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Tous les livres de Dezso Kosztolanyi

" Il est des livres qu'on sirote sans se presser, en modérant volontairement les signes d'impatience de l'index qui froisse les pages, comme si on voulait en préserver le parfum le plus longtemps possible.

Le Traducteur cleptomane, un recueil de nouvelles du Hongrois Dezsô Kosztolányi, a le bonheur de faire partie de ces ouvrages-là. " Le Journal de Charleroi."L'humour de Kosztolányi fait des ravages dans ces récits tranchants comme des rasoirs : l'avant-dernier, par exemple, qui raconte les tribulations d'un chapeau melon, est un petit chef d'œuvre de dérision chaplinesque. Kafka chez le père Ubu... " André Clavel, L'Événement du jeudi.

" On pense bien sûr à Kundera. Le romancier hongrois, tout comme le Tchèque, a cet art de dire l'indicible, la sclérose et la mort sur un air de fugue et un ton de plaisanterie. " Michèle Gazier, Télérama. " Parce que jamais dans la vie ne s'est encore produite une situation à laquelle on n'ait pu appliquer cette phrase "c'est la vie", ne mourez pas avant d'avoir lu ces nouvelles! " Florence Lorrain, Atout-Livre

A la fin des années 1920, au sommet de sa gloire, Dezso Kosztolanyi eut l’idée d’endosser les humbles habits d’un enquêteur pour croquer sur le vif les représentants, le plus souvent anonymes, des métiers les plus divers. Trente-cinq de ces entretiens, de la sage-femme au fossoyeur, sont présents dans ce recueil. Ces Portraits brossent en quelques échanges enjoués une personnalité ; les questions y sont toujours pertinentes, souvent surprenantes, et fouillent dans la vie, les anecdotes, les pensées d’une femme de ménage légère et rieuse, d’un éboueur bourru ou encore d’un imprimeur consciencieux. Capable d’apartés hilarants, Kosztolanyi donne à lire, à travers l’ironie, la tendresse et l’empathie pour les êtres simples qui caractérisent son art, une étude de mœurs vive et fascinante. On y retrouve son amour de la littérature, ses réflexions sur le métier d’écrivain et sa vive attention au langage alliant la clarté française au sens très aigu des ressources de la langue hongroise. Mais ces Portraits permettent surtout à Kosztolanyi de se demander ce que signifie pour ses semblables l’existence elle-même. Son propos lui est suggéré par sa conviction originale que la vie est un miracle pour lequel on se doit de lutter. La façon qu’ont le barbier, la choriste, le photographe ou le diplomate, et bien sûr l’écrivain, de vivre ce miracle, sont des réponses à la question : la vie vaut-elle d’être vécue ? De cette brillante confession inédite en français, que l’on peut considérer comme une trouvaille hors pair du point de vue du genre, on s’en délectera à plus d’un titre.

Alouette doit partir une semaine à la campagne ! Ses vieux parents achèvent amoureusement la valise. Comment vont-ils survivre à une si longue absence ? Quand Alouette paraît, le sourire se fige. Elle a trente-cinq ans. Elle est laide. Très laide.

Cette semaine sera la semaine de tous les possibles.

Mais Alouette revient. Grossie, encore plus laide, encore plus grotesque. Tout rentre dans l’ordre. Et les parents, émus, soupireront : « À tire-d’aile notre petit oiseau nous est revenu. »

Alouette est un des classiques incontestés de la littérature hongroise, et Kosztolányi le considérait comme son plus grand roman.

"Un recueil de textes inédits sur Venise par l'auteur de Kornel Esti. En une série de vignettes, souvenirs, portraits et rêveries de personnages divers, il livre une vision décalée de la Sérénissime par des arpenteurs tous d'origine étrangère. Une vision originale, cosmopolite, de la Cité des Doges, dans la lignée des écrits du grand auteur hongrois."

Toute l’intelligence, toute la tolérance d’Antal Novàk, le professeur émérite, ne parviendront pas à résoudre le conflit qui l’oppose à sa fille, pas plus qu’ils ne vaincront le mutisme obstiné dans lequel s’est réfugié Vili Liszner.

Les certitudes se brisent, l’univers bascule…

"La déception et la surprise s'étaient évanouies du visage de Mme Vizy. Quelque chose d'agréable pointait, qui l'adoucissait. Elle continuait à examiner Anna, la bonne. Celle-ci n'avait même pas l'air d'une paysanne. Elle n'était pas aussi lourdaude, aussi joufflue qu'Orszi Varga. Elle était plutôt frêle, élancée, le visage ovale, l'ossature fine, bien proportionnée. Elle portait une petite robe fraîche à carreaux sous laquelle reposaient moelleusement, inconscientes, les deux petites balles en caoutchouc de sa poitrine d'enfant.

