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Tous les livres de Christian Baudelot

De la maternelle à la faculté, les filles sont les meilleures. Mais sur le marché du travail français, elles ne sont ni les premières, ni les mieux payées. Pourquoi un tel gâchis de compétences ? Après plusieurs années d'enquête, les auteurs constatent que la famille et les entreprises ralentissent insidieusement la percée des femmes... Allez les filles !

L'impact de la société sur un acte aussi individuel que le suicide est peut-être l'énigme majeure à laquelle les sociologues, depuis Durkheim, ont été confrontés. Pourquoi les hommes se tuent-ils plus que les femmes ? Les jeunes moins que les vieux ? Les urbains plus que les ruraux ? Les catholiques moins que les protestants ? Pourquoi le dimanche moins que le lundi ? Et l'été plus que l'hiver ? En temps de paix plus qu'en temps de guerre ? Nous disposons, aujourd'hui, sur toutes ces questions, d'informations sérieuses à l'échelle de la planète. Et c'est dérangeant pour l'esprit. La croissance du taux de suicide avec l'âge pouvait passer pour un fait de nature : vieillir amène son lot de soucis. Mais l'idée est trop courte. Depuis les chocs pétroliers, le suicide des jeunes augmente et celui de leurs aînés se maintient ou diminue. C'est sans doute le constat le plus grave que dresse ce livre. Le suicide accompagne les mouvements de la société. Il est en hausse lors des crises économiques, en baisse pendant les guerres. Il a crû avec le développement industriel du XIXe siècle, mais diminué avec l'expansion économique du XXe. L'enquête, toutefois, souligne combien les modèles souffrent d'énormes exceptions. Ainsi l'Inde, la Chine, la Russie sont-elles les seules nations qui réagirent au XXe siècle comme les pays occidentaux au XIXe siècle. Ainsi les Chinoises échappent-elles à la norme en se suicidant plus que les hommes. Ainsi le japon est-il l'unique pays qui connaît - jusqu'en 1995 - une baisse du suicide à tous les âges. Stéréotypes, s'abstenir. L'étude du suicide permet de découvrir la face cachée de la planète, la force des héritages et la fragilité des apparences. Le déclin relatif du suicide au XXe siècle contredit une vision catastrophiste selon laquelle le développement économique n'aboutirait qu'à des formes exaspérées de l'individualisme, laissant chacun seul devant son destin. Christian Baudelot et Roger Establet nous offrent la synthèse d'une masse extraordinaire de données. Ils poussent la sociologie dans ses derniers retranchements, jusqu'aux portes du mystère.

Quatrième de couverture

Le suicide nous parle du suicide plus que de Durkheim, c'est un livre vivant. Et rares, en sciences sociales, les ouvrages qui survivent à leurs auteurs ou aux circonstances historiques qui ont motivé leur publication.

Le suicide, comme d'ailleurs L'évolution pédagogique en France, éveille chez le lecteur un intérêt réel pour le thème abordé. Durkheim constatait dans tous les pays européens une croissance régulière et forte du taux de suicide. Cela est-il toujours vrai au XXe siècle ? Au XIXe, divorce et suicide croissaient parallèlement. Qu'en est-il aujourd'hui dans notre pays où il se prononce 200 divorces par jour ?

Aujourd'hui comme hier, les hommes se suicident beaucoup plus souvent que les femmes. Pourquoi ? Durkheim a établi le fait, mais les explications qu'il en donne sont inacceptables. Peut-on en trouver de meilleures ?

Pourquoi en cent ans l'ouest de la France est-il devenu l'une des régions où l'on se suicide le plus ?

Le suicide des jeunes augmente mais demeure aujourd'hui comme hier inférieur à celui des personnes âgées. Pourquoi ?

Autant de questions posées par ce livre auxquelles Durkheim n'a pas toujours apporté de réponses. Il nous oblige à réfléchir.

A partir d'enquêtes internes à l'Education nationale et de relevés internationaux, cette étude comparative dénonce l'inefficacité du système scolaire républicain. Elle révèle un système injuste et inégalitaire, l'absence de promotion sociale, et la sélection trop précoce qui empêche de fournir des élites suffisamment étoffées pour répondre aux nouveaux besoins économiques.

