Commentaires sur ses livres

Sans intérêt : Université de Verona, Chip est l’entraineur de l’équipe de foot. Il sort avec une de ses collègues plus pour ne pas être seul que par amour. Quand il rencontre Foster, le nouvel aumônier, c’est un vrai coup de foudre … Quel ennui ! Que dire des personnages ? Pas grand-chose ! Foster l’homme d’église homo accepté de tous et Chip le pur hétéro qui devint gay sans problème ne font pas rêver. Aucune émotion, aucune scène croustillante pour pimenter la fadeur de l’histoire. Seule l’histoire secondaire avec deux joueurs de l’équipe apporte un plus mais se résout assez rapidement. Bref une lecture très décevante que je ne vous recommande pas.

Déçu.....
Les deux histoires sont trop survolées, dommage car ça aurai pu être un bon bouquin.
Les personnages et leurs romance méritaient d'être approfondi.
Et je tiens aussi à souligner qu'il n'y a pas une once d'érotisme dans ce récit quoique disent les thèmes, ni même de sensualité.
En un mot je dirai: fade....

Deuxième tentative de ma part avec cet auteur et il n’est vraiment pas pour moi. Eric Arvin écrit bien, ces histoires toujours très modernes ont souvent une richesse culturelle impressionnante, le contexte où évoluent ses personnages est très bien détaillé avec un luxe de détails et voilà peut-être le nœud du problème. La romance est quasi inexistante et est mise en retrait au profit de longs passages descriptifs qui plombent littéralement le roman, et ce n’est pas le style d’écriture qui risque d’alléger l’ensemble. C’est un style narratif, les phrases sont courtes, saccadées et les mots tombent brutalement et même l’humour de certains dialogues tombent à l’eau.

Il est très difficile de faire un avis lorsqu’à la fin d’une lecture vous avez une sensation de manque et ressenti un quasi ennui durant les trois quart du récit. C’est une histoire contemporaine qui raconte les déboires professionnels et amoureux de Logan Brandish, un auteur qui va devoir se remettre en question. Eric Arvin connait bien son sujet, tous les événements qu'il décrit : la panne d'inspiration, cette sensation de vide, ce sont sûrement des sensations qu'il a du ressentir. Les personnages sont intéressants et crédibles que ce soit le couple de héros ou les personnages secondaires, de même ces descriptions des lieux qu'il visite lors de son voyage en Europe est précis sans fausse note ni stéréotypes mais mon problème c'est le style de l'auteur. Impossible de ressentir de l'émotion et encore moins de la passion entre les deux protagonistes, même les scènes intimes sont décrites de manière quasi chirurgicale, aucuns sentiments ne se dégagent de ces étreintes.

Je pense que ce style d’histoire qui ressemble plus à une autobiographie doit plaire aux lectrices anglo-saxonnes, pour ma part je recherche autre chose, mais que cela ne vous décourage pas de le lire pour autant.

Comment vous dire.... en un mot comme en cent, c'est de la daube ! L'histoire est totalement insignifiante, il n'y a même pas vraiment de scénario. Le style est plutot plat, fade, sans relief. Pas d'émotion, ni même d'érotisme, ni d'humour... nada. Les personnages sont creux , sans épaisseur ni relief , impossible de s'identifier à l'un d'entre eux: l'aumonier ouvertement gay (même si on est pas chez les catholiques, j'ai un gros doute) fragile comme une petite chose, l'entraineur de foot bourrin et hétéro qui tombe amoureux d'un mec comme ça, clac, d'un regard (vachement crédible) , la copine chieuse et prise de tête, le président d'université fleur bleu et pro homo, les deux jeunes footeux crétins et amoureux ... rien n'est crédible, c'est même limite surréaliste. Avec un autre style d'écriture, et beaucoup d'humour décalé, ça aurait pu donner vaguement quelque chose mais là....

C'est une histoire trop plate et avec trop de clichés. J'ai abandonné...

