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Constance Rivière

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Biographie

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0 Citations 9 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Constance Rivière

Sortie France/Français : 2021-08-25

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Mayumi 2019-08-20T08:20:21+02:00
Une fille sans histoire

Avis complet : http://vibrationlitteraire.com/une-fille-sans-histoire-de-constance-riviere/

Une quête d’identité à l’origine d’une grande imposture…

Dans ce roman, nous suivons Adèle qui erre dans la société sans jamais y trouver son rôle à jouer. C’est en novembre 2015, après s’être isolée pendant des semaines dans son studio, qu’elle va se créer un rôle et se réinventer une identité. Elle va alors se persuader d’abord, puis persuader le monde qu’elle est la petite-amie d’un défunt dans un événement qui chamboule la nation entière. Adèle va ici s’investir seule dans une mission d’aide aux victimes et leur famille. Elle va mener ce rôle qui la fait évoluer.

En effet, trouver son identité, même fausse, va la transformer. Elle se constitue un rôle et se sent utile, forgée d’une énergie nouvelle. Adèle va prendre confiance en elle et totalement se dissocier de son identité véritable.

Ce que j’ai beaucoup apprécié, c’est que l’auteure réussit haut la main le défi de ne pas rendre ce personnage principal, cet imposteur, totalement antipathique. En effet, en nous décrivant peu à peu le mécanisme et la dissociation totale d’Adèle, ainsi que son passé tortueux qui l’a privé de toute identité propre, on comprend un peu mieux ce qui peut pousser quelqu’un à réinventer son histoire. Ici, il n’est pas question de s’approprier la souffrance d’autres dans le but d’escroquer, mais bien plus d’une identité créée pour exister quand on n’a jamais su qui on pouvait bien être. J’ai vraiment adoré le traitement réalisé par l’auteure et les différentes réflexions mises en avant. De plus, j’ai apprécié que cette histoire soit racontée par différentes personnes, au gré des rencontres d’Adèle.

Une fille sans histoire est un roman percutant sur un sujet délicat ici traité avec brio. Constance Rivière réussit la prouesse de rendre l’usurpatrice de souffrance, lors d’un terrible événement national, assez perdue et dissociée pour nous faire ressentir de l’empathie malgré tout. J’ai vraiment beaucoup apprécié cette lecture si travaillée qu’elle en devient totalement réaliste.

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Commentaire ajouté par dadotiste 2019-09-22T12:43:56+02:00
Une fille sans histoire

En un mot : Une lecture perturbante !

Le lendemain des attentats du 13 novembre, Adèle voit l'image de Matteo, un étudiant porté disparu à la télévision. Elle l'a croisé plusieurs fois dans le bar dans lequel elle travaillait. Recluse chez elle depuis plusieurs semaines, sans y avoir vraiment réfléchi, elle décide de sortir et de se rendre au centre d'aide pour les personnes disparues. Quand on lui demande ce qu'elle fait là, elle ne sait que répondre et se fait passer pour la petite amie de ce dernier. Très vite, elle se retrouve prise dans un engrenage mais surtout, elle trouve sa place, celle non légitime de victime. Pendant des mois, elle va s'en tenir à son histoire et même, devenir porte parole des victimes...

Le roman trouve sa force dans sa polyphonie. En effet, il donne tour à tour parole à plusieurs protagonistes qui vont permettre d'avoir plusieurs angles de vue sur la supercherie de la jeune femme. Aimer ce roman m'a perturbée tant j'ai trouvé l'idée de ce mensonge révoltant... On ne peut que détester le personnage d'Adèle qui utilise la souffrance des attentats pour trouver son quart d'heure de gloire.

En conclusion, un premier roman très prometteur pour Constance Rivière mais difficile à conseiller en raison de son sujet !

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Commentaire ajouté par soizig 2019-11-13T15:54:23+01:00
Une fille sans histoire

Paris, le 13 novembre 2015. Des centaines de morts et de blessés. Des proches et des familles pétrifiées, dévastées. La stupéfaction pour tous et pour une jeune femme habitant à proximité de la salle du Bataclan. Adèle, une victime collatérale ?

