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Par juju7402 le 11 Avril 2014 Editer
juju7402
Elizabeth von Arnim dresse un portrait de tous ses chiens, par ordre chronologique, avec leur photos et en quelques mots ce que chacun a pu lui apporter selon les événements de sa vie.
J'ai adoré ce livre, car j'adore cette auteur qui sait si bien transmettre ses émotions. On se prend d'affection pour ses bêtes et on en apprend un peu plus sur ce que fût sa vie."
A propos du livre :
Tous les chiens de ma vie
Tous les chiens de ma vie
Par Lily-Puce le 18 Avril 2016 Editer
Lily-Puce
Lecture sympathique mais rien de fou non plus. Le contexte est rafraîchissant et les idées véhiculées intéressantes : ces femmes qui s'échappent des convenances de la société et partent en vacances dans le secret sans leurs époux. Mais beaucoup de niaiseries dans l'ensemble.
A propos du livre :
Avril enchanté
Avril enchanté
Par juju7402 le 4 Février 2014 Editer
juju7402
Un roman absolument passionnant que je mettrais dans la lignée des Brontë et des Austen, par le style, bien qu'il soit plus récent (paru début du XXème siècle).
J'ai adoré découvrir le destin d'Anna, jeune femme de 25 ans, issue d'un milieu modeste qui refuse le mariage et rêve d'indépendance financière.
Lorsqu'elle hérite d'un domaine à la mort de son oncle, elle souhaite faire profiter de sa fortune des femmes dans le besoin, en créant une sorte de maison du bonheur où toutes vivraient ensemble, en harmonie. Malheureusement les choses ne seront pas si simples car l'âme humaine n'est pas toujours emplie de bons sentiments....
A propos du livre :
La bienfaitrice
La bienfaitrice
Par Lorelei0609 le 15 Novembre 2023 Editer
Lorelei0609
Bien écrit mais l'humour sarcastique tout le long du récit m'a gênée. On suit le narrateur exécrable dans un voyage en caravane en Angleterre dans les années 1910 avec des Allemands et des Anglais.
A propos du livre :
En caravane
En caravane
Par Aline-100 le 24 Janvier 2020 Editer
Aline-100
Une fois de plus, Elizabeth von Arnim est parvenue à me séduire avec ce roman au charme très bohème. Les personnages sont totalement amusants, malgré leurs petits défauts.

Le narrateur est Otto von Ottringel, officier prussien persuadé que des vacances dignes de ce nom doivent se dérouler en toute quiétude et, surtout, être empreintes d'ordre.

Malheureusement pour lui, fasciné par l'une de ses compatriotes dont la sœur a épousé un anglais, il perd tous ses moyens et se laisse embarquer, avec son épouse, dans un voyage en roulotte.

Dès le début du périple, Otto se montre peu coopératif : il critique tout et tout le monde, geint et se plaint à tout propos et s'esquive dès que possible dès que commencent les corvées de la vie en commun telles que préparer et servir le repas ou encore faire la vaisselle. Pour Otto, ces tâches sont réservées aux domestiques et aux femmes, pas aux officiers de l'armée prussienne.

Edelgard (l'épouse d'Otto), par contre, apprécie le voyage et commence même à se rebeller : elle porte les mêmes tenues que ces Allemandes qui ont renié leurs origines en épousant des Anglais et, comble de l'horreur, répond à Otto, chose qu'elle n'aurait jamais osé faire avant ces terribles vacances !

Otto regrette donc bien vite son impulsivité. D'autant que la météo se ligue contre nos amis : seuls quelques jours de beau temps rendent l'expérience de la roulotte agréable.

Ce qui est surtout très amusant dans ce roman, c'est que le narrateur ne se rend pas compte de son caractère épouvantable. Tout le monde le fuit, l'antipathie grandit de plus en plus à son égard, mais Otto reste persuadé qu'il est un homme parfait. Si le voyage est un échec retentissant, ce n'est pas de sa faute : c'est la bande de romanichels (pourtant des nobles anglais) qui l'accompagne qui est en tort !

