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Tous les livres de Eduardo Mendoza

Mis à la porte de l'asile où il est resté enfermé pendant de longues années, le personnage du Mystère de la crypte ensorcelée et du Labyrinthe aux olives fait un retour fracassant dans une Barcelone transformée. Coiffeur occasionnel, bohème et voyou impénitent, il se voit obligé de mener l'enquête sur l'assassinat d'un homme d'affaires important afin de ne pas être accusé de meurtre.

L'Artiste des dames est un roman délirant, marqué par le contraste entre des situations et des péripéties burlesques et une peinture de mœurs sombre et implacable. En respectant scrupuleusement les règles du thriller et en revenant à la parodie de ses premiers textes, Eduardo Mendoza tient son lecteur en haleine jusqu'à la dernière page dans un formidable éclat de rire.

Après des années d'absence, Mauricio, dentiste idéaliste et sans caractère, revient vivre à Barcelone. Une rencontre fortuite l'amène à participer à la campagne électorale du parti socialiste et à nouer une relation amoureuse avec deux femmes : Clotilde, féministe, radicale, qui se donne pour ambition de réussir dans le monde pragmatique des affaires et des tribunaux, et Porritos, militante dans un quartier ouvrier, qui n'écoute que ses sentiments et ses convictions. Entre les deux, le coeur de Mauricio balance. En même temps qu'il découvre avec Clotilde les restaurants branchés de Barcelone, fréquente la nouvelle génération fière de sa réussite sociale et esquisse des projets de mariage, il se sent de plus en plus attiré par Porritos dont le destin tragique éveille en lui des sentiments confus et obscurs. Personnage à part entière de ce roman tendu sur le fil subtil d'une histoire sentimentale, la « ville des prodiges » est ici le retable d'une société qui assiste à la fin de ses utopies et à la perte de ses illusions, où quelques uns assument jusqu'au bout leur engagement d'antan et d'autres troquent, avec ou sans états d'âme, un idéal solidaire pour leur désir égoïste de prospérité. Lucide et caustique, magistral et efficace, Eduardo Mendoza dresse le constat moral et idéologique d'un pays qui pourrait être le nôtre, et démontre une fois de plus qu'il est une des très grandes voix de la littérature contemporaine.

Barcelone, fin des années quarante. Carlos Prullàs, auteur de comédies à succès, assiste aux répétitions de sa dernière pièce, Arrivederci, pollo !, tandis que sa famille passe l’été à Masnou, sur la Costa Brava. Don Juan superficiel et désinvolte, il séduit une amie de sa femme, Marichuli Mercadal, en même temps qu’il succombe aux charmes d’une nouvelle recrue du théâtre, Lili Villalba. Mais l’imbroglio sentimental se complique lorsqu’un homme d’affaires est assassiné dans des circonstances qui désignent Prullàs comme principal suspect. Affolé, tenant à prouver son innocence, celui-ci entreprend une descente aux enfers dans une réalité qu’il a toujours voulu ignorer : celle des bas-fonds barcelonais, de la misère, du Barrio Chino, des hôtels et des quartiers interlopes.

Pour brosser le tableau d’une bourgeoisie menant une existence frivole sur les ruines de la guerre civile, Eduardo Mendoza joue sur tous les registres de la comédie de boulevard et fait peu à peu apparaître, sous la futilité des sentiments, la noirceur d’une époque régie par la corruption et le mépris des vainqueurs pour les vaincus.

De surprises en rebondissements, il nous entraîne dans un tourbillon d’intrigues où les personnages sont les pièces d’une mise en scène sans faille, et où le glissement imperceptible du vaudeville à la tragédie repose tout entier sur la légèreté intentionnelle de la langue d’un grand maître.

