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J'ai acheté ce livre sur un coup de tête à cultura quelques jours auparavant, pour sa couverture splendide et son résumé plutôt attrayant. Je n'en attendais pas beaucoup et j'ai trouvé une des premières pépites de mon année !
Les personnages sont attachants, bien décrits, l'univers est vraiment riche et bien détaillé, l'auteure a réussi à faire preuve d'originalité, surtout dans la façon dont la ville est construite et ce que cela révèle de la politique...
Suspense jusqu'au bout, des rebondissements et de l'action, bien malin qui prédira la fin !
La Ville sans vent, Tome 1
La Ville sans vent, Tome 1
La Ville sans vent, Tome 2 : La Fille de la forêt
Une quête pleine de rebondissements, une évolution de personnages touchante et une audace dans l'écriture : je me suis régalé !
Magnifique coup de cœur pour un ouvrage qui donne à réfléchir, à rire et à pleurer.
Brussailes
J’avoue qu’au début je ne savais pas à quoi m’attendre et j’avais un peu peur de cette histoire d’oiseaux mais comme j’ai adoré La Ville Sans Vent, j’ai tenté le coup (et puis le livre est beau).
Ça a été une lecture incroyable, inattendue, pleine d’humour, avec une morale et une évolution des personnages. C’est une sorte de conte philosophique qui retrace une enquête d’oiseaux à Brussailes. On suit donc un pigeon, débile comme tous les pigeons, un rouge-gorge et une corneille qui partent à la recherche des oeufs disparus. C’est une histoire de vengeance, de renouveau, d’émancipation.
C’était une lecture originale avec des notes de bas de pages génialissime, à la fois hilarantes et explicatives.
En bref, une très bonne lecture totalement inattendue que je ne peux que conseiller. En plus, il est petit, il est beau et se lit très bien !
Brussailes
--- Une suite à la hauteur du tome 1 ---
Très peu de temps après ma lecture du premier volet de La Ville sans vent, je me suis plongée avec délice dans le second. D’ailleurs, c’est assez rare pour être souligné, car j’ai tendance à laisser passer plusieurs mois entre chaque tome d’une saga. Mais, mais, mais… ce n’est jamais qu’un diptyque, très bon qui plus est. Bref, je me suis lancée !
Dans La Fille de la forêt, l’action est un peu moins présente, néanmoins cela n’est en rien un défaut. Au contraire, les enjeux politiques prennent davantage d’ampleur afin d’entraîner le lecteur vers un final explosif !
--- Bienvenue chez les Amazones ! ---
Tout comme j’ai adoré découvrir Hyperborée, j’ai pris plaisir à explorer la forêt des Amazones en compagnie d’Arka. Grâce à cette dernière, nous partageons le quotidien de ces femmes qui ont refusé de s’incliner devant la prétendue supériorité des hommes. Bien évidemment, cela ne les empêche pas de se fourvoyer sur bien des points…
Pour être tout à fait honnête, j’aurais voulu en savoir encore plus à leur sujet, mais l’auteure n’est pas avare d’informations. Elle répond ainsi à nos questions et nous offre une multitude de détails qui, selon moi, participent à la construction de son univers passionnant !
--- Entre révélations et révolution ---
Si l’auteure revient sur le passé de certains personnages de manière ponctuelle, c’est pour mieux nous surprendre par la suite. Petit à petit, j’ai vu les pièces du puzzle s’assembler, composant ainsi une fresque grandiose qui s’étale sur plusieurs générations.
Ce pan de l’histoire prédomine, cependant l’action est tout de même au rendez-vous et prend la forme d’une révolte. En effet, il est hors de question pour les Hyperboréens de laisser leur ville aux mains des envahisseurs. Dans l’ombre, la rébellion s’organise et elle réserve bien des surprises…
J’admets toutefois être passée à côté de quelques subtilités, notamment concernant les propos de Python qui me semblent toujours aussi sibyllins après lecture du livre. Dommage !
--- Une héroïne qui s’accomplit enfin ---
Comme l’indique son nom, ce second volume s’intéresse beaucoup à Arka, à son passé, à la malédiction qui pèse sur ses épaules. Je l’ai dit plus haut, Éleonore Devillepoix lève le voile sur les mystères qui la touchent de près et la met dans des situations quasi inextricables. Alors qu’elle gagne en maturité sans, pour autant, délaisser sa témérité, la jeune fille se lance un défi risqué : trouver un juste équilibre entre son allégeance pour les Amazones et son amour pour Hyperborée.
Alors, même si j’ai mis du temps à m’attacher à ce personnage, elle a en définitive dépassé toutes mes espérances. C’est bien elle qui porte ce récit à son dénouement !
