Commentaires sur ses livres

L'émotion passée, je peux enfin commencer ce commenaire. Bien, que dire... Tout d'abord, enfin, j'ai pu lire ce livre ! Depuis le temps que je le cherchais, j'ai finalement réussi à mettre la main dessus ! Et une chose est certaine, je ne suis pas prête de le lacher !!!!

Pour ce qui est du livre, l'auteur nous offre là une belle histoire d'amour sur fond de prise de conscience de soi.
Prenante, bien écrite et pleine de rebondissements. Certes un peu clichée par moment, mais néanmoins agréable à lire. Un peu courte, les 167 pages se lisent très rapidement (peu être même un peu trop !).

Au début du livre, on découvre Xoan, aîné de trois frères d'une famille de la mafia espagnole. Un homme dénué de sentiments, sans coeu et agressif. Jusqu'au jour où, suite à un accident, Xoan fait la connaissance de Cherry, un jeune artiste infirme...
Il est intéressant de suivre l'évolution de Xoan et de ses sentiments pour Cherry tout au long de l'histoire. Lui l'hétéro qui tombe éperdument amoureux d'un homme...
Les émotions sont décrites avec justesse et bien développés tout au long de l'histoire.

Les personnages sont nombreux et tous attachant. Très vite, on se prend d'affection pour Cherry, mais aussi pour Xoan, Toni et les autres.

Un petit point regrettable cependant ! Cherry est beaucoup moins présent dans la seconde partie du livre et sa relation avec Xoan est passée au second plan. L'auteur se concentre ainsi sur Xoan et sur son changement de caractère. C'est un peu dommage !

Autre point négatif, la fin peu être un peu trop rapide. Les élipses temporaires sont de plus en plus fréquentes et certains personnages sont passés à la trappe, comme Gloria. On ne sait pas du tout ce qu'elle est devenue...

Hormis ces deux points et quelques fautes d'orthographes vites oubliées, cela reste un très bon livre, avec une fin dans le genre "tout est bien qui fini bien", mais pas désagréable du tout ! En tant que grande romantique, j'aime les histoires qui se terminent bien et sans trop de casse !!

Bref, pour finir, je dirais que je suis définitivement fan de cet auteur ! A quand le prochain livre !!?

J'en attendais plus de ce dernier tome, plus de réponse et je m'attendais au moins a un peu de romance mais rien. Je suis assez déçu, sans parler du fait que j'ai l'ancienne édition papier avec toute les coquilles qui vont avec.

Ce tome 2 confirme tout le bien que j'ai pensé du tome 1. C'est vraiment une série addictive et coup de cœur que nous a concocté Claude Neix. Je n'ai pas lu Le César aux pieds nus, le roman historique de Cristina dont cette réécriture MM est tirée, mais bon sang, qu'est-ce que c'est bon !
Nous retrouvons notre petite troupe de princes métisses et de serviteurs humains. Déplacés de palais en palais et de mains en mains comme les pions qu'ils sont sur l'échiquier politique impitoyable d'Ishmaar. Fini les rires, les jeux et les méchantes farces, c'est le temps des drames et des larmes. Adieu l'enfance, Ophrys et Ishayu gagnent en maturité et deviennent bien malgré eux des adultes. Une puissante protectrice disparue, sa mère et ses deux frères aînés emprisonnés, Ophrys est plus exposé que jamais en tant que seul héritier potentiel du vieux roi Azurite, et c'est sa vie qu'il joue quand il se retrouve convoqué à la Cour de celui-ci, mi-invité, mi-otage. A travers les yeux d'Ishayu, devenu son soutien et son complice, on en découvre plus sur l'enfance de ce petit prince gâté et capricieux, colérique et manipulateur. Mais aussi farouchement dévoué à sa famille, aimant sans faille et sans reniement ceux qui pourtant dans leur course au pouvoir, l'ont chassé de leurs préoccupations, et franchement, ça vous déchire le cœur ! J'ai adoré la complicité, non exempte de turbulences, qui se noue entre Ophrys et Ishayu. Et ce trouble sensuel qui teinte l'étrange affection que se portent malgré eux le jeune serviteur humain au passé difficile et le prince trop Berserk pour les humains et trop humain pour les Berserks. J'ai aimé l’ambiguïté de leur sentiment protecteur envers le joli Beryl. Ressenti de la peine pour le tendre Célénos avec lequel Ishayu entretient une liaison, mais dont l'amour naïf n'est pas vraiment payé de retour. J'ai été intriguée par le roi Azurite et le décalage entre ce qui est dit et ce qui est montré. Amusée par les jeunes gens de la cour. Touchée par le jeune cousin d'Ophrys, trop simplet pour hériter du trône, pas assez pour ne pas se rendre compte qu'on le moque, quand lui aussi ne demande qu'une famille à aimer. Bref, les personnages et leurs interactions sont toujours aussi passionnants. Et l'intrigue est palpitante qui nous laisse tour à tour le cœur serré, le ventre noué, le sourire aux lèvres ou les larmes aux yeux. Cette série est bien partie pour rejoindre Sporus dans mes plus beaux coups de cœur !
5/5

