Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 579
Membres
1 012 903

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode
Lire la suite...

Commentaires sur ses livres

Charles Williams

Par vanitalia le 7 Octobre 2023 Editer
vanitalia
Agréable moment de lecture.
A propos du livre :
Ont-ils des jambes ?
Ont-ils des jambes ?
Par coxidi le 6 Mars 2022 Editer
coxidi
Lecture un peu surréaliste. Les personnages sont complètement barrés. Les situations sont loufoques. Bonne lecture, se lit vite.
A propos du livre :
Le Bikini de diamants
Le Bikini de diamants
Par Steph_P le 12 Novembre 2021 Editer
Steph_P
John Ingram, ancien marin, et passionné de navigation, emmène son épouse Rae en lune de miel, et ensemble ils traversent l'océan Pacifique. Alors que l'océan est calme depuis plusieurs jours, ils aperçoivent un canot qui vient à leur rencontre. le jeune homme, quelque peu affolé, leur raconte que les autres passagers ont été victimes de botulisme, et que le bateau est en train de couler.
Légèrement sceptique, Ingram décide d'aller constater les dégats par lui-même. Et alors que ce qu'il découvre est loin de ce qu'il avait imaginé, il voit son bateau s'éloigner, sa femme étant restée à bord avec le naufragé.
Débute alors une course contre la montre, dans une atmosphère tendue, Ingram tente de retrouver son bateau, en plein milieu de l'océan Pacifique, à bord d'un yacht qui prend l'eau de toutes parts...
Suspense bien ficelé, histoire bien menée, et rebondissements jusqu'à la fin, ce titre des années 50 est toujours très actuel !
A propos du livre :
Calme plat
Calme plat
Par Taipan le 15 Janvier 2021 Editer
Taipan
Des arnaqueurs qui s'arnaquent a tour de bras en montant des coups fumants. C'est un livre agréable qui se lit assez facilement avec happy end et une note de moralité.
A propos du livre :
Peaux de bananes
Peaux de bananes
Par PaperStreetSoapCo le 7 Avril 2020 Editer
PaperStreetSoapCo
Commentaire souvenir sur ce titre méconnu de Charles Williams, lu il y a maintenant une dizaine d'années. Un très bon roman noir, offrant un savant mélange d'action et de suspense qui flotte sur une intrigue policière typique de l'époque, une histoire d'accident et d'arnaque à l'assurance qui se transforme en une affaire de vengeance et d'extorsion, avec au menu meurtre et chantage sur fond de relation extra-conjugale, avec femme fatale, fatalité et tragédie en conclusion, le tout dans la poussière et la chaleur d'un Texas assoupi digne représentant d'une Amérique profonde et sombre.

Un problème majeur toutefois, la traduction. D'un autre temps, dans le ton de ce qu'il a y de moins bon à la Série Noire, l'époque des coupes dans le texte, de l'usage abusif du slang (bon, pas ici, et tant mieux) et des approximations culturelles. Des fois, clairement, ça rend bien et, si l'on peut ne pas apprécier la méthode, sur certains titres, c'est ce qui a donné ce ton canaille et drôle à la collection à ses débuts, que, personnellement, j'aime beaucoup. Là, dès le départ, c'est la sortie de route, comme le pauvre narrateur de cette histoire. Quel pauvreté littéraire, on sent l'histoire, sa qualité, son rythme, mais elle ne vient pas naturellement, rien à voir avec le Charles Williams que l'on trouve chez Rivages/Noir ou que l'on redécouvre chez Gallmeister, ou même dans d'autres titres de l'époque chez Gallimard. J'espère que Gallmeister pensera à retraduire ce titre, il le mérite.

Petite curiosité, ce roman a par ailleurs été adapté au cinéma, par un réalisateur français (comme beaucoup de livres de Charles Williams et de polars de la Série Noire de l'époque d'ailleurs) dans les années 1960. Jean Valère, puisqu'il s'agit de lui, signe une honnête adaptation, dans le Paris des années 1960 et le béton frais d'Etretat, quoi qu'un brin molle et un poil trop longue, en transposant l'action en France, avec Emmanuelle Riva, Hardy Kruger et Francisco Rabal dans les rôles principaux. Agréable à regarder, vite oublié.
A propos du livre :
Avec un élastique
Avec un élastique
Par Irene-Adler le 12 Août 2019 Editer
Irene-Adler
Dans les romans de Charles Williams, les femmes ont toujours un rôle à jouer, que ce soit celui de la garce ou de l’innocente jeune fille.

