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Toutes les séries de Emmanuelle Favier

3 livres
1 lecteurs

WIP pour Work In Progress. Quatre auteurs lisent leurs travaux en cours face à un public. Depuis décembre 2013, ce sont des soirées littéraires et maintenant, une revue...

Il n’y a que peu de moments comme celui-là. Lire un texte à haute voix, devant un public le plus souvent inconnu, dans un lieu qu’on découvre ou qu’on apprécie. Des mots que l’on a écrits selon un rituel propre, pour une fin souvent inavouée. C’est la question qu’il ne faut jamais poser à un auteur : est-ce autobiographique ? Bien sûr que ça l’est.

Ces mots viennent du plus profond d’entre nous. Exposer son rapport au monde sans réellement pouvoir se cacher derrière un écran, des pages. Ses propres mots. Écrire, c’est sans doute l’expression d’un masochisme. D’une forme de narcissisme. Car il y a ces textes dont on se souvient tous. La stature d’écrivain. Mais qui sait le nombre de fois où ces phrases ont été tournées, ces mots rebattus, d’où a germé l’idée ? Combien de brouillons froissés, abandonnées ? Combien de vagues d’exaltation, quelque part entre l’enfer de la page blanche et la brutale libération des mots ? Je tiens quelque chose. Le fil d’une histoire que je ne lâcherai plus… Et puis un jour, il y a ce texte. Comment couper le cordon, savoir s’arrêter ? Un manuscrit a une existence propre. De l’excitation d’écrire à l’appréhension d’être lu. Hors sol. Le grand saut. Car quelle que soit l’expérience, le niveau de reconnaissance, in fine, il n’y a plus que les mots et le lecteur. Et le lien qui se crée ou non entre les deux.

Tous les livres de Emmanuelle Favier

Elles ont fait le serment de renoncer à leur condition de femme. En contrepartie, elles ont acquis les droits que la tradition réserve depuis toujours aux hommes : travailler, posséder, décider. Manushe est l’une de ces « vierges jurées » : dans le village des Balkans où elle vit, elle est respectée par toute la communauté. Mais l’arrivée d’Adrian, un être au passé énigmatique et au regard fascinant, va brutalement la rappeler à sa féminité.

Un premier roman sur la construction culturelle des êtres et l’oppression des communautés traditionnelles envers les femmes. Un questionnement sur la liberté des désirs et des comportements. Baignant dans un climat aussi concret que poétique, ce premier roman envoûtant et singulier d’Emmanuelle Favier a la force du mythe et l’impalpable ambiguïté du réel.

(Source : Albin Michel)

Dans le lourd manoir aux sombres boiseries, Miss Jan s’apprête à devenir Virginia. Mais naître fille, à l’époque victorienne, c’est n’avoir pour horizon que le mariage. Virginia Woolf dérogera à toutes les règles. Elle fera œuvre de ses élans brisés et de son âpre mélancolie. La prose formidablement évocatrice d’Emmanuelle Favier, l’autrice du Courage qu’il faut aux rivières, fait de cette biographie subjective un récit vibrant, fiévreux, hypnotique.

(Source : Albin Michel)

De l'incendie de Moscou au manoir de Kerlan en passant par Dresde, Odessa, la Carinhall de Goering, Nuremberg et New York, deux siècles de tumulte ou le fol itinéraire d'un petit coffret contenant un trésor, symbole de la grande Histoire des spoliations et des guerres.

Fresque monumentale où l'on croisera les monstres et les héros modestes de l'Histoire, les crapules et les martyrs, La Part des cendres entrelace avec génie les fils de cette toile qui fait l'humanité - son courage, sa ferveur et son avidité.

De l'incendie de Moscou au manoir de Kerlan en passant par Dresde, Odessa, la Carinhall de Goering, Nuremberg et New York, deux siècles de tumulte ou le fol itinéraire d'un petit coffret contenant un trésor, symbole de la grande Histoire des spoliations et des guerres.

Fresque monumentale où l'on croisera les monstres et les héros modestes de l'Histoire, les crapules et les martyrs, La Part des cendres entrelace avec génie les fils de cette toile qui fait l'humanité - son courage, sa ferveur et son avidité.

Dans cet ensemble de textes courts, nouvelles ou contes cruels, c'est chaque fois (ou presque) un narrateur masculin qui prend la parole pour explorer un territoire amoureux, sensuel ou encore franchement érotique. Cette exploration, menée sous une forme à la fois fantastique et poétique, dit l'ambiguïté - voire la perversité - des rapports amoureux dès lors que l'on se confronte au problème de l'affirmation sexuelle ou de la possession de l'autre. Le tout dans un style parfois lyrique, parfois cinglant, dont ne sont absents ni l'humour, qui confine parfois au grotesque, ni la poésie, ni encore l'influence d'un certain réalisme magique.

Novembre 1940 : attachée de conservation au musée du Jeu de Paume, Rose Valland s'en voit remettre les clés par le conservateur mobilisé. Dès lors, au péril de sa vie, elle note la provenance et la destination de toutes les œuvres d'art qui, spoliées par les nazis, transitent par le petit musée de la place de la Concorde au bénéfice d'Hitler et de Goering. Elle jouera un rôle crucial dans leur récupération après la guerre.

Décembre 2022 : une réalisatrice découvre ce personnage fascinant et décide de lui consacrer un documentaire. Sous la forme d'un journal d'enquête, elle retrace peu à peu son parcours et y mêle bientôt ses réflexions intimes, ses peurs, ses doutes et ses incertitudes, en un jeu de miroirs qui la confronte à ses propres contradictions.

Le courage... Les Editions Bruno Doucey ne pouvaient rêver d'une thématique plus appropriée pour leur dixième anniversaire ! Non qu'il y ait une forme de bravoure à éditer des poètes, mais parce que toutes les valeurs portées par la maison depuis une décennie se trouve condensées en un seul terme drapé de lumière et de nuit : mettre du coeur à vivre et à chanter la vie, trouver la force de dire non, vivre en insoumis, se battre contre la maladie, surmonter le deuil, apprendre à fuir quand il le faut, oser être soi, se risquer vers l'autre, admettre sa fragilité, dépasser ses peurs, danser au bord du vide les bras tendus vers étoiles, et puis aimer encore, aimer à perdre la raison. En " dix variations sur le courage et un chant de résistance ", cette anthologie scelle un pacte avec la vie.

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