Dani Collins

Une bonne lecture. Un moment agréable avec un livre qui se lit rapidement et facilement .

Bon j'ai vu la couverture d'un azure pour la première fois avec un couple mixte c'est une sacrée avancée sinon pour le reste c'est toujours pareil l'histoire à la sauce azure généralement : un homme qui a connu une vie dure durant l'enfance devient milliardaire,il est très très très froid parceque il a un passé difficile puis vient la dulcinée mais pas n'importe laquelle elle est généralement vierge dans 99% des cas,elle est vraiment trop pauvre ,désespérée et en même temps fière mais oublie son cerveau une fois qu'elle a vue monsieur,le mâle alpha rabaisse sans cesse la dulcinée parcequ'il pense que c'est une arriviste mais il faut qu'il y est du sexe partout qu'à même parceque la dulcinée est la seule femme à lui avoir touché le cœur sauf qu'on ne parle pas de sentiment ici , après il y'a un événement qui sépare le couple puis monsieur se rend compte qu'il ne peut pas vivre sans madame et après la réconciliation au lit bien entendu le mariage et les enfants après.

Une bonne lecture

Une belle histoire

une histoire courte originale sur un couple après leur mariage. très sympa!

Pas convaincu. Gnan gnan a souhait, les hasards sont trop kitch et la relation ne vend pas du rêve.

Très belle histoire typique d’Azur. Personnages forts, attachants.

Une magnifique histoire d'amour...

Sans un concours de circonstances, César Montero, l'ancien patron de Sorcha Kelly, ne serait pas réapparu dans sa vie. Et leur vie à tous trois aurait bien été différente. La leur et celle d'Enrique, le fils de César !

Quel choc pour lui d'apprendre qu'il est père. Il n’arrive toujours à se faire à cette nouvelle… Il ne se souvient même pas d'avoir eu de relations intimes avec sa collaboratrice !

Il avait eu un terrible accident qui avait failli lui coûter la vie. Après plusieurs semaines dans le coma, il s'était réveillé à l'hôpital... amnésique... Il n’avait plus aucun souvenir des événements survenus pendant la semaine précédant l’accident. Tout un pan de sa vie s’était volatilisé de sa mémoire. Au réveil, il s’était retrouvé fiancé, avec pour seule perspective un mariage dont il ne voulait pas. La seule personne qu’il aurait voulu voir était Sorcha mais elle était partie, elle avait démissionné sans même prester son préavis et vivait à Londres. César s’était senti en colère, abandonné…

Entre César et Sorcha, il y avait toujours eu cette attirance mais ils étaient déterminés à ne jamais passer à l'acte. Comment cela avait-il bien pu se produire ?

Extrait :

– De tous les souvenirs que j’ai perdus, le pire est que je ne me souviens pas de t’avoir fait l’amour. Je meurs d’envie de reproduire l’expérience.

J’ai adoré l’audace dont Sorcha a fait preuve lors de son entretien d’embauche. Je dois dire que son argument pour que ce soit elle qui soit engagée et non une autre femme était vraiment imparable et totalement inattendu. Leur échange est vraiment superbe et vaut le détour… Un pur plaisir :;-)

Extrait :

Il avait désiré la jeune femme dès qu’elle était entrée dans son bureau, vêtue d’un tailleur gris très sage. Son décolleté était suffisamment profond pour faire naître des images érotiques en lui, mais assez convenable pour un entretien d’embauche. Elle avait attaché ses cheveux en un chignon strict et portait un maquillage léger qui soulignait la perfection de son visage. Elle lui avait serré la main avec confiance, comme s’ils étaient égaux — et comme si elle n’avait pas perçu son désir. Elle l’avait pourtant remarqué, il le savait. Il plaisait tant aux femmes qu’il était surpris lorsqu’elles parvenaient à masquer leur trouble. Face à lui, certaines étaient mal à l’aise et perdaient leurs moyens, mais la plupart flirtaient.

Refoulant les étincelles de désir qui crépitaient en lui, il l’avait invitée à s’asseoir. Il l’avait écoutée se présenter, bouche bée. En quelques secondes, elle avait capté son attention.

– Pour terminer, avait-elle dit, j’aimerais ajouter que j’ai la solution à ce problème qui a eu des conséquences négatives sur votre productivité, ces dernières années.

– De quel problème parlez-vous ?

Il fronça les sourcils. Certes, il avait dû surmonter des défis, mais son entreprise d’ingénierie se portait bien désormais, et il avait de nombreux projets pour l’avenir.

