Christian Durieux

Premier tome d’une duologie cette bande dessinée nous emmène dans le Japon des années 20 et nous raconte l’histoire d’une jeune fille issue d’une famille pauvre et qui va être vendue pour devenir une Gheisa. On va voir cette héroïne grandir et se donner les moyens pour s’en sortir. Avec courage et force elle va apprendre la musique et exceller dans son art. Les auteurs ont réussi à me captiver avec ce récit et à me faire voyager. J’ai trouvé que le graphisme et la mise en couleur ont su reproduire avec délicatesse les us et coutumes ainsi que les rituels japonais. Avec cette bd j’ai aimé découvrir cette période de l’histoire et surtout ce pays qui m’est totalement inconnue. Une lecture pour moi qui est un vrai coup de cœur.

Tome vraiment sympathique!

Tous les bobards d’Oscar étaient assez drôles et originaux haha

Tome agréable et drôle à lire!

J’ai adoré le personnage de Yin

Joli dessin et scénario interessant et bien mené , mais je n'ai pas adhéré à cette interprétation du duo Spirou/Fantasio , dans laquelle la camaraderie disparait trop ; Leur duo traditionnel fonctionne très bien dans l'équilibrage des qualités et défauts de chacun d'eux , mais là je trouve que le personnage de Fantasio est beaucoup trop niais et ne sert que de faire-valoir à Spirou.

L'histoire était intéressante et le choix du noir et blanc était original. Malgré la dureté des évènements, j'ai tourné les pages pour savoir ce que devenait cette jeune fille d'une autre époque.

Je n'avais encore jamais lu de nouvelles en BD, c'est chose faite et ce fut une belle découverte.

Jean van Hamme a fait appel à sept dessinateurs talentueux pour mettre en scène sept de ses nouvelles. Chacun son histoire et chacun son univers. Un mélange plutôt savoureux que j'ai beaucoup apprécié. Au menu : un écrivain sadique, une marieuse manipulatrice, un coup d'État à rebondissements, un criminel en cavale, un piège mortel, Une invention machiavélique, un couple monstrueux.

Vous découvrirez des histoires plus ou moins longues, avec des scénarios bien ficelés et prenants, des rebondissements et des chutes spectaculaires pour certaines. Vous y trouverez de la miséricorde ou pas, de la tendresse, de la cruauté, le tout saupoudré d'une bonne dose de machiavélisme.

Encore une fois, Aimée de Jongh m'a fascinée avec la beauté de ses dessins. J'ai aussi beaucoup aimé Le piège et Les Bretelles.

Si je devais qualifier cette BD avec un seul mot, je dirais efficacité. Ça se lit d'une traite. C'est beau et c'est divertissant. C'est à découvrir !

Je vous la recommande bien sûr.

https://www.facebook.com/lecturesnoirespournuitsblanches

[Je remercie vivement et chaleureusement les Éditions Dupuis ainsi que Netgalley pour l’envoi de ce livre. Je précise toutefois que mon avis n’en sera pas moins transparent, honnête et sincère.]

Tu le sais déjà sûrement si tu me suis depuis un moment : Je suis loin d’être une adepte de thrillers. Pourtant, j’ai tout de suite été curieuse face à cette BD reprenant sept nouvelles de Jean Van Hamme, mises en scène par plusieurs illustrateurs.

—Miséricorde, une BD aux différents visages—

Et je dois avouer avoir passé un bon moment avec *Miséricorde*. Le format des nouvelles très courtes rend la BD dynamique, ce qui fait qu’elle se lit très rapidement (environ 1 heure en ce qui me concerne).

J’avoue cependant avoir été un peu déçue par la teneur des histoires en elles-mêmes qui ne se classent pas du tout dans le genre du thriller comme je le pensais. Certes il y a un meurtre à chaque fois, mais celui-ci est plutôt prétexte à la drôlerie - chaque nouvelle se terminant sur une chute humoristique (souvent aux dépens des personnages). Ce qui est sympathique en soi, mais encore une fois pas du tout ce que j’attendais. Et puis les scenarii n’étaient souvent pas bien originaux, étant donné que j’ai souvent deviné le pot aux roses avant la fin.

Mais je retiendrai tout de même une ou deux nouvelles qui m’ont bien plu, notamment *L’Ange de Miséricorde* pour sa mignonitude, *Les Dents de l’Amour* pour son final totalement glauque, et *Les Bretelles* pour son idée de base peu commune et ingénieuse.

Cette lecture m’a également permis de découvrir le style graphique de sept illustrateurs qui m’étaient jusqu’alors inconnus. Il y en a bien sûr que j’ai plus aimé que d’autres, mais le principal est que ce choix de confier les dessins à des personnes différentes permet de donner une ambiance et un style propre à chaque histoire, ce que j’ai apprécié.

—En bref—

En bref, j’ai passé un bon moment de lecture avec *Miséricorde*, un recueil de nouvelles de Jean Van Hamme adaptées en BD par sept illustrateurs. Il a l’avantage d’être court, dynamique et humoristique et de nous faire découvrir de nombreux illustrateurs. Et malgré quelques nouvelles qui m’ont bien plu, je regrette un peu que cette BD soit plus drôle que sanglante (moi qui m’attendais à lire du thriller) et que les scenarii de ces histoires ne soient souvent pas très originaux. Sympa, mais loin d’être exceptionnel.

https://desrevesdanslamarge.com/misericorde-jean-van-hamme/

Une petite lecture très agréable en pleine période d'examens. D'habitude je ne lis pas beaucoup de romans graphiques (bien que j'aimerais en lire plus) mais en voyant cette magnifique couverture aux allures d'estampe moderne cela m'a vraiment donné envie. Les graphismes étaient plutôt simples et contrastaient un peu avec l'époque du récit mais le côté noir et blanc et la police "manuscrite" m'ont beaucoup plu. J'ai lu cette petite histoire sans aucun mal en tournant les pages sans même m'en rendre compte, jusqu'à parvenir à la dernière, qui est arrivée beaucoup trop vite à mon goût. Je recommande cette oeuvre, car bien que pas très originale, on y perçoit tout de même une belle documentation, et il est très simple de s'identifier au personnage principal. Elle raconte son histoire avec les mots modestes d'une enfant, tout de même parfois teintés par la cruauté du monde adulte.

l’occupation allemande en Belgique ont imaginé et édité « le faux soir » un journal satirique et dénonçant les mensonges du journal « le soir ».

Cette bd nous raconte l’acte héroïque des ces journalistes de l’ombre qui ont su résister avec des mots et sans aucune violence. Avec l’aide des imprimeurs et buralistes ils ont pu diffuser et distribuer leurs journaux à la barbe des Allemands.

Ce journal a été une belle réussite plus de 50 000 exemplaires ont pu être vendu et lu par de nombreux Belges mais les conséquences ont été que les cinq personnes à l'origine de ce canular ont été retrouvées et envoyées en camp de concentration.

Un grand merci aux auteurs pour nous avoir raconter ce pan de l’histoire qui m’était inconnu. J’ai apprécié le scénario mais aussi le graphisme. La colorimétrie rend plus aisé la compréhension entre le passé et le présent.

Pour moi cette bd fut une belle découverte et le petit plus du fac similé d’un exemplaire « le faux soir » donne plus de poids historique.

Excellente BD qui montre le quotidien et la vie des japonais, on apprend le mode de vie de geisha et leur ascension. C'est beau, poétique mais très dur à la fois.

Une jolie lecture pédagogique