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Tous les livres de Elizabeth Gaskell

Je suis une vieille femme maintenant et les choses ont bien changé depuis ma jeunesse. On voyageait alors en diligence avec six personnes à l'intérieur et l'on mettait deux jours pour accomplir un trajet que les gens font aujourd'hui en deux heures à grand renfort d'embarras et dans un fracas à vous rendre sourd. En ce temps-là, les lettres n'arrivaient que trois fois par semaine ; et même, dans certains coins d'Ecosse où j'ai séjourné dans mon enfance, il n'y avait de courrier qu'une fois par mois. Mais, alors, les lettres étaient des lettres ; on en faisait grand cas, on les lisait et on les étudiait comme des livres. Maintenant, la poste arrive bruyamment deux fois par jour, apportant de brefs messages, qui n'ont parfois ni commencement, ni fin, et se résument en une courte phrase dont les gens bien élevés n'oseraient pas user dans la conversation. Bon ! bon ! c'est peut-être le progrès ; au fond je le crois. Mais vous ne trouveriez pas aujourd'hui une seule lady Ludlow. je vais essayer de vous faire faire sa connaissance.

Ce roman d'amour sur fond de scandales et d'intrigues se déroule dans l'Angleterre rurale de la fin des années 1820. Il met en scène Molly, la fille rebelle d'un médecin de campagne, les aristocrates locaux qui, depuis l'imposant château de Cumnor Towers, règnent en maîtres absolus sur ce coin perdu des Midlands, les notables, les domestiques, les paysans, les animaux mais c'est avant tout la nature humaine dans la toute-puissance de ses pulsions et de ses désirs si impitoyablement réprimés par la société victorienne qu'Elizabeth Gaskell place au centre de la trame.

Avec un art de la subversion qui lui est propre et une sensualité envoûtante, Gaskell nous transporte dans un univers bruissant de robes en taffetas et de commérages meurtriers, de hennissements de chevaux et de soupirs d'amour, où les femmes et les hommes sont aux prises avec l'ordinaire mystère de la vie.

"Il s'agit de l'amour, comment il apparaît, comment il grandit, comment il peut briser nos cœurs ou nous rendre heureux ; il s'agit des erreurs que nous faisons et des secrets que nous devons garder..." La délicatesse de son ton et sa subtilité psychologique élèvent Elizabeth Gaskell au rang des plus grands écrivains et - malgré le siècle qui nous sépare - nous rendent son œuvre d'une intime proximité.

C'est le choc de deux Angleterre que le roman nous invite à découvrir : le Sud, paisible, rural et conservateur, et le Nord, industriel, énergique et âpre. Entre les deux, la figure de l'héroïne, la jeune et belle Margaret Hale. Après un long séjour à Londres chez sa tante, elle regagne le presbytère familial dans un village du sud de l'Angleterre. Peu après son retour, son père renonce à l'Eglise et déracine sa famille pour s'installer dans une ville du Nord. Margaret va devoir s'adapter à une nouvelle vie en découvrant le monde industriel avec ses grèves, sa brutalité et sa cruauté. Sa conscience sociale s'éveille à travers les liens qu'elle tisse avec certains ouvriers des filatures locales, et les rapports difficiles qui l'opposent à leur patron, John Thornton. En même temps qu'un étonnant portrait de femme dans l'Angleterre du milieu du XIXe siècle, Elizabeth Gaskell brosse ici une de ces larges fresques dont les romanciers victoriens ont le secret.

La romancière Elizabeth Gaskell avait été intriguée par l'auteur du scandaleux Janne Eyre, publié sous le pseudonyme de Currer Belle et décrit par G. K. Chesterton comme l'«expression du romantisme le plus élevé à travers le réalisme le plus bas». Les deux femmes se rencontrèrent et correspondirent jusqu'à la mort de Charlotte

Écrite à la demande de son père peu après, cette biographie de Charlotte Bronté, qui se fonde sur les témoignages de ses contemporains et sa correspondance, est aujourd'hui considérée comme une œuvre majeure de la littérature victorienne.

