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Tous les livres de Fortuné Du Boisgobey

Jeune étudiant, Paul fréquente les bals du quartier latin en compagnie de son ami Jean, un jeune aristocrate. Il y rencontre une jeune femme, qui refuse de lui dire son nom. Suite à un quiproquo, il se fait passer pour le mari de cette dame. Il s'ensuit bien des aventures, notamment quand le vrai mari réapparaît...

A qui vont échoir les 900 000 livres de Marie-Rose Hérel, la Marquise de Carolles, qui vient de mourir veuve et sans héritiers en son hôtel de la rue Saint-Jean, dans le Granville de la fin 1793 ? Encore faudrait-il qu'on sache où elle a pu cacher pareille somme, se demandent les trois cousins assemblés à son chevet, qui ignorent tout du mystérieux passé de celle dont ils convoitent l'héritage.

Le secret du trésor de Marie-Rose est enfoui dans un scapulaire de drap rouge, autour du cou de la morte. Il sera remis la nuit même du dècés, selon les dernières volontés de la défunte, à une personne qui par malheur, en ignore le contenu ...

Ce fabuleux testament va devenir l'enjeu d'une ahurissante course-poursuite dans laquelle sont impliqués Denise, jeune brigande vendéenne, l'officier d'artillerie républicain René La Briantais, chargé de défendre Granville assiégée, le comte Guy de Paramé, soldat royaliste au service du général Henri de la Rochejaquelein, et Thomas Laîné, un ardent sans-culotte, président du club révolutionnaire de Granville.

Une trépidante histoire d'honneur, d'amitié virile et de cupidité sordide va se développer sur une trame historique mouvementée, celle des combats impitoyables qui opposent, dans tout l'ouest de la France, les Chouans, paysans courageux au service de Dieu et du Roi, et les "Bleus" envoyés par la Convention pour défendre la République.

Jetée aux mains des "Bleus" par la course folle de son cheval, ou par un sentiment secret qu'elle n'ose s'avouer, la jeune Vendéenne Denise court désormais un danger mortel. C'est la guillotine qui attend les ennemis déclarés de la République, à moins qu'ils ne périssent noyés dans la Loire par les ignobles sicaires de Carrier, tout-puissant représentant en mission envoyé à Nantes pour y mater, à sa façon, l'insurrection des "brigands".

Mais l'infâme Thomas Laîné, révolutionnaire sans scrupule, aimerait d'abord lui extorquer le secret du million de la Marquise de Carolles. Pour cela, rien de tel qu'un chantage sordide : la vie sauve pour la jeune fille, contre la révélation de l'emplacement du trésor, et l'abandon à son profit de tout ou partie des droits de succession. Le succès semble inéluctable, d'autant qu'un insolent destin a éliminé ses concurrents dans la course à la fortune.

C'est sans compter sur l'intervention de deux ennemis que tout devrait opposer, pourtant liés par une estime reciproque et un respect complice : le fougueux De Marigny, qui commande l'artillerie vendéenne, et son alter ego républicain, René La Briantais. Portés par des motivations croisées, ils vont tout faire pour sauver la jeune fille, et avec elle son compagnon de jeunesse, le jeune et chevaleresque Guy de Paramé.

Thomas Laîné planifie avec un sang-froid consommé une machination implacable, passant par un sauvetage compliqué doublé d'une trahison lucrative. Mais la malchance va s'en mêler, et des moments bien difficiles l'attendent, avant de jouir enfin du triomphe qu'il mérite.

Une femme décède mystérieusement dans un omnibus, sans qu'aucun passager ne le remarque. Paul Freneuse, artiste-peintre en vogue et témoin de la scène, entame une enquête informelle, avec un de ses amis...

Passé sa première stupeur, elle observe les cinq doigts de la main cramponnée au rideau ; les doigts sont noueux et crochus comme les pinces d'un crabe. Le pouce, écarté des autres, d'une longueur démesurée, se termine par un ongle recourbé, comme les serres des vautours. À ce moment, par l'entrebâillement des deux portières, Camille voit briller une lueur qu'elle prend pour le scintillement d'une lame de poignard.

- Père ! au secours ! crie-t-elle. À cet appel inattendu, Monistrol se retourne, mais il n'a pas le temps de se lever.

D'un bond de tigre, l'homme caché dans la salle à manger saute sur lui. Sa main - la gigantesque main que Camille a vue - s'abat sur le paquet de billets de banque ; l'autre saisit à la gorge le malheureux inventeur qui, en se débattant, renverse la lampe. Camille se précipite pour défendre son père, mais le voleur la repousse d'un coup de pied qui l'envoie rouler sur le parquet...

