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après tout ça ya plus qu'a installer un petit commerce ,tellement vous etes au niveau
La Griffe du chien
Cynique.
Humain.
L'histoire d'un anti-héros.
Je ne pensais pas que ce genre d'histoire pouvait agréablement se lire. En général, c'est mieux en film. Mais pour le coup, c'est bien écrit: c'est rythmé, sans ôter la profondeur et donc, ce n'est pas ennuyeux.
Bref, une bonne surprise.
Corruption
Mort et vie de Bobby Z
Le prix de la vengeance
Corruption
Une toute petite remarque, une carte des différents quartiers de New-York oû le héros évolue aiderait et ajouterait encore plus d'intérêt au récit, mais c'est vraiment accessoire .
A lire sans hésitation .
Corruption
L’Hiver de Frankie Machine
Une fois dedans c'est un bon livre
Corruption
Danny Ryan roule sur la route de la plage pour le dernière fois, tournant le dos à la mer glacée, face à des rivages plus chauds."
Cité, Tome 1 : La Cité en flammes
Corruption
Il revient cette année avec une nouvelle trilogie, nommée tout modestement « Cité » avec le premier opus, « La cité en flammes ». Après les milieux de la drogue, l’auteur nous plonge cette fois-ci dans celui de la mafia dans l’État de Rhode Island.
Ce premier tome commence en 1986 et se prolonge sur un peu moins de deux ans. Avant d’être un thriller, c’est un roman noir d’ambiance. Écrit de façon très visuelle, il ne serait d’ailleurs pas étonnant qu’il fasse l’objet d’une adaptation en film ou en série, tant les décors ont été finement étudiés et posés. Le travail scénaristique est déjà quasi terminé, tant l’auteur y a accordé une place très importante. Ce bouquin est digne des meilleurs séries et films traitant de la mafia et les amateurs du style y trouveront leur compte.
Franchement, c’est un roman noir absolument envoûtant. J’ai littéralement été scotchée par le destin des deux familles qui s’affrontent : entre les Irlandais d’une part et les Italiens de l’autre. Cette lutte intestine entre les deux clans fait rage et honnêtement, on a l’impression de l’appréhender en leur compagnie. Le lecteur vit vraiment l’histoire.
En plus d’être doté d’un style d’écriture à la fois brut mais très fluide, le sujet a fait l’objet de recherches intensives par l’auteur et cela se ressent aisément. Tout colle parfaitement et l’histoire ne semble pas alambiquée ou constituée d’éléments erronés comme ça aurait pu être le cas. Cette cohérence dans l’histoire est à saluer !
Le seul inconvénient que je me dois de relever est la pléthore de personnages. Vous le savez comme moi, je me perds aisément dans ce cas-là. Alors si je n’avais qu’un seul conseil à vous faire, c’est de vous rédiger une petite fiche mémo au fil de l’histoire afin de vous permettre de mieux vous resituer entre les différents protagonistes. A part cet écueil, je peux vous certifier que vous passerez un excellent moment de lecture !
Cité, Tome 1 : La Cité en flammes
Première fois que je lis cet auteur pourtant si connu et cela a été un vrai coup de cœur: j'ai dévoré l'histoire de Danny Ryan, jeune mafieux, en à peine 24h.
Plongée au centre de Providence, j'ai suivi les interactions en 1986 entre la mafia Irlandaise dite "les bouffeurs de patates", et celle italienne, plus importante. Danny fait parti de ces irlandais dont on a un peu pitié, son père était le Boss puis est tombé dans l'alcool. Bien que Murphy ait repris le flambeau et que Danny ait épousé sa fille, il ne le laisse pas siéger avec ses acolytes. Alors Danny vivote, jusqu'au jour où malgré lui il va prendre en maturité pour sauver "sa" famille.
Cette histoire est passionnante, magnifique et prenante. Les histoires de cœur vont prendre le pas sur les Affaires, menant les familles à l'orée d'une guerre qu'aucun des anciens ne voulaient. Le fameux grain de sable qui fera tout dérailler, même les amitiés solides, même ce respect qui dirigeait chacun. La nouvelle génération a les dents longues, mais manque cruellement de sagesse dans ses faits et gestes.