Elle fait ressortir toute la difficulté, en ces temps de rigueur morale et religieuse, à conjuguer le statut de femme et celui d'écrivain.

Peu tendre envers certains des personnages qu'elle évoquait, Elizabeth Gaskell dut sous la menace de poursuites judiciaires apporter de nombreuses modifications à la troisième édition. Basée sur la première édition de 1857, la présente traduction a été entièrement revue et corrigée.

Tout en cheminant jusque chez moi, Jack me dit : " Ma parole, Frank ! Ce que j'ai pu m'amuser avec la petite dame en bleu. Je lui ai dit que tu m'écrivais tous les samedis pour me raconter les événements de la semaine. Elle a tout gobé. " Il s'arrêta pour rire, car il était secoué par de tels accès, de tels spasmes d'hilarité, qu'il n'était plus en état de marcher. " Et je lui ai dit aussi que tu étais amoureux fou, nouveau spasme, d'une personne dont je n'avais pas réussi à t'arracher le nom, mais qui avait des cheveux châtain clair, bref, j'ai peint d'après nature et décrit avec précision tout ce que j'avais sous les yeux ; puis j'ai ajouté que je voulais à tout prix voir ta bien-aimée et la supplier d'avoir pitié de toi, car avec les femmes tu étais le garçon le plus timoré, le plus poltron du monde. " À ces mots, il fut saisi par une crise de fou rire si violente que je crus qu'il allait rouler sur le pavé. " [...] Je finis par être obligé de rire, si furieux que j'eusse été jusque-là; son impudence était irrésistible.

1796. La guerre contre la France révolutionnaire fait rage et ses répercussions ébranlent les provinces anglaises les plus lointaines. Le petit port baleinier de Monkshaven (Yorkshire) paie un lourd tribut en hommes valides, que les sergents recruteurs, haïs par la population, kidnappent de force pour servir le Roi. L’héroïne, Sylvia Robson, seize ans, fille unique de fermiers locaux, est une jolie sauvageonne, follement aimée par son terne cousin, Philip Hepburn.

Arrive un harponneur audacieux et généreux, qui tombe amoureux d’elle et chavire son coeur. Hélas, les recruteurs vont bouleverser ces vies… Le caractère de Sylvia, fait pour l’insouciance et la légèreté, se trempe et prend une envergure dont personne ne l’aurait crue capable.

1691, Loïs Barclay, dix-huit ans, orpheline, doit quitter sa petite ville de Barford en Angleterre et rejoindre un oncle qu'elle ne connaît pas à Salem dans cette Amérique dont elle ignore tout. Cela fait beaucoup d'inconnu pour notre héroïne, déjà éprouvée par le décès de sa mère.

Elle va tomber de Chrarybde en Sylla, de l'accueil glacial de sa tante à celui trop chaleureux de son cousin, qui voit en elle sa promise.

Elle va surtout être en butte à une communauté de Puritains qui voit le Mal partout.

La première victime sera une servante indienne accusée d'avoir ensorcelé les deux fillettes du pasteur qui l'emploie. L'hystérie collective fera rapidement d'elle une sorcière et la malheureuse sera pendue.

Loïs connaîtra le même sort, son tort selon ses juges : être responsable des crises de "démence" de sa jeune cousine Prudence ! Celle-ci avouera plus tard avoir simulé pour le "malin" plaisir de faire condamner la jeune fille.

Ma cousine Phillis est peut-être le plus beau témoignage laissé par Mrs Gaskell sur le mode de vie rural de l’Angleterre profonde, bientôt voué à disparaître sous les assauts de l’industrialisation.