Le sociologue Christian Baudelot (Le Niveau monte, Allez les filles !, etc.), dont les livres, notamment sur les questions d’éducation, font référence dans le monde entier, change ici complètement de registre. Voilà deux ans, il a vu sa femme Olga, elle-même chercheuse, atteinte d’une maladie incurable du rein, s’acheminer vers la dépendance et la mort. Comme sa mère et sa grand-mère avant elle. Découvrant qu’ils étaient « compatibles », Christian Baudelot a décidé de donner un rein à sa femme. C’est l’histoire de ce don qu’ils narrent ici à deux voix. « Je l’ai fait pour moi ! clame d’abord le donneur. Parce que j’ai vu le calvaire de mon beau-père dont l’épouse s’étiolait. » Mais l’explication est un peu courte et ce livre, précisément, nous invite à la subtilité. Il y a d’abord le parcours des combattants. Rapporté avec humour et précision. Il y a ensuite une réflexion profonde sur l’identité, l’intégrité. Qu’est-ce que donner une part de soi, qu’est-ce que soi ? Et puis il y a l’histoire d’après. De ce qu’on attend du don, de ce que cela déclenche chez l’un et chez l’autre. Des passions obscures qui sont alors mobilisées. En France, la médecine est réticente devant le don d’organe entre vivants. Parce que c’est compliqué. Oui, c’est compliqué. Christian et Olga Baudelot nous en font les témoins avec une sincérité magnifique, émouvante, avec une précision d’intellectuels vigilants. Et surtout, ils ont co-écrit une histoire d’amour, la leur, poignante et optimiste, qui donne à leur ouvrage une valeur universelle.

Nous nous trouvons face à un paradoxe. Jamais le milieu de l'édition ne s'est aussi bien porté mais jamais les jeunes générations n'ont aussi peu lu. Et pourtant, ils lisent. Mais ils lisent peu et de moins en moins. À qui la faute ? La vaste enquête menée par Christian Baudelot a été réalisée sur quatre ans auprès de 1 200 élèves de classes de collège. Elle fait notamment apparaître le fait que la lecture n'est plus le seul moyen d'apprentissage. Elle est aujourd'hui confrontée à d'autres formes de supports d'étude, telles que l'image. L'écran menace le livre. La lecture est reléguée au rang d'un loisir parmi d'autres. Faut-il cependant s'alarmer de cette situation et obliger les enfants à lire au nom du présupposé que la lecture est un enjeu culturel majeur ? Les enfants sont le reflet de la société de leur temps et il faut constater que "le livre a cessé d'être la source unique de connaissance et de plaisir qu'elle a pu être pour certains". De quoi inquiéter les parents à première vue. Parents, rassurez-vous et observez de plus près ce que lisent vos enfants pour mieux les comprendre. Rien d'inéluctable ni de définitif dans cet état des lieux puisque l'apprentissage de la lecture conserve sa mission d'éveil intellectuel au sens large. État de la lecture ou lecture dans tous ses états ? À vous de juger en lisant ce livre. --Denis Gombert

Il est vif, elle est mignonne. Cela commence dès le berceau...et ne s'arrête plus. Aux garçons le bleu, les pirates, les combats, le charmant désordre. Aux filles, le rose, les loisirs d'intérieur et les cahiers bien tenus.

En 1973, dans un ouvrage au retentissement mondial - Du côté des petites filles -, Gianini Belotti analysait les attitudes et les attentes des parents comme de la société à l'égard des filles et des garçons. Et pointait du doigt les stéréotypes et les conditionnements qui, dès la petite enfance, préparent les petites filles à leur future place dans la société, à l'ombre du sexe fort.

Aujourd'hui, 35 ans plus tard, le féminisme est passé par-là, l'école est mixte, les mères travaillent, les pères font la vaisselle. Et quoi de neuf du côté de ces petites filles modernes - et de leurs frères ?

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