Ce qui surprend le plus dans ce roman c'est le rôle joué par les femmes.

Julia d'Orcival, femme du monde comme l'on disait alors, est assassinée dans sa loge lors du bal de l'Opéra. Trois personnage se mettent à la recherche du coupable : un juge d'instruction, son neveu et un ancien capitaine de hussards. Une occasion de redécouvrir le Paris d'autrefois avec des personnages hauts en couleur et un art de vivre aujourd'hui disparu.

Extrait chapitre I Nointel était un garçon méthodique. La vie militaire l’avait accoutumé à faire chaque chose à son heure, et à ne rien enchevêtrer. Au régiment, après le pansage et la manœuvre, le capitaine redevenait homme du monde et même homme à succès, car dans plus d’une ville de garnison il avait laissé d’impérissables souvenirs, et on y parlait encore de ses bonnes fortunes. Depuis sa sortie du service, il avait continué à pratiquer le même système, en faisant toutefois une plus large part à l’imprévu, qui joue un si grand rôle dans l’existence parisienne. Son temps était réglé comme s’il eût été surchargé d’affaires. Il en consacrait bien les trois quarts à la flânerie intelligente, celle qui consiste à se tenir au courant de tout, sans remplir une tâche déterminée ; le reste appartenait aux devoirs sociaux, aux relations amicales, et même à des liaisons plus ou moins dangereuses, mais passagères. Il n’avait pas renoncé à voyager au pays de Tendre, seulement il ne s’y attardait guère et il en revenait toujours. L’aventure de Gaston Darcy était survenue dans un moment où son cœur se trouvait en congé de semestre. Il avait saisi avec joie l’occasion d’occuper son désœuvrement et de venir en aide au plus cher de ses amis. Depuis quarante-huit heures, il appartenait tout entier à la défense de Berthe Lestérel ; il s’y était dévoué corps et âme, il menait les recherches avec le même zèle et le même soin qu’il aurait dirigé une opération de guerre, il avait pris goût au métier, et la campagne s’annonçait bien. Le bouton de manchette trouvé par la Majoré, les récits de Mariette et les confidences de M. Crozon : autant de positions prises dont il s’agissait de tirer parti contre l’ennemi. L’ennemi, c’était la marquise de Barancos, un ennemi qu’il y avait plaisir à combattre, car il était de force à se défendre, et Nointel se faisait une fête de lutter de ruse et d’adresse avec ce séduisant adversaire, de le réduire par des manœuvres savantes, et finalement de le vaincre. Ses batteries étaient prêtes, et il ne demandait qu’à commencer le feu. Mais il pouvait disposer de quelques heures avant d’engager l’action, et il entendait les employer à sa fantaisie. Or, il avait l’habitude d’aller, entre son déjeuner et son dîner, fumer quelques cigares au billard du cercle. Il aimait à y jouer et presque autant à y voir jouer, car son esprit d’observation trouvait à s’exercer en étudiant les types curieux et variés qui venaient là de quatre à six cultiver le carambolage. Il jugea qu’après avoir consacré un bon tiers de sa journée à servir la cause de l’innocence et de l’amitié, il avait bien gagné le droit de s’offrir sa récréation favorite. La marquise ne recevait qu’à cinq heures, et il n’avait pas besoin de rentrer chez lui pour s’habiller, son groom ayant ordre de lui apporter au cercle une toilette mieux appropriée à une visite d’avant-dîner que la tenue d’enterrement qu’il portait depuis le matin. Du reste, il n’espérait pas revoir le baleinier ce jour-là, car le correspondant anonyme qui troublait depuis trois mois le repos du malheureux marin lui faisait l’effet de ne pas être très sûr de ce qu’il avançait, et il doutait que ce correspondant en vînt si vite à nommer l’amant de madame Crozon.