Adèle est une jeune femme désœuvrée, sans emploi, isolée, mal dans sa peau depuis le décès de son père. Elle décide de s’introduire dans la vie d’un jeune homme mort lors de l’attentat, se présentant à tous comme sa petite amie. Mattéo fréquentait comme client le bar où elle était serveuse. Bar dont elle a été congédiée lorsque le patron du bar s’est rendu compte qu’elle avait volé quelque chose dans le sac du jeune homme. Pour quelle raison prend-elle cette décision folle et lourde de conséquences ? Sans doute pour donner un sens à sa vie.

Presque qu’à chaque nouveau chapitre, un narrateur différent s’exprime et l’on comprend assez vite que ces hommes et cette femme comparaissent comme témoins dans un procès, chacun à son tour vient faire sa déposition. Ils reprennent la parole plusieurs fois au cours du récit. Alors que lorsqu’il s’agit de décrire Adèle, ses actes et ses pensées c’est un narrateur neutre qui le fait. J’ai beaucoup aimé le choix de l’auteur de donner la parole aux acteurs de ce drame. Un choix d’écriture plus vivant. Le premier à intervenir est Saïd, un psychologue bénévole à la Croix Rouge. C’est lui qui met Adèle en relation avec les parents de Mattéo. Ensuite c’est Francesca, la mère de Mattéo, une Italienne ayant vécu en France, qui relate ses rapports « forcés » avec Adèle, sa surprise puis assez rapidement son malaise et ses doutes. Puis, intervient Thomas, un camarade de Mattéo à l’Ecole des Beaux Arts. Et enfin au tout dernier moment apparaît Jacques, le patron du bar. Tous sont frappés par l'étrangeté de la jeune femme mais aucun ne peut imaginer la vérité.

« A la mort de son père, alors qu’elle entrait avec peine dans la vie adulte, elle eut beaucoup de mal à trouver un équilibre nouveau. Elle ne savait pas comment vivre avec cet état de confusion qui lui rendait si difficile de distinguer nettement la vie réelle de sa vie rêvée » En remontant à l’enfance d’Adèle il est plus facile de comprendre son parcours et ce qui a dicté son attitude inattendue et inacceptable. Souffre-t-elle du syndrome de Münchhausen, une pathologie psychologique caractérisée par un besoin de simuler un traumatisme dans le but d’attirer l’attention ou la compassion. N’est ce pas le cas d’Adèle, très active, très investie dans l’association des victimes ? « En entrant dans la lumière par une actualité douloureuse elle devenait fréquentable ». Et c’est ainsi qu’une jeune femme terne, sans consistance, devient une héroïne que tous les média s’arrachent en s’appropriant une histoire, une vie, une existence qui n’est pas la sienne. Usurpatrice « Adèle s’est vite imposée comme une figure emblématique des victimes des attentats ». Quelle imposture ! Tout change chez Adèle, le prénom – son vrai prénom c’est Marianne -, le caractère... C’est même carrément une métamorphose physique puisque même le patron du bar qui l’avait employé et qui connaissait également Mattéo ne l’avait pas reconnue aux journaux télévisés. « Que ses années d’invisibilité lui semblaient lointaines « Quel parcours parcouru dans une vie inventée, volée !

Ce n’est pas un livre sur l’attentat du 13 novembre 2015 dans la salle du Bataclan. Absolument pas, l’attentat ne sert juste que de prétexte pour explorer la psychologie de la jeune femme, affabulatrice, usurpatrice d’une identité qui n’est pas la sienne. Une psychologie très bien maîtrisée et qui parvient même à nous rendre cette jeune femme très attachante malgré la monstruosité de son comportement. Comment ne pas éprouver de l’empathie pour cette jeune femme qui se débat pour aider les parents de Mattéo, dont elle a volé le deuil ?

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Commentaire ajouté par Phil_33 2019-12-28T23:10:31+01:00
Une fille sans histoire

C'est l'histoire d'une femme qui se fait passer pour une victime des attentats de novembre 2015. C’est le récit d'une imposture, c’est une réflexion sur la place des victimes dans la société et sur le besoin d'exister médiatiquement.

Dès la première page, on sait que, pour avoir reconnu Matéo, victime de la fusillade du Bataclan, un étudiant qu'elle croisait dans le bar où elle travaillait l'été d'avant, et s'inventer alors une relation amoureuse avec lui, Adèle écope de douze mois de prison dont six avec sursis.