Décidant un beau matin que seul le rêve mérite d'être vécu, Fabregas, un industriel catalan, fait sa valise, claque la porte et abandonne les siens aux lois de la routine barcelonaise. Mais ce qui ne semblait être qu'une parenthèse devient peu à peu un égarement absurde dans le labyrinthe d'une Venise livrée à la décadence et à la décomposition : inexorablement captivé par une jeune fille qui le fuit, Fabregas s'enfonce dans un dédale de rencontres fortuites, d'événements insolites, de situations cocasses où se bousculent, tantôt rêves, tantôt récits, les légendes citadines et les allégories lacustres. Avec la verve, l'humour et le brio désinvolte qui l'ont rendu célèbre, Eduardo Mendoza nous entraîne dans un surprenant voyage sentimental, à la fois poétique et pittoresque, où histoire et fantaisie, rêve et réalité, conspirent pour brosser le portrait d'un personnage fantasque, envoûté par le charme ténébreux des palais et des mythes vénitiens.

Que des pensionnaires d'une très bourgeoise institution de jeunes filles disparaissent nuitamment du dortoir pourtant fermé à clé, au grand étonnement de la mère supérieure, et qu'on perde leurs traces à l'entrée de la chapelle, pour les voir reparaître quelques jours plus tard sans aucun souvenir de ce qui s'est passé entre-temps; que, de surcroît, chacune de ces disparitions s'accompagne du surgissement d'un cadavre d'homme — voilà de quoi faire un roman policier.

Que le détective chargé de l'enquête ait été tout exprès sorti d'un hôpital où il était interné et qu'il s'agisse d'un fou très logique, mais qui porte sur le monde un regard toujours un peu décalé et qui, de plus, est grand amateur de rhétorique ronflante dont s'enchante la société espagnole — voilà qui déplace ironiquement l'histoire et en redouble l'incongruité.

Que le cadre de ces deux journées soit la Barcelone de l'après-franquisme, où le monde de petites fripouilles et de prostitution qui est le milieu naturel du détective-narrateur répond au monde policé et encore bien plus crapuleux de la bourgeoisie d'affaires — voilà qui donne au livre la dimension d'un constat social.

Pour tout dire, ce que Mendoza reprend, avec une cocasserie que n'effraie pas la cruauté, c'est la tradition du picaresque.

Onofre Bouvila entre dans Barcelone où se prépare L'Exposition universelle de 1888. Le petit paysan et la cité balbutiante grandissent ensemble: d'émerveillements en audaces, de prodiges en scandales, la ville lui offre sa splendeur et ses dangers. Le cœur de Barcelone s'emballe et emporte dans sa frénésie le siècle et les hommes...

Dans les montagnes de Catalogne, au cours d'un été marqué par des pluies torrentielles et des inondations, une passion violente et éphémère scelle le destin d'une religieuse et d'un propriétaire terrien. Attaques à main armée, enlèvements, disparitions ponctuent ce roman bâti autour du mythe de Don Juan et dans lequel les cataclysmes de l'amour se transforment peu à peu en une douce et amère mélancolie.

description Au printemps 1936, un Anglais nommé Anthony Whitelands arrive en gare de Madrid. Il doit authentifier un tableau inconnu appartenant au duc de la Igualada, un ami du chef de la Phalange, José Antonio Primo de Rivera. La valeur du tableau peut-être décisive pour favoriser un changement politique crucial en Espagne. A peine arrivé à son hôtel, Whitelands va se trouver bien malgré lui au centre d'un imbroglio politique mêlant policiers, diplomates, espions, ministres, femmes du petit et du grand monde, tous lancés à ses trousses dans une atmosphère de conspiration et de veillée d'armes. De rebondissement en rebondissement, Bataille de chats renoue avec le meilleur de Mendoza: des événements dramatiques, une intrigue policière et un humour à toute épreuve sont au rendez-vous, rappelant au lecteur que la tragédie est l'un des masques de la comédie humaine

Voici à nouveau le jovial aliéné du Mystère de la crypte ensorcelée compromis cette fois dans une mission ministérielle. L'aventure, apparemment simple et sans danger, consiste à transporter une valise qui contient quelques millions de pesetas entre Barcelone et Madrid. En échange de sa liberté, le détective malgré lui accepte ce transfert qui bientôt se révèle avoir des dessous rocambolesques. Une opérette sanguinaire commence avec l'assassinat d'un serviteur manchot qui, par mégarde, avait pris à l'hôtel le lit du fou messager.