– Vous usez trois ou quatre assistantes chaque année, reprit-elle comme si elle n’avait pas entendu sa question. Une secrétaire stable pourrait vous permettre de vous concentrer sur vos nouvelles responsabilités au sein de l’empire Montero. C’est pour cette raison que je suis prête à vous proposer un engagement de cinq ans, en vous promettant que jamais je ne coucherai avec vous.

Abasourdi, il dévisagea cette jeune femme qui lui avait été envoyée par le bureau anglais de son père. Elle faisait preuve d’une étonnante audace.

– Je ne vous lance pas un défi. Je vous explique simplement pourquoi je suis la personne qu’il vous faut pour ce poste.

Malgré son ton confiant, César devinait qu’elle était nerveuse. Il le voyait à son sourire crispé.

– Peu importe si vous avez couché ou non avec vos secrétaires, ce n’est pas le problème, poursuivit-elle. Ce qui est un problème, en revanche, c’est la perception qu’ont vos interlocuteurs de votre comportement. Ce problème perdurera même si vous recrutez un homme. Engagez-moi et je mettrai un terme à toutes les rumeurs. Je vous promets que je ne me jetterai pas à vos pieds, que je ne serai pas jalouse de vos conquêtes, et que je ne tenterai pas non plus de séduire vos associés.

Elle était bien informée. Le dernier homme qu’il avait engagé comme secrétaire avait entrepris de consoler les femmes qu’il délaissait. Ses secrétaires mariées n’avaient, elles, pas supporté son rythme de travail ni ses nombreux déplacements. Quant à toutes les autres, elles s’étaient comportées exactement comme le décrivait Sorcha, flirtant avec lui ou ses associés. Et celles qui ne s’étaient pas jetées dans ses bras étaient devenues jalouses de ses conquêtes.

En fait, il n’avait couché qu’avec quelques-unes de ses secrétaires, au début de sa carrière. Il avait vite compris qu’il s’agissait d’une erreur qui pourrait entacher sa réputation, ce qu’avait également perçu Sorcha. Ce n’était tout de même pas une raison pour l’engager, il avait besoin de plus pour être convaincu.

* * *

J'ai trouvé touchant que Sorcha ait choisi d'appeler son fils Enrique, le second prénom de César, alors qu'elle ne s’imaginait jamais le revoir. Un prénom espagnol alors qu'elle est irlandaise ;-)

César veut faire de Sorcha son épouse. Pour lui, il ne peut en être autrement et il fait tout pour la convaincre d'accepter...

César se montre doux, attentif avec Sorcha. Il éprouve du respect pour elle et un très fort sentiment protecteur. J'ai aimé découvrir cette facette de notre héros.

Sorcha a imaginé pouvoir transformer leur union en mariage d'amour. Elle ne peut se satisfaire d'un amour à sens unique ! C'est trop douloureux pour elle...

Extrait :

– [...] Si tu avais déjà aimé quelqu'un, tu saurais à quel point l'amour à sens unique est douloureux. Savoir que son amour ne sera jamais réciproque est pire que tout.

Pour César, avec son caractère trop logique, trop rationnel, le concept de l'amour lui est totalement étranger. Pour acquérir la certitude qu'il l'aime, son esprit scientique a besoin de preuves, d'éléments tangibles, de chiffres... La seule chose dont il est certain c'est qu'ils partagent une étonnante alchimie, comme deux molécules dont le mélange serait explosif !

C’est en risquant de tout perdre que César ouvre (enfin) les yeux !

J’ai adoré voir notre héros se battre pour ne pas laisser filer Sorcha. J'ai été émue de le voir réaliser qu'il est tombé amoureux de sa femme, lui qui disait qu'il n'était pas fait pour l'amour. À sa décharge, il n’a pas grandi entouré d'amour, il n'a pas appris à aimer...

Comme vous l’aurez compris, j’ai craqué pour ce magnifique couple…

Une histoire d’amour comme je les aime…

4 amis qui se retrouvent devant une partie de poker. L'un pari la moitié de sa fortune si les trois autres se passent de leur cartes de crédit et de leur nom. Chacun devra vivre sous l'identité que Sebastian aura choisit pour chacun d'eux....

Effectivement, une union très sulfureuse. Isidora connait la famille Sauveterre depuis qu'elle est enfant. Et elle travaille pour eux.

Les héros se détestent. En apparence bien sur. Il n'y a pas loin de la haine à l'amour.

J'ai apprécié d'avoir le ressenti des deux héros. Les dialogues sont excellent, Isidora a de la répartie, c'est électrique entre eux.

J'ai passé un bon moment de lecture. Facile à lire pendant les vacances ;)