Tous les livres de E.B. White
M. et Mme Little attendaient un enfant,et c'est avec une souris de 5 cm de haut qu'ils sont rentrés de la maternité.Un souriceau prodige nommé Stuart,qui sait parler et marcher dès la naissance et pour lequel il va falloir rendre la maison confortable et sûre.
Mais Stuart est un aventurier qui n'aime ni le confort ni la sécurité.
C qu'il aime,c'est conduire des bolides modèles réduits,sur la route et sur les flots.jouer à être le Président du Monde.Se battre au tir à l'arc avecun chat assassin.Tomber amoureux de Margalo,le roitelet femelle et partir à sa recherche,vers le Nord,infatigablement...
Traduction de "La toile de Charlotte" ou "Le petit monde de Charlotte".
Ce roman raconte l'histoire d'un porc, nommé Wilbur, et son amitié avec une araignée connue sous le nom de Charlotte. Afin de le sauver, celle-ci écrit des messages vantant Wilbur, tels que « Quel cochon ».
A compendium of thirty-six tales from the best in children's fiction contains The Tale of Peter Rabbit, as well as selections from The Railway Children and The Lion, The Witch, and the Wardrobe. "
Quatrième de couverture :
Le Petit Monde de Charlotte
illustré par Garth Williams
Le livre raconte l'été heureux de la petit Fern, de son cochon Wilbur et de la meilleure amie de Wilbur, la magnifique araignée grise, Charlotte.
Wilbur et Charlotte habitent la belle vieille grange de l'oncle Homère. Fern passe des journées entières dans la grange, assise tranquillement sur son tabouret. Les animaux la traitent en égale et parlent librement devant elle. Un jour, Fern entend la brebis apprendre à Wilbur que les hommes l'engraissent pour en faire du jambon et du saucisson. Wilbur en est boulversé. Que faire pour échapper à ce sinistre destin ?
Charlotte le console et comme elle est très intelligente, elle conçoit un plan pour sauver la vie à Wilbur. Même Templeton, le vieux rat qui pourtant ne fait jamais rien sans contrepartie, est mis à contribution.
Patiemment, Charlotte tisse sa toile, capturant les insectes dont elle a besoin pour vivre, et épiant les hommes dont dépend la vie de Wilbur.
Traduit de l'américain par Catherine Chaine.
Précédemment publié sous le titre " La toile de Charlotte".
Le livre raconte l'été heureux de la petite Fern, de son cochon Wilbur, la magnifique araignée grise, Charlotte.
Wilbur et Charlotte habitent labelle vielle grange de l'oncle Homère. Fern passe des journée entière dans la grange, assise tranquilement sur son tabouret. Les animaux la traite en égale et parle librement devant elle. Un jour, Fern entend la brebie apprendre à Wilbur que les homme l'engraisse pour en faire du jambon et du saucisson. Wilbur en est boulversé. Que faire pour échaper à ce sinistre destin ? Charlotte le console et comme elle est intelligent, elle conçois un plan pour sauver la vie à Wilbur.
Même Templeton, le vieux rat qui pourtant ne fait jamais rien en contrepartie, est mis à contribution.
Patiament, Charlotte tisse sa toile captant les inscectes dont elle à besoins pour vivre, et les hommes dont dépend la vie de Wilbur.
Louis est un cygne trompette qui est venu au monde sans voix. Quand son père lui a expliqué qu'il était différent des autres, Louis a eu peur. Cependant son père lui a promis de l'aider.
Sam Beaver, un jeune garçon qui adore tout ce qui est sauvage, a emmené Louis a l'école, où il a appris à lire et à écrire. Ceci l'a aidé mais n'a pas résolu son problème majeur: il est amoureux de la magnifique Serena qui le repousse parce qu'il n'est pas normal. Et c'est alors que le père de Louis, le vieux mâle, fait une chose difficile : il met de côté son honneur et vole une trompette pour que son fils puisse dire son amour.
La décision de devenir trompettiste et de rembourser les dettes de son père éloigne Louis de son pays sauvage bien aimé. Mais il réussit et gagne l'élue de son coeur.
Perceptive, funny, and nostalgic, E. B. White's stroll around Manhattan remains the quintessential love letter to the city, written by one of America's foremost literary figures. The New York Times has named Here is New York one of the ten best books ever written about the metropolis, and The New Yorker calls it "the wittiest essay, and one of the most perceptive, ever done on the city.
