David Prudhomme
Auteur
Activité et points forts
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Quelques chiffres
Note moyenne : 6.42/10Nombre d'évaluations : 31
0 Citations 14 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Une très bonne B.D bien drôle et surtout très bien renseignée. J'ai ri plusieurs fois parce que j'avais connu ces situations ou ces répliques. Les yeux des auteurs n'épargnent personne et chacun peut se retrouver dans cette B.D., même si je ne sais pas si c'est toujours une bonne chose. J'ai aussi été agréablement surprise par la représentation des corps, qui n'inflige pas les stéréotypes de la femme fatale ou de l'homme parfait. Rien que de la réalité pur jus !
Afficher en entierL'histoire d'une famille un peu special pas tres intéressant mais bon ça passe je vais lire le deuxieme pour bacler tout ca et puis voila
Afficher en entierJe me limiterai au compliments sur les dessins (simples, semblant esquissés, couleurs rares donc appréciées) pour tenter de donner une idée des points forts de cette bande dessinées, tellement mon attrait pour les œuvres remplies de silence est grande ... L'espace des salles du Louvre est formidablement bien rendu et on peut s'amuser des jeux de tailles entre œuvres exposées, distillés ici et là. Les rares dialogues ne servent qu'à mettre en valeur l'atmosphère de contemplation, de respect devant tant de culture et de civilisation. Remarquable.
Afficher en entierUn roman graphique original, plein de clichés sur les vacances à la mer...Très sympa!
Afficher en entierDans cette BD aux jolis graphismes, on suit David Prudhomme dans la quête presque silencieuse de Jeanne, un personnage inconnu, à travers le Louvre.
La "quête" est un bon prétexte qu'a trouvé l'auteur pour nous balader partout à dans le musée ; la quasi-absence de dialogue ne gêne pas, au contraire, elle est censée nous permettre de mieux nous concentrer sur les images... mais qu'y a-t-il dans ces images ?
De jolies reproductions crayonnées des salles du Louvre, qui sont de très bonne qualité et qui ont dû nécessiter un grand travail.
Mais, bémol, j'ai trouvé les clins d'oeil dans la représentation des spectateurs trop rares... Certes, leur représentation, parfois humoristique, est touchante, mais puisque l'auteur dit prêter plus d'attentions aux spectateurs qu'aux oeuvres, je m'attendais à plus de matière de ce côté là.
EDIT : [Je suis allée ou Louvre récemment, et, en m'intéressant de plus près aux visiteurs, c'est vrai qu'ils ressemblent aux portraits qu'en fait l'auteur.]
Mais quand même, ils ne passionnent pas... et on se retrouve presque seuls avec les représentations des salles. Sauf que comme le dit David Prudhomme lui-même, au Louvre, "Les salles du musée deviennent de grandes histoires en volume."
Alors pourquoi les avoir réduites à de la 2D sur du papier ?
Je me suis parfois ennuyée, recherchant des détails, des "truc en plus", mais sans trouver rien d'extraordinaire.
Au final, c'était comme un moyen de visiter le musée en version low cost à distance, quoi...
Enfin, je suis médisante, peut-être que je m'attendais à trop ? Le livre tient pourtant les promesses de son titre : on nous offre effectivement une (jolie, en plus, c'est vrai) traversée du Louvre, au sens propre, sur papier.
Cependant, je ne dirais pas que cette BD soit adaptée pour faire découvrir le Louvre, ou l'art... Il y a des manières bien plus ludiques et interactives pour ce faire. En fait, le livre intéresse les intéressés, mais ne vient pas chercher son lectorat.
Pour résumer, je salue la belle représentation (même si partielle, évidemment) du Louvre de David Prudhomme, ainsi que tout le travail qu'elle a nécessité, mais je déplore que le potentiel de celle-ci n'ait pas été plus exploité afin de rendre la BD plus plaisante et interactive, sur un sujet si plein de ressources.
Afficher en entierBande dessinée adulte assez sombre, proposant une réflexion sur la vie et la mort grâce à un scénario déjanté présentant un personnage partant en vrille à la suite d'une rupture et une entreprise en faillite. Les graphismes sont très en lien avec l'ambiance morbide installée dès le début, et l'on est plongé dans l'univers instauré par les auteurs.
Les trucs glauques n'étant pas vraiment mon style, je n'ai pas apprécié cette BD plus que ça, mais je pense que, dans son genre, elle n’est pas mal.
Afficher en entierMagnifique graphisme mais l'histoire ne m'a pas passionné...
Afficher en entierAthènes année 1936, un groupe que le rébékito rassemble se retrouvent pour jouer cette musique populaire grecque qu'on entend dans les cafés d'Athènes. Ils dansent, chantent, fument, boivent, et tout ce qui suit comme la bagarre. Ils sont vivants quoi ! Seulement ils sont sous le régime de Metaxás dirigé par le général Ioánnis Metaxás. À lire en écoutant la musique qui correspond surtout quand on les voit danser. Pas toujours évident de se repérer dans les personnages qui se ressemblent.
Afficher en entierUne BD sympa mais que j'oublierai assez vite. On suit une dizaine de personnages lors d'une journée de vacances, les récits se croisent sans qu'il y ait forcément d'histoire.
Afficher en entierUne BD très particulière dans le dessin grossier bien employé pour appuyer la sincérité et la simplicité de cette ambiance de familiale de village qui nous prend tout du long. Le sujet est peu courant, les personnages attachants, et les développements du récit à taille humaine. Toutes et tous ont leurs contradictions, mais les liens profonds apparaissent au fur et à mesure pour finir sur un portrait familial très apaisant. J'ai beaucoup aimé.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de David Prudhomme
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Futuropolis : 9 livres
Musée du Louvre : 1 livre
L'Association : 1 livre
Noctambules : 1 livre
Biographie
David Prudhomme est né en 1969 et vit à Bordeaux. Entre 1992 et 2004, il publie aux éditions Glénat sa première série : Ninon secrète initiée sur un scénario de Patrick Cothias. D’autres albums sont édités au gré de ses collaborations, Jacques a dit et Le Jeu du foulard avec Pascal Rabaté, Port Nawak avec Jean-François Hautot et l’adaptation du roman de Georges Brassens, La Tour des miracles, avec Etienne Davodeau. Il signe également les dessins d’un livre de reportage, Voyages aux pays des Serbes, aux éditions Autrement, et participe à un ouvrage collectif Japon chez Casterman. En 2006, il s’attaque aux grands textes du répertoire français en illustrant La Farce de maître Pathelin, puis J’entr’oubliay d’après le Lais de François Villon. En 2007, il finalise, en collaboration avec Pascal Rabaté, l’intégrale de La Marie en plastique, belle chronique familiale publiée aux éditions Futuropolis. En 2011, sous sa direction paraît aux éditions Futuropolis Rupestres!, un ouvrage collectif sur l'art pariétal, écrit en collaboration avec Etienne Davodeau, Emmanuel Guibert, Pascal Rabaté, Marc-Antoine Mathieu et Troub's.
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