A partir de là, les aventures de la mallette, tantôt vide, tantôt pleine, vont conduire de tabassages en tentatives de meurtre, et d'agence de spectacles en restaurant chinois, une étrange équipe où le narrateur entraîne avec lui une séduisante (et séduite) actrice de troisième ordre, une journaliste hommasse et un professeur freluquet. Pour finir dans une fabrique d'olives, un monastère de montagne et un centre de surveillance spatiale.

Cette enquête détectivo-macaronique nous mène cette fois dans l'Espagne de l'après-franquisme. C'est en même temps un exercice de style époustouflant où l'étrangeté des réactions les moins canoniques se voit traduite dans le pompérisme le plus ronflant.

Un constat social cruel sous le couvert d'un constant éclat de rire.

Dans la capitale catalane livrée aux grèves ouvrières, aux attentats anarchistes, à la répression policière, aux pratiques de politiciens véreux, trois survivants d'une série de meurtres répondent aux questions des enquêteurs. On croise une grande famille, un escroc séduisant, une gitane ensorceleuse et un narrateur naïf. Ce sont à travers eux les deux visages irréconciliables de la Barcelone des années 1917-1919 qui sont reconstitués ici.

Le détective anonyme du Mystère de la crypte ensorcelée, du Labyrinthe aux olives et de L'Artiste des dames reprend du service dans une Barcelone frappée par la crise. Le Beau Romulo, son ancien compagnon de l'asile psychiatrique, a disparu. Sans en euro en poche, le détective n'hésite pas à réunir une équipe d'enquêteurs composée d'une statue vivante des Ramblas, d'un mendiant africain albinos, d'un livreur de pizzas, d'une fillette spécialiste du crochetage de serrures, d'une Russe accordéoniste de rue et d'une famille chinoise qui régente un bazar à côté du célèbre salon de coiffure transformé en quartier général. Très vite l'enquête bifurque vers un projet d'attentat qu'il leur faudra déjouer à tout prix.

Reprenant la tradition de la picaresque espagnole, Eduardo Mendoza manie la satire comme un bâton de dynamite et passe l'Europe au crible du ridicule pour offrir au lecteur un roman désopilant et d'une grande lucidité.

En raison de sa paresse, de son incompétence absolue et de son âge, le commandant Horatio Il a été chargé d'une mission intergalactique improbable : conduire vers une destination inconnue un groupe de marginaux mis au banc de la société.

À bord du vaisseau règne un indescriptible chaos : le médecin est alcoolique, il n'y a plus ni vivres ni eau potable, les installations sont insalubres, le matériel obsolète. Chaque soir, Horatio Il consigne dans son journal de bord les invraisemblables et désopilantes mésaventures de son équipage et de ses passagers dont il est à la fois le jouet et le souffre-douleur.

16 h. 00 J'entre dans une boutique. J'achète une cravate. Je l'essaye. Je conclus qu'elle me va bien et j'achète quatre-vingt-quatorze cravates pareilles.

17 h.00 J'entre dans une charcuterie et j'achète sept cents jambons fumés.

17 h. 20 J'entre chez un vendeur de voitures et j'achète une Maserati.

17h.45 J'entre dans un magasin d'électroménager et j'achète tout.

20h.00 Je décide que l'argent ne fait pas le bonheur, je désintègre tout ce que j'ai acheté, et je continue ma promenade les mains dans les poches et le cœoeur léger.

Ce journal, aussi délirant que précis, relate les mésaventures d'un extraterrestre cherchant désespérément son coéquipier, Gurb, qui a disparu dans Barcelone après avoir pris l'apparence de Madonna. Sans le savoir, il dresse une satire désopilante des moeurs de notre société.