J’ai adoré ce tome 1 que j’ai dévoré jusqu’au bout de la nuit ! Pour le coup, voilà Cristina réconciliée avec Claude, les deux avatars de l’auteur réunis pour nous livrer une superbe histoire. On y retrouve les intrigues de cour, les manigances, la politique et les complots des romances historiques de Cristina, le tout au sein d’une famille princière de métisses Bersek, descendants du célèbre Ronce de Rohan (l’inoubliable Elfe rouge de Claude). Et voilà Ishayu, petit humain espion malgré lui, plongé jusqu’au cou dans le jeu délicat et mortel des familles régnantes d’Ishmaar, en tant qu’écuyer/serviteur/jouet du fascinant et caractériel jeune prince Ophris.
J’ai adoré Ishayu, son humour caustique, son charme gouailleur, son indiscipline et je suis fascinée par Ophris. Cet écorché vif, manipulateur et comédien, ce très jeune Bersek qui joue sa vie et celles de ses frères sur le fil mince de la traitrise. J’aime les frères aussi , d’ailleurs, le charmant Béryl et le petit Epine ! Voilà formée une jeune et improbable troupe de jeunes princes bersek et serviteurs humains turbulents et solidaires, qui vont avoir fort à faire pour survivre sur l’échiquier politique.
Pas de romance encore dans ce tome 1, bien que la sensualité soit bien présente . Elle n’est à vrai dire pas indispensable vu l’intérêt de l’intrigue, mais moi, j’ai très envie de voir quelque chose se concrétiser entre nos deux héros. Dans le tome 2 j’espère ?
Seul petit défaut : quelques coquilles et un passage où Béryl devient « elle », ce qui lui enlève beaucoup de son charme (et c’est pas Ishayu qui me contredira Lol !)
4,7/5

Ce livre fait directement écho au livre Coeur de Démon, écrit quelques années plus tôt par Claude Neix. Ainsi on suit l"histoire de Ronce de Mohan issu du peuple assez énigmatique dont était issu le prince Bylon Akila : les Berserks. Et la fin mentionnant Eiki Leipsen constitue également un clin d'oeil à la précédente oeuvre de l'auteur.
Une histoire empreint d'un grand suspens : la fin pourrait nous surprendre. Une oeuvre pleine d'originalité, plutôt émouvante. On retrouve, avec bonheur, les procédés marquants de l'auteur : les passages osés, l'homosexualité, les personnages haut en couleurs dignes des mangas...!

S’il y a bien une auteure où je suis sur d’acheter ses romans même si elle les ressort trente-six fois avec de nouvelles couvertures et les yeux fermer, c’est bien Claude Neix. Je ne boude jamais mon plaisir de lire l’une de ses histoires et encore plus quand cela concerne le monde d’Ishmaar. Lorsque j’ai lu pour la première fois « l’Elfe rouge », je me suis dit : dans quoi je m’embarque moi. Qu’est-ce que c’est cette histoire et je n’ai pas pu lâcher le livre avant le mot fin (après avoir versé une tonne de larmes)

Depuis ce jour, je suis une fidèle lectrice de ce monde que Claude Neix a su créer en toute simplicité, mais avec énormément de sensations. Et bien c’est la même chose avec « l’Oracle du Dieu Blanc ». Je me suis plongée de nouveau dans cette histoire et comme à chaque fois, il m’a été impossible de lâcher ma tablette avant le mot.

