Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
710 533
Membres
992 868

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Tous les livres de Denis Guedj

La méridienne Dunkerque-Paris-Barcelone a connu son heure de gloire le 14 juillet 2000 : un gigantesque pique-nique y fut organisé pour célébrer, à deux siècles de distance, les travaux de deux académiciens français, Delambre et Méchain, qui s'acharnèrent pendant la Révolution, à en mesurer la longueur exacte afin de définir le mètre. Cette unité nouvelle et universelle, en effet, était définie à partir du tour de la Terre : restait à mesurer, en tout ou partie, la longueur d'un méridien. La tâche consiste à viser, au moyen d'un télescope, un lieu élevé à partir d'un autre lieu élevé, tour ou clocher, jusqu'à couvrir le méridien de triangles, précisément mesurés, de quelques kilomètres de côté. Difficile en elle-même, cette opération de triangulation se révéla homérique - et ô combien romanesque ! - en pleine Révolution. L'auteur du Théorème du perroquet raconte ici cette incroyable traversée, à but scientifique, d'un pays en crise dont les citoyens sont loin de saisir l'importance de la définition d'une unité universelle.

Attaquée de tous côtés, la Nation se lève.

" La liberté ou la mort, vaincre ou mourir. " En 1792, on manque de tout, d'hommes, de choses et d'art, comme on dit à l'époque. C'est la mobilisation des savants. 1794. La République Une et Indivisible veut en finir avec la diversité des mesures. Ainsi naît le mètre, la quarante millionième partie du méridien terrestre. Viendront aussi le système décimal, le télégraphe, des inventions par dizaines. Bailly, l'astronome, Condorcet, Laplace et Lagrange, les mathématiciens, Carnot, le stratège, Monge et Buonaparte, les géomètres, Chappe, l'ingénieur, Chaptal, Berthollet et Fourcroy, les chimistes...

Denis Guedj, mathématicien et écrivain, raconte avec brio la Révolution des savants. Alphabet républicain, calendrier révolutionnaire, télégraphe de Chappe, aérostat de Montgolfier, planches de l'Encyclopédie et de La Description de l'Egypte, dessins techniques... 200 documents pour apprécier l'oeuvre scientifique et technique de la Révolution.

Ironiques, mordantes, décapantes...

politiques ! Les chroniques mathématiciennes ont fait le bonheur des lecteurs de Libération deux années durant. Rassemblées ici et accompagnées de quelques inédits, elles continuent de séduire par les connexions insoupçonnées qu'elles tissent entre mathématiques et actualité. Dans ces pages, il ne s'agit pas de mathématiques appliquées mais de mathématiques impliquées, humour et langage inventif font beau mariage avec la science et les mathématiques riment avec critique politique.

L'idée de nombre, aujourd'hui évidente, est l'aboutissement d'un long travail d'abstraction de la pensée.

Au cours de l'histoire, pour figurer les nombres naturels, les humains ont inventé des collections de symboles numériques - les chiffres - et mis au point de subtils dispositifs matériels - abaques, bouliers, quipu - plus ou moins efficaces. Au Ve siècle de notre ère, le génie mathématique indien propose une numération dite "de position" : munie d'un zéro, elle utilise dix chiffres seulement - 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9 - capables de représenter tous les nombres du monde.

Ce système prodigieux abolit la distance entre écriture et calcul. L'Occident, après avoir longtemps renâclé, adopte à partir du XVe siècle la numération indienne, propagée par des mathématiciens arabes. L'imprimerie naissante contribue alors à imposer et à diffuser l'usage des chiffres "indo-arabes". Relatifs, rationnels, réels, imaginaires, complexes, et même transcendants et surréels : l'empire des nombres étend son domaine à mesure des besoins du calcul et des progrès de la théorie.

Denis Guedj nous convie à la fabuleuse genèse d'une des plus belles inventions de l'humanité : les nombres. Œuvres d'art puisant aux sources de l'arithmétique, schémas, nombres anthropomorphes, objets calculatoires de toutes les cultures, écrits et portraits de mathématiciens... Plus de 150 documents pour raconter l'aventure du nombre.

Pourquoi tant de gens proclament-ils qu'ils sont NULS en maths, et les vivent-ils comme une matière qui leur fait violence?.

De quoi parlent les mathématiques? Parlent-elles seulement de quelque chose? Un cours de maths est aussi un cours de langue: les mathématiques sont un langage, où chaque phrase exprime une idée, annonce un résultat, formule une demande. Qu'est-ce qu'un raisonnement, une démonstration, un théorème? Quelle est la différence entre une égalité, une identité et une équation? Entre l'algèbre et l'arithmétique?.

Les mathématiques, à quoi peuvent-elles me "servir"? Ont-elles une histoire? Y a-t-il encore des résultats à découvrir?. À propos, on a le droit de ne pas aimer les mathématiques, mais c'est encore mieux quand on les apprécie et qu'on arrive à les comprendre

"Puis- je vous entretenir d'une crise d'un genre très particulier?...

