Dana Schwartz

Ce deuxième tome est une réussite et est tout aussi agréable que le premier.

Au fil de la lecture, on traverse de la joie, de la tristesse, de l'amour, du dégout...

Spoiler(cliquez pour révéler)Hazel et Jack se mérite et je suis très contente qu'ils puissent se revoir et déclarer leurs sentiments envers l'autre !

Je le recommande absolument, c'est une suite importante du tome 1 !

Une petite pépite ! Une histoire captivante, qui explore les aspects sombres de la médecine dans une ambiance gothique et mystérieuse, parfaitement retranscrite.

Hazel est une héroïne forte et déterminée, qui refuse les limites imposées aux femmes de son époque. J’ai beaucoup apprécié ce personnage qui change de ce qu’on peut voir d’habitude, ainsi que celui de Jack, intrigant et attachant, même si j’aurais aimé en voir plus le concernant.

J’ai trouvé leur relation très belle, sincère et parfaitement développée. J’ai aussi aimé qu’elle ne soit pas le centre de l’histoire, mais qu’elle vienne sublimer le récit.

L’intrigue est très bien ficelée, et la narration fluide rend la lecture très agréable.

Pour l'instant c'est mon livre préféré mais ça peut encore changer 👍👌

J'ai beaucoup aimé cette lecture. Je n'ai pas eu l'occasion de lire beaucoup de livre historique, et encore moins avec des intrigues relevant de la médecine. Je craignais m'ennuyer un peu et que ce soit beaucoup trop technique. Mais finalement, ça se lisait tout seul et c'était bien compréhensible. J'ai trouvé le début un peu long. L'histoire a mis un peu trop de temps à s'instaurer à mon goût. Mais dès que l'intrigue a pris place, j'ai adoré. Il y a pas mal de petits rebondissements. Et j'apprécie que la romance soit présente sans prendre toute la place dans l'intrigue. J'ai hâte de voir ce que donne le second tome !

🫀⚗️⚰️| 𝐀 𝐋𝐨𝐯𝐞 𝐒𝐭𝐨𝐫𝐲, 𝐓.𝟏 & 𝐓.𝟐 - 𝐃𝐚𝐧𝐚 𝐒𝐜𝐡𝐰𝐚𝐫𝐭𝐳

[𝐍𝐨𝐭𝐞 : 𝟒/𝟓⭐]

Étant donné que j'avais adoré The Corpse Queen, j'étais curieuse de me lancer dans cette duologie, qui aborde les mêmes sujets et se situe cette fois dans la ville d'Édimbourg. A Love Story est une saga alliant à la fois fiction historique et gothique et ayant pour thématique principale la chirurgie et ses difficultés (tant par le faible taux de survie des patients que par la quête des corps à des fins d'expériences et/ou d'entraînement), ainsi que de la place de la femme dans la société au XIXe siècle. Une petite romance figure également dans l'intrigue de ce young adult, couple à une ambiance assez sombre et inquiétante par moments, une jolie plume et des personnages sympathiques. Bien que je ne classerais pas ces deux tomes dans le registre de l'horreur, ceux-ci ne sont toutefois pas pour les âmes sensibles, car certaines scènes de chirurgie sont assez gores. C'est quelque chose que j'aime bien en général, mais évitez quand même de manger durant votre lecture (conseil d'amie). J'aurais pu mettre une note plus haute à cette saga si les révélations de celle-ci n'avaient pas été aussi aisément devinables, il n'y avait limite presque pas de vrai suspense et j'étais frustrée de voir Hazel, pourtant si intelligente, être complètement aveugle à ce qui est pourtant sous son nez ! J'ai un peu grincé des dents par rapport à cela, mais sinon j'ai vraiment apprécié le reste et je serais assez curieuse de lire d'autres livres de l'autrice.

J'ai plutôt bien accroché au personnage de Hazel, à sa passion, au sentiment d'injustice qu'elle ressent et à son désir d'émancipation. Elle est déterminée, amusante et non-conventionnelle, ce qui en fait une héroïne très attachante. Jack l'était également, même si le récit était un peu moins tourné sur lui.