Troisième tome du « Cycle d’Eiki Leifsen », nous suivons encore les aventures de notre beau blond et de Bylon qui reste toujours fidèle à lui-même (pour mon plus grand plaisir). Dans ce tome, Eiki doit faire face à des personnes de son passé et des meurtres. Mais également à ça vie qui va radicalement changer avec Bylon et sa grossesse.

L’histoire est parfaitement bien menée, comme toujours. Il y toujours ce qui fait le charme d’Ishmaar. Des meurtres, de la tension, un soupçon de sexe. Des complots et j'en passe encore. Mon seul petit regret, la confrontation entre Victorius. J'aurais aimer qu'elle dure un peu plus longtemps, mais bon, cela n'enlève rien à l'histoire.

Si nous voyons moins Bylon dans ce tome, les quelques passages avec lui, mon bien fait rire. Comme à chaque fois. Il est toujours aussi frais, aussi adorable et surtout, surtout il a gardé son caractère impossible et ses injures. Pour mon plus grand plaisir.

J’ai été ravi que Claude Neix ait introduit dans ce tome, des natifs Berserk. Et je suis tombée amoureuse de Ronce (en même temps, c’était à prévoir puisqu’il porte le nom de mon Ronce à moi ^^ ) et de Saphir. Ils ont apporter une petite touche de fraîcheur, mais également une petite nostalgie de ce qu'était le peuple (et seigneur, je crois que je vais développer un fétichisme pour les persos au cheveux rouge ^^ )

J’ai été agréablement surprise par la fin. Je ne m’attendais absolument pas à cela et elle laisse d’une certaine façon une fin ouverte pour Bylon et… pour une suite ? Je l'espère vraiment, car... j'aimerais bien connaître ce qui va se passé pour l'Oracle, Eiki, Bylon, Saphir et... Ronce (avec une fin heureuse pour lui ? ) ainsi que pour le reste des personnages

Bref, encore une lecture qui m’a apporté un excellent moment de détente, mais c’est toujours le cas avec Ishmaar et tout ce qui touche les Berserk.

Un grand merci à Claude Neix pour tout ce qui touche le monde d'Ishmaar et... j'espère qu'elle continuera de nous écrire des histoires sur les Berserk et tout ce qui touche la légende de Ronce de Mohan.

Juste un peu déçu sur ce tome qui me semble un peu abrupte, on est à la fin et l'histoire passe vite sans détail, un peu comme un épilogue.
On aurait aimé du développement et surtout plus de détail sur l'étreinte tant attendue !
Sinon j'ai adorée l'histoire.

Cet avis concerne les deux tomes. Un pur régal ! De la SF "computronic" à la William Gibson (Neuromancien) ou John Brunner (Les fileurs d'ange) , mais avec la patte et l'ironie inimitable de Claude Neix. De l'action, du rythme sans temps mort du début à la fin, qui vous laisse à peine le temps de respirer. Un conseil d'ailleurs, ne commencez pas la lecture de ce premier tome sans avoir le second sous la main ! Mais ce qui m'a séduit plus que tout, dans ce dyptique, c'est la galerie de personnages atypiques, saisissants, hors norme, comme l'auteur sait si bien les dépeindre. J'ai adoré Vincent, sa gouaille, ses mauvaises manières, et son humanité profonde, dans un monde qui en est de plus en plus dépourvu. Impossible de ne pas s'attacher à lui. J'ai été fascinée, déroutée, troublée par Balder, autant que BabyJ lui-même. Emue par Eric et Styx, effrayée par Zig... Tous semblent porter des masques, changent de visage quand on croit les avoir cerné. Amis, ennemis, pirates, sauveurs ou terrorristes, ils ne sont au final qu'un petit échantillon d'humanité souffrante, qui se dresse contre l'implacable machinerie de l'état, du pouvoir, et de l'argent. Je me suis régalée avec cette haletante aventure futuriste, et cette fois, la romance n'y est pas absente, même si elle reste au second plan, comme souvent chez Claude (et oui, comme le dit l'auteur, ceci n'est PAS une romance MM !) De quoi néanmoins satisfaire nos âmes de midinettes, sans risquer de se faire une carie avec un trop plein de sucre. Je vous conseille cette lecture, vous ne le regretterez pas
4,8/5