Une crise qui a frappé les mathématiques dans leur chair. Moi qui vous parle, j'ai été responsable de la plus grave crise que les mathématiques ont subie depuis les Grecs ! Vingt-trois siècles parsemés de petits bobos sans conséquence et faciles à soigner. Jusqu'à ce que je débarque. "Crise des fondements", ont diagnostiqué mes confrères. Vous-même Monsieur Matthias, si j'ai bien compris, vous êtes employé, avant la guerre, à saper les fondements de la société.

Eh bien moi, on m'accuse d'avoir sapé ceux des mathématiques ! Vous voyez bien que nous ne sommes pas réunis par hasard. ". 1917, en Allemagne. Au soir de sa vie, Hans Singer (inspiré par le mathématicien allemand Georg Cantor, père de la "Théorie des Ensembles ") est admis en hôpital psychiatrique. 11 y a déjà séjourné à plusieurs reprises mais, pour la première fois, il va devoir partager sa chambre de la Villa des hommes avec un jeune soldat français, conducteur de locomotive, libertaire et " héros malgré lui ".

Ces deux hommes, que tout semble opposer, vont. peu à peu, apprendre à se connaître et lier une amitié - aussi improbable qu'indéfectible

Au IIIe siècle avant notre ère, Ptolémée et Bérénice règnent sur l'Égypte. Mais Pharaon doit partir à la guerre, et la reine sacrifie sa chevelure à la déesse Isis pour qu'il revienne vivant. Tandis que meurtres et vengeances secouent la cour, le directeur de la Grande Bibliothèque d'Alexandrie entreprend de cartographier la Terre... Une fresque historico-scientifique captivante, à l'époque où l'Égypte rayonne de tous ses feux.

Pierre Ruche, libraire à la retraite, reçoit une mystérieuse lettre d'Amazonie, écrite, peu avant sa mort, par son ami Grosrouvre. Dans le même temps, ce dernier lui lègue une fabuleuse bibliothèque entièrement consacrée aux mathématiques. Mais comment classer ces pécieux ouvrages ? Pour y parvenir, Pierre Ruche est contraint de se remettre aux maths... à 84 ans.

Comment élucider le mystère de la disparition de Grosrouvre ? Pour y parvenir, Ruche, accompagné de Perrette, de Max, de Jonathan et Léa, les jumeaux, et de Nofutur, le perroquet amnésique, se lance dans un long voyage à travers l'histoire des mathématiques, depuis les Grecs ancines jusqu'à nos jours.

Humour et suspense, mathématiques et littérature, pour un roman qui connaît un grand succès dans le monde entier.

A l'improbable lecteur, ceci, qui aidera sa compréhension.

L'histoire qui va suivre se déroula en une époque où, dévidant un cercle vicieux sans fin, l'Humanité se satisfaisait des voies les plus simples. Elle s'engendrait, dans l'ensemble, elle-même. Ni choux ni éprouvettes ! La mère était encore ce qu'on faisait de mieux pour la Matière. Lorsque Génis vint au monde - prononcez " génisse " comme le petit de la vache - ce fut après...

1792, Méchain et Delambre, deux astronomes, quittent Paris, avec pour mission de mesurer le méridien entre Dunkerque et Barcelone afin d'établir une mesure universelle, le mètre. Tour à tour pris pour des émigrés royalistes, des espions, des charlatans, ils sont emportés par les soubresauts de l'Histoire. Cette traversée du territoire durera sept années, le temps qu'a vécu la République.

De la lointaine Uruk à la merveilleuse Babylone, de la légendaire Ur à la riche Bagdad, les villes des vallées du Tigre et de l'Euphrate sont le berceau de la civilisation.

Là, éleveurs et marchands ont inventé l'écriture et le calcul, affinant siècle après siècle la science des mathématiques jusqu'à imaginer un nombre qui n'en est pas un : le zéro. A chaque époque, une femme, Aémer, est le témoin récurrent de ces découvertes, mais aussi du tumulte de l'histoire. Ses destinées successives symbolisent alors une quête millénaire : boucler la boucle, combler l'absence, donner un nom au vide.

Et faire du zéro une réalité.

« Que de fois j'ai vu le ciel se faire ! Que de fois j'ai vu naître la nuit ! » Quand elle naquit dans les chantiers de Belém au XVe siècle, la foule amassée s'écria : « Cara Bela ! Qu'elle est belle ! » Ce fut la première caravelle. Caravelle de découverte, La Bela. L'histoire ne retint pas son nom. Partie avec du retard, elle ne rejoignit jamais la Niña, la Pinta et la Santa Maria, les trois caravelles de Colomb filant plein ouest à la recherche de la route directe vers les Indes fabuleuses. La Bela ne découvrit pas l'Amérique ! Pourtant, que n'avait-elle vu ? À chacun de ses voyages, elle « agrandissait » le monde. Et dans son sillage, la carte de la Terre se faisait. Elle les a tous connus, Bartolomeu Dias, Amerigo Vespucci, Magellan, Vasco de Gama et tous ceux dont le nom fut perdu comme le sien. « La Bela, dis-moi ce que tu vois, je te dirai où tu es... »

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode