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Tous les livres de Flora Groult

Maxime a quarante ans. Elle est encore attachée à Pierre, son mari, par les liens de l'habitude. Partagée entre le besoin des paisibles certitudes et la soif d'autonomie qui naît parfois à la maturité, partir lui apparaît en même temps comme une défaite et comme un accomplissement.

Au début du livre, Maxime vient de refermer la porte sur sa vie passée. Les étapes de cette séparation, les réactions de l'entourage, la découverte d'un autre soi-même, voilà pour l'héroïne autant de déchirures qui la modifient en profondeur.

C'est avec de nouvelles possibilités et un goût ardent pour toutes les joies offertes par la vie qu'elle affronte désormais les problèmes de la femme d'aujourd'hui.

Elle a pour prénom Judith. Son père s'obstine à l'appeler Julie. Prudence oblige. En ce mois d'août 1943, l'occupant devient menaçant. A Saint-Agathon où elle s'est réfugiée, la jeune fille s'en va-t-en guerre comme Malbrough. A dix-sept ans on ne s'interroge guère. Mélange d'indifférence et de légèreté juvénile...

Tourmente et tumulte du coeur. Dans ce site blond e doux dont la Touraine a le secret, Judith connaît la prime amourette. Un grand garçon aux yeux pâles qui, l'espace d'un instant, lui parle joliment, l'appelle Amaryllis, Myrtho, puis disparaît presque aussitôt. Ombre parmi les ombres dans cette armée silencieuse qui lutte... Belle Ombre que Judith poursuivra sans répit. Pour quel partage ?

Une guerre vue du côté de l'enfance avec ses embellies et ses averses…

Après une jeunesse incertaine et l'échec d'un premier mariage, Lison a le sentiment d'avoir ressaisi sa vie, de l'avoir bâtie et réussie, doucement mais fermement: Claude, un mari selon son coeur, deux filles qui pour elle sont des amies, des voyages, un métier.

Et pourtant, lors d'un séjour au Mexique, la rencontre inattendue de son premier amour la trouble profondément... Et pourtant, l'évolution de ses deux filles 1,a déconcerte: Délia, qui se disait libérée, choisit un destin banal; Emma paraît inconsciente du danger qui la menace...

Lison cherche à comprendre, à se comprendre ?Tendre. Elle voudrait être pleinement une femme, une épouse, une mère... Non, décidément, quand on veut tout vivre et ressentir, une vie n'est pas assez!

En Irlande, l'été. La petite maison de vacances face à la mer. Une femme parle à l'homme qu'elle a longtemps aimé, et qui vient de mourir.

Oui, Thomas et elle se sont passionnément aimés, trop aimés, mal aimés. Pourtant, c'est aujourd'hui seulement qu'Iris peut s'adresser à lui comme jamais elle n'a su le faire. Malgré leur amour, que de malentendus et d'occasions perdues ! A-t-elle été faible ou maladroite ? Etait-il d'un insoutenable orgueil ? A qui la faute ?

Il n'importe plus... Iris cherche simplement à comprendre, feuillette sa vie comme un livre dont on ne peut s'arracher.

Près d'elle, à son écoute, Valentine, vingt-cinq ans. Sa fille, leur fille.

Elle est belle, Lison, blonde aux yeux gris.

La vie lui sourit. Et pourtant, elle doute, elle craint.. C'est que, soudain, à quarante ans, elle découvre qu'elle a tout à apprendre, à réapprendre.

Sur un coup de coeur, elle vient d'épouser Claude, diplomate à Helsinki, mais le connaît-elle?

Elle les aime, ses trois enfants, nés d'un premier mariage, mais pourquoi la regardent-ils ainsi, avec d'autres yeux ? Elle-même, qui est-elle aujourd'hui ?

Et puis il y a cette Finlande... où les jours et les nuit jouent à être trop brefs ou trop longs, où d'étranges fêtes païennes saluent la venue de l'été...

Avec, en contrepoint, la vie mondaine des ambassades. Et, le temps d'une nuit, Swen, rugueux et tendre…

C'est par un coup de téléphone que s'ouvre ce double roman : deux femmes ont été des amies de classe », l'école finie, elles ne sont pas devenues des « amies de vie ». Vingt ans plus tard, par hasard, elles se retrouvent grâce à leurs enfants : le fils de l'une aime la fille de l'autre. Ces retrouvailles au seuil de la quarantaine vont être l'occasion pour elles de faire le point, de confronter l'image que chacune a gardée de la jeunesse de l'autre avec les réalités du présent : un mari, des problèmes quotidiens si absorbants qu'ils masquent trop souvent les ques-tions essentielles, l'âge qui vient et surtout les enfants, elles en ont cinq à elles deux. Trois sont majeurs. Les mères sont encore jeunes... Rarement deux générations ont semblé si proches que les adultes et les adolescents d'aujourd'hui et pourtant rarement leurs rapports ont été si chaotiques, si passionnés, si passionnants. Dans cette chronique entremêlée, on retrouvera deux caractères opposés, mais au fond les mêmes problèmes, ceux de toutes les femmes, évoqués ici avec cette spontanéité, cette ironie et ce refus du pathétique dont on a goûté la saveur et parfois la verdeur dans le Journal à quatre mains et le Féminin pluriel.

