Commentaires sur ses livres

Une très belle lecture. C'est un roman qui parle de la mer, des oiseaux, des gens et de leurs secrets, d'amour des fois. Souvent, presque toujours.
Ca raconte les gens qu’on égare en mer, ou dans une chambre d’hôpital. Des mensonges et des vérités qui sont difficiles à accepter.
Joliment triste, tristement horrible et horriblement joli.

Fini ce livre et je l'ai bien aimé.
La vie, les souffrances, les blessures et le destin de toutes ces personnes qui se croisent, en ce lieu la Hague. Et surtout leurs secrets, et pas de petits secrets mais de grands secrets qui ont bouleversé la vie de gens.
Mais malgré tout la vie semble plus forte.

Je l'ai lu il y a quelques temps et jai été très déçue. Je me suis ennuyée presque tout le long du bouquin, véritablement soporifique ce qui est dommage car l'hsitoire est belle, la plume agréable et pourtant, je n'avais qu'une hâte: voir arriver la dernière page.

A part si vous êtes sujets aux insomnies, je ne vous le conseillerais pas !

La couverture me disait quelque chose, le titre aussi. Et pourtant je ne savais plus rien de l'histoire. Ce n'est que lorsque j'ai lu que des chats habitaient le jardin clos que tout m'est revenu. Si dans les premières pages, je me suis dit "Encore une histoire de séparation. A croire que les femmes dans les romans d'aujourd'hui ne vivent que dans la douleur de l'amour fini ou du deuil", j'ai persévéré car je voulais Venise. Et je n'ai pas été déçue.
Je me suis promenée à nouveaux dans les ruelles suintantes d'humidité, dans la brume hivernale, dans le glissement des gondoles sur l'eau de la lagune, dans le silence et le mystère des places et des églises. Venise y a une réelle place. Je me suis même attachée à cette femme qui vient se réfugier dans l'histoire de Luigi attendant inlassablement la venue de sa fille et de ses petits-enfants, dans l'amour à peine commencé et déjà finissant de Valentino et de sa ballerine, dans l'impossibilité du Prince russe de retrouver celle qu'il a cherchée toute sa vie, dans la ferveur de Dino pour ses livres et l'Histoire. Pour ce sentiment fort qui se développe dans le silence et qui la lie à Dino. Qui restera cependant prisonnier des brouillards vénitiens.
Il y a une ambiance dans ces pages, de la lenteur, de l'attente, des dialogues incertains, des fins heureuses.

"Les déferlantes" est un roman marquant. Il nous permet de découvrir ou de redécouvrir la nature splendide cachée au sein de cette merveilleuse pointe du territoire français, appelée la presqu'île du Cotentin (Jacques Prévert y repose), et de faire la connaissance de personnages marqués par le destin et très attachants. Histoire puissante, mystérieuse, magique ! Posez la main sur le livre, fermez les yeux, et vous pourrez, d'ores et déjà, entendre le ressac, le cri des mouettes...

J'ai lu ce roman sur les conseils d'une amie et je ne regrette pas : j'ai vraiment adoré !

J'ai partagé chaque instant de la vie des personnages, leurs pensées, leurs espoirs, leurs désillusions. J'ai partagé avec Philippe, Gaby et Carole l'attente de Curtil, ce père absent, fuyant, mais qui a pourtant permis qu'ils se retrouvent et se comprennent...
J'ai aussi partagé la vie de ce bourg perdu dans les montagnes, les amitiés, les secrets, les rancunes... J'ai ressenti le froid de la neige, la pureté du grand air, la chaleur des hommes, la solidarité, l'amour et l'amitié qui unissent Gaby, Philippe, Carole, la Môme, Marius, la Baronne, Sam, Jean, Diego et tous les autres.

Bien sûr on peut avoir l'impression qu'il ne se passe rien mais il se passe tellement de choses...

Bref, j'ai adoré ce roman et j'ai très envie d'en découvrir d'autres de cette auteure !

L'amour est une île met en scène des personnages très attachants et très profonds. Il règne dans ce roman une ambiance languissante qui nous maintient dans un climat mystérieux et nous fait dévorer ce livre.

Un roman d'atmosphère envoûtant, au coeur de Venise. Une femme d une quarantaine d'année quitte la France et s'installe dans une pension vénitienne, en plein hiver, elle y fait de belles rencontres et nous fait visiter Venise en passant dans les ruelles froides de cette ville.

Une superbe lecture, une mélancolie très douce et très belle. Des personnages écorchés par la vie, une écriture hâchée, tellement touchante.

Dans ces paysages hostiles du cap de La Hague, quelques habitants affrontent ce climat rude, ces "déferlantes" dans un quotidien où les secrets de famille peuvent revenir à la surface, à la manière de ces corps que la mer parfois ramène sur la plage.

Je l'ai lu entièrement mais ça n'a pas été sans mal. C'est lent, très lent, les personnages ne sont pas attachants. L'histoire tire en longueur sans raison. Il ne se passe pas grand chose, la révélation du secret gardé par les habitants du village après les trois quart du livre, on la voit déjà arriver 50 pages plus tôt ! En gros, je n'ai pas détesté, mais je n'ai pas aimé. J'ai trouvé ça trop mou, sans grand intérêt.

Superbe livre pour ceux qui aiment la mer. Le titre résume parfaitement le livre. Je n'ai eu de cesse que d'aller à La Hague pour admirer le spectacle. Je n'ai pas été déçue.

Le début est difficile, une lenteur peu commune et un état quasi "dépressif" des protagonistes. Mais le charme des personnages, de l'ambiance et des lieux agit peu à peu. On se laisse imprégner d'iode, on entend la mer... Les personnages se dévoilent de façon très pudique au fil des pages, le secret est gardé jusqu'au bout.

Une jolie histoire dans laquelle on retrouve le style touchant de Claudie Gallay. Pierre-Jean est un petit garçon avec un regard très simple sur les choses de sa vie, y compris celles qui ne sont pas toujours roses, et j'ai beaucoup aimé suivre son point de vue.

C'est vraiment un roman d'atmosphère. J'adore la mer et là, je suis comblée en lisant ce livre.
Je ressens l'iode, les embruns, le bruit des vagues...
Il ne s'y passe pas grand chose mais c'est vraiment reposant.

J'ai lu ce roman d'une traite ! un style brut, comme la nature du Cotentin, sauvage et rude. Des personnages forts, eux aussi bruts de décoffrage ! et un suspense tout du long, avec un dénouement inattendu. C'est une bouffée de vent frais qui oxygène dans cette pollution parisienne !