Christopher Priest

ce tome est enfin la hauteur il est bien rythme toujours du suspense, encore une facette de personnalité de Slade est mis en avant est la plus surprenante de la part d'un tueur solitaire.

ce tome est dessous du précèdent avec des passage lent le suspense est toujours on na hâte de savoir comment cela va se terminer

Un condensé de l'univers singulier de Christopher Priest : déroutant, parfois loufoque, avec une touche de poésie. Ce livre est très complet avec une préface pour initier le lecteur à ce qui va suivre, puis dans le dernier tiers on retrouve trois entretiens avec l'auteur, qui aborde par exemple ses débuts, et l'aventure de l'adaptation au cinéma de son roman Le Prestige.

Ce tome 6 est pour l'instant le meilleur de la séries toujours autan de suspense.

Un véritable voyage qui nous attend avec ce livre ! un grand auteur de la science-fiction qui on le sent a une écriture qui ne ressemble en rien à ce que l'on peut lire de nos jours.

J'ai attaqué ce roman rempli d'un bel espoir : Amateur de Wells et de Steampunk (dont le cadre victorien du roman préfigure l'existence), je m'attendais à tomber sur un chef d'oeuvre de littérature, malgré une presse divisée au moment de la sortie du bouquin.

Et...Mouais. Ce n'est pas que le roman soit mauvais mais il évince tant d'éléments qui pourraient être intéressant, qu'il en devient frustrant, se focalisant par ailleurs, sur des données du roman qui auraient méritées d'être moins détaillées. Car, en effet, Priest n'est pas un grand styliste, l'écriture est pour le moins académique et les quelques espaces qui auraient pu laisser place à une plume descriptive novatrice (paysages martiens complètement imaginaires / scènes post-apo) se cantonnent en quelques phrases.

Si le scénario est assez brillamment mené, il reprend grandement des romans que l'on connait déjà (Wells étant toujours très près) et les personnages sont relativement convenus. Edward, d'ailleurs, est particulièrement insupportable, rétrograde, pato, et finalement récompensé par l'amour d'une jeune femme autrement plus débrouillarde, qui, finalement, fait preuve d'une contradictoire minauderie, passage obligatoire pour mettre en valeur un Edward faussement valeureux.

Spoiler(cliquez pour révéler)D'un point de vue politique et logistique, certaines choses aussi m'ont dérangé: la révolution des martiens est complètement évacuée, de même que les jeux de classe entre eux. L'origine humaine des monstres violents est un raccourci facile et illogique: Leur forme n'a pas de sens s'ils sont fait à base de cellules humaines, là où des extra-terrestres plus lointains encore auraient pu être le jeu d'un univers ouvertement plus complexe. Enfin, la conclusion qui minore quelque peu les souffrances humaines, faisant d'une nation (le monde) un grand vainqueur malgré des milliers de victime et la destruction du patrimoine naturel, apparaît de nos jours un peu problématique (et simpliste).

Plutôt sympa , sans être incroyable. Les dessins sont prenants, l'histoire de Deathtroke est a peine dévoilé , nous donnant envie d'en savoir plus et de plonger profondément dans son histoire .

Batman sans forcément etre éffacé, n'est pas le sujet central, ce que j'ai grandement apprécié.

Sur un sujet original, Priest bâtit un récit assez riche. le monde qu'il créé est plutot inventif,la cité parfaitement dépeinte dans son ensemble et son fonctionnement. L'évocation de la ville, ses rapports sociaux et politiques, une ville condamnée à avancer perpétuellement sur des rails car son environnement s'altère perpétuellement et une réussite, La suite ne tient malheureusement pas ses promesses.L'histoire manque de rythme,de profondeur et de crédibilité.La réalité environnante constamment floue, difficile à discerner, les explications scientifiques complètement incohérantes et la fin un peu abrupte et décevante laissent une impression mitigée sur ce qui aurait pu être un bon roman.

Le début du roman était assez attirant. On suit un dénommé Tibor citoyen britannique et photographe de métier qui rentre dans son pays suite à une mission humanitaire avec sa femme infirmière en Turquie. Cette mission s'est tragiquement terminée par le décès où plutôt devrait-on indiquer par la disparition totale de son épouse, seules subsistent les traces d'un triangle équilatéral sur les lieux de sa disparition. Le Royaume-Uni a bien changé puisque l'islam est devenu religion officiel et le royaume se nomme maintenant Royaume Islamiste de la Grande-Bretagne et qu'il est en proie à de profonds dérèglements climatiques. Les tempêtes tropicales ne cessent d'arriver sur le territoire et les déplacements sont très difficiles et se font par des sortes de véhicules militaires blindés. En outre, quelques mois auparavant une partie de Londres a purement et simplement été annihilée faisant un nombre de victimes estimé à 500,000. Un fait troublant est qu'il semble y avoir un certain nombre de points communs entre la disparition de la femme de Tibor et l'annihilation de Londres.

Un tome moyen qui conclu un run moyen même si on sent la pate de Christopher Priest dans ce derniers tome. Pas indispensable et pas inoubliable.