D’un côté, la salope prête à tout pour arriver à ses fins (Dolores Harshow) et de l’autre, la brebis pure et vierge (Gloria Harper).

Et au milieu coulera un homme (et pas une rivière) nommé Harry Madox.

Un homme qui se demandera ce qu’il a pu faire au bon Dieu pour tomber dans une merde pareille, oubliant par là même qu’il a commencé tout seul par se mettre dans la merde.

Il est plus facile, pour devenir riche, de braquer une banque que de bosser honnêtement. Personne ne devient riche en restant dans les lignes, sauf à inventer et déposer le brevet d’une chose dont personne ne pourra plus se passer (la fermeture Éclair).

De Harry Madox nous ne saurons rien, ou si peu. De son passé, on se doute qu’il est un peu sombre puisqu’il débarque dans une petite ville et arrive à se faire engager comme vendeur de voiture, nous saurons qu’il a une ancienne petite amie mais rien de plus.

Ce n’était pas utile d’en savoir plus car ce qui fait le sel de ce roman, ce sont les événements qui vont découler d’un simple incendie et d’une banque vidée de son personnel, tous occupés à regarder le feu.

À partir du moment où Madox va décider de braquer cette banque, tout va partir en couilles, chaque chapitre le faisant sombrer un peu plus dans un tourbillon dont il aura bien du mal à s’en extirper car la garce et la brebis lui ajouteront des misères sur le dos, sciemment ou pas.

Oui, chez Charles Williams les femmes ont leur importance ! C’est souvent par elle qu’arrive les ennuis ou qu’ils se poursuivent (La fille des marais / Vivement dimanche !), entraînant le pauvre bougre dans un engrenage d’où il ne pourra plus s’extirper. D’ailleurs, plus il se débattra et plus il s’enfoncera.

Ce roman noir est retors, cynique, horrible. Les personnages sont à fond dans leur rôle et on a de la sympathie pour notre braqueur car s’il est un voleur, il n’a blessé personne lors de son vol.

L’auteur a soigné ses personnages, le shérif n’est pas un imbécile, c’est un vicieux, un malin et Sutton, le type abject qui a l’air d’un crétin ne l’est peut-être pas tant que ça. Quant aux femmes, elles sont fatales, que ce soit la souris ou la salope, la Vierge Marie ou la putain.

Le scénario est aux petits oignons, épicé à souhait, torride (autrement qu’avec le sexe) et la scène sous la pluie est bourrée de tension et a fait monter mon palpitant à un rythme un peu trop soutenu.

Un roman noir qui met en place un triangle amoureux mais sans la mièvrerie qui va souvent avec, un triangle amoureux où les êtres vont trinquer car Williams est sans pitié pour ses personnages et n’hésite pas à les malmener, à les laisser sans voix devant le piège à loup qui leur emprisonne la jambe.

Hot Spot a beau être un oldies de 1953, il pourrait toujours être d’actualité de nos jours car les pièges aussi retors sont monnaie courante dans l’Histoire des Hommes et ce que femme veut, Dieu peut, mais puisqu’on dit aussi qu’on n’est jamais aussi bien servi que par sois-même…

Une fois de plus, Charles Williams m’offre un petit bijou de noirceur, de cynisme, de sadisme, de diableries, de perversité, d’êtres retors, de scélératesse, de perfidie, de perversion, de vicelardise (comment ça, le mot n’existe pas ?) et de femmes fatales pour tous ceux qui portent un futal.

À déguster sans modération, avec un glaçon, car ce café noir a atteint le point le plus chaud niveau ruses et rosseries. Il ne fait pas bon être un ange au pays de Williams car avec lui, même les anges ont leurs petits secrets guère reluisants.

