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Crime et châtiment
Crime et châtiment
Makar Dievouchkine était bien trop innocent et gentil pour Varvara. Si dans le résumé, leur amour était présenté comme égal, on se rend vite compte à la lecture qu'il est asymétrique, et plutôt que romantique, il prend un tour assez filial.
Varvara, parfois attendrissante (notamment lorsqu'elle dit que Makar ne peut pas la nourrir de bonbons, ou lorsqu'elle raconte son enfance avec sa famille), utilise, manipule, s'amuse avec les sentiments de Makar afin de profiter de lui - Dostoïevski n'en dit rien, mais on le comprend.
Ils vivent tous deux misérablement, et pourtant, Makar n'hésite pas à se sacrifier et à s'enfoncer plus encore dans la pauvreté pour pouvoir lui apporter à elle de quoi mieux vivre.
Et lorsqu'il finit ivre dans les escaliers de son appartement, lorsqu'il n'a plus un sous, lorsqu'il est effectivement au plus bas de cette misère et lorsque tout le monde le déteste, elle aussi, le trouve embarrassant et laisse penser qu'elle ne veut plus de lien avec un ivrogne misérable. Les silences parlent à la place des lettres. La longueur et le nombre de lettres de chacun elle aussi est singificative : plus on avance, plus les lettres de Varvara se font courtes et se raréfient.
La misère est dans les vêtements et chaussures, les appartements, le dehors, dans les commerces, chez les voisins. Tout inspire la misère.
Mais peut-être que le plus misérable, c'est bien ce lien que Makar pensait avoir et entretenir avec Varvara, alors qu'il n'en était rien.
Les Pauvres Gens
Sinon c’était une très bonne lecture, j’ai bcp aimé entrer dans les pensées du personnage et suivre ses réflexions tout en assistant à des flashbacks dans la 2e partie (qui était plus « rythmée » donc plus facile à lire)
Les Carnets du sous-sol
Les Carnets du sous-sol
Le Joueur
Un livre n’a jamais si bien porté son titre…
⚰️⚰️⚰️
On m’a offert ce livre en me disant « si à 🟥ans t’as pas lu crime et châtiment, t’as raté ta vie ».
Franchement je ne vois pas pourquoi 😆…
C’est pas mal écrit mais l’histoire est un peu ennuyeuse (je suis sympa)…
Être dans la tête d’un personnage qui perd la sienne c’est pas… dingue dingue 😝…
Je ne conseille pas mais ça peut plaire 😅…
Crime et châtiment
Pour moi, tous deux sont un peu coupables de leur malheur : chacun ment, à l'autre et à lui-même.
Les Nuits blanches
Hésitation entre un enthousiasme sincère - qui m’a poussée à tourner avidement les pages, captivée par le côté feuilletonesque du roman, désireuse de découvrir rapidement son dénouement - et une légère déception.
C’est un style plus léger, plus fluide que je découvre dans Humiliés et offensés, contrairement aux précédentes œuvres de Dostoïevski (dits les « grands romans »). Pourtant, c'est précisément pour son aspect un peu pesant que j'avais autant admiré l’auteur. Pour la traductrice, Humiliés et offensés est « allégé de toutes les thèses magistralement développées et confrontées dans les grands romans ». Certes, quelques dialogues intéressants (je pense notamment à la fabuleuse discussion à cœur ouvert entre le prince Valkovski et notre narrateur) émaillent le récit, mais on reste quand même bien loin des considérations métaphysiques et morales des Frères Karamazov ou de Crime et Châtiment.
En somme, un roman sentimental assez mélodramatique mais par lequel on se laisse captiver, fortement rehaussé par sa dimension sociale et par les ébauches des grandes idées morales qu’on retrouvera, amplement plus développées dans les œuvres ultérieures de Dostoïevski.
Humiliés et offensés
Les Nuits blanches
Je ne l'ai pas fini
L'Éternel Mari
L'Idiot
Le rêve d'un homme ridicule
Le Joueur
Bon, je ne m'attendais pas à quelque chose de joyeux, auteur russe oblige.
Mais globalement, c'est assez déprimant.
J'ai trouvé l'histoire longue. Et d'ailleurs j'ai mis très longtemps à avancer.
Je pense que c'est le côté répétitif et le manque d'action. Au moment du meurtre, j'ai pensé que l'histoire allait se lancer. Et bien pas vraiment
C'est une belle écriture. Les descriptions sont représentatives de l'époque , de même que les digressions philosophiques.
Mais pour moi, ça n'a pas été suffisant.
Donc, ça s'est fait. Mais je ne crois pas que je relirai du Dostoievski.
Crime et châtiment