Didier Quella-Guyot

Conséquence indirecte de la guerre de 14 - 18 sur une île qui prive de sa population tous les hommes jeunes à l'exception d'un réformé qui deviendra le facteur de lîle. Son parcours est sans doute unique et l'atmosphère de cette île pendant le conflit est bien rendu par le dessin. Le final est inattendu mais il s'impose pour que les iliens puissent reprendre le cours normal des choses.

Je n'ai pas du tout réussi à accrocher... Le personnage principal m'a été très antipathique du début à la fin, et l'histoire était (malheureusement) sans intérêt, si ce n'est un vague apport historique. C'est dommage, parce que j'ai trouvé le dessin très doux, et que je m'attendais a un histoire un peu plus jolie.

Je n'ai pas lu le livre de Gaëlle Nohant mais j'avais vu et beaucoup apprécié la mini-série télé qui s'était librement inspiré du roman. J'avais donc envie de connaître la véritable histoire de "La part des flammes" et l'adaptation BD était parfaite pour faire abstraction du gros roman. J'ai beaucoup aimé l'histoire, dans laquelle on retrouve beaucoup d'actions et j'ai aimé retrouvé toute cette atmosphère, cette ambiance et ces tragédies que j'avais pu voir et aimé dans la série télé.

Au-delà de l'épisode funeste qu'est l'incendie du Bazar de la Charité, lieu de bienfaisance animée par tout le gratin de la bonne société Parisienne qui a fait de nombreux morts et blessés, "La part des flammes" raconte avant tout un milieu social et une époque à travers l'histoire de Constance d'Alençon. Entre la guerre des classes, les accusations, la bienséances et les codes sociétaux en vigueur, l'évènements a un impact significatif sur tout la haute société parisienne et change la donne pour bon nom de personnes.

Les principaux personnages de cette histoire sont des femmes avec une héroïne condamnée à vivre dans des prisons dorées que se soit concernant sa famille, son mariage, sa religion et même sa santé mentale. En cela, le récit peut se rapprocher d'une réflexion sur la condition féminine. Il est dommage que ces femmes soient assez difficiles à distinguer les unes des autres au niveau des illustrations. Il faut être grandement attentif, se repérer notamment aux détails et aux vêtements redondants, car les traits sont similaires et quand il est en plus question de brûlures qui défigurent, des traits nets et précis auraient été plus judicieux.

L’histoire est rapide mais c’est un peu normal pour une adaptation en bande dessinée.

L’histoire est intéressante mais elle se lit sans grand intérêt. Je n’ai pas tout à fait retrouvé la tension de l’enquête et l’intrigue à la Poirot. Mais en même temps cette histoire est peu connue.

Une bande dessinée que j’ai particulièrement aimé découvrir. J’ai trouvé cette histoire touchante et le scénario tellement original. Les magnifiques dessins et et les couleurs apportent de la profondeur aux paysages que je trouve merveilleux. J’ai aimé voyager sur cette île bretonne avec le facteur bossu et pied bot qui se venge de la vie et séduit toutes les femmes devenues célibataires.

J'ai été particulièrement emballé par le scénario de cette BD. L'ensemble de l'histoire est rythmé par de multiples péripéties qui nous tiennent jusqu'à la fin.

Au premier abord, j'ai été étonné par la colorimétrie plus sombre utilisé dans ce tome. Mais au fur et à mesure de ma lecture, je n'ai pu que constater qu'elle s'accordait parfaitement à cet univers plus sombre. Concernant le scénario, ce tome ci demeure toujours aussi palpitant que le premier. Encore une fois, je n'ai pas été déçue

Ce que j'aime de la bande-dessinée historique c'est qu'elle nous fait découvrir des petits bouts d'histoire souvent méconnus et ce dans un format très abordable et beaucoup moins engageant qu'un roman où documentaire. J'ai bien aimé ici découvrir la vie et l'évasion de Zennour et Nouryé à travers de biens jolis dessins en noir et blanc.

J'ai bien aimé cette bande dessinée qui m'a donnée envie de découvrir le roman duquel elle est tirée.

Ce récit se déroule pendant la Première Guerre mondiale et suit un jeune homme réformé par l'armée en raison d'un pied bot. Affecté en tant que facteur sur une île peuplée de femmes seules, d'enfants et de personnes âgées, il devient un lien essentiel avec le monde extérieur. Alors que la guerre s'éternise, chacun trouve sa place dans ce contexte particulier. Maël, le protagoniste, découvre une nouvelle vie où il est apprécié pour son rôle de porteur de lettres tant attendues. Cependant, son attitude évolue et il en vient à abuser de son pouvoir, cherchant du plaisir là où il peut le trouver.

Un plaisir de retrouver un Agatha Christie, sous forme de bd cette fois. Un titre un peu moins connu en plus, c'est tout à leur avantage !

Les dessins sont bien, on reconnaît bien Hercule Poirot même s'il differe un peu de la version David Suchet qui reste mon interprétation préférée du personnage ^^