guest, Bram Stoker (1914)

The Devil and Tom Walker, Washington Irving (1824)

An Occurrence at Owl Creek Bridge, Ambrose Bierce (1891)

Kerfol, Edith Wharton (1916)

The Elixir of Life, Honoré de Balzac (1830)

The Fall of the House of Usher, Edgar Allan Poe (1839)

The Case of Lady Sannox, Arthur Conan Doyle (1893)

Young Goodman Brown, Nathaniel Hawthorne (1835)

The Turn of the Screw, Henry James (1898)

The Willows, Algernon Blackwood (1907)

The Shunned House, H. P. Lovecraft (1924)

The Pit and the Pendulum, Edgar Allan Poe (1842)

The Vampyre, John William Polidori (1819)

One Summer Night, Ambrose Bierce (1893)

For the Blood Is the Life, F. Marion Crawford (1905)

Count Magnus, M. R. James (1904)

The Body-Snatcher, Robert Louis Stevenson (1881)

Sredni Vashtar, Saki (1911)

The Horla, Guy de Maupassant (1887)

The Raven, Edgar Allan Poe (1845)

The Man Who Found Out, Algernon Blackwood (1912)

La Grande Bretèche, Honoré de Balzac (1831)

The Terror of Blue John Gap, Arthur Conan Doyle (1910)

The Yellow Wallpaper, Charlotte Perkins Gilman (1892)

The Masque of the Red Death, Edgar Allan Poe (1845)

The Metamorphosis, Franz Kafka (1915)

The Outsider, H. P. Lovecraft (1926)

The Monkey’s Paw, W. W. Jacobs (1902)

Canon Alberic’s Scrap-book, M. R. James (1894)

Present at a Hanging, Ambrose Bierce (1888)

The Room in the Tower, E. F. Benson (1912)

The Trial for Murder, Charles Dickens (1865)

William Wilson, Edgar Allan Poe (1839)

Afterward, Edith Wharton (1910)

The Succubus, Honoré de Balzac (1833)

The Damned Thing, Ambrose Bierce (1894)

The Tree, H. P. Lovecraft (1921)

The Empty House, Algernon Blackwood (1906)

The Bottle Imp, Robert Louis Stevenson (1891)

The Screaming Skull, F. Marion Crawford (1908)

The Judge’s House, Bram Stoker (1891)

The Black Cat, Edgar Allan Poe (1843)

The Open Window, Saki (1914)

Rappaccini’s Daughter, Nathaniel Hawthorne (1844)

Sir Edmund Orme, Henry James (1891)

A Ghost, Guy de Maupassant (1883)

In the Penal Colony, Franz Kafka (1919)

The Signal-Man, Charles Dickens (1866)

Lost Hearts, M. R. James (1904)

An Inhabitant of Carcosa, Ambrose Bierce (1887)

The Damned, Algernon Blackwood (1914)

The Japanned Box, Arthur Conan Doyle (1899)

The Tomb, H. P. Lovecraft (1922)

The Cask of Amontillado, Edgar Allan Poe (1846)

Cantique de Noël" par Charles Dickens.

Avec les illustrations par John Leech.

Traduit par Mlle de Saint-Romain et André de Goy, sous la direction de Paul Lorain (1890).

Cantique de Noël, également publié en français sous les titres Un chant de Noël, Chanson de Noël ou Conte de Noël, est le premier et le plus célèbre des contes écrits par Charles Dickens. Rédigé en même temps que Martin Chuzzlewit et paru en décembre 1843 chez Chapman and Hall avec des illustrations de John Leech, il est considéré comme « son œuvre la plus parfaite ». Aussitôt, Thackeray le salue comme un « bienfait national ». Acclamé par les critiques comme par le public, sa popularité n'a jamais faibli. Son protagoniste, Scrooge, reste sans doute le personnage dickensien le plus universellement connu et, grâce à ce livre, Dickens, incarné en une sorte de Père Noël pour le monde anglo-saxon, a été décrit comme l'« inventeur » de la fête qui lui est associée.