Mauvaises décisions, prises de risques inconsidérées, il ne restera plus grand chose des engagements pris entre ces familles, les Docks et le syndicat ne rapportent pas assez aux irlandais, les jeux et le reste ne financeront pas suffisament les italiens pour que la guerre déclarée puisse aboutir. Alors la drogue... personne n'a jamais voulu y toucher mais ne devient-elle pas le nerf de la guerre pour avoir de l'argent facile? Les anciens boss ne voulaient rien avoir à faire avec, les jeunes eux y voit leur intérêt, mais la menace est bien plus grande avec les fédéraux.
J'ai aimé tous ces personnages qui gravitent autour de Danny, avec leurs faiblesses, leurs moments de bonté, de convivialité. Mais l'auteur nous mènent également dans des scènes pleines de férocités, les meurtres allant crescendo dans la violence et la torture. Les assassinats amènent à la vengeance, la vengeance aux meurtres....
Je vais attendre la sortie du deuxième tome de la trilogie avec enthousiasme. Découverte de l'auteure réussie, sa plume m'a énormément plu.
Enjoy!
Cité, Tome 1 : La Cité en flammes
L'histoire est très difficile, très sanglante et violente, mais on se surprend vite à ne plus pouvoir lâcher le livre. Paradoxalement, je n'ai souvent pas envie de le reprendre, et de me replonger dans sa noirceur extrême. Et pourtant, je ne regrette jamais de le faire à chaque fois.
La Griffe du chien
Le roman est sympathique malgré une certaine violence. On ne peut pas s'attendre à autre chose quand on décrit le monde des dealers sud-américains, les tortures, les violences, les vindictes. Alors l'auteur s'en donne à coeur joie. Il ne se prive pas non plus d'une bonne dose de sexisme. D'accord, O couche avec deux hommes. Cependant, elle est souvent traitée de "puta" dans le livre, n'est pas exemptée de vulgarité. Bref, toutes les femmes du livre sont des objets sexuels, des "poufs de service". Merci pour cette belle considération arriérée !
Ce que j'apprécie moins, c'est la vision donnée à propos de la drogue. C'est un commerce florissant et Ben utilise l'argent pour aller aider les gens qui en ont besoin. Il le fait pour son propre plaisir personnel. Il rend service aux droguée en leur fournissant la meilleure drogue, à la qualité sublime. Toutefois, l'image de la drogue est un peu trop idéalisée. Se droguer semble anodin, sympathique, relaxant, voire génial.
Dans quel monde vit l'auteur ? la drogue est une dépendance. Elle n'est pas inoffensive. C'est un produit dangereux et tout le monde le sait. Don Winslow oublie-t-il que le marché de la drogue s'effectue au détriment de la vie de millions d'innocents ? Vendre de la drogue, c'est tuer des jeunes. Leur mort n'intéresse personne dans le livre (d'ailleurs, on n'en parle pas des dégâts causés par la drogue). Ben se donne bonne conscience avec l'humanitaire. Mais en réalité, il ferait mieux de ne pas en vendre du tout (de ce poison) et de s'enrichir sur la mort des autres. Les victimes passent à la trappe.
Voilà l'hypocrisie et la contradiction. Peut-être que l'auteur dénonce cet aspect (pourtant, ce n'est pas clair du tout). Quant à O, elle ferait mieux de se trouver un travail honnête au lieu de jouer les parasites grâce à la drogue dont elle fait usage avec ses deux amants. L'auteur veut-il faire aussi passer ce message ?
En tout cas, ce qui est certain, c'est que Don Winslow décrit bien une certaine partie de la société américaine et ses travers sordides. C'est déprimant.
Le réalisateur Oliver Stone a adapté le roman et en a tiré un film violent. Il a aussi changé quelques éléments présents dans le livre et changé la conclusion. Tout est bien qui finit bien : Chon, Ben et Ophélia s'en vont vivre en Indonésie... toujours très amoureux et très heureux.
J'ai lu ce livre intéressant mais les obscénités, la violence, l'image édulcorée de la drogue et la considération de la femme me dérangent vraiment. C'est pour cela que je l'ai classé dans la catégorie "j'ai lu aussi". Je n'ai pas l'esprit aussi libre que Chon, Ben et Ophelia. Hélas !
Savages
Corruption