𝐏𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬 + : Les thématiques abordées, la plume, l'ambiance, les personnages, le côté gore et macabre, l'addictivité, les couvertures

𝐏𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬 - : Bien trop prévisible à mon goût

Hazel est une jeune femme de bonne famille, promise depuis l’enfance au fils du Vicomte Almont. Mais elle n’est pas comme toutes ces nobles qui passent leurs journées à partager des ragots et à boire le thé, non, elle aspire à plus grand, bien que ce qu’elle souhaite devenir soit réservé aux hommes, à cette époque. Passionnée de sciences, elle souhaite devenir femme chirurgien. Mais la chirurgie en est encore à ses balbutiements, avec les débuts des dissections et des voleurs de cadavres, les résurrectionnistes. Comment peut-elle parvenir à ses fins sans compromettre son futur?

A une époque où les femmes ne servent que de faire-valoir et qu’à enfanter, Hazel détonne de par sa personnalité plus honnête et parfois même brusque. Elle sait ce qu’elle veut, et malgré ses doutes, rien ne l’arrête une fois qu’elle a décidé quoi faire. Malgré tout, sa condition de femme la bloque dans ses démarches. Obligée de se travestir pour pouvoir suivre les cours de médecine, elle doit aussi continuer à remplir ses obligations de dame, sans quoi elle risque de finir à la rue, abandonnée par sa mère qui n’en a que pour son petit-frère.

Sa rencontre avec Jack, résurrectionniste à ses heures perdues, va chambouler son quotidien, et bousculer ses certitudes : veut-elle réellement se marier à Bernard Almont, qui est totalement contre le fait qu’elle exerce un métier ? Ou souhaite-t-elle tenter quelque chose avec ce mystérieux jeune homme pauvre, contraint à voler des cadavres pour survivre?

Jack est aussi doux que Hazel est rude. L’équilibre entre les deux est donc parfait, car il tempère ses ardeurs. C’est comme si elle avait cherché quelqu’un d’égal à elle toute sa vie et qu’il s’était enfin présenté. Ni l’un ni l’autre ne se formalise du statut de l’autre, ce qui est rare à ce moment-là de l’Histoire.

On suit aussi une enquête en fond de récit, sur d’étranges disparitions de pauvres, la recrudescence de fièvre rouge, et des cadavres mutilés sans raison apparente. Plusieurs suspects se démarquent dès le début, entre le Docteur Straine et son unique oeil, Lord Almont et son comportement, et enfin, le Docteur Beecham, à la personnalité si ouverte mais aux multiples secrets que ne cachent qu’en partie sa célébrité.

La plume est fluide, très agréable à suivre, et si le tome se termine en cliffhanger, je suis ravie d’avoir le tome 2 dans ma pal pour pouvoir le lire à la suite!

Suite à son refus d'épouser Bernard, Hazel a continué à soigner les pauvres à Hawthornden. Fidèle à elle-même, elle s'est fixé pour but de pouvoir publier un ouvrage de médecine vulgarisée accessible à tous afin que les plus démunis puissent se soigner un minimum. Mais, emprisonnée à tort pour un meurtre qu'elle n'a pas commis, son avenir semble compromis. Et Jack disparu, dans sa cellule, elle attend son exécution sans pouvoir rien faire d'autre que se morfondre.

Hazel est confrontée à un nouveau mystère, un nouveau diagnostic à poser, mais la personne concernée ne veut pas être auscultée. Et pourtant, il faut qu’elle trouve, car il s’agit de la Princesse Charlotte, et le Prince Régent la menace si elle ne parvient pas à la guérir. Loin de chez elle, à Londres, elle fait donc face à un problème de taille, tout en faisant de nouvelles découvertes intéressantes.

