Christian Charrière
Auteur
Activité et points forts
Thèmes principaux
Classement dans les bibliothèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 9.11/10Nombre d'évaluations : 9
0 Citations 6 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
J'ai lu ce livre bien avant d'avoir entendu parlé de Tolkien .... mais c'est vrai qu'il existe pas mal de "similitudes".
Le style est très bon, les personnages tres bien décrits. Pour le décor c'est simple ..... la terre et plus précisement la France apres un cataclysme.
J'ai completement adhéré.
Afficher en entierNotre monde n'est plus, à la place il y a la forêt d'Iscambe, ou tout est possible, une histoire que je recommande a tout ceux qui aiment les histoires apoclyptiques. Tout simplement Génial.
Afficher en entierJ'ai trouvé ce livre bizarre et un peu dérangeant, quoique intéressant.
L'attraction puissante qu'exerce la forêt sur les personnages est bien décrite, et de manière générale les descriptions m'ont beaucoup plu car on s'y transporte très bien. Mais certaines scènes m'ont paru un peu malsaines, Spoiler(cliquez pour révéler)notamment l'explication de l'origine des clapattes.
Afficher en entierJe suis un peu mitigé face à cette lecture. J'ai trouvé le propos intéressant, mais l'action moins pertinente. On nous présente des personnages qu'on oublie un moment, et qui reviennent sortis de nulle part sans qu'on sache ce qu'il leur est arrivé, alors que ça aurait été intéressant de les suivre également. Je suis un peu... dérangé par les rôles féminins, surtout vu le message du texte. La philosophie des laineux est "d'accepter sa féminité intérieure". C'est honorable, mais, à côté, on a des personnages féminins qui sont réduits à être des sex-interests (plus que des love-interests). Spoiler(cliquez pour révéler)Notamment la pauvre marmoussette à la fin qui est littéralement enlevée pour être jetée en pâture à un vieux marmouset au caractère un peu trop abusif à mon goût.
Bref, entre le manque d'action et ça, mais un voyage malgré tout intéressant, je ne sais pas trop quoi penser de cet ouvrage. Par ailleurs, j'ai eu du mal à comprendre quand exactement se passe l'histoire. Vu la forêt, c'est sans doute plusieurs siècles après la fin de la civilisation (au moins un ou deux). Mais on entend de temps en temps parler de personnages qui ont connu la fin de l'humanité. J'ai eu du mal à croire à une telle amnésie/reconstruction de la société en si peu de temps. Mais c'est peut-être moi qui ai mal compris.
Afficher en entierLive lue il y'a de nombreuses années, je ne me souviens plus de tout exactement. Mais je sais que encore aujourd'hui il reste l'un de mes livres préférer. Son histoire est très bonne, les personnages sont bien amener. L'aspect post apocalypse de ce livre est très bien, et l'écriture de Christian Charrière est très bonne. Lue d'une traite, ce roman de Fantasy vous feras voyager à travers la forêt, et vous feras vous requestionnez sur le monde. Réel critique de nos sociétés, je conseille fortement ce livre
Afficher en entier
Biographie
Christian Paul Stéphane Charrière est un journaliste et écrivain français, né le 1er septembre 1940 à Brest et mort le 11 septembre 2005 à Boulogne-Billancourt
Orphelin de mère avant l'âge d'un an, il est élevé par son père officier de marine dans la région de Montbéliard. Il fait ses études au lycée de Besançon, puis à l'Institut d'études politiques de Paris, il prépare l'ENA mais n'ira pas jusqu'au bout. Encore étudiant, en février 1962, il gagne le titre de L'Homme du XXe siècle au jeu télévisé présenté par Pierre Sabbagh. Il interrompt bientôt ses études pour voyager.
Tour à tour il sera professeur de français en Laponie, marchand de journaux à la criée, barman à Tokyo, musicien ambulant, acteur. Il devient journaliste au journal Combat pour lequel il couvre les événements de Mai 68, il en tirera son premier ouvrage Le printemps des enragés. Il accomplit son service national dans la coopération au Cambodge, où il devient conseiller politique de Sihanouk et chroniqueur à Radio PhnomPenh à l'époque de la montée des Khmers rouges.
Toujours pour Combat, il devient correspondant de guerre au Viet Nam, puis parcourt le sud-est asiatique et les îles de la Sonde, voyages dont il s'inspirera pour L’Enclave et Mayapura, puis il s'installe quelque temps à Bali où il écrit Les Vergers du Ciel. À partir de 1970, à la suite d'un séjour dans l'Himalaya et ses rencontres avec des hommes remarquables, parmi lesquels Henry Corbin, il s'oriente vers une recherche spirituelle, la vie intérieure et la connaissance de soi.
Après la disparition de Combat, il tient pendant neuf ans une rubrique pour le Quotidien de Paris (Groupe Quotidien) consacrée à la télévision et intitulée « Au magnétoscope . Il en publiera une partie dans deux recueils : L’Œil d’Émeraude (1986) et Le Salut à l’Âme du Monde (1987). Parallèlement critique au Figaro littéraire et chroniqueur au Figaro, il suit aussi le Tour de France pendant plusieurs années.
Progressivement il délaisse la fiction et se consacre de plus en plus au symbolisme ésotérique, au décryptage des rêves se fondant sur les symboles traditionnels en les confrontant à la psychanalyse jungienne, donne des conférences, et en 1981, il fonde à Paris le « Bureau des Rêves » avec la journaliste et écrivain Hélène Renard, auteur du Dictionnaire des Rêves.
Afficher en entier