Chris Bachalo

plutôt sympathique et mieux que le précédent.

Que de découverte pour moi, je ne connais pas du tout le personnage ni vraiment les comics. Malgré quelque difficulté a comprendre le déroulement de l'histoire j'ai quand même appréciée de lire ce comics.

J'aime beaucoup Strange et l'univers qui l'entoure. Ce livre permet de cerner le personnage grâce à deux histoires, dont l'une qui raconte les prémisses de son aventure.

Entre le rêve et la réalité il y a Neil Gaiman, mon auteur favori. Une fois encore il arrive à créer tout un univers complexe mais néanmoins accessible, des personnages haut en couleurs, de toutes origines mais qui restent facilement identifiable, d’ailleurs pas besoin pour moi d’un homme blanc dans la trentaine pour que je m’identifie à plusieurs de ses personnages Il arrive à créer le lien comme d’autres créé une œuvre d’art.

En parlant d’art, les illustrations sur superbes, dans un pur style années 80 avec beaucoup de couleurs flashy et j’adore, mes yeux ont envie de se poser de partout.

Pour l’intrigue on reste dans l’univers de Sandman, le maître des rêves est un spin-off mais tout aussi qualitatif que la version de base. On navigue entre le rêve et la réalité, il vaut mieux avoir lu Préludes et Nocturnes avant d’entamer ce chapitre au risque de ne pas tout comprendre. Autrement aucun problème à signaler, tout se lit avec beaucoup de fluidité, le suspens est présent, des questionnements mais aussi des réponses sont apportés dans ce tome.

Encore un excellent comics dans l’univers de Sandman, cette fois centré sur le personnage de Death, la sœur aînée de Dream.

Tous les cent ans, la Mort devient mortelle pour une journée afin de mieux comprendre la vie.

C’est un recueil de plusieurs histoires, certaines déjà rassemblées dans le comics original, d’autres inédites. Dans l’ensemble, je les ai toutes beaucoup appréciées, j’ai bien retrouvé cette atmosphère douce-amère, poétique, sombre et un peu folle à la fois qui me plaît tant dans cette série.

Comme toujours, le dessinateur change d’une histoire à une autre, et le graphisme aussi. Le comics date donc certains styles sont un peu vieillots, mais rien qui n’empêche d’apprécier la lecture.

La Mort est extrêmement attachante, le genre de personne dont on a envie qu’elle soit notre meilleure amie. Pétillante et positive, empathique, juste doucement cinglée comme il faut, elle aime le monde et les gens comme ils sont sans les juger. Avec son allure d’adolescente gothique et filiforme, une ankh toujours pendue au cou et une virgule noire pour souligner son regard, elle est loin de la représentation habituelle de la faucheuse sinistre.

On retrouve également quelques personnages récurrents de Sandman, comme Hettie la folle, Foxglove et Hazel.

A noter que malgré les références à certains événements passés, ce recueil peut se lire sans avoir lu les autres tomes de Sandman.

un très bon comics, avec des dessins impressionnants et très beaux.

Sympa. Dans une première partie on a l'origin story du personnage, dans la seconde, un peu plus originale, voire délirante, on a le docteur (bien différent, graphiquement et en tant que personnage) et ses compagnons face à un ennemi tenace.

Un recueil qui vaut le détour et qui s'adresse aussi bien aux lecteurs affirmés de l'univers, qu'à ses néophytes. Le personnage de la Mort, deuxième personnification la plus représentée après l'éponyme et complexe Rêve, est aux antipodes de son frère. Là où Morphée se révèle morose, sépulcral et solitaire, sa soeur se révèle être, en dépit de sa vocation, d'une personnalité bien plus attachante, compatissante et légère.

Salut mes Phoenix!

Voici une histoire du « grand » Spidey. (Par opposition à Morales).

Alors que c'est l'anniversaire de tante May et que cette fois Peter entend bien le fêter dignement, mais un chauffard manque de tuer des gens et Spidey se lance à sa poursuite.

Après le thème de la jeunesse dans la lecture d'avant, celui de la culpabilité « je ne suis pas tel qu'on me décrit dans les médias » « je voulais pourtant faire le bien »

C'est assez incongru « le nouveau super vilain à la voiture bélier » est en fait un fan absolu de Spidey. Il demande s'il peut garder les preuves… Quelquefois, on se met à dos ses meilleurs idoles et plus souvent qu'il n'y paraît. C'est un moyen comme un autre d'attirer l'attention.

Dans la deuxième histoire Spider-man se fait discret. Il se fait désirer. Ce qui cause la ruine de Jameson qui en faisait son pain quotidien.

Peter esquive une meuf super canon qui l'a embrassé à une soirée. Rhô ! Mais pourquoi tu profites pas un peu plus de la vie, Spidey ?...

Cent jours et toujours pas de nouvelles de Spider-man ! Cependant celui-ci est bien forcé de refaire surface lors d'un braquage.

Alors qu'il sauve des gens Spidey se fait houspiller. On marche sur la tête !

Avant ils se contentaient de l'insulter mais maintenant ils le frappent et tout… le justicier mal aimé ! Alors qu'il a tout pour plaire ! N'est-ce pas un paradoxe ?

Peter Parker se force à travailler pour un job qu'il n'aime pas mais très lucratif.

Une nouvelle super vilaine en ville « Paper Doll »

Ce n'est pas « chiant » mais c'est assez long à écrire/lire (349 pages) une critique qui m'a donc demandé pas mal d'investissement.

C'est dingue que les méchants ne comprennent pas que Parker = Spider-man.

Ces même personnes se font mousser au près des citoyens en présentant Spidey comme un danger public.

Parker s'allie avec le nouveau personnage « Anti-Venom »

(Comme son nom l'indique !).

Phoenix

++

C'est cool de voir un gentil Venom, mais l'histoire manque d'étoffe.