Etats-Unis, université de Verona.
Chip Arnold, entraineur de l'équipe de football de l'université, mène une vie monotone entre son job, ses sorties au pub local avec son assistant Lenny et sa liaison sans passion avec Lynn, professeur de littérature.
Foster Lewis, ami d'enfance de Lynn, vient d'accepter le poste d’aumônier de l'université suite à la trahison de son petit-ami de longue date, Barry, celui-ci ayant préféré les charmes de leur nouveau voisin un jeune Amish de 19 ans.
Jason Jordan et Brad Park, étudiants et membre de l'équipe de foot, sont amis d'enfance, Brad est l'élément turbulent et farceur du duo tandis que Jason est plus calme et pondéré. Ils sentent bien que quelque chose de plus qu'une très forte amitié les rapproche mais ils n'ont jamais eu le courage d'approfondir ce lien.
Le rangement de bancs à l'intérieur de la chapelle va être l'occasion pour Chip de rencontrer Trevor et de sentir une attraction très forte envers lui. Sa relation avec Lynn étant mise en pause d'un commun accord, et après une brève aventure avec la mère de l'un de ses élèves, il décide de céder à son attirance et invite Trevor à un rendez-vous.
A partir de là, nous allons assister à une valse hésitation, Trevor, ouvertement gay, se posant finalement beaucoup plus de questions que Chip, assez caricatural du sportif qui fonce sans réfléchir. Lynn venant ajouter un élément perturbateur dans cette petite histoire, un bref retour de l'ex volage ne venant absolument rien apporter, et tout va bien sûr finir par s'arranger dans le meilleur des mondes.
En parallèle, nous suivons aussi la prise de conscience des deux adolescents, beaucoup plus touchants et intéressants, Trevor et Chip ayant le charisme d'une huitre, que le couple principal.
Tout ça se passe bien sûr dans une université très gay-friendly, ou les quelques remarques lancées sur un ton humoristique sont aussitôt taclées par les différents protagonistes, mention spéciale pour Katie Hammond, l’entraîneur de course féminine et le président de l’Université de Verona, Wendell Hall.
En bref, une histoire ordinaire de gayforyou et de coming-out adolescents somme toute assez banale, avec quelques pointes d'humour qui laissent le regret de ce qui aurait pu être un roman très drôle si, justement, l'humour et la caricature avaient été poussés plus loin.

C'est rare, mais je n'ai pas pu terminer ce livre.
Je me suis arrêtée au 2ème chapître.
Pas du tout apprécié

Les deux histoires qui s'entremêlent sont intéressantes mais trop courte. Ça nous laisse sur notre faim dans les deux cas. Tout va trop vite. Pourtant l'histoire était bien, elle aurait mérité plus de détail.

Quel dommage… La quatrième de couverture était vraiment enthousiasmante et pourtant je me suis ennuyée royalement.
L’idée de départ d’entremêler deux histoires était pas mal, mais malheureusement Éric Arvin les décrit sans émotion, passion ou maitrise. Les événements se succèdent sans apporter de réel plus dans les deux histoires. Bref, j’ai lu de bien meilleures romances M/M que celle-ci :/

Ce n'est pas la première romance MM que je lis mais celle ci eh bien m'a laissé une certaine insatisfaction. D'abord parce qu'elle est très courte du coup tout va très vite , ensuite si les personnages sont très intéressants ,l'auteur n'a pas vraiment pu approfondir les caractères et leur relation. J'ai également ressenti sur certains passages du récit un manque,les événements se passent très rapidement,peut-être un peu trop. Quelques moments cruciaux dans le livre surviennent si brusquement que j'ai eu l'impression d'avoir sauter une page,c'est extrêmement déconcertant.

En fait ce sont deux histoires d'amour différente qui nous sont racontées, la première raconte le coup de foudre de Chip Arnold, coach de l'équipe de football, hétérosexuel avéré pour le nouvel aumônier de l'université Foster Lewis qui affiche quant à lui ouvertement son homosexualité. Les deux hommes ont certes un vécu très différent mais sont à un point dans leur vie où ils savent ce qu'ils veulent. S'ils ne l'ont pas obtenu à ce jour, ils sont ouverts à la trouver avec l'autre. Pour Chip tomber amoureux d'un autre homme se fait naturellement, il ne se pose pas vraiment de questions, c'est un peu plus compliqué pour Foster qui a du mal à croire qu'il a enfin trouvé le bon partenaire.