Quelle déception à la fin de ce dernier tome de la trilogie. Si ce n'était que la fin ouverte (que je ne vous spoilerai pas) qui m'est restée en travers de la gorge, cela passerait encore, mais le récit est complétement bâclé afin de conclure vite fait et mal fait l'histoire.
En effet, le prince Orphys est en mauvaise posture pendant toute la trilogie : on ignore s'il est otage ou invité du roi et cela a construit soit-disant un suspens dans l'intrigue... Ok, cela pourrait encore fonctionner mais on règle le tout en quelques phrases après la mort du roi où le prince est aimé et acclamé par la foule. Hourra, cela nous fait une belle jambe, mais comment en est-on arrivé là? Pourquoi la foule l'aime-t-il? Il n'a strictement rien fait pour en arriver là à part être enfermé par son oncle dans un donjon doré et être le fils de son père. Clairement, c'est trop simple, trop facile et cela confirme mon idée première: je me suis faite avoir en achetant cette trilogie. Une histoire lente et bâclée à la fois j'en ai rarement vu et celle-ci est probablement la pire de toute. On a des longueurs sur les réflexions d'Ishayu qui ne sait pas quel prince aimer. Génial de quoi faire fantasmer toutes les personnes qui ont cru en une romance en venant lire ce récit!! Déception quand on sait la fin ouverte que l'on a à la fin!

De plus, ce récit est toujours écrit de façon simpliste et est rempli de fautes d'orthographe honteuse pour un auteur!

Pour celles et ceux qui veulent savoir à quel point la fin m'a déçue, lisez la suite. Sinon passez votre chemin.

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Quelle fin ouverte: après avoir suivi les hésitations d'Ishayu pendant 3 tomes et bon sang qu'est-ce qu'il a pu se lamenter et fantasmer, on ne sait pas qui il choisit à la fin: Orphys ou Béryl. Et bien on vous a eu si vous pensez avoir la solution. Non on sait juste qu'Ishayu a une marque qui est apparu et c'est tout. D'autant plus que le serviteur de Béryl lui pose la question de qui il préfère mais on n'a pas la réponse. Juste la mystérieuse apparition de la marque de Set comme quoi il est le compagnon d'âme d'un Berserk. Génial! Mais les deux le sont!! Même si Orphys a plus de caractéristiques berserks. Un indice pourrait être qu'Orphys a la marque de Set qui apparaît dans le second tome lors d'un massage d'Ishayu. Ok, mais il n'avait pas déjà un compagnon d'âme? Donc cela veut dire qu'un Berserk peut avoir 36 compagnons d'âme et que cela ne pose de problème à personne? De plus, il a une marque un tome avant Ishayu: donc c'est quoi une reconnaissance d'âme à retardement? C'est comme pour Béryl si c'est lui qui est choisi son âme n'aurait pas dû reconnaître sa soeur au premier coup d'oeil? On doit attendre 3 tomes pour cela? C'est simpliste et l'auteur ne donne aucune réponse, aucunes indications sur les marques de Set. On vous donne cela et débrouillez-vous avec. C'est un manque de considération pour les lecteurs de les laisser dans le flou absolu. Surtout qu'elle n'explique en rien ces marques et elle en fait un élément essentiel de sa réponse sur le choix d'Ishayu... Trop facile de finir comme cela, surtout que c'est plutôt incohérent l'apparition de cette marque.

Bref vous l'aurez compris, je ne vous recommande pas la lecture de ce récit que je ne saurai pas qualifier de livre, d'autant plus quand l'on regarde le prix d'un tome en numérique ou en papier et la qualité de l'orthographe de l'auteur!

