Florent Ruppert
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Note moyenne : 6.68/10Nombre d'évaluations : 31
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Délicieux. Je n'ai que ce mot qui me vient aux lèvres pour décrire cette bande dessinée. Les dessins sont magnifiques, l'histoire palpitante, les discours drôles et simples. Cette BD est un vrai délice!
Afficher en entierAu-delà d'un dessin plutôt banal, cette BD apporte une belle dose de fraicheur.
Alex et Carole, un duo de copine, s'est spécialisé dans le vol d’œuvres d'art.
Elles le font avec beaucoup d'énergie, d'intelligence et sont soudées par une belle amitié.
Le duo va vite devenir trio, avec l'adjonction d'une nouvelle copine, Sam, qui a le mérite de savoir piloter et d'être une vraie cascadeuse....
De l'action à revendre, et des échanges savoureux sont au programme de ce premier tome !
Afficher en entierLa suite directe du premier tome met en scène Alex et Sam. Carole a souhaité prendre du recul, et s'est discrètement retiré durant la dernière affaire.
Mais Alex est inconsolable, et fait bêtise sur bêtise. Cela devient infernal, et Carole est appelée à la rescousse par le commanditaire du vol. le trio est reconstitué : il devient même un quatuor , avec Antonio , le tueur qui est chargé de les surveiller pendant leur prochain vol.
On retrouve les mêmes qualités et les mêmes défauts pour ce second tome : un dessin banal, du rythme à revendre.
On peut noter un superbe happy-ending.
Afficher en entierC’est original. Avec ses avantages et inconvénients.
Au début, j’ai apprécié cette originalité, les deux couples qui se rencontrent sur le net, le symbolisme de leur rencontre…
Cet artiste contemporain aussi, c’était original, décalé, rarement vu et sympathique à suivre…
Et puis cette originalité a persisté pour me devenir plus qu’original : étrangère.
Rapidement, je n’ai plus eu de repère, rien ne m’a plus semblé réellement logique, le but de cette femme, l’investissement de cet homme, le symbolisme ultra présent partout pour arriver où ? Quel est le but ?
Le dessin assez simpliste a suivi le même trajet de réflexion : de simple, dépouillé au départ, il est devenu péniblement simpliste à mon œil.
Du coup, j’étais assez bien parti mais au fil du tome, je me suis senti totalement dépassé et n’ai pas apprécié le tout outre mesure…
Afficher en entier"Portrait d'un buveur" est un est un véritable trésor d'absurdité. Il nous entraîne dans un monde abstrait par ses graphismes et cruellement réaliste par un personnage qui n'a rien d'idéal. De quoi être enchanté de dégoût.
Afficher en entierJH a rencontré Sarah par le biais d’une application de rencontre. Ils se connectent pour des instants de jouissance par écran interposé. A force d’insistance, JH réussi à convaincre Sarah d’avoir une rencontre dans la réalité.
Un scénario que j’ai trouvé décousu et un peu perturbant qui mêle réalité et virtualité. Dommage, l’idée de suivre ce dédale amoureux moderne m’avait bien plu au départ.
Afficher en entierJe suis le premier à aimer les délires expérimentaux quand ça apporte quelque chose. Là j’ai trouvé ça vide, la séquence inutilement confuse, les choix de couleur sélective aléatoires et l’histoire comme les personnages dénués d’intérêt. Dommage parce que j’ai apprécié certaines des compositions malgré la confusion par moments.
Afficher en entierLe style me fait totalement penser à celui de Timothé Le Boucher tant par les dessins que par le scénario.
Bien que le relationnel soit abrupt et assez rapide dans cette bd, j’ai aimé le concept des tutes, ces espèces d’êtres psychédéliques, qui pullulent dans le monde.
Je lirai probablement la suite mais je ne me jetterai pas dessus non plus.
Afficher en entierLu le livre parce que j’avais vu l’adaptation en film Voleuses de Mélanie Laurent.
J’étais curieux de voir d’où ça partait…
Ben j’ai été déçu…
Le film m’a semblé bien plus intéressant dans la relation des deux héroïnes qui là s’aime bien mais sans plus, sans connivence.
Le film est plus cohérent sur l’intégration de Sam qui n’a plus rien à perdre quand là, elle semble arriver de n’importe où n’importe comment…
Les scènes d’action étaient tout much, avec des explosions en veux-tu en voilà, des mecs qui tirent dans le Louvre sans se poser de questions, pas de subtilité dans les scènes, des trucs énormes avec la fille qui se sort de tout et résiste à tout…
Les dessins ne m’ont pas emballé…
Bref, j’ai pas franchement palpité…
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Biographie
Auteur de BD français
[Bande dessinée]
Né en 1979
Le nom de Florent Ruppert est associé dans l'univers de la bande dessinée à celui de son comparse l'illustrateur Jérôme Mulot. Les deux acolytes se rencontrent à l'Ecole nationale supérieure des Arts de Dijon. C'est là qu'ils créent un petit fanzine baptisé 'Del Aventure' qu'ils distribuent dans les festivals. Chacun participe à la fois aux dessins et aux textes. Leurs histoires commencent par être publiés dans des magazines à petit tirage comme la Bile Noire. C'est une de leur planche éditée en 2005 dans Ferraille Illustré qui convainc Jean-Christophe Menu de travailler avec le duo. Quelques mois plus tard, leur premier album, 'Safari Monseigneur', paraît enfin. Fustigeant avec humour la colonisation, l'ouvrage est un succès. Il réitèrent avec 'Panier de singe' et 'La poubelle de la Place Vendôme' l'année suivante. Depuis, Florent Ruppert poursuit sa collaboration avec Mulot et participe à divers collectifs tels que 'Méata'.
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