C’est aussi une touchante et mélancolique histoire d’amour, ou peut-être faudrait-il dire histoire d’amours, car l’auteur nous y peint avec sa finesse coutumière non seulement une romance entre deux jeunes gens, mais aussi l’amour unissant Phillis et ses parents et celui, tout fraternel, qu’éprouve envers elle son cousin Paul, le narrateur de l’histoire, et qu’elle lui rend bien.

Il règne dans ces pages une atmosphère faussement paisible qui n’exclut nullement la profondeur des sentiments et l’univers créé par Mrs Gaskell laissera à ses lecteurs un souvenir indélébile.

Dans la campagne anglaise du 19e siècle, une famille de paysan est en deuil. Anne Leigh pleure la mort de son époux. Au lendemain de l'enterrement, elle décide de partir pour Manchester avec ces deux fils dans le but de retrouver sa fille, Lisette, bannie de la famille. Malgré la honte et le déshonneur dans une société anglaise particulièrement rigide, Anne mettra tout en oeuvre pour se rapprocher de sa fille tandis que le fils ainé rencontrera le grand amour. Entre romance et tragédie, cette novella s'inscrit dans la plus pure tradition du roman sentimental avec une histoire prenante et des personnages attachants.

Orpheline, Ruth est placée dans l'atelier de couture de Mrs Mason. Lors d'un bal, elle rencontre Henry Bellingham, un fils de bonne famille, avec qui elle noue bientôt une belle amitié, se muant en passion amoureuse. Jugée fille perdue, Ruth est congédiée. Elle se réfugie au Pays de Galles avec Bellingham qui l'abandonne dès qu'il apprend qu'elle attend un enfant de lui. Elle sera recueillie par le pasteur Benson et sa s ur Faith, qui la font entrer au service d'un homme d'affaires, Mr Bradshow. Lorsque celui-ci apprend son passé, il la chasse sans ménagement. Infirmière, elle se donne maintenant corps et âme à son nouveau métier. Et la voici aimée, sinon admirée de tous. Elle meurt d'épuisement, mais respectée. Ruth, publié en 1853, est un des romans majeurs d'Elizabeth Gaskell. Traduit partiellement au XIXe siècle, l'édition d'aujourd'hui est la première à paraître dans son intégralité. Avec Ruth, Elizabeth Gaskell trace le portrait d'une jeune femme qui émeut, sinon bouleverse, une jeune femme victime de l'hypocrisie de la société victorienne toujours sûre de son bon droit et de la viabilité de ses préjugés.

Mary Barton, apprentie couturière et fille d'un syndicaliste désabusé, est partagée entre deux hommes. Jem est un ouvrier et son ami d'enfance, Henry, le brillant fils d'un industriel fortuné. Quand les travailleurs de Manchester se mettent en grève, Mary, inquiète pour son avenir et celui de son père, choisit Henry. Mais ce dernier est assassiné et les soupçons se portent sur Jem. Mary, sûre de son innocence, fera tout pour le disculper.

'Even in the stillness of that dead-cold weather, I had heard no sound of little battering hands upon the window-glass...' A phantom child roams the Northumberland moors, while a host of fairytale characters gone to seed gather in the dark, dark woods in these two surprising tales of the uncanny from the great Victorian novelist.

Le Héros du fossoyeur est une nouvelle de la romancière britannique Elizabeth Gaskell (1810-1865). Elle connut le succès grâce à un autre auteur célèbre, Charles Dickens, qui accepta de lui publier ses oeuvres. Extrait : Quand il s'obstina dans son refus, -- répétant qu'il était mal de se battre, -- elle regretta tellement de s'être ainsi laissé entraîner, de n'avoir rien obtenu, qu'elle lui adressa au sujet de sa lâcheté des reproches cent fois plus poignants que ceux de toute notre jeunesse. C'est elle-même, monsieur, qui par la suite me l'a raconté. Sa conclusion fut que de sa vie elle ne lui adresserait plus la parole... Et pourtant elle l'a fait... Et la dernière parole humaine qu'aient entendue ici-bas, les oreilles de Gilbert, a été la bénédiction que lui adressait Letty.