Ce nouveau tome ouvre de plus grands horizons à Hazel, bien qu’il ne démarre pas très bien pour elle x) En plus de nous apporter tout un tas de références historiques, on y rencontre aussi de grands personnages ayant existé : Voltaire, Lord Byron, Antoine et Marie-Anne Lavoisier, etc…

De nouveaux personnages font leur apparition, dont Simon Von Ferris, docteur personnel du Roi, malade, sa gentillesse et son apparence ne laissent pas Hazel indifférente. De plus, tout comme Jack avant lui, il la traite en égale, loin de la critiquer car c’est une femme, et la met même en avant quand il le doit, au lieu de s’approprier ses réussites comme bien d’autres hommes de cette époque l’auraient fait. Mais la jeune femme tombera-t-elle sous son charme? Sera-t-elle capable d’oublier Jack, alors même qu’elle ne sait pas s’il est réellement mort ?

La condition des femmes dans la société au XIXe siècle est abordée plus en profondeur, et les réflexions de Marie-Anne montrent les ombres que certaines femmes étaient obligées de devenir afin de faire accepter leurs découvertes, en les publiant sous un nom d’homme ou sous celui de leur époux, quand celui-ci était assez ouvert d’esprit pour le leur permettre.

On a aussi affaire aux Compagnons de la Mort, qui expliquent le titre de ce deuxième tome. Ils semblent tirer les ficelles du Royaume sans trop se faire connaître, tous brillants. C’est un cercle très fermé et très sélectif, mais là encore, je ne peux pas en dire beaucoup plus :3

J’ai encore une fois bien aimé cette romance gothique !

Le premier tome avait été un gros coup de coeur mais là j'avoue avoir été un peu déçue.

Je trouve que le résumé spoile un peu trop de choses et laisse miroité beaucoup plus de choses que ce qui arrive en réalité.

J'ai donc passé presque la moitié de ce roman à me demander quand est ce que ça allait réellement commencer.

Je suis également un peu mitigé par la romance dans le sens ou je m'y attendais. Spoiler(cliquez pour révéler)On parlait beaucoup trop de Jack pour qu'il ne réapparaisse pas. Du coup la tentative de flirt avec Simon n'a pas prise du tout non plus

Par contre j'ai adoré le fait de découvrir la médecine avec nos protagonistes et surtout j'ai aimé le côté féministe d'une femme qui veut devenir chirurgienne, écrire un traité quelle veut absolument faire publier en son nom alors qu'a l'époque c'était inenvisageable et qui envoie balader tous les codes "classiques" de la société.

J'ai adoré cette lecture !

Que ça soit l'histoire, la localisation de celle-ci, les personnages, l'intrigue et les rebondissements, ... tout était incroyable.

Le seul bémol que je pourrait émettre c'est que le milieu du livre est un peu lent mais même cette longueur ne m'a pas vraiment déplu car je comprenais cette nécessité dans le récit.

En tout cas c'était lugubre et un peu macabre sans être cynique ou sanglant et j'ai beaucoup apprécié ça.

C'était une lecture agréable et si le résumé vous as intéressé je ne peux que vous le recommandé.

Ca faisait bien longtemps que je n'avais pas laissé un commentaire à chaud comme ça, je viens de le finir il n'y a même pas 15 minutes.

Est-ce que j'ai craqué en premier lieu pour la couverture ? A-BSO-LU-MENT ! Est-ce que je regrette ? Pas du tout :)

J'ai passé un très bon moment, c'est fluide, ça se lit bien et le personnage principal est bien travaillée, elle n'est ni une héroine imbuvable, ni une petite fille nian-nian insupportable. L'histoire est mignonne et simple. Oui simple, l'intrigue n'est pas très surprenante, dès qu'elle arrive on se doute immédiatement de ce qu'elle implique, enfin en grande partie.

Petit coup de coeur pour le twist des dernières pages, que je n'avais ni vu venir lui, ni même imaginé compte tenu de l'histoire de base. Ca donne une note tendre à ce roman que j'aime beaucoup.