--- Des personnages finement construits ---
Davantage tourné vers l’avenir, Lastyanax se découvre des ressources insoupçonnées au contact de Pyrrha. Il faut dire que son amie est bien décidée à imposer ses idées, à la fois progressistes et féministes. Tous deux ajoutent donc du piment à l’intrigue ; j’ai adoré leurs échanges, un peu moins leurs entêtements, mais ça fait partie intégrante de leur charme.
Quant aux antagonistes, eh bien je ne suis on ne peut plus convaincue par Alcandre. Au vu de son histoire, il m’est arrivé de le comprendre, sans approuver ses choix, ses actes, son attitude. Il n’en va pas de même pour Rodolphe malheureusement, que j’ai trouvé inutilement machiavélique. Il s’agit cependant d’un personnage tout à fait secondaire ayant peu d’impact sur l’intrigue.
Mais quel que soit leur camp, Éleonore Devillepoix n’hésite pas à faire souffrir ses personnages, pour de bonnes ou de mauvaises raisons. En outre, ce ne sont pas toujours les gentils qui l’emportent. Bref, le récit n’est donc en rien manichéen et c’est franchement appréciable ! De ce fait, je ne dirai pas non à un spin-off…
La Ville sans vent, Tome 2 : La Fille de la forêt
Voilà un titre que j’étais persuadée d’adorer, de dévorer même, mais qui au final m’a laissée un brin sur le carreau. Attention, ne va pas croire que je ne l’ai pas aimé car j’ai dans l’ensemble apprécié ma lecture. Mais voilà, je m’attendais à quelque chose d’un peu plus accrocheur.
Déjà, le concept de ville où les plus pauvres vivent en bas et les plus riches tout en haut n’est pas vraiment novateur. Le rythme n’est par ailleurs pas fou fou, principalement à cause de chapitres hyper longs qui ne m’ont pas aidée à rester concentrer sur le récit. Ils sont certes découpés en plusieurs points de vue mais cela n’a pas suffi à apporter le dynamisme qui, pour moi, a fait défaut à ce roman. L’enquête de Lastyanax et Arka traîne un chouia en longueur et ces deux zigotos ont en plus la fâcheuse tendance à se la jouer solo. J’avoue, je m’attendais à ce que ce duo agisse de concert. Sauf qu’ils ont un mal de chien à s’apprivoiser l’un l’autre et donc à s’unir dans leur quête respective. Mais surtout, le point sur lequel j’ai le plus bloqué c’est « le plan » sur lequel repose toute cette histoire. J’ai comme l’impression qu’il y a des failles dedans : un personnage qui n’aurait normalement pas pu mourir ou une machination qui aurait pu trouvé une solution plus simple et moins longue. Je peux faire fausse route car j’ai peut-être loupé des informations (c’est même probablement le cas au vue de la fatigue que j’accumulais au moment de ma lecture) mais comme celles-ci, si elles existent, ne sont pas rappelées à la fin bah j’ai l’impression que « le plan » est légèrement bancal, comme la tour de pise quoi. Il tient debout mais ses fondations manquent de solidité.
Bon par contre, en dehors de ces petits points négatifs, il y a tout de même plein d’éléments qui m’ont grave enthousiasmée. Déjà, j‘ai adoré les personnages! Je me suis même vachement attachée à eux car je les ai trouvé accessibles et ordinaires, en particulier la petite Arka. Débrouillarde mais pas non plus surdouée, elle m’a beaucoup plu. Et aussi brillant que soit Lastyanax, il est loin d’être infaillible. Se sont ses défauts et ses erreurs mais aussi sa droiture et sa loyauté qui ont su me faire flancher en sa faveur. J’ai par ailleurs adoré le mode de déplacement dans la Ville sans vent, le système de magie… et « le plan », oui, et ce malgré les petits trous dans la raquette que j’ai relevé plus haut. Il ne lui manquait pas grand chose pour qu’il soit parfait à mes yeux (j’ai notamment surkiffé découvrir qui au final tire vraiment les ficelles derrière toute cette histoire). Et enfin, la plume est vraiment excellente! Pour un premier roman, je tire mon chapeau car il ne lui manque qu’une pincée d’addictivité et d’action pour qu’elle me comble totalement. Une jeune autrice à suivre, c’est certain!
La Ville sans vent ne m’a certes pas autant embarquée que je l’espérais mais elle recèle tout de même d’atouts difficiles à louper : une plume soignée, des personnages délicieusement imparfaits et attachants, un récit assez sympa. Je lirais sa suite, y a pas de doute. Ne te fie pas à mon avis, je pense que ma fatigue du moment n’est pas étrangère à mon ressenti. Si j’avais été plus en forme, alors peut-être celui-ci aurait été plus enthousiaste car j’aurais ainsi été plus concentrée sur ce que je lisais. Je ne peux donc que te conseiller de te faire ton propre avis.