« Le début du roman est le jugement d'une imposture. Mais comme je ne voulais pas regarder mon personnage en termes moraux, j'ai évacué la culpabilité tout de suite. Adèle souffre de ne pas savoir qui elle est. Elle répond à cette injonction contemporaine d'être quelqu'un. » Confie Constance Rivière lors d’une interview à France Culture.

Constance Rivière est née en 1980 à Paris, est surdouée et surdiplômée (ENS, IEP Paris, ENA). Elle a gravité dans la sphère du PS et de François Hollande dont elle a été une des conseillères. Elle a été nommée en janvier 2015 adjointe au cabinet juste avant les attentats : « A ce poste, j’ai passé un an dans l’urgence, à faire de la gestion de crise ». Elle s’est occupée, en particulier, de l’accompagnement des victimes… Depuis deux ans, elle est secrétaire générale du Défenseur des droits. “Une fille sans histoire” est son premier roman.

Revenons à Adèle, notre imposteur (pas de féminin pour ce mot). Ce 13 novembre 2015, elle rêvasse, seule comme toujours, devant sa fenêtre ouverte, tout près du Bataclan, quand tout à coup elle entend le charivari de nombreuses sirènes de police et de secours. Que se passe-t-il ? C’est la télévision qui lui apprend ce qui se passait au pieds de chez elle : « on allait plus au théâtre pour voir des tragédies, on allumait la télévision… » Le lendemain, un bandeau, au bas de l’écran, invitait la famille, les proches des victimes à se rendre à l’École militaire pour avoir des nouvelles. Adèle a cru reconnaitre sur une photo un jeune homme qui fréquentait un bar où elle a été serveuse, Matéo. A-t-il disparu ? Est-il blessé ? Elle veut savoir et se rend à l’École militaire. C’est ainsi que tout commence…

Pour ne pas être une simple curieuse et être prise au sérieux, Matéo devient son petit ami, son amoureux… et de fil en aiguille, elle prend les choses en main, s’occupe des parents de Matéo qui habitent Rome et, quant à faire, des autres victimes et devient un personnage emblématique et incontournable des associations d’aide « Elle, ex-serveuse de bar au chômage, ayant entendu le bruit du drame dans la nuit alors qu’elle savait son amoureux au Bataclan, dévastée et prête à le montrer, revendicatrice et triste, elle était la victime parfaite, créature vivante offerte aux dieux, projection expiatoire des angoisses de tout un chacun, celle qu’ils attendaient dans les premières semaines après les attentats où l’image qui devait s’imposer était celle de la solidarité avec les victimes. »

Lorsque la vérité va éclater, car pour les petits la vérité éclate toujours, on s’imagine le scandale, la curée, la haine… contre cette fille qui a menti en inventant un amour qui n’existait pas. Qui a voulu utiliser le malheur des autres pour sortir de l’anonymat. Qui s’est révélée d’une grande utilité et d’une grande efficacité auprès des victimes et de leurs proches au point de se faire embaucher par une association d’aide comme permanente. Qui n’a rien sollicité d’autre qu’un peu de reconnaissance !

Pour votre peine vous ferez douze mois de prison dont six avec sursis !

Tel est le prix du mensonge… Et si nous appliquions cette sentence à nos hommes politiques (proportionnellement à la taille du mensonge) ?...

Ce premier roman polyphonique est bien mené, très bien écrit. L’exercice de style est réussi dans une langue riche. Son passé dans l’ombre de l’Élysée lui a fourni toute la matière pour réussir ce livre, néanmoins, à l’instar d’Adèle et toute proportion gardée, avec cet ouvrage, Constance n’a-t-elle pas cherchée à sortir de l’obscurité ?

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Commentaire ajouté par Lilith86 2020-04-09T08:17:44+02:00
Une fille sans histoire

L'histoire m'intéressait beaucoup et j'ai pris du plaisir à la lire, mais j'aurai aimée que l'on aborde un peu plus l'aspect psychologique pour comprendre le pourquoi du comment. Le livre nous replonge dans cette période glaçante.

