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Il exprime bien les mentalités et le comportement des personnages de cette période de l’histoire qui sont peu à peu déshumanisés..
Dans ce livre le sentiment le plus fort que j'ai senti est la camaderie et ça on s'y accroche vite!!!
Ce livre illustre aussi une idéologie capable de tromper l'humanité et qui joue avec la vie des hommes:
Ce livre m’a plu puisqu’il dénonce le quotidien des soldats. Nous suivons des jeunes d’à peine vingt ans et nous nous rendons compte avec eux qu’ils font partie d’une génération "mort", car même s’ils reviennent, ils ne pourront plus jamais voir les choses comme auparavant. Ce roman a la particularité de nous plonger entièrement dans ces années de guerre. Des monstruosités, des corps déchiquetés, jusqu’à l’amitié et la solidarité qui se crée ou se renforce entre les soldats, en passant par des états d’esprit différents, rien ne nous est caché. Tout cela rend le livre d’une dureté magnifique.
À l'Ouest, rien de nouveau
À l'Ouest, rien de nouveau
Nourris de sentiments patriotiques et emmenés presque de force au bureau de recrutement par un professeur convaincu de l’utilité ce conflit. Paul Baümer, un allemand, et ses camarades, devenus soldats se retrouvent confrontés à la réalité de la guerre. A peine sortie de l’enfance, sans expériences aucunes, ses mômes racontent leurs entraînements rudes, leurs années de combats en première ligne, l’horreur des tranchées, les trous d’obus, les rats ; les poux, les « meilleurs » repas qui annoncent les « grosses » offensives, les cercueils préparés à l’avance, les cimetières et ses morts déterrés par les bombes… les blessures, les blessés et les permissions à l’arrière, la confrontation avec les civiles… Heureusement, il y a également les bons moments de camaraderie et de solidarité indispensable à la survie dans cet enfer à travers le partage et la débrouille pour de meilleurs conditions de repos et de nourriture ou simplement pour ne plus penser, pour oublier dans les bras d’une femme, ou en jouant aux cartes regrouper autour des latrines « portatives » et à faire leur « rapport de chiottes »…
Ce livre est une marmite pleine de boue, de sang, de chaires déchiquetées, de larmes, et d’horreurs. Forcement, je ne suis pas sorti indemne de ses tranchés mais le cœur plein des interrogations de ses jeunes sacrifiés, des réactions de ceux de l’arrière, des choix débiles des chefs et l’amertume d’une guerre pour rien…Comment devenir, être autre chose que soldat après toutes ses horreurs vécues ? Comment vouloir rester en vie ? Comment espérer, imaginer encore un avenir après ça ? A 20 ans quand on n’a appris qu’à tuer pour survire, quand on s’est construit dans le sang, la faim, l’insupportable et que l’on a oublié sa vie d’avant, pourquoi vivre encore… alors que tant sont morts. Ainsi Paul et ses camarades se rendent vite compte que leur vie est brisée, quelque soit le vainqueur final. La rupture avec le monde civile est totale, le retour à la vie normal impossible. Fatalement, cette génération sacrifiée, massacrée, traumatisée pressent l’impossibilité à se réadapter à une vie civile, à la paix.
Ce qui m’a également fortement marqué, c’est la quasi absence des belligérants, l’absence de haine contre celui contre qui on doit se battre puisque ceux d’en face vivent le même enfer et seraient sûrement des frères dans d’autres circonstances. Ici que l’on soit Français, Allemands, Russes, Anglais, la peur, l’effroi, la douleur, l’instinct de survie n’ont ni drapeau, ni nationalité. Le seul ennemi, c’est la mort à travers les gaz, les bombes, l’enfer des hôpitaux militaires, la folie… Erich Maria Remarque nous livre ainsi un terrible roman sur la déshumanisation, l’animalité où est capable de se réfugier l’homme pour supporter le pire, l’indicible et l’inéluctable.
Bien loin des raisons géopolitiques, idéologiques, nationalistes et des intérêts abscons justifiant ce bain de sang, ce déluge de feu, de fer et de larmes, ce roman est une lecture humainement et intellectuellement indispensable. J’aurais pu me contenter simplement d’écrire. Ouvrez ce livre, lisez-le, prêtez-le, c’est primordiale pour ne jamais oublier ce dont l’homme est capable de faire subir de pire à l’homme.
Encore aujourd’hui, ne croyez surtout pas, quand on vous dit « A l’ouest rien de nouveau ». Le monde demeure toujours et encore embrasé de toutes ses souffrances. Combattez les va-t-en guerre et autres négationnistes en perpétuant la mémoire de ces combattants, en faisant de vos vies le témoignage que la guerre n’est jamais une solution, bien au contraire.
À l'Ouest, rien de nouveau
À l'Ouest, rien de nouveau
Du côté français ou du côté allemand: on ne voit pas la différence. Les soldats restent de pauvres grands enfants qu'on a bourré le crâne de discours patriotiques. Ils s'élancent sur le front comme à la récréation, sous une pluie d'obus, de mitrailleuse.
Un roman pacifiste qui nous fait réfléchir sur la guerre en elle-même et son impact. J'ai relativement bien apprécié.
À l'Ouest, rien de nouveau
A lire absolument !
À l'Ouest, rien de nouveau
Ce livre nous rappelle l'atrocité de la guerre des tranchées, et le sacrifice que les Français ont fait pour que nous, aujourd'hui, nous vivions en toute tranquillité.
À l'Ouest, rien de nouveau
L'histoire est intéressante, et plus que réaliste. On est plongé en pleine guerre aux côtés de Paul, et la guerre ce n'est pas que le front et les tranchées, c'est aussi les blessures, la camaraderie, rester à l'arrière parfois, voire même obtenir des vacances (et devoir ensuite y retourner) et c'est donc bien pour sa pédagogie que je recommande ce livre. C'est quand même plus fluide à lire qu'un livre d'histoire descriptif, car on a de l'action en parallèle avec les réflexions du narrateur, âgé de 18 à 21 ans, soit à peu près mon âge, ce qui explique probablement que ça m'ait autant touchée.
À l'Ouest, rien de nouveau
A lire.
À l'Ouest, rien de nouveau
A lire absolument.
À l'Ouest, rien de nouveau
À l'Ouest, rien de nouveau
À l'Ouest, rien de nouveau
On est rapidement pris dans l'histoire et on finit par deviner autour de nous les cadavres, la boue, la puanteur ...
Un livre extraordinaire qu'il ne faut pas rater !
À l'Ouest, rien de nouveau
À l'Ouest, rien de nouveau
Je trouve que ce livre nous en apprend beaucoup sur le quotidien glauque du soldat, sur l'image que le peuple en a et la façon qu'il a de se "planquer" derrière cette armée, de même le regard du soldat sur les autres, les planqués, les chanceux, les civils... Une extraordinaire expérience qu'on ne vivra jamais mais qui nous est décrite ici avec tellement de passion ! et tout ça n'empêchait ni l'amitié, surtout l'amitié, ni l'humour.
À l'Ouest, rien de nouveau