De tout ceci, Ellenor ne se doutait guère. Le nouveau clerc n'était pour elle qu'un être de raison. Son père chéri primait toujours, à ses yeux, le demeurant de la race humaine. Elle n'avait conscience que de ses brillantes qualités, de sa douceur, de ses charmants propos, de ses connaissances variées, de sa générosité inépuisable. Après lui, elle aimait surtout miss Monro, et parmi les domestiques de la maison, le cocher Dixon. Dixon était un grand gaillard, robuste encore malgré les premières atteintes de l'âge, et qui s'étant trouvé jadis le compagnon de jeux de l'enfant destinée à devenir ensuite sa jeune maîtresse, n'avait jamais complètement perdu la tradition et les privilèges de cette lointaine intimité. Serviteur favori, on lui passait des libertés de langage qui n'eussent été tolérées chez aucun autre, et miss Ellenor, habituée dès l'enfance à le trouver fort discret, lui faisait par-ci par-çà telle confidence dont aurait pu être jaloux M. Corbet, qu'elle affectionnait pourtant,... mais en seconde ligne et après Dixon.

Au XIXe siècle, le petit village anglais de Cranford vit au rythme des discussions autour du thé et des entorses aux convenances. Au fil des saisons, Mary Smith rend visite à ses amies et connaissances. Elle est ainsi témoin de tous les grands et petits événements qui bouleversent la société de Cranford : deuils, scandales amoureux mais aussi manque d'argent. Car ces dames de bonnes familles se doivent de dissimuler leur pauvreté sous le vernis de l'élégance.

C'est le choc de deux Angleterre que le roman nous invite à découvrir : le Sud, paisible, rural et conservateur, et le Nord, industriel, énergique et âpre. Entre les deux, la figure de l'héroïne, la jeune et belle Margaret Hale. Après un long séjour à Londres chez sa tante, elle regagne le presbytère familial dans un village du sud de l'Angleterre. Peu après son retour, son père renonce à l'Eglise et déracine sa famille pour s'installer dans une ville du Nord. Margaret va devoir s'adapter à une nouvelle vie en découvrant le monde industriel avec ses grèves, sa brutalité et sa cruauté. Sa conscience sociale s'éveille à travers les liens qu'elle tisse avec certains ouvriers des filatures locales, et les rapports difficiles qui l'opposent à leur patron, John Thornton. En même temps qu'un étonnant portrait de femme dans l'Angleterre du milieu du XIXe siècle, Elizabeth Gaskell brosse ici une de ces larges fresques dont les romanciers victoriens ont le secret.

La réédition de deux chefs-d’œuvre de la romancière britannique Elizabeth Gaskell, dépeignant la vie rurale des femmes à l’heure de la modernité.

Deux classiques de la littérature anglaise

Soudées par une profonde amitié, les dames de la petite communauté agricole de Cranford se contentent d’un mode de vie simple et hors du temps. Mais l’urbanisation qui gagne du terrain et la construction d’une voie de chemin de fer – ainsi que l’ordre masculin et les conventions sociales dont Miss Mattie est la victime iconique – menacent leur fragile microcosme…

Ma cousine Phillis (1864) suit Paul Manning, 19 ans, qui doit rejoindre l’arrière-pays pour emménager chez des parents éloignés. Là, il se lie d’amitié avec sa ravissante cousine Phillis. Quand celle-ci tombe sous le charme d’un séduisant jeune homme, la nouvelle harmonie familiale menace de s’effondrer…

Les deux héroïnes d’Elizabeth Gaskell, face à la férocité du monde moderne, s’inscrivent dans la transformation de l’Angleterre à l’époque victorienne, où la désuétude des anciens codes de valeurs laisse place à la solitude des êtres – et à l’espoir de temps nouveaux. La romancière les observe avec ce mélange de tendresse et d’ironie qui sont sa marque.

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