Tous les livres de Florent Maerten
En 1983, Stanislas Simon, un employé de banque parisien, a décidé de mettre fin à ses jours. Sa raison : assassiner sa routine. Tout est planifié, le lieu : son abri antiatomique, au cœur de son jardin. Manque de chance, il est coupé dans son élan par la Troisième Guerre Mondiale. Son nouveau refuge sera-t-il assez solide pour essuyer les intempéries d’un cataclysme nucléaire ? Surtout avec Pierre, Marie, Maxime et Jessie, quatre intrus du voisinage, qui sont venus s’y cloîtrer le temps de laisser passer l’orage… Quel monde les attend après leur confinement ? L’Autombe s’annonce. À l’ombre des nuages, le vent balaye les branches, les feuilles flétries, et les autres ? Ces éternels étrangers.
À cheval entre le XIXème et XX ème siècle, ce récit raconte le parcours torturé d'une bande de vauriens originaires du Nord depuis l'enfance à l'âge adulte, vrillant entre les villes dans un pays et une époque en constante mutation, certains voyages s'annoncent sans retour.Ferdinand, Lucien,Eugène et Albert forment la bande des Picoreurs.D'écoliers en travailleurs, de jeunes révoltés aux révolutionnaires, des quatre cents coups au coup du siècle. Mais, les dés étaient-ils pipés dès le début ?
Hivernation relate l’aventure post-apocalyptique de Piotr Petrov, le lieutenant russe ayant déclenché la Troisième Guerre mondiale, ainsi que la survie de Stan et Jessie. Deux récits, deux symphonies, deux caractères dans les travers de l’Humanité… Comment leurs émotions et motivations s’orchestreront-elles au fil de ce périple, entre les anciennes rencontres et nouveaux enjeux ?
Attention, ce livre est une histoire vraie. Les événements décrits dans ce récit se sont déroulés en Europe au XXIe siècle. À la demande des survivants, les prénoms ont été modifiés. Par respect pour les morts, le reste a été raconté exactement comme il s’est passé.
Avec ce quatrième opus, Florent Maerten signe un récit qui dépasse les frontières des genres : une autobiographie empreinte de cynisme et d’humour noir, une vision du monde tristement drôle et réaliste, un récit profond dont la maîtrise du verbe ne peut laisser indifférent. Au royaume des absurdes, les aveugles voient.