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Les personnages principaux sont peu nombreux, et on peut facilement s'identifier à la narratrice, qui est très attachante, et réaliste dans ses pensées, ses actions. Les descriptions magnifiques donnent en effet envie de se retrouver à Manderley.
Et puis, il y a l'histoire, et ce rebondissement tellement inattendu qui donne un tel relief à l'histoire !
En bref, j'ai adoré !
Rebecca
Rebecca
Un de mes romans préférés.
L'Auberge de la Jamaïque
Tout d'abord l'atmosphère. Même lorsque l'on connait déjà l'histoire, l'oppression demeure.
On frissonne d'angoisse et de plaisir en tournant une à une les pages de ce magnifique roman.
Mais le style! le style!
Ah! La magie de l'écriture est encore plus vraie en anglais, mais même la traduction ne réussit pas a oter toute la beauté du texte, le pouvoir ensorcelant des toutes premières lignes, de ces lignes qui restent dans la mémoire longtemps après la lecture de l'œuvre. Un style qui reste splendide jusqu’aux dernières, terribles dans leur magnificence, qui closent l'histoire.
Rebecca
Bien que "Rebecca" fasse partie de la liste des cent meilleurs romans policiers de tous les temps (selon la Crime Writers' Association), je "classerais" plutôt ce livre dans la catégorie "ovni littéraire". C'est un superbe roman gothique, un roman psychologique parfaitement mené et probablement l'un des romans policiers les plus originaux qu'il m'ait été donné de lire. Il m'a beaucoup rappelé les œuvres des soeurs Brontë (bien que je n'ai pas encore eu l'occasion de lire Charlotte), en plus moderne évidemment.
L'histoire en elle-même paraît assez simple. Maximilian de Winter, propriétaire de Manderley, rencontre la narratrice (dont le nom ne nous sera jamais révélé) à Monte Carlo, l'épouse et revient avec elle en Angleterre. C'est en réalité son deuxième mariage. Sa première épouse est décédée un an auparavant et personne n'a pu oublier sa personnalité charismatique et sa saisissante beauté. Il émanait de Rebecca de Winter une aura particulière et, même morte, sa présence est palpable dans tout Manderley. Rebecca laissera-t-elle de la place à la nouvelle Madame de Winter, la jeune, timide et maladroite narratrice ?
Si l'histoire est si simple, comment ce roman a-t-il fait pour devenir un incontournable de la littérature anglaise ? C'est probablement dû à sa noirceur, aux magnifiques descriptions de paysages et scènes, ainsi qu'à la profondeur des personnages. D'ailleurs, Daphné du Maurier a réussi à faire littéralement vivre deux personnages qui sont pourtant totalement immatériels.
Il y a Manderley, l'immense propriété de la famille de Winter, bordée par la mer et par les bois. On se retrouve vite plongé dans son atmosphère tantôt glaciale, tantôt étouffante. Toutes les descriptions qui concernent Manderley sont extrêmement soignées : on découvre ses différentes pièces (et l'ambiance qui règne dans chacune de ces pièces), les promenades qu'on peut faire dans la propriété, le personnel (valet, gouvernante, régisseur,...), les rituels et habitudes (le rituel du thé, notamment),...
Et il y a Rebecca, pourtant décédée il y a de nombreux mois. Rebecca était une créature incroyablement belle, aucun homme ne pouvait être insensible à son charme. Elle était également intelligente et charismatique, ce qui la rendait aussi irrésistible auprès des femmes. Elle n'avait peur de rien, aimait par-dessus tout monter à cheval et naviguer seule dans son voilier. Elle savait gérer parfaitement une propriété, elle supervisait tout ce qui se passait à Manderley, de la décoration des pièces jusqu'à l'organisation de bals, en passant par la composition des repas quotidiens.
Les personnages de chair et d'os sont tout aussi intéressants. Je me suis directement attachée à cette chère narratrice. C'est une orpheline d'une vingtaine d'années qui se destine à être dame de compagnie. Mais, en devenant l'épouse de Maxim de Winter, elle se retrouve propulsée dans un monde dont elle ne maîtrise absolument pas les codes. Sa naïveté, son manque d'éducation, sa maladresse et sa timidité maladive ne provoquent qu'incompréhension et mépris auprès de ses interlocuteurs, habitués à la grâce et à la spiritualité de l'ancienne Madame de Winter. Même moi j'étais parfois agacée par les gaffes de la narratrice, mais heureusement elle finit par gagner en assurance et maturité.
Le fameux Maxim de Winter n'a cessé d'attiser ma curiosité. C'est un personnage introverti, que l'on sent torturé. Parfois, il rit, lance des plaisanteries, cajole la narratrice. Puis, l'instant d'après, il se mure dans le silence et prend une expression tourmentée. Toute allusion à Rebecca a de curieux effets sur son comportement...