PS : à noter que ce bijou noir avait été précédemment publié chez la "Série Noire" sous le titre explicite de "Je t’attends au tournant" qui, pour une fois, était un bon titre bien explicite. Il va sans dire que la nouvelle édition de Gallmeister a une nouvelle traduction qui n’est pas tronquée, comme c’était le cas avant à la Série Noire.
A propos du livre :
Hot Spot
Hot Spot
Par Christele-1 le 3 Février 2019 Editer
Christele-1
On a beau sentir venir les problèmes, les malheurs incontournables et savoir que « Bien mal acquit ne profite jamais » le destin d’Harry est déjà écrit et nous sommes juste l’œil qui regarde la fourmi au microscope se débattre dans des ennuis sans fin. J’ai aimé cet angle de vue que l’on retrouve rarement dans les polars modernes, à savoir qu’il y a un prix à payer pour chaque acte illégal commis. J’ai beaucoup aimé le style de l’auteur qui avec peu fait beaucoup, une atmosphère intense, émotionnellement forte et pas mal de dérision. Un véritable petit bijou que ce polar noir tout cela en à peine 224 pages un condensé qui envoi du bois comme jamais.
On est au début des années 50, Maddox ancien de la marine, frondeur et opportuniste vient d’être embauché comme vendeur de voitures dans une petite ville du Texas. Incapable de résister à la tentation, que ce soit celle d’une banque ou celle des deux femmes qui croiseront sa route. D’un côté Dolly Harshaw, la femme de son patron, voici comment Maddox nous la décrit :
« J’ai pensé à une pêche pulpeuse et légèrement talée, qui commençait à se gâter. Elle était à mi-chemin entre succulente et épanouie, et d’ici un an ou deux, à force de rester allongée à lever le coude, elle deviendrait sans doute rougeaude. »
Pour contrebalancer cette vamp instable, il y a la jeune Gloria, l’innocence faite femme, dans toute sa splendeur cachant pourtant de vilains secrets. On rencontrera aussi un maître chanteur et un flic tenace de quoi faire prendre la sauce. En revanche on en apprendra très peu sur notre narrateur principal Maddox, qui reste avec de nombreuses zones d’ombre, pourtant en le voyant évoluer tout au long du roman, on finit par connaitre sa façon de penser, de ressentir et de faire. L’intériorité narrative de Maddox est assurément un plus. Je suis ravie d’avoir découvert cet auteur aux multiples talents. Bonne lecture.
A propos du livre :
Hot Spot
Hot Spot
Par Irene-Adler le 22 Décembre 2018 Editer
Irene-Adler
Sorti sous le titre loufoque de "Fantasia chez les ploucs", ce roman m’avait fait passer quelques belles heures de lecture drôle et ponctuée d’éclats de rire à cause de l’oncle Sagamore et de ses réparties à se pisser dessus.

Oui mais voilà, la traduction n’était pas fidèle, ce qui fait que lorsque Gallmeister (loué soit-il) l’a réédité en version française conforme, j’ai sauté dessus dans le but unique de me replonger dans cette aventure loufoque et décalée.

Loufoque parce que pas vraiment réaliste, mais entre nous, on s’en fout tant c’est bourré d’humour, rempli de situations cocasses et de personnages bien campés, hauts en couleur.

Décalé parce que le récit est raconté par Billy, le fils de Sam Noonan (Pop), 7 ans. Lui, il ne comprend pas bien ce qui se trame sous ses yeux, il est innocent… Mouais, peut-être pas tant que ça… Sachant que Billy a fréquenté les champs de courses avec son père qui est trafiquant de pronostics, on peut se poser des questions.

En tout cas, du haut de sa candeur infernale, il ne comprend pas ce que son oncle Sagamore trafique dans ses baignoires avec ses peaux de bêtes qui y trempent avant d’être tannées, sauf que, ça tourne toujours en eau de boudin puisque exposées plein soleil et que ça dégage une odeur pestilentielle de 10.000 rats morts. Horrible !

Marrant aussi, cette fumée qui sort de la cheminée alors que le poêle est froid, tout comme les cendres, bizarre que Pop (le père de Billy), disparaisse ainsi avec son frère (Oncle Sagamore) dans la maison, sans qu’il les retrouve, et ne parlons même pas de ces flics qui déboulent tous les jours dans la ferme avec des motifs des plus étranges.