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Commentaire ajouté par loeilnoir 2021-09-27T09:18:05+02:00
La maison des solitudes

Elisabeth est issue d’une famille « mutique » où, par pudeur ou par bienséance, on préfère taire les choses. Une attitude lourde de sens qui devient difficile à porter au fil des générations : « Au jeu des Sept familles, je demande la famille silence. Le grand-père secret. La grand-mère mystère. La mère mutique. Le père motus. La fille bouche cousue. Une seule règle du jeu : pas de question. » Mais lorsque sa grand-mère dont elle était si proche enfant vit ses dernières heures isolée de tous dans un hôpital, la jeune femme veut absolument obtenir des réponses à ses questions : pour quelle raison sa famille s’est-elle disloquée, ses membres jusque là soudés s’ignorant désormais totalement ?

L’héroïne, Elisabeth, est une jeune femme à la recherche de son passé, il lui manque quelque chose pour se construire sereinement, une brèche demeure grande ouverte qui n’a jamais pu se refermer : sa mère, une femme énigmatique, comédienne de profession (car elle ne peut apparemment pas s’empêcher de faire semblant) a brusquement changé de comportement vis à vis de sa propre fille mais surtout de ses parents qu’elle refuse de rencontrer. Elisabeth n’a jamais compris cette « fracture » soudaine, inexpliquée survenue au cours de son enfance. Vivre au sein de cette famille déchirée est rapidement devenu un fardeau : une mère froide, distante, dépressive, des grands-parents qu’elle ne voit qu’aux grandes vacances dans une maison de campagne où résonnent encore mille souvenirs. Que cache ce mystérieux grenier dont l’accès lui était formellement interdit ?

S’oppose à ce récit calme au ton froid et poétique parfois, cette course contre le temps pour retenir les souvenirs et tout ce qui peut l’être d’une vie troublée par un secret de famille pesant. Le côté énigmatique de ce récit m’a beaucoup plu : j’ai comme Elisabeth eu envie de connaître les raisons de cette fracture soudaine dans une famille jusque là en apparence soudée. J’ai trouvé touchant le portrait de cette famille mutique où il est si difficile pour une jeune femme de trouver sa place. L’auteure dresse également avec beaucoup de sensibilité le tableau d’une époque actuelle, de notre société qui tente de réagir face à une épidémie dévastatrice. Les relations humaines y compris avec nos proches malades ou mourants sont réduits « tout comme les cartes bancaires » au sans contact… Attendre des heures dans ce couloir d’hôpital avec obstination sera pour Elisabeth l’occasion de se remémorer des souvenirs d’enfance et de se questionner sur les relations compliquées entre les membres de sa famille. C’est avec beaucoup d’empathie que j’ai suivi l’attente d’Elisabeth à la porte de l’hôpital, impatiente de revoir une dernière fois sa « grand-mère soleil« , de lui témoigner son affection mais aussi de discuter enfin avec elle de sujets graves, de poser les questions qui importent en faisant fi de ce mutisme familial intergénérationnel pour enfin faire éclater la vérité. Ce roman offre une réflexion poignante et réaliste sur notre rapport à la vieillesse et sur le temps qui passe trop vite.

Une lecture qui sort de mon genre de prédilection et qui pourtant là encore m’a entièrement satisfaite dans les sujets abordés. Je remercie NetGalley et les Editions Stock pour ce partenariat.

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Commentaire ajouté par Maryel 2021-11-01T17:47:03+01:00
Une fille sans histoire

Sur fond d'un événement tragique, l'auteure nous raconte une histoire douloureuse qui fait osciller le lecteur entre l'empathie et le rejet. L'écriture sobre, toujours juste et sans jugement nous emporte dans la tourmente psychologique d'Adèle.

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Commentaire ajouté par rabanne73 2021-12-21T19:33:13+01:00
Une fille sans histoire

Lu en octobre dernier. J'ai découvert une auteure et une plume intéressantes à travers cette lecture, qui m'avait laissée assez perplexe mais du moins pas indifférente.

Un récit psychologique qui parle de mensonge tournant à la mythomanie et à l'imposture. Mais à travers l'héroïne de ce roman, l'on se confronte brutalement à une souffrance aussi inconsciente que criante : grande solitude, refoulement, vide, sentiment d'unitilité et d'abandon. Bref, un terrain miné confinant à l'engrenage inévitable et malsain que ce huis clos nous décrit, étape par étape...

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On parle de Constance Rivière ici :

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Stock : 2 livres

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