Du haut de l'Hôtel-Dieu, l'interne en médecine Daubrac et son ami philantrope Mériadec observent le parvis de Notre-Dame. Ils se décident à suivre par désœuvrement un couple d'amants qui effectue l'ascension des tours. Sitôt arrivés sur le parvis, un attroupement attire leur attention : une jeune femme portant une voilette bleue identique à celle de la femme aperçue auparavant au bras de son amant est retrouvée sans vie au bas des tours. Qui est cette femme? S'est-elle suicidée ou bien l'a-t-on précipitée dans le vide? Et qu'est-ce que le capitaine de Saint-Briac, arrêté à sa descente des tours, a à voir dans cette affaire? C'est ce que Daubrac et Mériadec, aidés de Rose Verdière, la charmante fille du gardien des tours, et de Fabreguette, peintre farfelu et témoin oculaire du drame, vont tenter de découvrir en même temps que M. de Malverne, juge d'instruction et intime de Saint-Briac. Extrait : Aussi pourquoi es-tu allé te loger là ? Ici, le spectacle change à chaque instant. Tiens ! vois-tu ce couple qui passe devant le portail de l'église. Deux amoureux, j'en suis sûr, et pas des amoureux pour le bon motif. La femme porte une voilette épaisse comme un masque et se serre peureusement contre son cavalier qui baisse le nez pour qu'on ne voie pas son visage. Ces tourtereaux sont en train de chercher une place sûre pour tromper un mari. Et tous les deux sont certainement du meilleur monde. L'homme est d'une élégance parfaite, et la toilette de la dame vient de chez la bonne faiseuse.

Plus qu’un roman policier, c’est un roman d’aventures passant par Montmartre, Londres, le Brésil, Tripoli, Naples, etc.

Des meurtres en série, une embrouille familiale, une erreur judiciaire, un justicier servi par la Providence, rien ne manque à l'affaire basée sur des explorations d’épaves sous-marines. Tous les ingrédients, incroyables parfois, permettent de faire rebondir l’action.

L'intrigue se noue lors d'un accident, dont le héros sort mortellement blessé. Emportera-t-il avec lui le secret du drame initial ? L'incertitude dure sous la plume de l'auteur prolixe.

Robert de Bécherel quitte Rennes pour venir travailler à Paris dans une maison de banque chez un ami de son défunt père. Ce dernier a ruiné sa famille aux tables de jeu. Un soir, Robert croise un camarade de régiment, Gustave Pitou. Celui-ci, issu d'un milieu modeste, a fait fortune dans les affaires. Il entraîne son ami dans les salons de la Comtesse de Malvoisine avec l'idée de lui présenter Herminie des Andrieux, la nièce de celle-ci. Orpheline argentée, elle n'hésiterait pas à épouser un nom... Robert va découvrir le demi-monde : des femmes déclassées et des messieurs courant les tables de jeu et tomber sous le charme de Mademoiselle Violette, le professeur de musique d'Herminie qui anime les soirées au piano pour gagner un peu d'argent. Mais si son père ne lui a rien laissé, Robert possède pourtant un lourd héritage : la passion du jeu. Saura-t-il résister à ce démon ? Surtout que Gustave lui présente Marcadier, dit Rubis-sur-l'ongle, l'usurier le plus célèbre de l'époque... Robert va se retrouver au cœur d'un imbroglio familial et pour faire éclater la vérité, il devra déjouer les pièges de cette société où usurpation d'identité et détournements de fortune sont monnaie courante.

Au bord de la ruine, le baron Hervé de Scaër accepte d'épouser la belle et riche Mle de Bernage. Lors d'une soirée costumée, une femme déguisée en domino blanc l'aborde et lui remet une lettre cachetée. Rentré chez lui après quelques évenements, en apparence, anodins, dont les retrouvailles avec un de ses anciens gardiens de chêvres, il lit la lettre et se souvient de son amour de jeunesse, disparue sans laisser de traces... Nous sommes en 1870, et, sur fond de guerre avec la Prusse, nous suivons la passionnante enquête menée par ce noble breton, sur la disparition Georges Nesbitt, sa belle-soeur et sa nièce, une dizaine d'années plus tôt.

Fortuné du Boisgobey nous brosse un tableau sans complaisance de la Terreur !

Boisgobey nous offre dans les péripéties d'une intrigue très solidement charpentée, une plongée décapante dans la capitale aux mains des dictateurs de l'instant, sans-culottes braillards à la justice expéditive, jacobins impitoyables dédouanés par le féroce et suspicieux dérapage politique qui marque les années 1793 et 1794...

Nous voici entraînés au coeur de ses hauts-lieux : prisons improvisées dans d'ex-monastères nationalisés, restaurants, maisons de jeux, théâtres où l'on fustige grossièrement l'aristocratie, et bien sûr, Tribunal Révolutionnaire, où se jouent en quelques secondes, soumis à l'arbitraire effrayant de la populace bien-pensante d'alors, le destin des victimes de l'ordre moral du moment.

Tiraillés entre leurs convictions, leur fierté de classe et leurs périlleuses amours, trois hommes et deux femmes vont se trouver mêlés dans une aventure rude et passionnante, saisissante de justesse et de logique, dans laquelle, à la lumière crue de nos contradictions humaines, parfois soulignées jusqu'à l'absurde, leurs passions vont enfler et mourir, dans la dimension sublime de l'éphémère, en ces jours où partout la mort rôdait.