Même si ce personnage est absolument tyrannique, le récit est savoureux à souhait ! Elizabeth von Arnim se moque des défauts d'Otto en les exagérant jusqu'à la caricature, pour notre plus grand plaisir.
A propos du livre :
En caravane
En caravane
Par Aline-100 le 24 Janvier 2020 Editer
Aline-100
Ce roman est une véritable pépite (une habitude avec les récits de von Arnim) !
Tout d'abord, une petite explication s'impose en ce qui concerne le titre de ce joli roman : les jumelles se baptisent Christopher et Columbus afin de se donner courage. Elles s'identifient ainsi à Christophe Colomb, ce qui leur permet d'imaginer leur départ pour l'Amérique comme une aventure agréable.
Ce qui est pourtant loin d'être le cas puisque, par le biais des aventures de Anna-Rose (Christopher) et Anna-Felicitas (Columbus), Elizabeth von Arnim traite d'un thème que tous les Européens peuvent trouver actuel en ce moment : la difficulté de l'immigration et les préjugés que certaines personnes ressentent envers certaines nationalités. Déjà bien vivace à l'époque dont on nous parle (1916), la méfiance envers les étrangers est encore plus prononcée envers Anna-Rose et Anna Felicitas, qui sont considérées par les personnes qu'elles rencontrent comme encore "plus étrangères" que d'autres réfugiés européens. Car les jumelles sont allemandes, ce qui est très mal vu à leur époque, même en Amérique.
Mais malgré ce sujet difficile et en dépit de la vie assez compliquée des jumelles, Elizabeth von Arnim parvient à rendre cette histoire extrêmement belle. La personnalité des jumelles n'y est pas étrangère, puisque les deux sœurs ont tendance à se montrer assez optimistes et à voir le bien partout (sauf dans la personne de leur oncle !) Les jumelles sont naïves, même si je n'aime pas utiliser ce terme, que je trouve trop péjoratif pour de belles personnalités comme les leurs. Elle ne comprennent pas que l'on puisse vouloir du mal aux autres ou que ces mêmes autres les snobent en raison de leur nationalité. Elles croient dur comme fer (ou du moins veulent croire) que l'Amérique va leur permettre de prendre un nouveau départ et se retrouvent, bien malgré elles, plongées dans des aventures assez rocambolesques.
Heureusement, tout le monde n'est pas hostile envers ces deux jeunes filles. La chance, parfois, va croiser leur chemin...

En bref : Si vous aimez la plume d'Elizabeth von Arnim, foncez. Christopher et Columbus devraient vous séduire !
A propos du livre :
* Christopher et Colombus
* Christopher et Colombus
Par Aline-100 le 24 Janvier 2020 Editer
Aline-100
Attention, pépite !!
Les descriptions sont somptueuses. En lisant les détails du jardin de San Salvatore (le château médiéval loué par les héroïnes du roman) données par Elizabeth von Arnim, on n'a qu'une seule envie : faire ses valises et partir à la recherche d'une telle splendeur. Il doit être bien agréable de passer la journée dans un tel jardin, aussi fleuri et aussi calme...
Les personnages sont également très agréables. Mes préférées sont Mrs Wilkins et Mrs Arbuthnot (les deux instigatrices du séjour en Italie), mais Mrs Fisher et Mr Wilkins ne sont pas mal non plus dans leur genre.