La seconde romance est basée sur une longue et profonde amitié qui va se transformer en une relation amoureuse. Jason Jordan et Brad Park sont deux étudiants qui se connaissent depuis longtemps et sont les meilleurs amis du monde faisant une paire redoutable pour les embrouilles et les plaisanteries au sein de l'équipe de football. Brad c'est la grande gueule toujours prêt à se battre au contraire de Jason plutôt du genre tranquille. Ils se sont toujours posés des questions sur ce qu'ils ressentaient l'un pour l'autre mais sans chercher à approfondir jusqu'au jour où ils vont sauter le pas.

L'histoire est moderne et assez réaliste es événements et les personnages sont intéressants mais mon problème c'est le style de l'auteur, il a choisit un style narratif,des phrases assez courtes, c'est froid et assez clinique,impossible de ressentir de l'émotion et encore moins de la passion entre les couples,même les scènes intimes sont décrites de façon implicites. De plus le vocabulaire employé et la forme grammaticale sont vraiment particuliers,bref c'est bien la première fois que je n'apprécie que modérément ce type de romance.

Logan est un écrivain qui a connu sa petite heure de gloire et qui vit peinard en colocation avec sa meilleure amie Janey et leur chatte (appelée Nourris-la-chatte...). Pendant que Janey s'évertue à séduire les mormons et les témoins de jéhovah qui arpentent leur rue, Logan tente d'écrire son nouveau roman, entre deux galipettes plutôt tristounes avec Curtis, le roi de la boîte en carton.

Mais tout va changer quand il va rencontrer son nouvel éditeur, Brock Kimble.

Après quelques premiers chapitres où je me suis bien marrée, le roman est parti dans une sorte de chemin initiatique, où Logan cherche en quelque sorte sa voie et doit trouver quoi faire de sa vie, sortir enfin de sa routine et de son train-train. Plutôt bien écrit, ce roman ne m'a toutefois pas embarquée, je n'ai ressenti aucune émotion avec cette lecture, ce que j'ai trouvé d'ailleurs assez dommage, parce que le début était plutôt prometteur. L'auteur semble maitriser d'ailleurs assez bien ce syndrome de la page blanche, cette quête d'inspiration, et cette partie là est assez intéressante mais il m'a manqué cette étincelle entre Logan et Brock et je n'ai malheureusement pas accroché avec leur relation.

J'ai apprécié cette lecture. Il ne manque pas grand chose pour que je puisse l'adorer. C'est une histoire assez douce, il n'y a pas de caricature de l'homophobie et le couple s'affiche assez vite en ne prêtant pas d'attention à ce que pense les autres et les autres continuent d'agir naturellement avec le couple, ça change et c'est appréciable.
C'est l'écriture que me gène au final. Ce n'est pas mal écrit c'est juste pas assez développer à mon goût et l'évolution des 2 couples est trop survolée. Au début il y a pas mal d'élipses qui m'ont perdu. Et il n'y a pas la moindre trace d'érotisme ...
Je conseille de le lire car ça reste une bonne histoire, agréable et légère :)

L'histoire d'un éditeur et son écrivain.

J'ai bien aimé le livre, même si je m'imaginais une toute autre histoire en lisant le titre et le résumé. Je trouve que c'est quand même une autre façon de voir comment les écrivains travaillent avec leurs éditeurs (même si je pense que ça ne se passe pas totalement comme ça). Et ce que j'ai surtout apprécié, c'est de un: Brock Kimble, l'editeur qui fait des critiques mais n'a pas l'air de se prendre au sérieux; et de deux: Curtis Little, un passionné de... cartons.

Petit bémol: j'ai eu à un moment donné que l'histoire allait trop vite.

Un style vraiment atypique, parfois déroutant, mais très prenant.

J'ai beaucoup apprécié ce roman que je n'arrive pas vraiment à classer dans un genre précis.

Une lecture divertissante servit par la plume travaillée d'Eric Arvin.

Eh bien, l'idée de base de cette histoire est super ! En plus le récit fait réfléchir sur des notions comme la vie après la mort, la vie artificiel, etc. Mais j'ai vraiment eu du mal à finir de le lire. Je me suis forcer car je voulais savoir où il aller m'emmener, je suis une tête de mule. Bon je ne regrette pas, l'histoire est touchante et la fin superbe mais vraiment les premiers chapitres ne sont pas du tout addictif.