La Ville sans vent, Tome 1
On pourrait se dire qu'une histoire d'oiseaux qui forment un parlement à Bruxelles, c'est quand même farfelu. Certes. Mais dès qu'on commence la lecture de ce roman, on est directement happé par l'histoire. Mais quel est donc le secret de l'autrice pour parvenir une telle prouesse ? La réponse : son style. En effet, elle parvient à doser parfaitement les émotions qu'elle souhaite faire passer au fil des pages.
Ainsi, c'est avec beaucoup d'humour mais également avec une pointe de sérieux qu'elle nous relate les aventures de ces 3 oiseaux que tout sépare mais qui vont pourtant s'allier pour une quête commune : découvrir ce qui arrive aux œufs des oiseaux de Bruxelles. Mention spéciale pour les notes de bas de page (ou de côté de page pour le coup) qui sont simplement à mourir de rire.
Bref, lisez ce livre. La lecture sera certes courte, mais elle vous marquera pour un moment.
Brussailes
Bref, un super livre qui se lit très vite et que je recommande :)
🪶🐦
Brussailes
La Ville sans vent, Tome 1
Brussailes
le suspens n'était pas vraiment au rendez-vous non plus ; même si je n'avais pas tout compris des plans en détail, on déduit très rapidement qui sera l'antagoniste ; j'ai également très rapidement mis le doigt sur l'identité du père d'Arka... mais ça ne m'a empêché d'apprécier chaque nœud se démêler.
sinon, c'est à mon sens une réussite. j'ai adoré la relation entre Lastyanax et Arka qui se développe tout en subtilité et ça change des romances dont on a l'habitude.
j'ai hâte d'en découvrir plus dans le deuxième tome... je le recommande vivement aux amateurs de fantasy.
La Ville sans vent, Tome 1
En continuant, cependant, j'ai fini par m'attacher à Arka et (presque) à Lastyanax.
L'univers et les intrigues politiques sont clairement ce qui m'intéressaient, même si je ne suis pas entièrement satisfaite de la manière dont elles nous ont été progressivement révélées. La ville d'Hyperborée est riche et complexe, et j'ai l'impression qu'on n'en a vu qu'un tout petit fragment, ce qui est frustrant.
Je ne suis pas une fan des changements constants de points de vue, plutôt que de rendre la lecture dynamique, ça l'a parfois appesanti (je pense au point de vue des frères Alci et co, par exemple, ça n'apporte pas grand chose si ce n'est un peu de comique, mais ça aurait pu être amené autrement).
Les critiques sociales sont intéressantes, bien qu'un peu trop "en pleine face", avec pas assez de profondeur pour leur donner de l'impact.
Du côté des personnages, j'ai adoré Alcandre ainsi que la dynamique entre Arka et Lastyanax, mais, même s'il y a des aspects que j'ai aimé de lui, Lastyanax me laisse quand même un goût amer dans la bouche.
J'espère sincèrement qu'il ne finira pas avec Pyrrha, par contre. Outre le fait qu'ils n'ont aucune alchimie, le personnage de Pyrrha me paraît tellement inconsistant et frustrant, je ne peux les imaginer qu'amis au mieux.
Au final, cela reste une lecture sympathique, avec de la créativité, mais qui ne m'a pas aussi transporté que ce à quoi je m'attendais.
La Ville sans vent, Tome 1
🕊🐦🦅
BRUSSAILES - Eleonore Devillepoix.
Une fable animalière découverte dans le cadre du plib qui m'a enchantée.
C'est un roman jeunesse qui permet d'appréhender les ficelles de la politique, mais surtout de la tolérance et du rapport à la différence.
Nos trois oiseaux viennent de communautés différentes, le pigeon est le citoyen silencieux, celui qui fait ce qu'on lui demande sans jamais chercher à comprendre, le rouge-gorge c'est un peu le fanfaron du quartier, qui défend sa propriété à tout prix et n'a pas peur de défier. La corneille est maline, connaît le système et en joue, mais l'amitié et l'honneur la pousse à faire preuve de plus d'empathie.
J'ai énormément apprécié un passage, celui dans le toit de l'église où chacun se questionne sur l'apparence du Grand Esprit.
Les personnages volatiles sont touchants et leur caractère rudement bien ficelé.
Brussailes
La Ville sans vent, Tome 2 : La Fille de la forêt