C'est archaïque, barbare, pire même : démodé, ce sentiment qu'on appelle la jalousie - tous les gens modernes, à la page et dans le vent, le proclament. Confiance, idées larges et sens de l'humour sont les mots d'ordre du temps. Tristes seraient les assises d'une vie conjugale enserrée dans les digues de la Morale et du Devoir. Marianne l'a pensé comme les autres, si même elle ne l'a pas dit.

Voilà pourquoi elle se retrouve « malheureuse, mais sur des assises gaies » quand son mari, Jean Dastier, lui annonce tout à trac qu'il aime Juliette et que cela ne change rien en ce qui les concerne eux, c'est-à-dire Marianne et lui. Est-ce utile de préciser qu'elle n'est pas de cet avis ?. Elle se sent doublement trahie, car Juliette est leur meilleure amie.

Le Féminin pluriel est le journal de ces deux amies devenues ennemies- (Juliette est pour Marianne « Mlle Iscariote ») qui, de septembre au retour de la belle saison, racontent alternativement les péripéties de cet « accident de parcours » que la cause de leurs joies et de leurs tourments verrait volontiers se convertir en course de fond. Et elles y mettent la verve, la drôlerie et l'acuité de trait qui ont fait la renommée de Benoîte et de Flora Groult.

"Aimez, aimez, tout le reste n'est rien."

Ces quelques mots de La Fontaine, Flora Groult les reprend à son compte, prolongeant ainsi les propos de Stendhal sur l'amour avec le charme subtil des choses secrètes qu'on met à nu.

L'amour-passion, bien sûr, mais aussi tout ce que l'on aime le cœur battant. Ces êtres chers : père, mère, aïeule, jusqu'à l'enfant qu'on a été et celui qu'on aura. Tout ce qui rend heureux...

La maison rose habillée de lierre, le verre de Venise dépareillé, ces lieux de passage, royaumes provisoires de nos rêves...

Des confidences aux anecdotes : l'amour dans toutes ses dimensions.

Flora Groult le dit elle-même : rien de plus banal que son enfance et son adolescence. Le professeur de latin, les vacances en Bretagne, les taquineries de la grande sueur, les premiers garçons imberbes et boutonneux... Quoi de plus banal, en effet?

C'est pourquoi, ces "Mémoires de moi" sont aussi celles de chacun de nous : vivre, continuer à vivre, c'est sans cesse être confronté avec le sentiment de "jamais plus"...

Sous la plume de Flora Groult, le "jamais plus" revit, tout en nuances souvent teintées d'humour.

Avec elle, nous avons quatre ans, quatorze ans, et la guerre éclate, mettant un point final à notre insouciance, et à toute une époque.

Le temps, ce traître aux trois visages, le temps, fugace, insaisissable, oui, le temps s'en va, sans qu'on le voie passer.. Le temps s'en va, et avec lui l'amour. Mais parfois ils reviennent tous deux, par le pouvoir des mots, la magie du souvenir et le talent de Flora Groult.

Les onze héroïnes de ce recueil de nouvelles n'ont apparemment rien en commun. Elles sont jeunes ou vieillissantes, mélancoliques ou insouciantes, elles vivent à Londres, Helsinki ou Paris... Mais toutes ont aimé ou aiment encore, et toutes ont un passé qui se mêle au présent. Nostalgie? ironie de la vie? illusions cent fois perdues et qui cent fois renaissent? C'est notre destin qui nous est conté, à demi-mot, en demi-teintes, dans ces onze histoires hors du temps.

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Onze histoires, onze femmes et leur destin. L'aventure au passé et au présent, l'aventure toujours possible, n'importe où, n'importe quand, et qui apparaît sans prévenir. De Hong-Kong à Helsinki, de Rome à New York en passant par l'Inde pour atterrir à Paris, le jeu de l'amour et du hasard est toujours possible. Il faut le saisir au vol, le jouer les yeux bandés ou bien toutes ses cartes en main, car le temps s'en va... Petite musique du coeur ou grandes orgues des sentiments, nostalgie et ironie, Flora Groult maîtrise ici l'art subtil de la nouvelle dans ce que celle-ci a tout à la fois de plus léger et de plus profond.

Faut-il dire la femme... ou les femmes d'aujourd'hui Et qui est-elle ou qui sont-elles ?

Il y a Délia, toute jeune mariée, amoureuse, mais qui défend farouchement sa liberté; il y a Emma, l'adolescente dangereusement piégée dans les filets d'une secte mystique; il y a Françoise, journaliste indépendante qui sait vivre comme un homme... D'autres encore, fragiles ou conquérantes ou frustrées.

Traversant les drames et les fêtes de l'existence, ces femmes se rencontrent, se parlent et se découvrent. Lucidement. Crûment. Comme jamais leurs aînées n'auraient osé le faire.