Que dire de ce second tome? Il confirme ce que j'ai pensé du premier : pleins de bonnes idées (dont le fait que l'on est un récit centré sur la politique du royaume), mais une expression qui laisse à désirer et qui ne permet pas d'en apprécier réellement le contenu. Le récit est lent, rempli d'ellipses narratives qui sont parfois situées de manière bizarre dans l'histoire.

Néanmoins, les deux personnages principaux sont attachants et on continue d'apprendre à connaître Orphys qui au fil du tome prend de l'ampleur et du caractère.
Les intrigues familiales qui ponctue le récit donnent de la dimension à l'histoire et permettent de donner un côté dramatique bienvenu.

Mais, ce second tome est mal écrit, bourré de fautes d'orthographe et clairement ce n'est pas de la littérature qui donnerait envie de lire et relire le tome indéfiniment. Je suis clairement déçue par cette "trilogie".

Un avis mitigé pour un récit appréciable

Un univers impitoyable et créé de toutes pièces par l'auteur, on est dans de la pure fantasy. La part est largement donné au contexte politique et aux complots des différents parties afin de mettre leurs favoris au pouvoir. On est dans une guerre intestine et parfois fratricide pour obtenir le trône lors du décès du monarque actuel. Que ceux qui s'imaginent une romance gay passent leur chemin ce n'est pas cela du tout. L'accent est mis sur l'accent politique et non sur cette société où les hommes peuvent se reproduire entre eux.

Un contexte donc favorable pour un bon livre, ne manque plus que les personnages et la trame. Que dire des deux personnages? L'un est prince et est un des potentiels héritiers du trône (bien que ne le voulant pas a priori) et l'autre est son esclave. C'est à travers la relation serviteur-maître et son évolution (ami-maître) que l'on voit se dérouler le récit politico-fantastique. Si l'un est charismatique et imbuvable au point de se faire détester par tous en quelques minutes, l'auteur a su nous montrer au fil des lignes un jeune homme complexe que la vie n'a pas gâté. On s'attache à lui et on en vient à le plaindre. Quant à son serviteur, il est notre narrateur et ce sont ses pensées que nous avons. Ce point de vue permet d'être au coeur de l'action et surtout de découvrir les rebondissements politiques en même temps que le prince. Nous ne sommes pas omniscients et cela permet de rythmer le récit au fil des surprises.

Quant à la trame, elle est on ne peut plus classique: une lutte de pouvoir entre plusieurs factions. Classique en fantasy. Tout n'est que question de pouvoir.

Alors que pouvons-nous reprocher à ce livre? Un récit un peu lent, une découpe en trois tomes qui n'est clairement pas nécessaire: on a l'impression d'être une vache à lait, uniquement là pour acheter 3 tomes assez chers pour avoir un livre normal.
De plus, les fautes qui ponctue le récit sont plus que pénibles, je n'ai jamais vu autant d'erreurs et de coquilles dans un seul tome. Il serait bon que l'auteur se relise un peu plus et efface ses fautes d'autant plus quand le livre est aussi cher pour un epub ou pour une édition papier.
Enfin, ce n'est pas de la littérature, juste un bon divertissement pour ceux qui aiment ce genre. Je ne relirai probablement jamais cet écrit. Clairement, le style est simple (un peu trop parfois) et la langue trop familière. Bref, j'ai du mal à décrire cela comme de la littérature.

En gros, je suis extrêmement mitigée quant à cette lecture.