En bref : On peut dire que la "magie" de San Salvatore, celle à laquelle Mrs Wilkins croit avec tant de ferveur, a réussi à me toucher. Je suis d'ailleurs passée à la Fnac pour commander ce merveilleux roman en anglais. Je prévois de le relire en V.O. lorsque les fleurs seront enfin écloses dans notre jardin. Même s'il ne sera jamais aussi fleuri que celui de San Salvatore, cela me donnera tout de même l'impression d'être un peu plus proche de ce véritable paradis terrestre.
A propos du livre :
Avril enchanté
Avril enchanté
Par fanfan50 le 23 Juin 2018 Editer
fanfan50
Je n'ai lu qu'un livre de cet auteur mais je l'avais bien aimé. J'ai donc renouvelé l'aventure. Ici, c'est une biographie de l'auteure, légère et très drôle - bien que triste aussi parfois - mais de son enfance à son entrée dans la vieillesse, elle a partagé la vie de quatorze chiens. Dire que ses parents n'aimaient pas les chiens ! Elle a pourtant reçu en cadeau à l'âge de quatre ans un petit chien : Bijou offert par le jeune homme qui courtisait sa soeur. Elle ne l'a pas gardé longtemps. Elle avait quatorze ans quand sa soeur - la même - lui a offert Bildad, un loulou de Poméranie. Son père étant parti travailler à l'étranger, elle a pu le garder un peu plus longtemps. Son troisième chien, Cornelia, un basset, lui fut offert par son premier mari et elle l'a beaucoup aimé car la chienne l'accompagnait dans ses longues promenades dans la campagne en Poméranie pendant que son mari vaquait à ses occupations. Ensuite, elle eut Ingrabam, un grand danois, qui s'est fait tirer dessus par un chasseur car il aimait trop les daims. Son cinquième chien Ingulf fut aussi un danois assez apathique, ce qui l'a décidée à en racheter deux Ingo et Ivo. Comme elle a quitté la Poméranie pour le Devonshire, elle a donné ses deux chiens. Arrivé là-bas, elle a racheté Prince, son huitième chien qui a eu le malheur de s'attaquer aux moutons et a été abattu. Ensuite elle est partie en Suisse et là, elle s'est entichée de Coco, le chien du concierge et l'a adopté. De là, cette belle réflexion : "J'aurais toujours des chiens et des livres pour me tenir compagnie". Son dixième chien, Pincher, fut un tueur de poules et sur les conseils de son garde-chasse, elle a fait faire ce qui faut et Pincher est devenu apathique. D'où le chien numéro onze, Knobbie, une chienne fox-terrier très enjouée. Puis le chien numéro douze, Chunkie, un petit sealyman, très joueur et amoureux de Knobbie, ce qui fait que deux chiots se rajoutèrent à deux deux : Woosie et Winkie. Woosie mourut renversé par une voiture et Winkie piqué par une tique.Elle est en Provence heureuse entourée de ses deux chiens. Chunkie a un bon esprit : il serre les dents et il tient le fouet de sa queue haut levé jusqu'à la fin. Chien plein de sagesse et de bon sens, il se contente de ce qu'il a plutôt que de se soucier de ce qu'il n'a pas.
A propos du livre :
Tous les chiens de ma vie
Tous les chiens de ma vie
Par Loupiotenpapier le 30 Mars 2018 Editer
Loupiotenpapier
Une lecture qui m'a laissé pour le moins perplexe. Je pensais qu'à l'image des lectures que j'ai pu appréciées d'autrices du 19ème siècle, on allait aborder ici des thématiques assez fortes sur le droit des femmes, sur la place de la femme dans la société et son émancipation.
Si la quatrième de couverture le laisse à suggérer, je n'ai, pour ma part, pas eu le sentiment que l'autrice avait ce genre de considérations et souhaitait évoquer ces thèmes dans son livre.
Entre un personnage féminin très naïf et presque crédule et une fin que je n'ai pas appréciée puisque la demoiselle finit tout de même par se marier, je n'ai pas compris le message : où est la dénonciation d'une société anglaise (surtout allemande pour le coup) assez patriarcale, où est la valorisation d'une femme indépendante et émancipée ?
Il y a certes dans ce roman certains points d'ironie (la fin est un pied de nez) et des petites touches d'humour assez agréables. Mais je suis passée à côté du message de l'auteur. Au contraire, pour moi, nous tombons totalement dans l'effet inverse. J'ai eu le sentiment qu'avec ce livre, l'auteur cherchait à nous démontrer qu'une femme indépendante ne pouvait vivre sans l'appui rassurant et protecteur d'un homme.
Alors c'est peut-être le message qu'a voulu transmettre l'autrice mais dans ce cas, ce n'était pas pour ça que je lisais le livre. Il m'a donc paru hors sujet.