Et si les hommes à leur tour, en lisant ce livre, osaient découvrir leur compagne d'aujourd'hui ? Ni tout à fait la même ni tout à fait une autre…

Entre Hélène et Sullivan, c'est aussitôt le coup de foudre. Il a suffi d'un regard à la dérobée, du contact d'un bras nu sur le balcon d'une fenêtre, du spectacle de la nuit que l'air chaud fait palpiter... Elle retient son souffle. Il s'interdit toute hâte. Reste cependant le trouble. Un clair-obscur de l'âme...

Jusque-là, éprise d'un seul homme, son époux, Hélène laisse alors libre cours aux jeux de l'amour et du hasard. Sullivan n'a-t-il pas le charme sauvage de l'Irlande et l'ivresse de l'inconnu ? Un goût de bonheur clandestin? Mais volés au monde, à la famille, ces instants avec lui marquent aussi l'heure des partages !

Et tandis que, dans son coeur, alternent ravissement et tempêtes, Hélène hésite à brûler ses vaisseaux…

Au lieu de touches blanches et noires, de l'encre et du papier; en guise de partition, la vie : les soeurs Groult écrivent leur journal comme deux pianistes installées devant le même clavier pour jouer à quatre mains », l'une complétant l'autre en un contre-chant amical ou acidulé. La malice domine car le morceau qu'elles inter-prètent est le temps de leur jeunesse et reflète tout l'allant, le mordant et l'audace de cet âge printanier. Il coïncide avec la guerre - Benoîte a dix-neuf ans, Flora quinze en 1940 - mais, même si la France est battue, envahie, occupée, même si les restrictions obligent à geler et jeûner, même si le seul espoir d'en sortir est celui d'un débarquement encore hypothétique, peut-on s'empêcher d'exister ? Le fait qu'Arès mobilise les armées ne prive pas Eros de son carquois, comme dirait Benoîte, la savante des deux. Premiers flirts, premiers déboires, premiers tickets, premières elles de bois... La saveur du livre est là, dans ce mélange de : comédie et de drame que fut la vie entre 1940 et 1945 pour deux jeunes filles e de bonne famille », qui se racontent avec spontanéité et verte ironie.

"Née en 1883 - enfant naturelle - Exilée - Femme de Boche - Et puis quoi encore?" C'est ce que Marie Laurencin écrivait à Nicole Groult. Dès son enfance Flora Groult a bien connu l'artiste, amie proche de ses parents. A l'aide de ses souvenirs et de documents inédits, elle a brossé un portrait frappant de cet être d'exception et de cette époque extraordinaire, où les artistes du monde entier affluent vers Paris afin de participer à l'éclosion de l'art moderne.

À force de proclamer : Madame Untel, c'est moi, ou, plus souvent encore : Non, non, je vous promets, Madame Untel, ce n'est pas moi, pourquoi un écrivain n'aurait-il pas plaisir à dire : Moi, c'est moi?»

Ainsi Flora Groult présente-t-elle cette étude d'elle-même, à esprit et à cœur ouverts d'une romancière dont les débuts, en 1962, avec Journal à quatre mains, furent très remarqués : elle en partage le mérite et la gloire avec sa sœur Benoîte Groult – une «fraternité» dont elle souligne dans ce livre l'importance et la continuité, même si, après deux autres ouvrages «à quatre mains», elle publie désormais sous sa seule signature des romans dont on sait le succès...

Une adolescence à Paris sous l'occupation allemande, dans un quartier bien-pensant, mais dans une famille d'artistes et d'intellectuels non conformistes, cela aurait pu déboucher sur une carrière de peintre. Flora Groult sacrifia, et sacrifie encore volontiers, au dessin et à la peinture. C'est la littérature, cependant, qui l'emporta. Avec une passion, une conviction qui n'ont jamais faibli. «Tout l'or du monde ne m'empêcherait pas d'écrire», avoue-t-elle.

Si ce n'est pas sa principale préoccupation, elle n'en trouve pas moins son inspiration dans les problèmes qui se posent aujourd'hui aux femmes, aux couples, aux parents, aux enfants. Elle s'associe aux grands combats du féminisme, s'explique sans fard sur la libéralisation des mœurs, la contraception, l'interruption volontaire de grossesse, et elle prend sans cesse parti contre toutes les formes du racisme et de la violence.

Et si on lui demande ce qu'elle désire aujourd'hui, elle répond sans hésiter par ce mot qu'elle écrivait à seize ans dans son journal intime : «Tout!»

Que de plaisirs des jours dans cette enfance-là, différente des autres, joyeuse, privilégiée ! Elle se déroule dans un climat de fantaisie, au sein d'une famille d'artistes. La passion règle dans la tribu Groult. On s'observe, on se critique, on s'adore et on se chamaille dans la même foulée.

Jeux de l'esprit et du cœur, corps qui s'éveille... jusqu'à l'agression brutale qui fera brusquement basculer vers l'âge adulte. Ce "portrait-souvenir" d'une certaine douceur d'être que chacun aimerait perpétuer en soi nous séduit autant par se fraîcheur que par sa franchise et sa lucidité.

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