Dans tout son être il y avait quelque chose d'inexprimable, quelque chose qui l'attirait, qui la retenait aussi un tantinet, mais qui l'intéressait prodigieusement."

Budapest. Juillet 1919. Les "Rouges" de Béla Kun ont perdu. Une ère nouvelle débute pour la bourgeoisie. Seule Mme Vizy, la femme du haut fonctionnaire Kornél Vizy, est obsédée par tout autre chose : Anna, la gouvernante promise par le concierge.

Jusqu'au jour où Anna, un couteau de cuisine à la main, commet l'innommable...

Kornél Esti, c’est le double de l’auteur, son moi secret, celui qui ose être et faire tout ce qui est interdit à Desző Kosztolányi.

Les aventures de ce don Quichotte hongrois ont pour théâtre Budapest, les grandes capitales européennes mais aussi des destinations plus énigmatiques. Douce ironie et farces d’écolier, fantastique débridé côtoyant des impressions d’enfance et de jeunesse d’une extraordinaire fraîcheur, comique de l’absurde et douloureuse compassion pour la condition humaine…

(Cambourakis, 2018)

Qu’est-ce que Kornél Esti ? Roman, récit de voyage, biographie ? Rien de tout cela, et tout cela à la fois, s’exclame Kornél Esti dans un savoureux dialogue avec l’auteur qui ouvre le livre. Kornél Esti y est présenté comme une sorte d’alter ego de Kosztolányi, un double fantasque, anarchisant et tentateur…

Jusqu’ici les lecteurs français ne le connaissaient qu’à travers Le Traducteur cleptomane, édition partielle publiée en 1985 par les éditions Alinéa, reprise par Viviane Hamy, choix subjectif d’une douzaine de nouvelles piochées parmi les deux opus du cycle Kornél Esti et Les aventures de Kornél Esti, rebaptisées et réordonnées de manière différente de l’œuvre initialement publiée par Kosztolányi.

La présente traduction est la seule disponible conforme à l’œuvre originale : suite de 18 chapitres titrés et numérotés, le livre ne présente cependant pas une narration linéaire, tout en manifestant une unité évidente de thématiques et de ton : inventant un genre inédit, au croisement de la nouvelle et du roman, Kosztolányi donne forme à un monde, le monde de Kornél Esti.

Pleines de charme, de fantaisie, mais aussi de tendresse et de compassion à l’égard des faiblesses humaines, ces nouvelles promènent le lecteur entre le Budapest des années 20 et les grandes capitales européennes, vers lesquelles on voyage en train, et le mènent aussi vers des destinations plus énigmatiques, comme la « ville des honnêtes gens », où tout le monde ne dit que la vérité… Les rapports ambigus entre le réel, le dit et l’écrit, sont l’une des préoccupations évidentes de Kosztolányi, qui joue avec malice des paradoxes du langage, s’inscrivant ainsi durablement dans la modernité littéraire.

(Cambourakis, 2009)

Le cycle romanesque Kornel Esti (1933), son chef-d’œuvre, tel qu’il a été recomposé à partir d’une quarantaine de nouvelles disséminées, peut être considéré comme le fruit de cette réflexion.

La série plus instinctive de « griffonnages » rassemblés dans Cinéma Muet… en est un autre.

Traits de plumes, extraits de bloc-notes, fragments de journal, réflexions morales, micro fictions, poèmes en prose… ces cinquante-trois textes, « sans tours de passe passe », nous entretiennent en bloc des affaires de la vie et s’étonnent tendrement – non sans humour parfois – devant la poignante, la grande fabrique, le cinéma muet du désespoir quotidien. Leur sujet est essentiellement humain, leur caractère souvent paradoxal, leur point de départ presque toujours anodin ; ce que l’auteur a vécu hier, aperçu ou contemplé dans la rue, une mendiante, un bonhomme de neige, le manège d’une mouche, ce dont il a rêvé, la mort de son stylo, le serrement de cœur qu’il a eu un jour dans son enfance… des « banalités jamais usées ».

(Cambourakis, 2013)

Sándor Márai, Endre Ady, Gyula Krúdy, Mór Jókai, Dezsö Kosztolány, Grendel Lajos, István Örkény, Jenö Heltai, Frigyes Karinthy, Géza Gárdonyi, Lajos Biró & Gyula Juhász

Et si la vie n’était qu’un perpétuel jeu d’échecs ? Dames, rois, fous, pions… Ces figures a priori plus familières aux amateurs d’échiquiers trouvent aisément leur double de chair dans l’existence réelle où stratégie, observation et patience, entre autres, sont également de mise.

Écrites au fil d’un siècle et demi, ces douze nouvelles entremêlent à la perfection jeu et vie… où il est heureusement possible d’échapper au mat fatal !

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