Enfin, il y a Mme Danvers, la gouvernante. Elle est arrivée à Manderley en même temps que Rebecca de Winter et semble lui vouer un véritable culte. Bien qu'exécutant parfaitement toutes les tâches qui lui sont assignées, elle ne cesse de rendre mal à l'aise la nouvelle Madame de Winter. Au fond de son regard, il y a quelque chose de terriblement malfaisant. Malgré sa position, elle domine nettement la nouvelle maîtresse des lieux, pire elle la terrorise...
Il y a bien sûr d'autres personnages qui mériteraient vraiment d'être mentionnés ici mais l'idée n'est pas d'écrire un roman... A vous de les découvrir en vous plongeant dans "Rebecca" !
Ca se sent sûrement dans ma critique mais je n'ai trouvé aucun défaut à ce roman, à mon sens il est parfait !
Rebecca
Rebecca
Rebecca
L’atmosphère est...indescriptible. La tension monte, monte, on a le sentiment profond que tout ne peut que mal finir, que quelque chose de terrible va se produire, a l'image du héros. On a l'impression d'observer une sorte de machine dont l'on sait parfaitement qu'elle vont être les conséquence lorsque le ressort se relâchera et puis...
C'est la chose la plus incroyable la plus inattendue qu'il soit, nous étions aveugles, et la tension qui s'accumule ne se relache pas du tout comme nous l'avons imaginé, pas d'affrontement de souffrance pas de daichainement.
Pour la mort d'Aldo, plusieurs interprétations sont possible:peut être a t'il voulut pousser jusqu'au bout la reproduction historique, ou peut être que comme le journal l'affirme il a ete frapper de stupeur dans les airs et a oublie de déployer la machine.J'en ai une autre personnelle qui me plait beaucoup: il s'est sacrifier afin que son frère vive libre...
Le Vol du faucon
Ce qui est intéressant, c'est la manière dont sont mêlées l'histoire de la narratrice (à laquelle on s'identifie en effet très bien, d'autant plus qu'on ne connait pas son nom !), l'aspect psychologique et sentimental, et l'histoire plus mm... sombre disons, le côté du suspense.
Rebecca
J'ai été transporté à Manderley, et c'est avec un petit pincement au coeur que j'ai refermé le livre...J'ai été très émue par Maximilien d'autant que j'ai retrouvé en lui les mêmes incertitudes et angoisses qui m'avait touché chez le personnage d'Heathcliff (Hauts de Hurlevent).
J'ai hâte de découvrir l'adaptation cinématographique!
Rebecca
À la lecture du résumé, j’ai trouvé que cela ressemblait à un mélange de Jane Eyre et du tour d’écrou d’Henry James (pour ce roman c’est sans doute explicable car Henry James était ami avec le grand-père de Daphné du Mautier), et ces deux œuvres ont été pour moi de tels coups de cœur que j’étais persuadée que Rebecca me plairait. Hélas, ça ne l’a pas fait du tout avec moi.
L’héroïne est une oie blanche sans caractère totalement insupportable tant elle passe son temps à se déprécier. Je sais bien que ce roman date un peu, mais pour moi elle est soit complètement timbrée soit complètement idiote de se jeter tête la première dans cette relation avec un homme dont tout laisse penser que sa première femme ne s’est pas noyée accidentellement. Bon après, ça c’est mon cynisme face à ce genre de relation.
Les descriptions du domaine sont tellement détaillées que je m’attendais presque à trouver un compromis de vente en annexe pour acheter Manderley.
Pour finir, je tiens quand même à souligner que l’auteure a un style magnifique.
Rebecca
Je me suis franchement ennuyée pendant les deux premiers tiers de l'histoire, au point où j'ai à de nombreuses reprises envisagé d'abandonner ma lecture, mais comme c'est un classique en général plutôt apprécié j'ai voulu continuer pour comprendre pourquoi moi je passais complètement à côté.
Je n'aurais pas dû me forcer : quand il a enfin commencé à se passer quelque chose d’intéressant dans le dernier tiers, je commençais à devenir franchement impatiente et passablement irritée par les personnages et leur manque de communication, et j'ai donc juste continuer à m’énerver sur l'histoire. Franchement, la fin m'a énervée :
Je souhaite quand même voir l'adaptation d'Hitchcock qui me tente beaucoup, j'espère que je m'impatienterai moins avec ce film qu'avec le livre
Rebecca
Ce que j'aime : la personnalité de Rebecca, fascinante. L'ambiance de Manderley
Ce que j'aime moins : j'aurais aimé encore plus de détails sur Rebecca et connaitre enfin le prénom si original de la narratrice
En bref : Un roman diabolique au suspens bien dosé et porté par un personnage fascinant
Ma note
8,5/10
Rebecca
J'ai aimé cependant les desciptions des décors. J'ai appris des choses sur le sud de l'Angleterre et je me suis renseignée en parallèle. J'ai ainsi appris que ce roman avait été adapté en film, par A. Hitchcock! Il y a donc moyen d'aller encore plus loin, avec ce livre, et ça, c'est toujours un bon point!
L'Auberge de la Jamaïque
En tout cas je conseille ce livre qui a été pour moi une très bonne surprise =)
Rebecca