A cela s'ajoute qu'en soi, l'intrigue et les personnages ne sont pas particulièrement d'un grand intérêt ni d'une grande originalité. Tout comme l'écriture assez simpliste. Tout cela reste léger et divertissant mais le propos manque cruellement de profondeur.
Voici bien donc une autrice que je ne chercherai pas à suivre à l'avenir.
A propos du livre :
La bienfaitrice
La bienfaitrice
Par bsg55 le 5 Novembre 2014 Editer
bsg55
Pas vraiment un coup de cœur, mais une découverte intéressante de l’univers d’Elizabeth Von Arnim, univers aux antipodes de celui de Jane Austin, car ici l’héroïne n’est pas une charmante jeune fille, mais une femme un peu trop ronde, Jennifer, pas très jolie qui se moque de son apparence et qui ne cherche pas à sortir de son état de vieille fille. Contrairement aux sémillants jeunes premiers de Jane Austin, ses personnages masculins sont eux aussi dépourvus de grâce et sont tous assez détestables. On se laisse néanmoins attacher par cette histoire où domine l’excès d’autorité d’un père pour sa fille et d’une sœur pour son frère, le pauvre James, velléitaire et soumis. Finalement, si Jennifer et James se trouvent libérés de leurs jougs, ils ne le doivent pas à leur propre volonté qui leur fera défaut jusqu’à la fin, mais à un heureux concours de circonstances qui va enfin leur permettre de décider eux-mêmes de ce qu’ils veulent faire de leur existence. Avec ce livre, Elizabeth Von Arnim nous projette avec talents dans la tête de ses personnages et nous fait vivre en direct leurs pensées, des plus sombres aux plus médiocres, avec leurs revirements et leurs contradictions, ce qui confère aux situations les plus tendues une certaine tonalité comique, aussi inattendue que réjouissante. À lire pour ceux que la lenteur de l’action ne rebute pas.
A propos du livre :
Père
Père
Par juju7402 le 3 Mars 2014 Editer
juju7402
Catherine rencontre Christopher à Londres lors d'un spectacle musical. Seul souci, il est de vingt deux son cadet. Christopher est fou amoureux de Catherine et fera tout pour la séduire, jusqu'à ce qu'elle cède sous le regard horrifié de sa fille et de son gendre et se remarie avec ce jeune homme.
Malheureusement très vite le doute s'installe. Comment Christopher peut-il l'aimer elle qui est si vieille? On la prend si souvent pour sa mère et non pour sa femme! Que d'humiliations pour Catherine... S'ensuivent des rendez-vous en cachette chez l'esthéticienne, chez des médecins qui vous promettent un retour vers l'éternel jeunesse... La différence d'âge n'est-elle pas un obstacle insurmontable? Elizabeth von Arnim met le doigt sur un sujet sensible pour ma femme et sur ce qu'est l'amour véritable....
A propos du livre :
Love
Love
Par juju7402 le 25 Février 2014 Editer
juju7402
A la mort de son père, la jeune Lucy fait la connaissance d'un homme d'âge mûr, Weymiss, veuf depuis peu. Cet homme a perdu sa femme Véra, qui a chuté de la fenêtre de sa chambre. Profondément touché par cet homme blessé qui se montre si prévenant et dévoué pour elle, Lucy ne tarde pas à tomber amoureuse.
S'enchaîne alors fiançailles et mariage, mais Weymiss n'est peut-être pas celui qu'elle croyait. L'ombre de la mort de Véra plane sur eux (accident, suicide, crime?)... Un roman sombre qui vous met mal à l'aise.... J'ai été complètement happée par la lecture de ce roman que je recommande vivement.
A propos du livre :
Véra
Véra
Par juju7402 le 9 Février 2014 Editer
juju7402
La suite du journal intime d'Elisabeth von Arnim. On retrouve avec plaisir les descriptions détaillées de son jardin, les bébés d'Avril, Mai et Juin et les apparitions de l'Homme de Colère.
J'adore cette femme, si moderne pour son époque.
A propos du livre :
L'été solitaire
L'été solitaire
Par juju7402 le 16 Janvier 2014 Editer
juju7402
J'ai adoré ce beau roman du début du XXème siècle, à l'écriture un brin désuète.
Mais quelle modernité dans le thème! Élisabeth von Arnim, au travers de ces quatres personnages de femmes qui décident de partir seules en Italie dans un magnifique château pour réfléchir à leurs vies, glisse des pensées très féministes.
Ces femmes vont dans un cadre idyllique retrouver le bonheur et l'amour, le vrai, loin des convenances que la société anglaise leur a jusqu'à présent imposée.
A propos du livre :
Avril enchanté
Avril enchanté
Par plumedepaon le 25 Novembre 2013 Editer
plumedepaon
Une plume charmante pour son jardin et une plume acérée pour le genre humain!
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