Ce thriller historique haletant nous jette sans complaisance dans le flot tumultueux du torrent de la Révolution, et l'on en sort un peu secoué, presque heureux de ne pas avoir eu à y vivre !

Fortuné Hippolyte Auguste Abraham-Dubois, dit Fortuné du Boisgobey, né à Granville le 11 septembre 1821 et mort le 26 février 1891, est un auteur français de romans policiers et de romans historiques.

Le succès d'Une affaire mystérieuse et du Forçat colonel, tous deux publiés en 1869, fait de cet écrivain prolifique, qui comptera plus de soixante oeuvres à son nom, l'un des feuilletonistes les plus populaires. En 1877, Le Figaro l'engage pour une série de romans, qui augmenteront le tirage du journal.

Du Boisgobey présida la Société des Gens de Lettres en 1885 et 1886. Il s'est éteint au terme d'une longue maladie.

Suite à la défaite de Sedan, Napoléon III est déchu, la République est proclamée, le gouvernement part à Tours, les prussiens arrivent près de Paris dont ils entreprennent le siège. C'est dans ce cadre que la famille de St Senier va se trouver confrontée aux agissements frauduleux de la bande Valnoir-Taupier : Journaliste de peu de scrupules et ayant des ambitions politiques, Valnoir a outragé Louis de St Senier dans son journal, «Le serpenteau». Un duel au pistolet a lieu dans la forêt de St-Germain. Taupier, journaliste bossu, témoin de Valnoir, réussit à escamoter la balle du pistolet de St Senier qui, en conséquence, trouve la mort sous les yeux de Roger de St Senier son cousin germain et amoureux de sa cousine Renée de St Senier. Une petite troupe de saltimbanques constituée du colosse Pilevert, du paillasse Alcindor et de Régine, tireuse de cartes sourde et muette, se trouve, par hasard, à assister au duel. Sont réunis dans cette clairière, la majorité des protagonistes de ces aventures...

Qui avait intérêt à se débarrasser de la comtesse de Muire ? C'est ce que va s'attacher à découvrir le commandant Roland, tout au long d'une enquête qui va le mener de Paris à Chatou et au Vésinet.

Maxime de Chalandrey, jeune homme fortuné, fait la connaissance d'une mystérieuse jeune femme. Il assiste ainsi involontairement à l'éxécution d'un membre d'une association de malfaiteurs qui portent tous au doigt une bague appelée «l'Oeil de chat». De nombreuses péripéties l'amèneront à démanteler ce réseau. Un récit rocambolesque à souhait écrit par un auteur injustement oublié.

Une enquête criminelle autour d'un savant fou

En 1882, Fortuné du Boisgobey est passé maître dans l’art d’écrire un roman policier. Tout commence naturellement par un crime, introduit de manière spectaculaire, et se poursuit par une double enquête : d’un côté celle de la police officielle et de la justice ; de l’autre celle de détectives amateurs.

Chez Boisgobey, ceux-ci sont souvent de jeunes aristocrates courageux ; ici, ce sont des artistes : le peintre Alfred Caussade et son ami vaudevilliste Georges Darès. Mais cette fois, l’adversaire n’est pas un mystérieux étranger, mais une femme… La perspective change, le registre sentimental est grandement exploité, mais l’intensité du drame demeure, avec un intéressant suspense final. Un personnage de savant fou — médecin, pour être plus précis — agrémente la distribution, et sa terrible invention aura son importance.

Le roman est paru initialement dans La Lanterne, du 16 octobre au 19 décembre 1882, puis fut publié en librairie chez Plon, en 1883.

Fortuné du Boisgobey offre ici un nouveau roman policier avec une intrigue judiciaire et une romance parfaitement menées

M. Piédouche se targue d'avoir un fameux coup d'œil, d'être observateur et doué de perspicacité. Alors qu'il se vante de ses qualités auprès de deux jeunes hommes avec lesquels il bavarde en pleine nuit, il décide de démontrer son savoir-faire en affirmant que le charbonnier qui longe le quai de la Seine, sac sur le dos, est un malfrat. Qui en douterait, d'ailleurs, puisqu'on ne peut penser sérieusement qu'un charbonnier assure une livraison à trois heures du matin ?

En pourchassant le malfaiteur, le trio le force à abandonner son sac et à disparaitre dans l'eau froide.

C'est en ouvrant le sac que M. Piédouche va faire la découverte effroyable du corps d'une jeune femme... sans tête.

À partir de là, M. Piédouche va se lancer, corps et âme, dans une enquête à la fois tumultueuse et pleine de rebondissements.

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