Commentaires sur ses livres

Quelle Bible !!
Une BD très savante, qui mentionne et utilise les découvertes archéologiques qui "corroborent" la Bible, comme par exemple cette empreinte d'un sceau mentionnant le Roi de Juda.
Beaucoup de phrases issus de textes anciens : Evangile, Livre de Samuel, Vie de Constantin, Livre des lamentations, etc...
Une narration pédagogique et très savante, évoquant par exemple pour la période 100 avant J-C, l'hellénisation culturelle concomitante aux codifications des interdits religieux hébraïques, tout ceci précédant la construction de multiples bâtiments païens par Hérode, qui fit de Jérusalem la plus romaine des villes juives. A ce stade, vous n'êtes qu'à un cinquième de ce très beau livre !
Add. : un petit côté "il était une fois l'homme" (le dessin animé) dans cette BD, qui n'est pas déplaisant.

4000 ans d’histoire racontés en dix chapitres nourris de plus de 200 sources. C’est magistral !

Bande dessinée très bien faite. Didactive.
Une erreur concernant l'Italie qui n'existait pas avant 1860.
Concernant l'histoire contemporaine, l'auteur est très largement en faveur des palestiniens, dommage pour l'objectivité...

Ce n'était pas facile de rebondir après la pluie... Et le fait de ne plus avoir Blain au dessin n'aide pas. Mais on reste dans l'ambiance Potron-Minet, avec une fois encore Alexandra au centre du récit. L'apparition de Hyacinthe n'est pas bien longue, mais elle enfonce encore un peu plus le personnage dans la noirceur et l'on est de plus en plus abasourdi par le poids du passé du maître du donjon. Pas le meilleur album de Potron-Minet, mais une valeur sûre malgré tout.

Ce premier tome m’a un peu déçu, j’ai déjà lu le début du roman, mais il n’est pas aussi long que ce premier tome. C’est long, et l’arrivée de Robinson sur son île est insupportable à attendre. Je suis déçu par ce premier tome et pas très convaincu par les dessins.

Comme le premier tome je n’ai pas tellement été emporté, certes l’histoire comporte la vie sur l’île que j’appréciai beaucoup dans le deuxième tome, mais cela manquait de quelque chose. Je suis content de connaître enfin cette histoire dans une autre forme que le roman qui a comme point négatif (voir positif selon les avis) d’être écrit il y a pas mal de temps.

C’est un tome très intéressant, on voit comment Robinson survit sur cette île, il y a beaucoup de chances d’avoir pu accoster avec autant de choses, entre les armes, le blé… Je me suis fait aux dessins et j’ai lu ce tome en très peu de temps, je l’ai trouvé bien plus intéressant que le premier.

Concentration requise pour ce roman graphique. Histoire dans histoire, dans histoire... à la façon des poupées russes. La vie de Martin, après la mort de son père et la découverte de carnets, va devenir passionnante. Destination : l'Algérie et retour sur Alexandre Dumas. Une histoire captivante qui semble réelle. Dessins travaillés et couleurs sombres. Un chef-d'oeuvre d'intelligence.

Décevant, vraiment. Je ne connaissais pas les auteurs, alors je n'avais pas d'attente particulière en dehors d'une histoire bien fichue et de personnages intéressants. Mais j'ai trouvé l'ensemble très plat et peu développé : pas de suspens, pas de frisson, rien de drôle, des personnages globalement insipides... Puis j'ai eu beau essayer, je n'ai pas du tout aimé les graphismes. Cette BD m'aura laissé indifférent. Dommage.

Ce rating ne reflète que la BD et non pas le roman car je ne l'ai pas encore lu.
L'histoire est assez intéressant mais le développement des événements fut un peu trop rapide à mon goût. On ne sait pas qui est Erik, son histoire est un peu floue et même le Perse ne donne qu'un tout petit aperçu sur sa vie, pourquoi est-il devenu comme ça et quelle sont les raisons qui le poussent à agir de la sorte.
J'ai bien aimé les illustrations mais ça aurait pu être meilleur.
En attendant de lire le livre, ce rating pourrait bien changer.

Je n'ai pas du tout aimé cette lecture. J'ai trouvé que les personnes sont blessé d'accord mais on reste très très en surface. Sans parler des scènes cru tant sexuelle que de mort qui en plus n'apporte rien à l'histoire à part de la violence et de la vulgarité. Pour apporter une note positive je dirais que les dessins sont vraiment bien et au service de l'histoire. Leur coloris et leur traits. Vont parfaitement avec le froid du pays et la noirceur de l'histoire.

Comme l'ont signalé d'autres, le cycle Potron-Minet jouit d'un charme particulier. La patte Donjon est bien présente, avec des blagues potaches et des gags vaseux comme on les aime et une parodie d'heroic fantasy D&Desque, mais s'y ajoute une ambiance parallèle vraiment pathétique, au sens littéraire du terme. Tous les albums de Donjon finissent invariablement par jouer de cette double lecture (Zénith à partir du cinquième tome, par exemple), mais Potron-Minet a affiché cette volonté dès ses débuts, et le style colle particulièrement bien avec l'identité visuelle de cette période.
En outre, ce dernier tome aide à comprendre comment le vertueux mais désabusé Hyacinthe est devenu le vieil et aigri Gardien du Donjon. On se prend d'une sincère empathie pour ce personnage mystérieux.

Cette période Potron-minet qui, un peu comme Ralph Azham, a cette ambivalence de l'humour mêlé à un fond terriblement mélancolique et d'un réalisme dépressif magnifique. Je place ça sur le compte de Trondheim.
Bref, très bon. Bon sang qu'on aurait aimé qu'ils continuent ! Il y a tant à dire dans cette série !

Oui, mais non…
Oui, le sujet est intéressant, bien traité, pertinent.
Non, parce qu’il a un côté vraiment anecdotique.
Certes, on voit un peu mieux le fonctionnement du Klan, mais l’histoire se résume un poil à une initiation, d’un côté, qui est écartée au profit d’une histoire de vengeance, de compétitivité…
C’est très réaliste, c’est très crédible, mais si l’histoire du Klan est intéressante, elle finit par passer à côté avec des histoires plus communes. Elles sont d’accord inscrites dans l’Histoire mais elles pourraient presque se trouver n’importe où…
Et puis les dessins ne m’ont pas convaincu.
J’ai plus deviné de qui on parlait que réellement reconnu les protagonistes…
Je suis peut-être passé à côté de la BD mais pour moi, elle est passée à côté de son histoire : celle d’un homme qui évolue au sein du Klan alors qu’on lâche cette idée pour une histoire de jalousie et vendetta.

D'ordinaire, je suis une fan finie du Fantôme de l'opéra, mais cette adaptation du célèbre roman de Gaston Leroux est vraiment mauvaise. Je ne prendrai même pas la peine de lire le deuxième tome.
Les dessins sont nuls, primitifs et dignes de la main d'un gamin de cinq ans. On voit tout de suite qu'ils ont été fait au crayon de couleur en bois.
Quant à l'intrigue, l'essentiel est là, mais gravement restreinte. Les coins ont été tournés très ronds. Il manque des détails. C'était comme si le dessinateur avait bâclé son œuvre pour s'en débarrasser. 3/10, pas plus.