Un parfait troisième tome pour clore cette fabuleuse histoire !
Plus intense encore que les précédents, plus grave, plus sombre : nos princes ont grandi et muri, Ishayu également. Plus proches du pouvoir, plus proches du danger et des trahisons. C'est le temps des alliances politiques, des déchirements familiaux, des mariages de raison. Mais sous le poids des contraintes et des obligations, sous les masques et les apparences, c'est aussi le temps ou les désirs interdits resurgissent, ou les geste tendres et amoureux apaisent les chagrins et les deuils. On retrouve avec plaisir et tendresse Ishayu le narrateur, ex petit esclave de plaisir, espion malgré lui, devenu l'allié et le plus fidèle soutien de son prince. Assagi, moins espiègle, il est le témoin des tragiques événements qui accompagnent le vieux roi Azurite vers son déclin, mais aussi des tourments intimes d'Ophrys et du joli Beryl, ces deux Akila qui ont volé son cœur.
Et puis il y a Ophrys, encore et toujours, ce magnifique petit prince Berserk au pieds nus, au cœur à vif, aux mains vides, méprisé et incompris par les uns, adoré et protégé par les autres. Ce jeune homme complexe, plein de contradictions, qui marche vers son Destin tel un funambule sur son fil. Il y a beaucoup d'émotions dans ce dernier opus, de l'amour, de la tendresse, de la rage, de la peur et de la peine, de la jalousie et des regrets, j'en ai été emportée, et j'ai dévoré le tout en un temps record, sans pouvoir reposer ma liseuse. Un coup de cœur. Un seul regret, j'aurai voulu en savoir plus... en avoir plus ! Quelques lignes, un épilogue, un chapitre, ou deux, ou dix... je n'avais tellement pas envie de les quitter.
5/5

Cette auteur à une imagination débordante! Je ne me lasse jamais, dans aucun de ces romans c'est juste génial !
Ce roman qui se passe dans des temps totalement imaginaire, semble si réel qu'il est facile de se laisser transporter, on y croit vraiment.
Ronce... Son histoire est juste WHAO, je n'ai pas décroché une seule seconde. Tout ce qui est construit autour de se personnage devient fascinant au fils des lignes et on s'attache vraiment à ce personnage.
En outre le fait que l'auteur nous mène en bateau dès le départ est franchement déstabilisant, tout au long du livre on nous confirme que son âme appartient à l'Elfe blanc et le retournement de situation dans les derniers chapitres sont tous simplement délicieux. Et surtout il ne faut pas se fier à la couverture je pense sinon, comme moi on risque d'avoir beaucoup de surprise.
Le fait que se roman soit adapté avec une façon manga donne un relief très rare en France, mais franchement cela n'est pas décevant du tout au contraire! Certains de ces dessins sont vraiment très très touchant.
Bref pour moi ce livre et un petit bijoux comme tous les livres de cette auteur.

Voulant m'initier à l'art du manga, ce livre était un bon compromis puisque il s'agit d'un manga romancé.
Deux intrigues s'entremêlent : amoureuse et policière.
Eiki, le personnage central, m'a beaucoup plus, pouvant paraitre colérique, impulsif voire cruel, il est en fait un personnage au grand coeur, que la solitude rend profondément malheureux, qui cède pour les yeux attendrissants d'un petit shark, et qui dissimule tant bien que mal ses souffrances passées.
Tout ceci narré avec une très belle écriture, nous faisant vibrer de sentiments diverses et intégrant, au sein des péripéties, passages osés et descriptions sanglantes qui sont la marque de fabrique de l'auteur.

Je connaissais déjà l'auteur, Claude Neix, pour avoir lu son dernier livre, L'elfe rouge et j'aime énormément ses histoires et son style d'écriture. C'est fluide, agréable et cela fait passer un excellent moment.

C'est l'histoire d'Eiki Leifsen, commandant dans l'armée qui, sur recommandation de son général et ami, Thraco, se voit confier une mission, élucider le mystère qui plan sur un meutre.
Le récit est bien tournée et l'enquête complexe, à laquelle s'ajoute les sentiments, lorsqu'Eiki se rend compte qu'il est attiré par Bylon Akila, le prince mi-humain, mi-berserk.

J'ai beaucoup apprécié les petites manigances d'Eiki pour attirer Bylon dans son lit. C'est attendrissant on va dire, et ça fait sourire !

J'aime beaucoup le personnage de Bylon, mystérieux ténébreux, descendant des berserk et qui souffre de cette différence. Son côté naïf est hésitant fait que l'on s'attache très vite à ce personnage. Tout comme Eiki qui, à l'inverse de Bylon, a plutôt un tempérament de feu.

Tous deux cachent au fond d'eux une profonde souffrance et c'est avec une certaine satisfaction que l'on est témoin de leur rapprochement ! Tout est décrit avec une certaine délicatesse, ce qui rend le récit plus poignant.

Pour conclure, je dirais que c'est un bon livre qui se lit très facilement et fait passer un bon moment de détente.