Clément Oubrerie
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Note moyenne : 7.42/10Nombre d'évaluations : 486
0 Citations 246 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
"Les galères" se succèdent pour nos personnages même Aya n'est pas épargné, Innocent fait son "gaou" à Paris.... ( un petit aperçu 🤣).
Les expressions de cette bd vont m'achever, ce tome se termine par une révélation Spoiler(cliquez pour révéler)la chance pour Aya peut être d"en finir avec son harceleur
Afficher en entierSnif j'arrive à la fin.
J'ai retrouvé un petit quelque chose dans ce tome, les pages sont désopilantes.
Innocent est vraiment drôle ( il est très bien développé loin de Yop city)..
J'attaque le prochain tome...
Afficher en entierJe suis mitigée vis à vis du livre...mais surtout déçu.
On ne raconte pas la vie de Dalì comme j'aurai pus le penser, le scénario part un peu dans tous le sens.
néanmoins les graphiques sont vraiment sympas et certaines bulles drôles. Moi qui ai visité le musée je ne recommande pas cette BD
Afficher en entierJ'avoue que je m'attendais à mieux. J'ai adoré les romans, j'avais beaucoup aimé la série, et même apprécié le film. Mais cette adaptation me laisse sur ma faim. J'ai vraiment été déçue par le dessin, brouillon et qui, à mon avis, dessert l'histoire. Dommage...
Afficher en entierJe suis restée sur ma faim 😅, ce tome là va à une vitesse rapide trop de dossier à la fois....hâte de connaître la suite.
Afficher en entierUn très bon tome ! J'apprécie particulièrement de suivre plusieurs personnages en même temps et de découvrir peu à peu leurs histoires. Le personnage de Aya est mon préféré, elle est vraiment bien écrite.
Afficher en entierContente de découvrir une œuvre ivoirienne mais franchement les graphiques et l'histoire ne m'ont pas convaincu: le coup de qui sort avec qui était redondants... Et ça part un peu dans tous les sens d'après moi. J'ai eu du mal avec le dialecte et ce n'est indiqué nulle part qu'il y a un lexique à la fin. Je ne lirai pas la suite, même si les plages bonus étaient sympas.
Afficher en entierCela faisait un bout de temps que je n'avais pas tant souri en lisant une BD ! Tout incite à la bonne humeur : les dessins coloré et tout en courbes pour des mouvements et expressions chaloupés et marqués, un récit simple, des personnages accessibles et le langage caractéristique sans être incompréhensible. Pas facile à gérer d'ordinaire, mais là c'est réussi ! Je ne connaissais pas cet aspect de la Côte d'Ivoire, je me renseignerai.
Afficher en entierIl existe 3 bandes-dessinées du premier tome d'À la Croisée des mondes dont celui-ci fait partie. Et il y a bien sûr 3 autres bd du deuxième tome. Je ne conseille pas cette bd comme seule lecture d'À la croisée des mondes. étant une bande-dessinée, le livre est beaucoup coupé pour adapter les scènes les plus importantes du livre. Les événements sont donc beaucoup plus précipités. Ceci étant un qualificatif de la bd, ça ne constitue aucunement tort.
Mais je conseille davantage cette bd comme un complément de la véritable trilogie. La trilogie est bien plus vaste et tout y est mieux expliqué. De lire les bd en complément après les romans ou en avant-goût des romans est vraiment amusant. Le style des dessins ne sont pas tant à mon goût et certains personnages ne ressemblent pas à ce que j'imaginais, mais je me suis fait au style. Je parle du style, car ce n'est pas le travail qui me laissait mitigée, loin de là. Car à part certains personnages présentés différemment, les décors et l'action incarnent bien leurs livres maîtres. La trilogie est bien adaptée en somme. J'ai particulièrement aimé une scène sur laquelle on voit Pantalaimon, le daemon de Lyra, se métamorphoser de guépard, je crois, en furet. C'était un exemple de travail très bien effectué !
Afficher en entierCette deuxième partie en bande-dessinée des royaumes du nord m'a finalement faite tomber amoureuse de ses dessins. Dans la première partie, je trouvais le style parfois un peu brouillon dans son art, mais là, j'ai vraiment aimé les décors du Nord. Les dessins de ciel étoilé, d'aurores boréales, de Iorek, des sorcières dans le ciel et sur ce qui se passe à Bolvangar sont juste vraiment chargés de l'émotion qu'il faut pour nous faire revivre l'intrigue. C'est juste vraiment beau et le scénario est assez fidèle au roman. Vraiment, je vous conseille de faire lire ces bd à vos enfants pour leur donner envie des romans. Il faut faire connaître davantage À la Croisée des mondes !
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Clément Oubrerie
et autres évènements
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Editeurs
Gallimard : 13 livres
Dargaud : 11 livres
Gallimard Jeunesse : 6 livres
Les Arènes : 4 livres
Casterman : 1 livre
Delcourt : 1 livre
Albin Michel Jeunesse : 1 livre
Hachette Jeunesse : 1 livre
Biographie
Clément Oubrerie est un dessinateur français né à Paris en 1966. Il suit des études d'arts graphiques à l'ESAG, puis passe deux ans aux États-Unis où il publie ses premiers livres pour enfants.
De retour en France, il crée une agence de presse, WaG, spécialisée dans l'infographie, qui alimentera les principaux titres de la presse française dans les années 90, du Nouvel Observateur au Figaro en passant par l'Express ou Libération. Il continue aussi son activité d'illustrateur jeunesse et publie une quarantaine d'ouvrages, dont notamment Dis, tante Mèmène... avec Marianne Boilève chez Hachette Jeunesse, Rikiki-Riquiqui qui a peur de tout avec Pierre Coré et Le Monde de Nounouille avec Marie Nimier chez Albin Michel, et plus récemment Les Dix et Une Nuits au Seuil Jeunesse, avec Marianne Boilève. Il obtient également le prix du livre de presse de Montreuil en 2003 pour Les Mille Mots de l'info (Gallimard).
En parallèle, il se tourne vers le dessin animé et co-fonde successivement deux studios d'animation :
– La Station Animation, spécialisée dans la 3D, qui développe de nombreux projets de séries ;
– Autochenille Production, avec Joann Sfar et Antoine Delesvaux, qui produit et fabrique l'adaptation en long-métrage du Chat du rabbin (sortie en 2010) et de Aya de Yopougon (sortie en 2011).
En 2007 il co-signe également avec Éric et Ramzy la série Moot-moot pour Canal+, meilleure série d'animation au festival d'Annecy 2008.
Il vient à la bande dessinée sur le tard avec Aya de Yopougon (Gallimard), sur un scénario de Marguerite Abouet, qui obtient le prix du Premier Album au festival d'Angoulême 2006. La série est traduite en douze langues, saluée par de nombreux prix et rencontre un vrai succès de librairie. Le tome 5 est paru en novembre 2009.
Il publie en outre une adaptation en BD de Zazie dans le métro de Raymond Queneau, toujours chez Gallimard, ainsi que "Pablo", avec Julie Birmant qui sort en janvier 2012.
wikipédia.fr
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