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Délius, une chanson d'été
Melmoth furieux
Sunk
Comme dans toute anthologie, la qualité des oeuvres est variable, ou en tout cas certains thèmes m'ont moins plu. Le principe même de la nouvelle empêche de s'attacher à certains personnages avec la rapidité et l'effet de chute.
Et puis... il y a la nouvelle d'Alain Damasio, à la fois cruelle et poétique, virtuose et touchante, avec une belle femme créatrice et vivante. L'important, ce n'est pas le travail au sens du trepalium romain, l'instrument de torture, mais l'art et l'amour.
Au bal des actifs : Demain, le travail
L'univers est sombre, parfaitement dépeint et on s'y s'en happé, l'écriture fine est très prenante et donne au livre un aspect rare. Il fait partit de ces livres où le support n'existe plus, tellement le lecteur est dans l'univers.
Ajouté à cela ce qu'il faut de surnaturel et il en ressort un mélange détonnant et très intéressant à lire!
Toxoplasma
Hacker la peau
Délius, une chanson d'été
Akhénaton
Ce sont nos rages, nos luttes, nos liens tissés, nos désirs... les violences subies, aussi. L'espoir enfin.
Un roman d'une immersion rare.
Melmoth furieux
Ça reste une belle découverte, que j'aurais peut-être encore plus appréciée si je n'étais pas tombé sur Toxoplasma et Melmoth Furieux avant. Points bonus pour le style toujours aussi unique de l'écrivaine.
Sous la Colline
Sous la Colline
Délius, une chanson d'été
La plume de Calvo nous entraîne dans un monde de folie douce, où la réalité n'a pas toujours plus de sens que les rêves alors mieux vaut avoir l'esprit un peu élastique pour se lancer dans cette lecture. Calvo décrit magnifiquement la vie avec ses joies immenses et ses douleurs cruelles dans ce roman. Hâte de voir ce que donne Melmoth furieux !
Wonderful
En ce qui me concerne, je salue la créativité des auteurs mais à part deux ou trois passages qui m'ont fait rire (le coup du schizophrène avec deux fois la même personnalité, franchement, c'était bien trouvé) je n'ai globalement pas accroché. Pourtant le loufoque/surréaliste ne me dérange pas, simplement je n'ai pas adhéré à cette proposition-là.
Sûrement parce que je n'ai pas du tout aimé le style des dessins et qu'il y avait trop de fautes pour me plonger dans le récit (je ne compte pas les passages avec des fautes volontaires). Je reconnais qu'il y a quelques effets de style originaux autour du texte et des dessins, d'autres purement littéraires, surtout vers la fin, ainsi que de l'originalité dans les quelques chapitres du Sémaphore. Mais pour moi ces qualités n'étaient pas assez exploitées pour compenser les défauts (sérieusement les Moutons électriques, il faudrait que votre correcteur apprenne l'emploi du conditionnel...)
L'histoire en elle-même n'est pas si mal mais la fin est prévisible et le récit est porté par deux narrateurs, l'un étant un psychopathe absolument détestable. Pourtant j'aime bien les psychopathes dans la fiction mais avec celui-ci le courant n'est pas passé du tout. Heureusement Sébastien est beaucoup plus attachant mais pas assez pour véhiculer des émotions. Il y a bien quelques moments où j'aurais pu être touchée, vers la fin, mais je suis restée en surface du récit.
Déception pour ma part mais ça reste une histoire bourrée d'originalité et de créativité.
Sunk
L'intrigue suit à peu près le même cheminement : très désagréable à suivre dans la première partie, elle devient plus intéressante par la suite mais souffre toujours de défauts qui perturbent la lecture. Son défaut majeur est d'être beaucoup trop décousue. Le récit s'éparpille entre trop de de narrateurs différents et trop d'arcs narratifs parallèles. Certes, tout se rejoint peu à peu mais les liens sont très difficiles à discerner dans la première moitié et ça m'a un peu perdue. Au moins, l'enquête avance dans la seconde partie, est plutôt intéressante et mène à une fin cohérente malgré un suspense parfois tellement exagéré que c'en est lourd. Il en va de même pour l'humour : trop lourd et exagéré, à part quelques pointes humoristiques réussies.
L'écriture est assez simple et fluide mais elle manque cruellement d'intérêt, je me suis souvent ennuyée. Idem pour les personnages : je n'en ai apprécié aucun et si certains finissent par se révéler intéressants, cette profondeur apparaît beaucoup trop tardivement. Surtout, je n'ai pas aimé la parodie de Sherlock Holmes. Le personnage principal est souvent comparé au célèbre détective mais il ne lui ressemble pas du tout. Certes, la comparaison est ironique, mais je n'en ai pas compris la pertinence. De même, je ne comprends pas l'intérêt de faire apparaître Conan Doyle lui-même et d'en livrer une caricature grossière.
Très déçue par ce livre qui m'avait pourtant alléchée avec cette jolie couverture et ce titre poétique.
Délius, une chanson d'été