Au premier siècle de notre ère, le philosophe et naturaliste Pomponius Flatus entreprend un voyage aux confins de l'Empire romain à la recherche d'eaux miraculeuses. Le hasard conduit ses pas à Nazareth, où le tribun Appius Pulcher doit procéder à l'exécution du charpentier du village, accusé du meurtre d'un riche citoyen répondant au nom d'Epulon. Convaincu de l'innocence de son père, le fils du charpentier, un enfant charmant mais quelque peu étrange, supplie Pomponius, moyennant finances, de mener l'enquête et de découvrir le vrai coupable. Roman policier, évangile apocryphe, récit historique, parodie de best-seller, pied de nez à toutes les censures religieuses, Les Aventures miraculeuses de Pomponius Flatus est sans doute le livre le plus érudit, le plus provocateur et le plus férocement drôle jamais écrit par Eduardo Mendoza.

Quels points communs trouver à : un évêque alcoolique, un homme séjournant parmi les indigènes d’un village perdu en plein désert et un prisonnier passionné de littérature ? Ni prophètes ni martyrs, l’Église ne les canonisera jamais. Mais capables de grandeur malgré l’humilité de leur condition, ils n’en demeurent pas moins chacun à leur façon des saints d’un genre tout à fait particulier !

Version originale et espagnol de "Sans nouvelle de Gurb"

Novela de humor y aventura en la que se mezclan los distintos lenguajes: culto, popular, periodístico, publicitario y radiofónico.

Présentation de l'éditeur

Perdido en la Barcelona preolímpica, el extraterrestre Gurb pone al servicio de su supervivencia la extraña cualidad de adoptar el aspecto que le plazca. Se pierde con la apariencia de Marta Sánchez, mientras su compañero alienígena inicia la búsqueda en la jungla urbana. Por su diario personal vamos conociendo las increíbles peripecias de un extraterrestre en Barcelona. En este relato de carácter paródico y satírico la invención de Eduardo Mendoza convierte la Barcelona cotidiana y absurda en el escenario de una carnavalada. Tras las máscaras pintarrajedas y grotescas se revela el verdadero rostro del hombre urbano actual y, tras el estilo literario, la acerada conciencia artística del escritor.

Le détective fou cher à Eduardo Mendoza est mordu par un chien dans un jardin de Barcelone. Cette agression canine ramène à sa mémoire une aventure vieille de trente ans, alors qu'il était enfermé dans un asile. A l'époque, des hommes se réclamant d'un commissaire de police étaient venus le chercher pour lui confier une mission : ramener à sa propriétaire un petit chien perdu dans un jardin. Sa mission accomplie, le détective avait été arrêté et accusé d'avoir assassiné dans ce même jardin une apprentie mannequin. Ayant échappé à la police, il avait lui-même mené une enquête rocambolesque en compagnie de la senorita Westinghouse et de ses ami(e)s travestis, révélé une vaste affaire de blanchiment et d'évasion de capitaux, et permis l'arrestation du vrai criminel. Mais la morsure du chien réveille ses doutes quant à la conclusion de sa propre enquête et le détective, comme dans les meilleurs cold case des séries américaines, part à la recherche de ses anciens co-équipiers et reprend ses investigations dans une Barcelone où tout a changé, sauf la corruption.

Barcelone, 1968. Rufo Batalla, jeune journaliste un peu tire-au-flanc et relégué à la rubrique mondaine, doit couvrir le mariage d'un prince en exil. Coïncidences et malentendus le conduisent à se lier d'amitié avec le prince, qui lui confie la chronique de son histoire à l'heure où l'Espagne, alors dans les dernières années de la dictature de Franco, connaît de profonds bouleversements.

Encouragé par le léger vent de liberté qui traverse son pays, lassé d'une relation amoureuse confortable mais sans passion, il se rend à New York dans l'espoir de vivre enfin une aventure exaltante. Si le succès n'y est guère plus au rendez-vous qu'à Barcelone, il assiste ébahi aux phénomènes sociaux des années 1970, la lutte pour les droits civiques, le féminisme, le mouvement gay et l'ouverture de la culture aux nouvelles formes d'expression.

Dans un style toujours enlevé, subtil mélange de dérision et de profondeur, Mendoza revient sur le devant de la scène littéraire et interroge les notions de liberté, de pouvoir, et de démocratie.

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