Le lecteur comprend très vite ce que trafique Sagamore dans sa ferme, on se marre avec ces flics cons (très cons), ce shérif plus excité qu’un morpion au salon du sexe non épilé et on se fend la poire à écouter oncle Sagamore qui déblatère sur les politiciens.

C’est tout simplement un régal pour fin gourmet (ils en prennent pour leur grade, les politiciens).

Là où se trouve le génie de Charles est dans le fait que, à première vue, Sagamore Noonan a l’air d’un crétin fini, un imbécile, un plouc parfait, sorte d’agriculteur qui n’a jamais bossé dans sa vie, qui ne cultive rien, qui n’élève rien, qui ne paie plus ses impôts depuis 1937 (nous sommes en 1956) mais qui, à l’entendre, bosse comme un fou plus de 18h par jour ! Vu ainsi, il a tout de l’imbécile du village, le gentil benêt.

Ne vous fiez pas à l’apparence débraillée et à l’indolence de Sagamore car c’est un génie de le plus pure espèce, mais il le cache bien, et tout le piment se trouve là.

Il compte mieux que personne, sait comment faire pour gagner de l’argent sans trop se remuer, a des bonnes idées et il faut le voir faire tourner en bourrique les flics du coin qui essaient de le coincer depuis des décennies ! C’est délectable de lire comment Sagamore a tout prévu, tout pensé, et comment il leur balance l’affaire avec l’air de ne pas y toucher, sans mentir, bien souvent, ou en trafiquant un peu la vérité.

La nouvelle traduction n’était pas un luxe, elle lui rend hommage en utilisant les bons mots et ce fut un véritable régal de le relire après 12 ans, quasi jour pour jour.

Un roman noir qui fait la part belle à un anti-héros et à son frère, qui se joue de l’innocence d’un jeune garçon, de la bêtise de la maison poulaga, qui se joue aussi de la folie des hommes qui, dès qu’une jeune fille en bikini très léger se perd dans la forêt, accourent de tous les côtés, la langue pendante et la bite en l’air (ça, on ne le dit pas mais je suppute).

Un roman noir frais, enlevé, drôle, politiquement incorrect, et qui fait tourner chèvre deux flics et leur chef, sans parler de toute une région.

Un roman noir culte et là, rien pour le cacher, même pas de petits bouts de tissus recouverts de diamants. C’est un diamant à lui tout seul.
A propos du livre :
Le Bikini de diamants
Le Bikini de diamants
Par nodashi le 18 Janvier 2018 Editer
nodashi
L'histoire est classique mais le style réussit à rendre drole et jubilatoire ce concept vieux comme le monde. Un sherif honnête et deux vieux filous vachard qui passent leur temps à le troller.
Dur de lire ce livre sans avoir le sourire.
A propos du livre :
Le Bikini de diamants
Le Bikini de diamants
Par Donzearo le 1 Septembre 2017 Editer
Donzearo
Jubilatoire !!!! Trop court mais efficace. Cette histoire, vécu à travers les yeux d'un enfant de 7 ans dont la naïveté n'a d'égale que la filouterie des ses aînés, se dévore sans lever une fois les yeux de ce livre.
A propos du livre :
Le Bikini de diamants
Le Bikini de diamants
Par Nathacid le 22 Juillet 2015 Editer
Nathacid
Un livre pour le moins "spécial". Un humour comme je n'en avais jamais lu, beaucoup de sens caché. Pour l'originalité, chapeau.
Après, ce n'est pas un livre que je garderai dans ma bibliothèque ou que je conseillerais à des lecteurs "novices".
A propos du livre :
Le Bikini de diamants
Le Bikini de diamants
Par ElsaCaddie le 3 Mai 2014 Editer
ElsaCaddie
Un livre qui se lit bien, qui permet de se détendre et de passer un bon moment.
A propos du livre :
Le Bikini de diamants
Le Bikini de diamants
Par estelle76380 le 8 Juillet 2012 Editer
estelle76380
Drôle, ce lit rapidement, il faut seulement savoir lire entre les lignes pour comprendre
A propos du livre :
Le Bikini de diamants
Le Bikini de diamants

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode